Comment Le Goût Des Cochonneries Vient Aux Filles

COMMENT LE GOUT DES COCHONNERIES VIENT AUX FILLES

Je précise que ce récit autobiographie est antérieur à 1974 et que tous les protagonistes sont mineurs puisque avant cette date la majorité était à 21 ans



J'ai eu la chance d'avoir des parents pour qui le sexe n'était pas un tabou. Quand j'ai commencé à poser des questions sur le pourquoi les petits garçons avaient entre les cuisses une chose que n'avaient pas les petites filles ? Mon père ma expliqué très simplement la raison en précisant que je comprendrai mieux, plus tard, que fabriquer des s pouvait être un plaisir, sans pour autant vouloir en faire quand une femme et un homme s'aimaient….

J'avais bien compris la leçon d'anatomie, mais la dernière partie restait un peu mystérieuse pour moi.

Assez jeune en faisant du vélo j'ai ressenti une sensation bizarre entre mes cuisses lorsque je frottais mon entre cuisses sur la selle.

Surprise de ma découverte de l'après midi, le soir, dans mon lit j'ai passé ma main sur cette endroit qui me servait à faire pipi. Je découvris ainsi que cette fente avait sur le haut une petite excroissance que je trouvais anormale, mais plaisante à toucher, cependant j'étais un peu inquiète pensant que j'avais une anomalie. Le lendemain j'en parlais à ma mère qui éclata de rire me disant que j'avais découvert mon clitoris et que plus tard elle souhaitais que je rencontre un garçon capable de le faire vibrer. Si la première partie de sa réponse me rassurait sur mon anatomie la seconde me semblait mystérieuse.

Le soir dans, ma chambre, j'ai recommencé à passer ma main tout au long de cet endroit pour "faire pipi" et j'ai commencé à découvrir des sensations, que je dirais maintenant, voluptueuses.

En fait sans le savoir j'avis découvert le "Plaisir" et le PLAISIR DU SEXE.

Tous les soirs je me faisais les mêmes caresses et éprouvait les mêmes sensations.

Cela était- il normal ?

La réponse vint quand je fus obligée d'être pensionnaire.

Nous n'étions pas dans des dortoirs, mais par chambre de 4 à 5, avec une "grande" pour surveiller la chambrée.

J'étais très ennuyée car je me demandais comment je pourrais continuer à poursuivre les caresses que j'aimais tant me donner ???

Je constatais, que les lumières éteintes les draps de mes condisciples bougeaient bizarrement.

De plus, un jour à la douche, j'étais à coté de la chef de chambre qui me dit :

- J'ai remarqué que tu te caresses le soir, n'ai pas honte, nous le faisons toutes. Tu n'as pas encore beaucoup de poils au minou, mais tu seras comme moi.

Sophie avait une superbe toison rousse.

- Si tu es gentille, ajouta–t –elle tu pourras la toucher un soir et je te montrerai d'autres choses….

Cette proposition m'avait fait prendre conscience que mes jeux n'étaient pas solitaires, de plus la pilosité rousse de Sophie me paraissait délicieuse. Sa toison touffue, d'un roux doré, me paraissait magnifique. Je n'avais qu'un regret, ce que mes polis pubiens étaient encore bien clairsemés…

Un dimanche d'hiver où comme elle j'étais 'collée', nous avions cependant le droit de travailler dans nos chambres, elle me dit que la colle servirait à m'apprendre des choses!!!!

J'étais assise en face d'elle, à nos bureaux respectifs, et je remarquais quelle remontais sa jupe, me permettant de voir qu'elle n'avait pas mis de culotte; ce que je trouvais choquant et excitant à la fois. Elle passait sa main le long de ses cuisses, allant du genoux à sa fente. En me regardant bien droit dans les yeux, elle me demandât si j'avais déjà embrassé un minou ?

Sa question fût pour moi comme un coup de poing. Comment pouvait–on embrasser l'endroit par lequel on fait pipi ? Moi qui ne connaissant pas encore le goût des lèvres et bien sur de la langue d'un garçon ou d'une fille, bien que j'en avais vu certaines s'embrasser sur la bouche dans des endroits discrets.


Quelques jours plus tard, à la veille de vacances, nous étions les deux seules à rester au pensionnat ne rentrant pas chez nous pour une raison que j'ai oubliée. Dans l'après midi elle me proposât que nous allions dans la chambre pour "jouer". J'ai tout de suite accepté, me doutant bien que ce ne serait pas à la marelle.

