Leslie La83

Leslie LA83 – Laure, le journal intime – La lingerie très spéciale

Dans quête du plaisir et de tout ce qui s’y rapporte, je dois vous raconter une petite aventure que j’ai vécue.
Toujours dans ma recherche de lingerie et de divers jouets pour le plaisir, j’avais entendu parler d’une petite boutique sympa où il était certain que je trouverais mon bonheur, c’est Carole, mon amie de travail et mon amante occasionnelle qui m’en avait parlé…

Ce jour-là, après avoir bu un café dans un bar proche de l’établissement, j’ai été me refaire une beauté aux toilettes, devant la glace, je donne un coup de brosse dans mes cheveux, vérifie mon maquillage et m’approchant de la glace piquée, j’enduis mes lèvres d’un rouge sombre, rajuste son chemisier et remonte vers la salle.

Je traverse la salle du café, à petites enjambées, tant ma jupe est serrée, perchée sur mes hauts talons noirs qui claquent sur le marbre, les regards de mâles esseulés et attablés que je croise sur mon passage me suivent et m’accompagnent jusqu’à la porte, et je sors du café en direction de la boutique.
Sur le trottoir je prends une grande respiration, serre contre moi mon sac à main et me dirige d’un pas décidé vers la porte de la boutique, quelques commerces plus loin...

Ding ! Ding ! Émet la porte d’entrée quand je la pousse pour me permettre d’accéder à la boutique, un univers chaud et feutré.

Immédiatement, une jeune vendeuse avenante se précipite vers moi et je n’ai qu’un instant pour voir que je suis la seule cliente. Derrière la caisse, une femme frisant la cinquantaine, l’air sévère, les lunettes demi-lune sur le bout du nez, relève à peine la tête à mon arrivée.

- Bonjour, puis-je vous aider ? Me demande la petite vendeuse.

- Certainement car je viens voir vos derniers modèles …

- Suivez-moi, Mademoiselle, que je vous les montre, me dit la jeune fille.

La jeune vendeuse me précède vers le fond du magasin, où sur des portants, dans de minuscules niches s’étalent, sous le feu vif des lampes halogènes, les derniers modèles des collections de vêtements coquins et érotiques.



D’un coup d’œil rapide, j’explore les rayons, avec la petite vendeuse près de moi, mais ne trouve pas ce que je cherche.

- Mademoiselle cherche un style particulier ? S’enquiert la jeune vendeuse.

Je me tourne vers elle, et la regarde en découvrant qu’elle porte un badge où son prénom est inscrit « Elodie ».
- Elodie … heu, vous permettez que je vous appelle Elodie ?

- Je vous en prie… Me répond-t-elle avec un grand sourire.

- Bien, dis-je, disons que je cherche quelque chose de nouveau, qui étonnerait comme quelque chose d’encore jamais vu.

- Mademoiselle voudrait-elle voir notre collection privée particulière ?

Sans réfléchir un instant, je lui réponds

- Mais certainement !

- Si Mademoiselle veut bien me suivre, nous allons passer à l’étage, vers notre showroom privé.

Elodie me précède vers l’arrière-boutique et nous nous engageons dans un escalier en colimaçon et en fer forgé tournant, débouchant au milieu d’un salon où s’alignent les niches qui présentent individuellement les articles de la collection privée particulière.

- Je cherche plusieurs petites choses, d’abord de la lingerie, et quelques accessoires, disons, heu… prévus pour les plaisirs solitaires, quelque chose de traditionnel mais avec une touche de modernité…

- Commençons par la lingerie, je vais vous montrer des modèles de string qui correspondent, je pense, à votre désir et répondra parfaitement à votre attente.

Elle sort et me montre des écrins d’une grande beauté et d’une finition parfaite, en me disant :

- Voilà deux parures de la collection de « Lola Luna ».

Elle ouvre le premier écrin et je découvre une parure, composé d’un string ouvert et d’un bracelet assorti.

- Voilà la parure string ouvert et le bracelet « Lola Luna Shéhérazade », une parure lingerie au charme orientale, il existe également un collier assorti à cette ensemble.
Comme vous le voyez le string est luxueux et ouvert, il est très provoquant, il est agrémenté de bijoux et celui de devant vient lors de vos mouvements caresser ou taper sur votre intimité, provoquant un plaisir garanti.

Puis elle ouvre le deuxième écrin, et en fait la description tout comme pour le premier :

- Toujours de la collection de « Lola Luna », voici la parure coquine et raffinée « Venus ». Le string est lui aussi ouvert, en lamé or, il est très sexy et est orné d'un bijou tout strass en cristal judicieusement placé pour un érotisme torride et un plaisir intense. Le collier en cristaux de Swarovsky est assorti au string…

- Ce sont de très belles pièces, dis-je.

