Mon Collegue De Bureau En Voiture.

Daniel .

Daniel est plutôt bel homme. C’est surtout un collaborateur de travail depuis plus de quinze ans. Nous nous respectons, nous apprécions même. Bien entendu avec le temps nous sommes devenus amis, assez proche je dirais même ! Quinze ans d’entraide, de travail évidement cela rapproche quelques peu. Nous nous sommes toujours beaucoup respectés tous les deux. J’ai douze personnes sous mes ordres dans mon métier, dont Daniel l’un des plus ancien de la boite. Ceci dit, j’admets avoir une relation particulière avec lui. Il arrive qu’entre deux visites ou rendez vous, nous prenions une pose, un café, un verre dans un bar et forcement nous bavardons tous les deux. Cela nous a rapprochés en toute sympathie et depuis des années déjà, nous connaissons la vie de l’un et l’autre allant même parfois à tord ou raison dans l’intimité de nos couples.
C’est attablé dans ces conditions que nous avons eu des conversations pour le moins d’ordre privées. Comme toutes personnes de nos âges, la monotonie du couple, les petits aléas que chacun connait après des années de vie commune, bref nous échangions parfois sur ces sujets pour le moins intimes. Des années à se sentir proche, amis …. Ecoutant l’autre et partageant nos opinions respectives, cela forge l’amitié. Comment expliquer que tout ait basculé en quelques semaines ?
J’admets que Daniel est attirant physiquement mais en même temps j’ai passé l’âge de m’extasier devant un beau gosse. De dix ans mon cadet, c’est un homme toujours élégant, plutôt fier de sa personne et agréable a vivre. Du moins dans le domaine du travail. Jamais une parole plus haute que l’autre, sans cesse à l’écoute de mes moindres remarques, facile à diriger quoi !
Coté défaut, si toute fois cela en est un, depuis toujours il mate les femmes. Le défaut de tous les hommes me direz vous, j’en conviens et m’en amuse depuis toujours. En rien différente des autres, j’ai beau être responsable et respectée, je n’en reste pas moins une femme normale et aime sentir un regard se poser sur moi.

Avec lui je ne suis jamais déçus, entre ses petits coups d’œil dans mes corsages et sur mes jambes, il me donne se petit frison, sans le savoir bien entendu ! Ici je peu même avouer que nos petites discussions intimes ne me laissent pas indifférente. J’avoue même qu’il m’arrive parfois de profiter de son petit coté voyeur pour m’exciter gentiment, là aussi sans qu’il le sache évidement.
Bref, tous cela pour en venir aux faits ! Cette fameuse semaine pour ma part, j’étais seule à la maison. Mon époux en déplacement, le retour à une météo sympa après bien de longues semaines de pluie ! Tous cela me rendait joyeuse, en forme dira t’on ! Des le lundi, j’avais profité des rayons de soleil pour ressortir une tenue plus légère. Nous avions déjeunés ensemble et nous étions lancés dans nos pensés intimes se confiant l’un et l’autre que l’hiver avait été long. Nos couples avaient eux aussi hibernés … Comme moi il ressentait se manque de piment, cette monotonie qui ronge doucement les couples. Nous étions allé un peu plus loin dans nos analyses respectives et cela me troublait profondément, je crois même pouvoir dire que l’idée de m’envoyer en l’air avec un grand A m’a un peu plus que traversé l’esprit. Son regard quelques peu différent que d’ordinaire me troublait beaucoup. Heureusement, le travail nous appelait et nous devions cesser cette conversation aussi agréable soit elle. J’eu toute les peines du monde à me concentrer cette après midi là ! J’étais sans doute, à mes yeux allé trop loin dans mes propos. Des questions m’enquiquinaient l’esprit ! J’aurais peut être dut m’abstenir de lui laisser entendre que parfois la relation fougueuse de nos débuts me manquait ! Que j’aimerais qu’il se lâche plus au lit et cesse de trop me respecter ! Dans l’excitation de notre échange et dans les rires, nous en avions conclus que j’étais une mal baisé ! Pire j’en avais ris et acquiescé les thermes. Qu’allait-il pensé de moi ? Moi qui diffuse une image de femme inaccessible depuis tans d’années.
Même si de son coté il m’avait avoué un peu les même soucis prétendant que son épouse était bien moins féminine que par le passé, ne portant plus de petites lingeries etc… Je n’en étais pas moins troublé !
