André Et Mes Fesses

C'est l'été. Je profite de la piscine. Je reste nu pour mieux savourer le glissement de l'eau. C'est une habitude que je garde depuis toujours. Quand j'invite mon copain pour l'après midi, il fait comme moi : nu. Nous sortons de l'eau qui dégouline sur nous : sur lui je regarde les gouttes venir sur sa bite. C'est assez drôle de le voir ainsi se sécher. Et là, je commence à bander sans raison autre que sa présence. C'est la première fois que je suis attiré par un autre corps. Il me regarde aussi. Je dois lui faire de l'effet : il commence à durcir. Si un tiers nous regarde il doit penser que nous nous désirons. C'est vrai que j'aimerais bien toucher sa bite pour la comparer à la mienne : Est-ce qu'elle est plus raide, plus dure que la mienne.
Il bande de plus en plus. Son gland en sort même. Il est brillant au soleil. Il me regarde sans rien dire. Je pense qu'il est comme moi avec une envie refoulée. Je n'ose pas le lui demander : il pose sa main sur ma bite, la prend en entier, commence les gestes salvateurs : il me branle.

Je le laisse faire. C'est bon, meilleur que seul. Il va me faire juter. André s'arrête juste à l’instant où j’allais cracher ma dose de semence. J'ai envie de lui prendre la bite. Il me laisse faire en se tendant vers moi.
Elle est sacrément dure dans ma main. Je regarde bien son sexe : même ses couilles participent en se relevant vers le bas ventre. Depuis presque son anus, un long morceau de bite.
Je commence à descendre la peau. La gland découvert brille sous le soleil. J'ai faim de lui. J'ouvre la bouche, sort la langue : je le lèche sur toute le longueur. Je prends sa petite goutte sur le méat. Ma main passe sur ses couilles durcies. Il est toujours offerts à moi. Je le prend totalement dans la bouche. Je sens des mouvements incontrôlés sur ma langue.
Mes mains abandonnent ses fesses. J'en passe une sur la raie. Il me laisse faire. J'écarte la raie, je cherche pour la première fois son petit trou.

Je le sens frémir quand mon doigt arrive sur lui. J'hésite un cour instant. Je suis irrésistiblement attiré par un anus.
Je ne force pas, j'entre naturellement dans un cul. Mon doigt passe un endroit resserré, puis facilement il entre dans son ventre. André se tend vers ma bouche. Ses fesses se durcissent autour du doigt.
Lui serre ma queue, il me branle aussi. Mais ce n'est pas assez : il ne me force pas en se couchant, en me gardant dans sa bouche.
Nous nous mettons sur le coté, nos pines dans la bouche de l'autre. Lui, je ne sais pas, moi je fait aller et venir ma bouche autour de la queue. J'arrête un instant quand je jouis. J'ai joui dans le bouche d'un garçon. C'était bon.
Je continue mes caresses avec la langue et mes lèvres. Il durcit à peine quand je le sens venir en moi.
J'ai ma bouche pleine du sperme d'un autre ; c'est vaguement salé, pas dégoûtant. Nous nous redressons. Il a envie de m’embrasser sur la bouche. Il me serre contre lui, je sens encore sa queue dure contre le ventre. La mienne doit en faire autant. Quand nos lèvre se frôlent je commence bander encore. Je sens sa pine contre moi : elle durcit encore. Là j’ai envie de le goûter avec mes fesses. Il passe la bite dans ma raie. Je le sens venir vers moi.
Il veut mon cul, je le lui donne. Je le sens juste contre mes couilles. Je me penche en avant : il en profite pour poser sa bite juste sur l'œillet. J'ai envie qu'il entre.
C'est fait, il m’encule : je ne pensait jamais que ce fut aussi douloureux et bon à la fois. Il navigue dans mes intestins. Je l'aide à m'enculer.
Je suis dur, je vais encore jouir. Il est en moi, je le sens gonfler : il me donne un dose de semence. J'aime sentir ses spasmes en moi. Et je suis toujours dur. Il me semble sentir sa queue contre la mienne. Au moment où il sort de moi, je dégouline aussi. Nos spermes se mélangent pendant que nous jouissons.
Je recommencerais quand il voudra encore me la mettre.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!