Pas de surveillantes, intempestives, nous étions certaines d'être seules au monde. Le temps, en ces vacances de toussaint était presque estivale, je portais un débardeur sans soutien gorge, mes seins étant encore petits, ils ne sont pas beaucoup plus gros maintenant mais plus pendants, deux maternités étant passées par là.

Arrivées dans la chambre elle m'a pris dans ses bras pour m'embrasser, "comme cela devait être fait" dit–elle.

Sa langue avait entre-ouvert mes lèvres pour y chercher ma langue, elle avait une odeur enivrante d'agrumes et je trouvais extraordinaires les sensations, jusque là nouvelles que cela me procurait;

Sophie passa sa main sous mon débardeur pour caresser mes seins dont les pointes durcissaient, nouvelle découverte que je trouvais voluptueuse. Elle conduisit ensuite ma main sous sa jupe où je trouvais sa pilosité pubienne libre de toute entrave. Ses poils soyeux étaient doux à caresser, elle me dit qu'il ne fallait pas les caresser comme je l'aurais fait "du pelage d'un chat" et que ce genre de minou méritait plus d'exploration. Elle a relevé complètement sa jupe et écarté ses lèvres en me demandant d'aller en haut de sa fente pour trouver son bouton et que je le caresse doucement. A ma grande surprise, un liquide chaud et doux se mit à couler sur mes doigts, je devais apprendre plus tard que c'était la cyprine. Sophie fermait les yeux et sa respiration devenait plus intense, elle me dit de continuer, tout en s'allongeant sur le lit afin de mieux écarter ses cuisses.
Brutalement elle poussa un cri et j'eus peur de lui avoir fait mal, d'autant plus que son corps était tendu comme un arc.
Elle m'a rassuré en m'expliquant que c'étais cela jouir et que la prochaine fois ce serait mon tour et qu'elle me montrerai en quoi la bouche peut être bien utile en haut des cuisses.

Le lendemain après midi nous décidâmes de retourner dans la chambre, afin dit–elle de poursuivre mon "éducation" !!!

J'avais mis une jupe courte et à sa demande ne portais pas de culotte, ce fût pour moi une découverte, cette sensation nouvelle de sentir l'air caresser mon minou me procurait un réel plaisir, plaisir que j'éprouve toujours de na pas avoir de sous vêtement, ce qui m'arrive souvent quand le temps est clément.

Dans la chambre elle m'enlaça et m'embrassa comme la veille, baisé auquel je répondis avec moins de passivité que la veille, c'est moi qui allais chercher sa langue, dans le même temps elle caressait mes seins, en passant sa main dans mon chemisier, afin d'en faire dresser les pointes. Je ressentais une douce chaleur dans mon bas ventre en même temps qu'un liquide chaud commençait à me couler sur les cuisses. Quittant mes seins, sa main descendit pour passer sous ma jupe et son indexe s'insinuait dans ma fente, faisant ainsi augmenter mon écoulement.

- Sais–tu me, dit elle, que ma langue peut aussi remplacer mon doigt ?

Elle me fit allonger sur le lit et remontant ma minijupe, elle vint plaquer sa bouche sur ma pilosité naissante. Sa langue me parcourait toute la fente en évitant volontairement mon clitoris, je lui pris la tête pour la presser encore plus sur mon intimité, à ce moment la ses lèvres se mirent à aspirer mon bouton d'amour et sa langue à le titiller. La sensation était indescriptible. Je me mouillais de plus en plus et commençais à sentir monter un plaisir sans commune mesure avec celui que me procuraient mes caresses solitaires. Je perdais la notion de la réalité et ne pouvais retenir des cris que je n'entendais même pas compte tenu de l'état second dans lequel je me trouvais.
Ce fût mon premier véritable orgasme.


Je remarquais qu'en même temps elle enfonçait profondément un doigt dans sa fente et le faisait aller et venir. Jusqu'à présent je n'avais, encore, jamais fait pénétrer un doigt aussi profondément dans ma chatte. Devant ma surprise elle m'expliquât que c'était ce que faisaient les garçons avec leur "zizi" et que c'était une autre manière de faire l'amour et me montrerai comment cela se passait quand nous passerions un week-end chez elle et qu'elle inviterai son petit copain du moment.

Je passe sur d'autres soirées ou après midi passées à se bécoter et plus avec elle. D'autres filles me plaisaient bien à l'internat mais je n'osais pas les aborder. Quant aux garçons, les seuls qui auraient pu me plaire étaient nettement plus âgés que moi.