Mais alors, que dire de mon geste du mardi ? Je crois que j’ai déclenché sur se coup là toute la suite de cette histoire. C’était l’anniversaire de Nathalie, une de nos collègues. Cette dernière offrait un verre dans une petite brasserie non loin des bureaux entre midi et deux. Je blaguais avec Daniel depuis un moment lorsque je l’ai vue dans le vide, ne participant plus du tous à notre conversation. Il était assis face a moi sur des chaises basses et avait le regard dans le vide le verre à la main. Le bruit des verres, des conversations qui fusaient de part et d’autre faisaient que je n’arrivais pas a capter son attention. J’étais sans doute énervée ou grisé par les deux martinis que je venais de boire. Le regard fixe, perdu dans ses pensés, j’avais l’impression qu’il était à l’arrêt sur mes genoux. Comme un reflex pour le ramener parmi nous, j’ai subitement écartée les cuisses en un mouvement rapide. Heureusement, personne n’a capté mon geste ! Enfin si ! Lui ! Il a relevé la tête en me souriant et a repris ses esprits. Ho lala se regard évocateur ; J’adore me faire draguer, mater mais de là à provoquer de la sorte, un collègue de boulot en plus ! Le coté positif reste d’avoir ramené Daniel parmi nous en un quart de seconde. N’allait-il pas en même temps prendre cela pour une invitation ? J’en étais a me poser des questions moi-même ! Avouons-le… La veille au soir dans mon grand lit seule, je m’étais fais un film sur lui et moi et autant être honnête et avouer que ce n’était pas un film pour ! Oui, sans doute a force de partage et malgré mes idées de ne jamais mêler travail et sexe, oui j’avais envie de lui !!! Des qu’il en a eu la possibilité, les compliments ont fusés ! Lui qui parlait justement de son épouse qui ne portait plus de jolie lingerie, je venais de lui montrer que pour ma part je portais des bas et de la jolie dentelle blanche rire.
Evidement, il n’en fallait pas plus pour lui mettre des idées en tête ! Des lors, Daniel me draguait sans vergogne et prenait plaisir à me provoquer. Son regard, son attitude ont changés du tout au tout en quelques minutes. J’appréciais de plus en plus sa présence et attendais inquiète mais impatiente de voir ou cela nous mènerait.
En fait, au fond de moi-même, je crois que j’attendais se moment avec impatience. Nous avions les mêmes idées, les mêmes envies. Clairement, il en avait assez de son épouse qui ne faisait rien pour entretenir leurs relations intimes. Il rêvait à autre chose de plus pimenté, un renouveau, il en avait simplement mare de sa petite vie de papi pantouflard. Il me l’avait bien laissé entendre et de mon coté, j’étais un peu dans cette même situation, blasée des mêmes positions, blasée du lit conjugal et de ses jouissances express ! Daniel l’avait bien compris et seule ma position au boulot me retenait. Je devais pourtant me rendre à l’évidence, Daniel m’attirait, j’avais envie d’aller plus loin avec lui, envie de lui tous simplement et ses regards, ses sourires me laissaient penser qu’il en était de même pour lui. Une nouvelle fois le soir même, seule à la maison, je m’étais mise au lit en songeant à lui. Je m’étais caressé imaginant un moment pur sexe en sa compagnie. Mes barrières tombaient une à une et je me disais que peut être je devais mettre les choses au point entre nous et bien séparer le boulot du reste car là était ma plus grande crainte.
Ce ne fut pas la peine. Le Mercredi, journée bien souvent calme au bureau. J’étais toujours entre deux eaux ne sachant comment me comporter avec lui. Oui je dois tout de même avouer que je m’étais mise en robe assez sympa un peu pour lui. Sentir, voir ses petits regards tellement différent d’avant me plaisait beaucoup. Puis cette petite robe est toujours du plus bel effet. Bien cintrée, en portefeuille juste attaché sur les hanches par un nœud ….elle baillait assez fort en marchant et je sais qu’elle laisse parfois entrevoir assez haut mes cuisses …Connaissant les gouts de Daniel, j’avais mis une jolie paire de bas noir et un body de dentelle même si le programme n’était pas qu’il me voit nue rire.
J’avais se désir de plaire, de me sentir désirable. Daniel comme son habitude était élégant en petite chemise et cravate. Je ne savais comment me comporter mais tous c’est fait naturellement.