- Oui, ces parures ont beaucoup de succès, surtout dans les milieux échangistes où les femmes ne comptent pas pour se faire désirables…

Puis passant à un autre écrin, elle dit :

- Là, nous changeons de style, je vais vous montrer des strings bijoux de chez « Ose créations » de Sylvie Monthulé.
- Elle ouvre un écrin et continu :
- Là, c’est le « String papillon virtuose or », comme vous le voyez, un Papillon dont le cœur est une Femme nue, sa cambrure suit votre Intimité, c’est très doux à porter, il palpite en suivant vos mouvements et sa magie, réside dans la goutte de couleur saphir qui apparaîtra et disparaîtra entre vos Lèvres et vous fera vibrer de
Bonheur…
Puis le dernier coffret est ouvert.

- Celui-ci est le « String muse des plaisirs col or », vous aurez sur votre mont de Vénus, une femme feuillage, les courbes du bijou épouseront divinement votre sexe et sembleront se fondre avec, la longue goutte, vêtue de bleu saphir, tanguera sur votre sexe, frôlant et caressant votre pubis, s’insérant parfois entre vos lèvres, pour jouer avec votre clitoris.

- Eh bien, dis-je, je ne sais lequel choisir…

- Ils sont tous parfait, je les ai moi-même essayé…

Puis, Elodie se dirige vers une niche en continuant de me vanter les mérites des articles montrés.
Puis elle se penche et sort d’un tiroir un étui bleu nuit et me le présente, en disant :

- Si Mademoiselle veut bien vérifier qu’il est emballé… Je crois que cet article va vous plaire…

J’ouvre l’étui avec fébrilité et découvre, couché sur un lit de velours bleu nuit, sous un blister en cellophane, un magnifique godemiché rose, long, veiné, au gland large, qui semble attendre qu’une main veuille bien le sortir de son écrin et l’utilise. Je le dévore des yeux en sentant en moi une chaleur m’envahir.

- Comme vous pouvez le constater, c’est un très bel article, et comme je sens que nous allons faire affaire ensemble, je vous propose de l’essayer !

- Euh, vous êtes sûre ?

- La devise de la maison étant de toujours contenter nos clientes, oui je suis certaine, mais voulez-vous l’essayer seule ou puis-je vous aider ?

J’hésite un instant, le regard contemplant l’article, je sais que si je l’essaye je vais partir, mais Elodie est si gentille, si douce et compétente, alors dans un souffle, je réponds :

- Je veux bien que vous m’aidiez !

- Veuillez me suivre, nous allons passer dans le salon d’essayage.

Elodie me précède dans une petite cabine, à la lumière tamisée et entièrement tapissée de glaces, renvoyant nos silhouettes à l’infini, et dans un coin, une sorte de demi-sofa couvert d’un drap, attend la cliente.
Après qu’Élodie ai fermé la porte de la cabine, je dépose sur un porte-manteau ma veste et mon corsage, défait ma jupe, retire mes chaussures et apparaît en bas et string, poitrine nue puisque je n’avais pas daigné mettre de soutien-gorge. Puis je fais glisser mon string le long de mes jambes et le dépose sur le demi-sofa.

- Installez-vous comme vous le souhaitez, me dit Elodie.

Je fais face à la jeune vendeuse qui tient dans ses mains les écrins et le somptueux godemiché et attend patiemment que je m’installe, à mon aise.Après avoir passé une parure, la « Venus », je me suis assise, le dos parfaitement calé dans le fauteuil.
Les jambes légèrement écartées, j’ai plaqué mes deux mains sur le haut de mes cuisses, puis je suis remonté vers mon entrejambe et j’ai tiré légèrement sur la peau de ma vulve épilée pour l’ouvrir.
Elodie, s’approche de moi et s’agenouille entre mes cuisses ouvertes et doucement, approche le terrible engin de mon sexe en disant :

- Vous êtes terriblement humide, il ne sera pas nécessaire de le lubrifier, et puis je vais faire en sorte que vous mouiller d’avantage, soit dit en passant je vous trouve très belle et très désirable…

Un léger ronronnement alors emplit la pièce et je sens le gland du gode se poser sur la peau qui recouvre encore mon clitoris, puis je sens un frémissement agréable qui en masse la hampe encore repliée.
Manipulé avec une douceur extrême par Elodie, la tête vibrante du godemiché commence son travail d’excitation. Très vite, mon clitoris durci, se développe et sort de son enveloppe de chair pour montrer le bout rosâtre si délicat et luisant de plaisir.

La jeune vendeuse utilise le bout du godemiché comme un stylet, et pour mieux exciter mon clitoris, elle a posé sa main sur mont de Vénus, tirant légèrement la peau de mon pubis de façon à faire encore plus bander la petite tige dure et tendue.
Je commence à pousser des petits cris de plaisir.