Un vendredi de fin mai ou début juin elle m'invitait à passer le week-end chez elle, ses parents étant absents, elle me précisât que son petit ami serait là avec sa sœur, il avait 18 ans elle 20, mais elle me prévint que je pourrai regarder, mais "pas touche à mon mec"!!!
En revanche la sœur Anne n'était pas inabordable me dit–elle. Comme l'un et l'autre avaient leur permis ils sont venus en voiture et nous décidâmes d'aller dîner dans un resto sympa.

Sophie était assise à coté de Pierre. et moi d' Anne.

Au cours du dîner qui était très gaie, Sophie. dit brutalement à Anne:

- Tu sais Anne Flo aime beaucoup qu'une fille lui suce le clito et avec elle le 69 est un vrai bonheur!!!

J'étais rouge de confusion, mais Anne me dit qu'il n'y avait pas de quoi et qu'elle adorait cela, tant avec une fille qu'avec un garçon.

Nous rentrâmes tous les quatre à l'appartement de Sophie., nous avions deux jours devant nous étant certains que ses parents ne feraient pas un retour intempestif car ils étaient aux Etats Unis.
La soirée était belle et chaude, la vue sur la baie des anges superbe et l'alcool aidant nous étions euphoriques, les lumières tamisées et un dernier verre en main je sentais que nous allions passer un excellent moment, bercés par une musique douce.
S. était assise sur un canapé avec P. qui un bras autour de son cou lui caressait doucement un sein; sa main à elle se promenait doucement sur le renflement de son jeans. A. et moi même étions assises dans de grands fauteuils et elle me regardait d'un air énigmatique…

Elle se leva pour aller se servir un autre verre et dit tout à trac :

- Chez moi j'aime vivre à poil, personne ne voit d'inconvénient à ce que fasse de même ici?

Devant le silence de tous elle se mis nue en un clin d'œil. Elle avait de beau seins en forme de pommes et aux pointes très longues. Son minou, très noir, était un joli triangle qui s'harmonisait avec sa peau matte.

Sophie et Pierre dirent que pour ce qu'ils avaient l'intention de faire il n'était pas non plus nécessaire qu'ils gardent leurs vêtements et doucement tout en s'embrassant l'un déshabillât l'autre. Je trouvais idiot d'être le seule vêtue et je fis de même que les trois autres, j'étais d'autant moins gênée que je connaissais bibliquement le corps de Sophie, qu'Anne semblait très à l'aise en tenue d'Eve et que mon pubis s'ornait maintenant d'une toison, naturellement en forme de bande et non en triangle comme celles des deux autres, mais que je trouvais cette forme originale.

Les caresses de Sophie et Pierre se faisaient plus précises, elle avait pris le sexe de Pierre dans sa main qui montait et descendait tandis que lui suçait ses pointes de seins et que sa bitte augmentait en taille. J'étais assez fascinée par ce spectacle, nouveau pour moi, car c'était la première fois que j'avais l'occasion de voir une bitte en érection. Je me demandais comment un tel engin pouvait entrer dans la fente de Sophie sans la blesser ?

Tout à ma contemplation, je n'avais pas remarqué qu'Anne était passée derrière moi et était accoudée au dossier de mon fauteuil lorsqu'elle me demandât si le spectacle me faisait mouiller? Ce qui étais d'ailleurs le cas,.je me retournais pour lui répondre affirmativement et constatais qu'elle même était entrain de parcourir sa fente, aux longues lèvres, avec deux doigts.

- C'est bien de me le dire Flo mais j'aime vérifier par moi même.
- Tu as raison, lui dis-je, mais ne serions pas plus confortablement installées sur un lit ?
- Exact on va dire aux deux autres de nous suivre.

- Sophie et Pierre nous allons tous aller dans la chambre, sur le lit, on sera mieux installés pour vous regarder et vous pour faire de même.

Tous le monde pris donc le chemin de la chambre. Je n'avais jamais vu un lit de cette taille, XXXL, sauf des années plus tard aux USA, nous aurions sûrement toute la place voulue pour nous y ébattre tous les quatre, ce dont j'étais très impatiente, surtout de goûter la mouille d' Anne.

Je m'étais allongée sur la gauche du lit, à ma droite Sophie et Pierre s'étaient enlacés et Anne vint se mettre à califourchon sur moi, sa jolie toison à hauteur de mon visage.

Je vis tout de suite qu'elle était mouillée car des gouttes, claires comme la rosée matinale, étaient prisonnières de sa toison noire.

- Alors petite vicieuse, me dit-elle d'un air mutin, le spectacle t'a humidifié mais je vais aller vérifier.

