Départ Prometteur

Les vacances. Nous chargeons la voiture. Départ demain de bonne heure. Nous dormons mal. A t’on oublié quelque chose. Je sais que si une chose manque, ce sera de ma faute. De mon côté je me dis c’est Dominique, ma femme, la fautive. Lendemain matin , petit déjeuner rapide et en route. Ah oui mais c’est bien sûr nous avons oublié les clés de notre réservation dans l’Ardèche. Nous profitons de l’occasion pour essayer de caser d’autres couvertures on ne sait jamais. Ah ! le gros popotin de Dominique le matin qui se démène comme un beau diable, le voir ainsi moulé dans son petit short , je ne peux m’empêcher de lui mettre la main au cul, c’est trop tentant. Ce qu’elle est attirante même à plus de quarante ans.« Laisse moi, tu ne penses qu’à ça, vieux salaud, tu ne vois pas que j’ai pas la tête à ça. Vérifie plutôt que nous avons tout ce qu’il faut. Nous sommes déjà en retard ».

Nous voilà parti, vive les vacances, plus de soucis, à part quelques embouteillages. Dominique finit sa nuit bien calée dans son siège, les pieds sur le tableau de bord. Je jette de temps à autre un regard de côté sur ses cuisses, sa moule se découpe sur le tissu du short, c’est tentant d’y mettre la main, elle dort et je conduis donc pas de distraction.
« Nous sommes où ? » me demande-t-elle en s’étirant «C’est la Loire que nous traversons hein,  j’ai dû dormir, je n’ai rien vu de la route. Il faudra penser à t’arrêter pour une pause pipi, avec tes conneries quand nous chargions la voiture ce matin, je n’ai pas été faire le pipi d’avant départ. Ce n’est pas urgent mais faudra y penser, tu me connais quand ma vessie est pleine, il faut que je me soulage en urgence ».
Pas mal de circulation, Bison futé avait raison en parlant d’orange pour les départs. Nous franchissons maintenant l’Allier. Dominique commençais à se balancer de droite à gauche, d’avant en arrière sur le siège, elle ne tenait guère en place. Je savais ce que ça signifiait. Un peu maso sur les bords je prenais du plaisir à la regarder, j’attendais le moment où elle allait se manifester.

En me souriant elle me dit :
« Tu as entendu, ce que je t’ai dis il y a un moment déjà, maintenant ce n’est plus ‘il va falloir trouver un endroit pour s’arrêter’ mais ‘ il faut s’arrêter, sinon je ne réponds de rien’. Je ne voudrais pas tremper les housses ».
Je ne pût m’empêcher de faire le ‘pssiiitt-ppssiitt’ comme l’on fait aux s.
« Ah ! non pas ça, déjà que le café du petit déjeuner m’est tomber sur la vessie, t’es con où quoi, ça te fait bander hein, Macho. J’aurais dû prendre le volant, je me serais débrouillée sans rien avoir à demander, car là je suis en train de mendier un arrêt pipi. Si tu ne trouves pas un endroit dans les minutes qui suivent, tu feras ceinture pendant toutes les vacances, ça me privera autant que toi mais tu l’auras voulu. Please stop, s’il te plait arrête toi »
« Bon puisque tu me prends par les sentiments, regarde là bas il y a un décrochement, c’est l’ancienne route, l’endroit me semble propice pour ce que tu veux y faire ».
Je n’étais pas fâché de m’arrêter car moi aussi, sans le dire, j’avais aussi envie de pisser.