Vers une dizaine d’heure, tout était si calme que j’ai proposée à mes collègues d’aller jusques la frontière pendant le midi faire le plein de cigarette et alcool. Chose que nous faisons régulièrement depuis bien longtemps, les prix en Belgique étant bien plus bas que chez nous, l’un d’entre nous fait un aller retour afin d’approvisionner les collègues selon les besoins . Cette fois c’était moi ! Nous profitons ainsi de la voiture de société pour faire les trente kilomètres qui nous sépare de la frontière. C’est en préparant la liste de courses en passant de bureau en bureau que Daniel m’a proposé de m’accompagner. Oups, je ne l’ai pas vue venir celle là et c’est gorge nouée que j’ai accepté qu’il vienne avec moi. Des lors ou nous sommes montés dans la voiture, l’ambiance est devenu lourde, comme si lui comme moi savions. A plusieurs reprises j’ai tirée sur les pans de ma robe cherchant a cacher un peu mes cuisses et c’est à cette occasion que Daniel m’a demandé de laisser ma robe tranquille, que la vue de mes jambes lui plaisait beaucoup. J’ai ris pour ne pas perdre la face. Nous sommes alors rentrés dans une conversation pour le moins troublante. Daniel imaginait une relation entre nous et tentait de me faire dire que j’en avais envie. Nous abordions alors le coté secret, le boulot, nos vies respectives … Tout allait pour le mieux puis ce que comme moi il tenait a faire la part des choses et imaginait cette relation complètement secrète en tous point de vues. Je devais rouler à 30 km/h tellement notre échange était intense. Ses propos étaient tellement forts ! Il m’appelait même un moment sa petite mal baisé et cela je l’avoue me perturbait incroyablement. Nous avons fait nos courses tous les deux troublé l’un comme l’autre je pense. Certainement dans le doute tous les deux. Pourtant dés notre retour à la voiture et avant même de remonter, nos regards se sont croisés avec une certaine complicité … J’ai redémarrée gorge nouée et l’estomac dans les talons. Ce qui devait arriver, arriva…. Lorsque Daniel a poser la main sur ma cuisse j’étais comme paralysé. Je sentais son regard tourné vers moi mais étais incapable de le regarder fixant la route. Après quelques secondes, j’ai posé la main sur la sienne en lui disant que nous faisions peut être une erreur. Ses arguments étaient plausibles, pourquoi passer à coté, des lors ou tous les deux en avons envie et tous les deux sommes sur la même longueur d’ondes. A cours d’excuses, j’ai juste rétorquée « et si cela se savait » La réponse fut claire, aucune raison que cela se sache nous ferons comme depuis toutes ces années au bureau. Ses doigts avaient entre temps gagnés du chemin et me caressaient la peau à la lisière de mes bas et c’est alors moi qui lui ai demandé ou aller …. Visiblement satisfait de ma réponse, il m’a proposé de prendre un petit chemin au milieu des champs très nombreux chez nous. J’étais très anxieuse en m’engageant dans se chemin au trois quart défoncé. Bien droite dans la voiture, je cherchais à éviter les trous pendant que Daniel s’afférait a glisser les doigts sous mon body en l’écartant du mieux qu’il pouvait.
Un bon cinq cent mètres plus loin je stoppais enfin le véhicule ….Assez loin de la route car un véhicule marqué de toute part de la pub de notre boite, je ne tenais pas a prendre le moindre risque. Le moteur à peine coupé qu’il se penchait sur moi afin de m’embrasser. Je me suis laissé aller malgré la tension qui me tiraillait de partout, j’ai même eu peine à m’exciter malgré les nombreuses caresses de mon compère. Au file des minutes et surtout des caresses, je fermais les yeux me délectant de ses longs baisers . Daniel à montré de la patience et c’est appliqué à me caresser comprenant bien que j’avais peine à me mettre en route. Les minutes passaient et doucement je me relaxais me mettant même à ronronner sous ses doigts …. Son souffle long et chaud dans mon cou ont eues raison de mes aprioris. J’ai écartée les cuisses lui ouvrant les portes . Daniel a vite saisis que j’étais a sa merci, défaisant le nœud de ma robe il c’est penché jusqu’à glisser la tête entre mes cuisses. holala , sa respiration vif sur mon entre cuisse ! je ronronnais de plus belle…. Le siège allongé, il écartait mon body et me léchait à grand coups de langue. Je m’abandonnais enfin au plaisir posant le pied gauche sur le tableau de bord tout en lui caressant le cuir chevelu haletant de bonheur. Des lors, tout est devenu fou. Body écarté, il me doigtait comme un fou m’arrachant de longs gémissements, je gloussais comme une folle sous ses caresses. Du bout des doigts je palpais sa queue au travers de son pantalon avec l’envie folle de la sentir en moi. A force de se tordre sur les sièges , j’ai réussis a dégrafer son ceinturon et ouvrir cette fermeture qui m’embêtait depuis dix minutes. La main dans son caleçon je saisissais enfin cette barre chaude en main. J’étais même un instant impressionné du diamètre de cette queue bien dure. Lorsqu’il a cessé de me lécher il a juste eu le temps d’ouvrir ma robe s’exclamant que j’étais magnifique avec ce body de dentelle. Juste eu le temps car à mon tour je le repoussais et plongeais sur sa queue dont j’avais tant envie. La aussi pas dans mes habitude de me jeter ainsi sur une queue, mais cela faisait tellement longtemps que j’imaginais se moment ! Daniel ne c’est pas fait prier, se plaquant dans le fond du siège et me laissant agir a ma guise. Ses doigts noués dans mes cheveux je l’entendais râler, preuve que je n’avais pas perdu la main malgré de longue abstinences et si la fellation n’est pas ma priorité, là j’en avais envie ! Sentir cette queue bien dure tendue dans ma bouche me rendait salope mais me faisait un bien fou. Je me tortillais sur mon siège tout en m’appliquant a sucer habilement cette verge qui m’explosait la bouche. Nous devenions tous deux fou de désir. Je me déchainais sur cette verge tout en prenant un plaisir monstre à l’entendre gémir et me dire que j’étais hyper bandante ….