Elle tendit son bras faire mon buisson et d'un doigt en écarta les lèvres pour parcourir ma fente sans l'y enfoncer.

- Tu vois, dis–je, je n'avais pas menti, mais ce que j'ai vu m'a donné aussi très soif et je vois devant moi une rosée qui doit être désaltérante, si tu me laisses la boire ?

- Bien sur tu peux et peut être arriveras–tu à mieux faire couler la fontaine.

Elle avança sa toison vers ma bouche et de deux mains écartât ses lèvres pour faire jaillir son clitoris. J'étais fascinée par sa longueur et le rose de ce trou d'amour au milieu de cette forêt noire. Je l'aspirais doucement, le faisant rouler dans mes lèvres comme j'aurais dégusté un bonbon. Immédiatement les vannes de la fontaine s'ouvrirent et ma bouche fût remplie de sa cyprine, au goût différent de celle de Sophie.

Tiens tous les jus d'amour n'avaient pas la même saveur, il faudra que je goûte au mien, l'idée ne m'en était, bizarrement, pas encore venue. Plus je la suçais plus son doigt s'insinuait profond dans ma fente et je sentais ma mouille couler entre mes cuisses. Elle avait rejeté la tête en arrière et sa respiration devenait plus haletante, elle poussa un grand cri en même temps qu'un jet puissant envahissait ma bouche.

- Tu m'as fait jouir comme rarement me dit elle en se penchant pour prendre mes lèvres en un long baiser lui permettant ainsi de se délecter de son propre nectar.

J'étais de plus en plus mouillée mais un peu frustrée, n'ayant pas encore eu d'orgasme libérateur des tensions qui étaient en moi.

- Prends patiente dit-elle regarde comme Sophie et Pierre sont occupés, tu n'en éprouveras que plus de plaisir à ce qu'elle te suce quand Pierre l'aura fait jouir, ce qui ne saurait tarder me semble–t–il !!!

En effet ils s'était mis dans la position, que j'appris plus tard être la cuillère, et je voyais le sexe de Pierre. s'enfoncer régulièrement au plus profond de la fente de Sophie. tandis que d'une main elle se branlait le clitoris. Elle ouvrit les yeux quelques secondes et voyant ma fascination me dit :

- Tu n'imagines pas comme c'est bon de se sentir remplie au plus profond de son con!!!

Vu l'expression de son visage je ne doutais pas que ce soit vrai, mais je ne me sentais pas encore prête à sentir un pieu s'enfoncer en moi. Cela ne se fit qu'un an plus tard, mais c'est une autre histoire que je raconterais peut être.

A voir l'accélération des mouvements du membre de Pierre dans la fente de mon amie je me doutais qu'il n'allait pas tarder à jouir. Elle le sentit elle aussi car elle le quitta brutalement pour se mettre sur le dos; il se mit à califourchon sur elle et prenant son sexe, tendu comme un arc, dans sa main et après deux ou trois mouvements de va et viens son sperme gicla en long jets pour arroser les seins de Sophie. qui aussitôt se mit à l'étaler sur toute sa poitrine. (il faut se souvenir qu'à cette époque la pilule était très récente et sa diffusion encore confidentielle, en revanche l'avantage c'est que les années sida n'étaient qu'une comète à des années lumières de notre imagination).

Anne léchait consciencieusement la poitrine de Sophie, Pierre récupérait, j'aurais bien aimé qu'il vienne poser sa bouche sur les lèvres de ma fente, afin de titiller mon bouton d'amour de la pointe de la langue, tellement l'attente du plaisir le rendait douloureux!!! Mais j'avais promis à Sophie que je ne toucherai pas à "son mec" et que lui non plus ne ferait rien avec moi.

Il ne me restait plus qu'à attendre que Sophie. vint me soulager. Ne restant pas inactive pour autant j'avais introduit deux doigts dans sa fente, encore palpitante du membre de Pierre et sentais qu'elle n'était pas insensible à ma caresse. Tout en laissant mes doigts s'activer elle descendit vers ma forêt toute humide, sa langue ouvrit mes lèvres pour boire mon nectar et chercher mon clitoris dure comme de la pierre, elle l'aspira, le mordilla tant et si bien que j'eu un orgasme violent accompagné d'une inondation digne d'une "femme fontaine".

Nous étions tous quatre fourbus, ivre de jouissance et saoulés par les odeurs de sexe et de foutre. Les draps étaient trempés de nos sucs intimes et nous nous endormîmes nos corps entre mêlés……

A suivre….

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