Ali...

L’été dernier, de retour dans la région, je m’étais décidé à retourner à la piscine où j’avais connu Slimane. C’est vrai qu’à l’époque ( voir « le beau maitre nageur…suite ), on avait pas mal baisé et que, depuis, on s’était un peu perdu de vue…
J’y retournais, pas spécialement pour lui, mais aussi parce qu’il faisait une chaleur d’enfer, que j’adore toujours autant nager, qu’il y aurait surement du monde et que ça pouvait être l’occasion de rencontres…
Ce jour là, c’était blindé de monde.
Difficile de nager, même en zigzagant. Pas grave. Au moins, il y avait de l’ambiance et…pas mal de mecs à mater. Assez vite, au fil de mes allers et retours, je croisais d’abord une tête toute auréolée d’une coiffure rasta avec des dreads mi longs, très bruns, frisottés et, ma foi, le visage dessous était loin d’être inintéressant.
A chaque croisement, j’avais droit à un grand sourire éclatant. Tout ça pour moi ? A un moment, je le vis même sortir de l’eau pour se préparer à plonger. Et alors là : éblouissement total ! Un corps d’athlète, super bien taillé – mais pas trop-, des abdos finement dessinés, une peau mate halée, une superbe toison bouclée sur le torse qui filait en une longue ligne de poils vers un magnifique mini slip de bain rouge qui avait l’air de contenir à grand peine un bel engin et un superbe cul rebondi. Bref, un très bel Arabe, dans les 25 ans. Je vis bien que sa sortie de l’eau fit tourner pas mal de têtes, aussi bien femmes que hommes , d’ailleurs…
Dès que je me fus éloigné du bord, je l’entendis plonger derrière moi, le vis passer sous moi et émerger plusieurs mètres devant en secouant sa crinière.
« - Excusez moi !
- Y’a pas de mal… ».
Là encore, j’eus droit à un grand sourire. Deux longueurs plus tard, il…m’attendait ( ?), accroché au rebord.
« -Pfff ! Y’a un sacré monde, aujourd’hui !
-C’est clair ! Mais c’est bien aussi, on voit du monde..
-C’est clair ! » dit-il en éclatant de rire.

Très vite, la conversation s’engagea, sur tout et sur rien.