Personne, nous étions seuls et pourtant l’endroit était fréquenté à voir tous les papiers qui jonchaient le sol. Dominique se précipite hors de la voiture et va pour franchir le petit talus qui la mettra hors des regards indiscrets mais par manque d’élan ou parce qu’elle serrait les cuisses elle redescend aussitôt à reculons.
« Aide moi au lieu de rire, je vais faire dans ma culotte et si près du but ce serait quand même dommage ».
« Tu n’as qu’à te poser là, près de la voiture, tu es bien pudique aujourd’hui ».
« Si quelqu’un vient je n’ai pas l’intention de lui montrer mon abricot, allez dépêche pousse moi sur le talus que je puisses enfin me soulager derrière ce monticule».
Et je la pousse au cul, ce qui, ma foi, n’était pas désagréable. Nous dévalons de l’autre côté de la pente, là l’espace est idéalement bien placé à l’abri de tout regard. En contrebas elle s’arrête sur un petit terre plein le long d’une botte de paille, moi emporté par l’élan je me retrouve un peu plus bas ce qui me permet d’avoir une vue en contre-plongée sur le fessier de Dominique qui baisse rapidement son short et sa petite culotte et à peine accroupie elle lâche un flot ininterrompu, éclaboussant le sol.
Tout en regardant et écoutant le spectacle de son cul vu de derrière et la pisse qui sortait presque à l’horizontale sous la pression, je sortis avec peine mon instrument gonflé par la scène que j’avais sous les yeux, je bandais et impossible de faire sortir une goutte. Dominique avait tourné la tête, elle avait pour moi un regard concupiscent ( j’aime ce mot : con, cul, pissant tout un programme alors qu’il est synonyme de sensuel) et se mis à rire en me voyant gonflé et en difficulté.
« Bien fait pour toi, tu peux pas te soulager, chacun son tour. Attends tu vas voir, j’ai en magasin autre chose pour toi qui va encore plus t’empêcher de pisser ».
C’est pénible d’avoir envie d’uriner et de ne pas pouvoir se soulager.
« Que voulait-elle dire par ce magasin qui a quelque chose en plus ».
Je compris très vite, j’étais toujours en admiration devant cette belle lune en plein jour quand je vis son trou du cul se gonfler lentement en forme de cratère, d’abord un petit pet annonciateur puis son anus s’élargit pour laisser passer un énorme étron qui en sortit alors doucement, un grand boudin lisse, propre, bien formé. Elle chiait et plus cette « chose » s’allongeait hors de son cul plus elle se relevait en s’appuyant sur la botte de paille, si bien qu’à la fin elle se retrouva presque debout les mains écartant ses fesses avec une énorme sorte de queue qui tomba en s’enroulant rapidement sur l’herbe fraîche. L‘émoi du spectacle qu’elle venait de m’offrir me fit bander encore davantage si c’était possible. Elle me connaît bien et avait raison en me disant qu’elle me préparait autre chose qui m’empêcherait de pisser.
N’y tenant plus, je lui dis en voyant son anus qui n’était pas refermé :
« Laisse ouvert, j’arrive ».
« Chiche » elle me dit « mais tu n’oseras pas t’aventurer dans mon cul tout merdeux après ce que je viens de t’offrir ».
(Vous avez remarqué dans les films pornos quand les mecs enculent une nana, leurs queues ressortent toujours très propres, pas une trace.
Elles sucent même tout de suite après. Elles doivent rincer, voir mettre une éponge dans leur rectum pour que ça ressorte si propre. Alors que dans la vraie vie ou dans les vidéos pornos amateurs, après une sodomie votre instrument ne ressort pas étincelant, loin de là.)
Je voyais son anus accueillant, j’étais en rut après ce que je venais de voir.
Alors je m’enfonçais sans problème en elle, son trou de balle était presque propre, graissé naturellement, on ne fait pas le dégoûté dans ces cas là. Elle ne fut pas surprise, elle s’attendait à ça, elle connaît bien mes attirances sexuelles, ma femme.
« Je savais que ça finirait ainsi, c’est pour ça que je n’ai pas voulu aller près de la voiture, quelqu’un aurait pu nous voir » me dit elle, alors que je la limais doucement. « J’avais préparé mon coup, je te voulais en moi et par le p’tit trou. J’avais, c’est vrai, envie de pisser , mais je retenais une envie de chier depuis deux jours en attendant ce moment. Je n’ai rien dis mais je pensais bien à certains moments ne plus pouvoir me retenir. Là, maintenant, je suis soulagée, j’ai eu comme l’impression d’être vide après m’être crispée si longtemps, et tu peux pas savoir comme ça soulage quand on se laisse aller et comme c’est jouissif quand tu viens me reremplir. Allez vas y, je vais t’aider en allant à ta rencontre, quand tu avances moi je recule comme dans la chanson. D’ailleurs elle est fausse cette histoire ‘plus j’avance, plus tu recules, comment veux tu comment veux tu que je t’encule’ au contraire quand tu me rentres dedans et qu’en même temps je recule je me retrouve emmanchée au plus profond de moi.
« Arrête de philosopher, concentre toi sur ce qu’on fait. Je suis en train de t’enculer profond et toi tu parles, tu parles, on dirait que ça te laisse indifférente ».
Sur ces paroles, je décule et regarde son trou sale et grand ouvert. L’air vient d’y pénétrer tellement c’est béant.
« Qu’est ce que tu fais, j’allai partir, tu déconne ou quoi ? »
« Non je décule pour admirer tes fesses et surtout ton trou de balle endolori »
Je replonge alors au plus profond de ses entrailles et là l’air ‘avalé’ précédemment ressort avec des bruits de pets à chaque aller-retour.

« Tu vois le résultat maintenant. Je pête sans m’en rendre compte, tu es fier de toi mon salaud. Dépêche toi, je viiieeens ».
Je déchargeais en elle alors qu’elle finissait sa phrase. Nous avions tous les deux les jambes flageolantes. Ca sentait le foin, l’herbe, la pisse, la merde (en effet sa production culière, en forme d’escargot géant ,était là juste à nos pied et dégageait un fumé, qui, mélangé à l’odeur du foin n’était ma foi pas désagréable, ça sentait la campagne) Les vacances commençaient bien.
« T’as vu ton quiqui comme il est fait il n’est pas très reluisant » me dit elle en s’approchant. « Je vais le nettoyer, je n’ai pas tout évacué tout à l’heure, approche toi, je vais te faire pipi sur la queue »
Et elle m’envoie sur le pubis une rasade de liquide intime afin de me nettoyer.
« Je vais faire de même avec ton cul cacateux, tourne toi, montre moi bien ton trou qui pue, tu sais que je n’ai toujours pas pisser par ta faute, tu vas voir comment je vais te le faire briller ».
Et je lui pisse à la raie, je pisse, je pisse avec force tellement j’avais été bloqué.Elle éjectait en même temps le fruit de nos ébats de tout à l’heure. Ce que ça peut faire du bien de pouvoir se soulager ainsi. Ejaculer, c’est bon mais pouvoir pisser quand on a une énorme envie je pense que c’est encore plus jouissif.
Nos ‘ablutions’ terminées nous remettons de l’ordre dans nos vêtements et remontons la pente sans difficulté.
« Tiens, c’est bizarre » je lui dis, « tu montes sans problème alors que tout à l’heure tu avais toutes les peines du monde à te hisser jusqu’en haut »
« C’était fait exprès » elle me répond «  je voulais que tu me mettes la main au cul pour t’exciter et m’exciter d’avantage, et puis je pense que si j’avais fait un effort en plus j’aurais sans doute fait dans ma culotte tellement j’avais le chocolat au bord des lèvres. »

Nous croisons un jeune couple sur le talus. Nous nous sommes salué avec un sourire qui en disait long, je pense qu’ils allaient faire comme nous, pas uniquement soulager leurs vessies.

(Et s’ils étaient arrivés plus tôt ?)

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