Après se moment plongé sur sa queue, lorsque j’ai relevé le visage, Daniel m’a embrassé à pleine bouche en grognant qu’il avait envie de moi. J’en étais au même point et tout en restant nos lèvres collées et langues nouées j’ai enjambé la console centrale de la voiture me retrouvant sur lui, a cheval tenant sa queue bien droite. j’ai à peine jouée avec cette hampe de chair la glissant le long de mes lèvres trempées .Daniel me saisissant les hanches me plantait sur son pieu ! Un long cri incontrôlé me sentant envahit par cette verge inconnue. Un plaisir monstre, épaisse, elle m’emplissait complètement. Ses premiers allers retours en moi étaient magiques. Je fermais les yeux me frottant a lui gémissant de plaisir. Daniel accentuait le mouvement par des coups de reins s’enfonçant de plus belle en moi. Robe ouverte il avait sortis mes seins et me les triturait me pinçant les tétons comme rarement un homme me l’avait fait. Il me disait super bandante dans mon body , râlait que je le faisais bander et ses mots m’excitaient de plus belle. Par manque de place, nous avions ouvert la porte passager et après un bon moment planté sur lui, il me proposait de descendre de l’auto. C’est vrai que la place nous manquait et vue l’état d’excitation que j’atteignais il m’en fallait plus pour prendre mon pied. Le temps de s’extirper de la voiture, Daniel a jeté un rapide regard autour de nous puis m’a emmené devant la voiture. Je le vois encore se débarrasser de son pantalon alors que je tenais les pans de ma robe croisés. Je m’attendais certes a pouvoir jouir fort, surtout au vue de l’état de sa queue toujours aussi droite ! Je ne pensais cependant pas à pareil moment. Daniel m’a couché sur le capot tout en ouvrant ma robe. Il m’a prise a nouveau tout en me levant les jambes. Une cheville dans chaque main, il me tenait ainsi tout en se propulsant en moi. Je me suis mise a crier sous ses coups de reins qui me faisaient bondir vers le haut du capot. Je l’entendais grogner et dire que j’étais une mal baisé, que je méritais mieux….. Ses mots me rendaient folle, je me sentais honteuse et en même temps je sentais le plaisir jaillir de toutes parts. L’instant ultime restait pourtant a venir. Daniel m’a lâché les chevilles âpres quelques minutes de plaisir fou et m’a fait pivoter de dos. Ventre sur le capot, il m’a replié la jambe droite tout en se glissant contre mes fesses. Ses propos raisonnent encore dans ma tête.
« oui ma salope tu va jouir bien fort » dit le que tu veut ma queue ma salope »
Oups , rien que de l’entendre alors qu’il me remettait la queue entre mes cuisses….De la folie , je me suis mise a hurler de plaisir….. Daniel continuait de grogner en me disant de le dire et entre deux coups de reins qui me faisaient crier de plaisir je répétais que j’étais sa salope et que je voulais sa queue. Il c’est déchainé sur mes fesses ! plaqué sur la tôle du capot, ses mains emprisonnant mes hanches il me labourait le bas ventre m’arrachant de longs cries de jouissance…. J’ai crue perdre connaissance, il ne s’arrêtait pas m’assaillant de coups de reins plus fort les uns que les autres ….. jusqu’à se lâcher en moi en me disant qu’il allait me remplir comme la belle salope que j’étais . Un fois de plus je hurlais sous des spasmes hors du commun ….
Daniel c’est déchargé en moi comme un animal hurlant de plaisir…. Je me mordais le dessus de la main !
Il nous a fallut prêt de quinze minutes pour se remettre de nos émotions et lui comme moi avons apprécié se moment torride entre nous. Nous nous sommes évidement promis de garder cela secret mais aussi de remettre cela lorsque l’envie se fera sentir.
Nous sommes rentrés comme si de rien était malgré le retard et le papier éponge que j’avais entre les cuisses rire…..

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