Soirée Chez Nadège (2)

Gabriel était un apollon métis. Alors que comme Nadège il avait 35 ans, je lui en donnais tout juste 25. Grand, brun aux cheveux très courts, des yeux marron tirant sur le vert, il portait en arrivant un simple teeshirt moulant et un jean tout aussi serre qui soulignaient à merveille son corps musclé. Il embrassa Nadège en s’excusant pour son retard. Cette dernière nous présenta, en insistant bien sur le fait que j’étais comme lui, j’aimais autant les chattes que les bites. Il me sourit et il put constater qu’il me faisait un effet d’enfer.

Nous étions déjà tous nus, et il s’empressa de jeter ses vêtements pour nous rejoindre. Sa peau cuivrée, ses muscles bien dessinés, et sa bite longue et bien épaisse nous fit à tous pousser un soupir d’envie. Il en rigola, et se dirigea vers moi pour m’embrasser à pleine bouche.

— Ça fait longtemps que je n’ai rien fait avec un mec, et ça me manque, me dit-il. Ça te dérange si je te suce ?

Je ne pus que l’encourager et me laissais faire. Nina et Émilie rigolèrent. Nadège se leva et vint me rejoindre, elle m’embrassa, me caressa le torse et rejoint Gabriel.

— Ça ne te dérange pas si on s’y met à deux pour s’occuper de toi ?
— Non, fais-toi plaisir !

Gabriel et Nadège se partagèrent ma queue. Les lèvres de Nadège alternant avec celles de Gabriel sur mon sexe bien dur. J’étais comblé. Gabriel avalait mes couilles, faisait courir sa langue dessus. Nadège mordillait mon gland. Du bout de la langue, elle chatouillait le trou de ma bite. Gabriel me fit glisser sur le bord du canapé, et commença à me lécher de cul, s’insérant entre mes fesses jusqu’à ma rondelle. L’extase.

Nina et Émilie nous regardaient en se caressant mutuellement.

— Ils sont beaux, dit Nina. Ils ont l’air de bien s’amuser tous les trois.
— En tout cas ils me font bien mouiller, répliqua Émilie, si je m’écoutais j’irais les rejoindre.
— Ils n’ont pas besoin de toi.

Par contre, si tu enfilais la jolie ceinture et venait t’occuper de moi.

Émilie se saisit du gode ceinture, s’en équipa et prit Nina par-derrière.

Gabriel m’avait bien détendu le trou avec sa langue. Je lui demandai de m’enculer.

— Je suis chaud, vas-y prends moi, lui dis-je.

Je me mis en position pour lui offrir mon cul, Nadège qui avait lâché ma bite se positionna devant moi, jambes écartées, se caressant, attendant que je vienne lui lécher la chatte, pendant que je me faisais prendre par Gabriel. Sa bite se fraya un chemin sans souci en moi.

— Ca m’a manqué de prendre un cul de mec, dit Gabriel. Tu as un cul super confortable.

Je le remerciai, et le complimentai sur sa bite, ce qui fit rire Nadège.

— Quand vous aurez fini, tous les deux peut-être qu’on pourra s’occuper de moi, dit-elle en m’attirant vers son sexe dégoulinant de désir.

La moiteur de son minou m’emplissait la bouche, sa jute coulait sur ma langue, une douce chaleur envahissait mon cul, remontait dans mon ventre, irradiait dans mon sexe bandé. Gabriel me fit jouir deux fois. Je hurlais mon plaisir, et lâchai un jet de foutre sur le canapé de Nadège, qui en bonne salope vint le lécher. Gabriel se vida en moi, et après avoir retiré sa capote me donna son sexe à sucer pour que j’y recueille les dernières gouttes de sa jouissance.

Nina et Émilie avaient échangé leur position. Gode attaché autour de ses hanches Nina baisait Émilie qui gémissait de plaisir sous les assauts de la bite factice.

— Tu aimes ça te faire prendre par ma grosse bite, tu es ma petite pute, criait Nina.
— Oui, baise-moi, baise-moi comme une chienne, fais-moi jouir, fais-moi crier.

Assis en face d’elle, nous regardions les filles se faire plaisir. Elles étaient belles toutes les deux, en sueur, dégoulinant de plaisir, de désir, sentant le sexe.

— Elles sont déchainées tes amies, me dit Gabriel, tu ne dois pas t’ennuyer avec elles.

— Je n’ai pas le temps de m’ennuyer, elles sont insatiables.

Je lui expliquai ma vie, notre appartement, Erwann, Félix et le reste. Pendant que je parlais à Gabriel, Nadège était partie rejoindre les filles. Nina avait fait tomber son gode, et les trois femmes s’embrassaient.

Quelques bougies s’éteignirent. Nous avions déjà vidé deux bouteilles de champagne. Les plateaux étaient vides. Nadège apporta deux nouvelles bouteilles, et quelques mignardises. Gabriel but directement à la bouteille et m’embrassa. Nina vint le rejoindre, une tartelette à la bouche, et m’offrit de la partager avec elle, avant de me donner un baiser sucré. Elle embrassa Gabriel aussi. Nadège et Émilie quittèrent le salon ensemble, pour rejoindre une chambre.

— On vous laisse tranquille un moment, dit Nadège en s’éloignant, mais libre à vous de nous rejoindre quand vous en aurez envie.

Pour le moment l’envie nous retenait dans le salon, Gabriel et moi nous embrassant pendant que Nina nous faisait durcir dans sa bouche, sous ses lèvres, ravivant le désir qui ne s’était pas éteint complètement. Il suffisait d’une bouche gourmande pour nous refaire bander.

Gabriel fit couler du champagne sur son torse invitant Nina à le boire à même sa peau. Elle remonta vers sa bouche, et but à son tour à la bouteille avant de prendre la bouche de Gabriel dans un baiser gourmand.

— Tu vas m’enculer, lui dit-elle, j’ai très envie de ta bite dans mon petit cul, tu vas voir, il est super mon cul, tu vas l’adorer.

Gabriel lui embrassa les fesses, les lécha, les embrassa. Nina gloussait d’aise, de plaisir. Elle lâcha un petit cri de surprise quand elle sentit la bite de Gabriel forcer le passage de son petit trou.

— Et si tu l’enculais, me dit-elle, je suis sure qu’il va adorer être pris en sandwich entre nous deux.
— Oh oui, encule-moi, j’ai trop envie de me faire prendre par ta belle bite, me dit Gabriel.

Bien calé dans le cul de Gabriel, j’imprimai le rythme à notre trio.
Les gémissements de Gabriel et de Nina se mêlaient. Nos sueurs aussi. Nous formions un ensemble quasi parfait. Trois corps emboités les uns dans les autres, se prenant, se donnant du plaisir. Nos orgasmes arrivèrent en cascade. Nina hurla la première, sa chatte laissant échapper un jet qui souilla le sol. Je vins en Gabriel avant qu’il n’éjacule sur les fesses de Nina.

Couverts de sueur, de foutre, comblés de sexe, nous restâmes assis sur le canapé, écoutant les gémissements de plaisir de Nadège et Émilie qui montaient de leur chambre.

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