- Laissez-vous aller, dit Elodie, nos cabines d’essayage sont totalement insonorisées.

Les mains toujours sur le côté de ma vulve, j’en écarte largement les lèvres, comme pour inviter Elodie à aller plus loin dans l’essayage.
La jeune vendeuse, tout doucement, fait glisser le gland vers l’entrée de mon vagin, entrée que je lui ouvre, humide, large, mais soudain le bout du gland commence à être pris d’un tressaillement plus prononcé.

Je le sens écarter mes lèvres, pénétrer mon intimité, j’ai l’impression d’avoir un vrai sexe mâle dans ma chatte et cette sensation excite mes muqueuses qui lâchent de plus en plus de cyprine, facilitant le passage du gland dans mon sexe.
Les vibrations, douces au début de la pénétration, s’accélèrent et j’ai la sensation que le bout du gland, en se frayant un chemin dans mon sexe, vient cogner dans toutes les parois de mon vagin, atteignant le fond, buttant contre l’entrée de mon utérus.

Maintenant, le bout du gland est à l’entrée du col de mon utérus, épousant merveilleusement sa forme et ses tressautements se communiquent à tout mon ventre.
Sous la poussée de l’engin, je soupir bruyamment et jouit largement en inondant le siège et la main d’Élodie d’un long jet de plaisir.

Je reprends ma respiration petit à petit, mais la voix d’Élodie me sort de ma torpeur.

- Mademoiselle veut-elle l’essayer ailleurs ?

- J’aimerais bien, mais…

- Ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude, je suis bi et j’adore faire jouir les femmes !

Puis elle tire de dessous le demi-sofa, deux bras amovibles et installe délicatement mes pieds dans des étriers, dans cette position je dois être offerte indécente, mais Elodie ne s’en formalise pas plus que ça et d’un doigt délicat, elle cueille un peu du jus qui s’écoule de ma chatte et l’étale sur mon anneau culier, délicatement et consciencieusement.

Elle passe le doigt sur l’ensemble de mon muscle anal et s’attarde sur l’entrée de mon petit trou, au contact du doigt d’Élodie, je frémis et mon sexe se mouille de nouveau, mon clitoris bande et ma poitrine se tend, les tétons pointant vers le plafond de la cabine.
De nouveau le doux ronronnement se fait entendre et au contact du bout du gland avec l’entrée de mon anus, je pousse un long soupir de plaisir et le frémissement automatique de l’engin entrant en contact avec ma chair produit une décharge de plaisir dans tout mon corps.

De mes deux mains passées sous mes fesses, j’écarte mon anus pour mieux être pénétrée par le godemiché et ainsi faciliter la tâche d’Elodie. Le gland soudain semble forer automatiquement mon petit trou, l’élargissant au fur et à mesure de sa progression.
Je suis envahie par les doux tremblements du godemiché qui me sodomise et je suis sa progression en moi, mon anus s’entrouvre pour accueillir le gode qui m’empale comme une vraie queue.
Je ne tiens plus. De mon clitoris, de mon sexe et de mon cul, partent de longues décharges de plaisirs qui me font crier de plaisir, mouillant abondamment le siège, me faisant cambrer les reins.

Et c’est dans un hurlement de plaisir que je retombe dans le fond du fauteuil, la respiration courte, les jambes tremblantes, les cuisses trempées de plaisir, alors les vibrations cessent, Elodie enlève le gode de mon cul, le laissant entrouvert et une grande sensation de vide en moi.
Elle se relève, se rajuste et me dit :

- Prenez votre temps, je vous attends dehors.

Et elle disparaît après avoir refermé la porte de la cabine.

Un long moment après, rhabillée et remaquillée, les jambes encore un peu tremblantes, je retrouve Elodie, qui me demande mon choix final.
Bien-sûr je prends le merveilleux godemiché, et les deux parures « Venus » et « Shéhérazade », mais aussi le « String muse des plaisirs col or », une chaîne de taille et une chaîne de cheville, Elodie elle, me fait le cadeau d’une paire de bas couture auto-fixant, d’un adorable aspect rétro revisitant la mode des années trente.

Puis après avoir payé, elle me rend ma carte bancaire avec une carte de visite, en disant en souriant :
- N’hésites pas à m’appeler, je serais heureuse de faire l’amour avec toi !

Je sors de la boutique et me retrouve sur le trottoir, au milieu de la circulation et des piétons qui me bousculent. Avec difficulté, je gagne le taxi qui a été commandé par Elodie et m’affale sur la banquette arrière avant de donner l’adresse de mon domicile au chauffeur.

Pendant le trajet, je n’ai qu’une pensée, celle d’essayer, seule, le terrible godemiché qui vient de me procurer tant de plaisir, puis peut-être après, appeler Elodie…

A suivre…

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