« -Tu as remarqué qu’on est les seuls à avoir des maillots de couleur ? Moi rouge, toi bleu et le maître nageur, un vert. Tout le monde, aujourd’hui, est en noir…C’est moche !
-T’as raison, on se croirait au cimetière ! » On refit quelques longueurs ensemble.
Voulant profiter du chaud soleil, je rejoins ma serviette, posée dans l’herbe du solarium, à l’extérieur. Assez vite, je le vois arriver.
« -Je peux ? » demande-t-il en dépliant un grand drap de bain jaune, juste à côté de ma serviette.
« - Moi, c’est Ali
- Moi c’est Thomas, enfin Tom
- -C’est joli Ali !
- - C’est joli Tom ! »
- Il s’allonge sur le dos, les yeux clos. Je dois reconnaître que le tableau est magnifique. Ses boucles brunes mouillées, sa peau mate luisante de gouttelettes d’eau, sa toison, son mini slip rouge…Tout de suite, non loin de là, un groupe de filles l’a repéré, jetant vers nous des regards intéressés. Je le soupçonne de se laisser ainsi admirer par tous et toutes. Il sait qu’il est beau. Il en joue.
« -Tu connais Slimane ?
-Euh…oui
-Pourtant, je t’ai jamais vu par ici…C’est vrai que, qui ne connait pas Slimane…C’est un bon coup… !
- ????
Ben oui, quoi. Tout le monde sait qu’il préfère les mecs…Comme toi, tiens !
-Et comme toi !
-Comment t’as deviné ?
-Au moins, toi t’es direct.
- Ben oui, j’annonce assez vite la couleur. J’préfère les mecs.
-t’en as connu beaucoup ?
-Tu sais ce qu’on dit sur les Arabes….Y parait qu’y sont chauds
-C’est pour ça que tu me dragues depuis tout à l’heure ?
-Eh ! ».
On décide de retourner à l’eau. Malgré la chaleur, j’ai envie d’aller au grand jacuzzi. Il vient se placer juste à côté de moi. Très vite, je sens sa cuisse qui vient se coller contre la mienne, l’air de rien. Il me sourit. Je lui rends son sourire. Il accentue alors la pression de sa cuisse contre la mienne.
J’en fais autan. Je vois son regard se troubler légèrement. J’espère qu’il ne va pas me sauter dessus devant tout le monde ! C’est super troublant ces premiers contacts…très vite, je sens son pied qui me caresse le mien. Heureusement, les bouillonnements de l’eau ne laissent rien voir de tout cela !
Il a plongé sa main gauche dans l’eau et est venu la poser sur l’intérieur de ma cuisse. Je tressaille. Je resserre les cuisses, serrant sa main, puis les écarte doucement de plus en plus. Il a compris. Sa main remonte lentement vers mon slip… A ce moment, Slimane, le maître nageur, passe à côté du jacuzzi et lui balance quelque chose en arabe, en rigolant.
« -Qu’est ce qu’il a dit ?
-Rien…Des conneries »
Je crois plutôt qu’il a capté le manège d’Ali et qu’il l’a charrié. Sa main s’arrête juste à la lisière de mon slip. Il accentue la pression de sa main. Je glisse un peu mon corps à l’oblique, pour venir lui offrir le contact de mon paquet. Trop agréable !! Il me malaxe doucement à travers le tissu. Je sens déjà ma bite se gonfler sous ses doigts. Malheureusement, on ne va pas pouvoir aller beaucoup plus loin à cet endroit là…
« -Je cois que je vais remonter…. » me dit-il. Il se redresse. Je remarque que son slip a l’air plus gonflé que tout à l’heure. Ca n’a pas l’air de le gêner plus que ça. Je décide d’attendre un peu pour perdre un peu de volume. Peine perdue car j’imagine déjà ce qui nous attend bientôt et ça me fait bander encore plus…A un moment, je me décide quand même. Au regard que lance ma voisine d’en face sur mon maillot, je comprends que c’est pas gagné… Je récupère mon gel de douche et file vers les douches collectives.
Ali est déjà entrain de se savonner abondamment. L’eau savonneuse dégouline en longs rubans blancs sur sa peau halée. Magnifique ! Volontairement, il plonge ses mains dans son slip pour se savonner le sexe. De chaque côté de lui chacun profite du spectacle. Il en rajoute un peu… Je décide alors de l’exciter grave.
Je m’attarde longuement sur et dans mon slip. On se jette régulièrement des cous d’œil complices et rigolards. Dace à nous, les cabines de douche à portes fermées nous tendent les bras. Dès qu’il n’y a plus personne dans les douches collectives, je ne résiste plus et file dans une cabine, laissant la porte entrebaillée. Aussitôt, il me rejoint.
Enfin seuls !!
Il enclenche le jet, me pousse dessous, se colle à moi de tout son corps et commence à me suçoter les tétons. Il a empoigné mes fesses et me tire à lui. Il remonte avec sa bouche le long de mon cou, vient me lécher sous les aisselles et cherche ma bouche qu’il avale goulûment. On n’en finit plus de se dévorer. Je sens sa bite se tendre et frotter contre le tissu de mon slip. Il a fermé les yeux. J’observe son visage radieux, ruisselant d’eau. Qu’il est beau ! il ouvre les yeux et me sourit. Maintenant, sa bouche, ses mains commencent à parcourir mon torse, descendant doucement vers mon ventre. Il s’agenouille et commence à m’agacer le slip en se frottant le visage dessus. Mon maillot a du mal à contenir ma bite devenue complètement raide. Délicatement, il la recouvre du tissu et continue à la mordiller. J’empoigne ses cheveux et appuie fortement sa tête sur mon ventre. Il entrebaille mon slip et enfouit ses boucles dedans. Je sens ses lèvres sur mon gland. Oh putain !!! Je m’arcboute pour mieux m’offrir à sa caresse. Je pousse du gland pour forcer le passage de ses lèvres. Il fait mine de résister…
« -Prends la ! Prends la ! »
Ca y est ! Il m’a gobé. Je sens la chaleur de sa bouche sur mon gland. Je pousse, je pousse. Je sens sa langue qui me caresse le bout et m’électrise. Trop bon !!J’ai envie qu’il me pompe à fond. Il a empoigné mes boules et le bas de ma queue et s’enfonce de plus en plus loin sur mon pieu brûlant. Il continue dans un lent va et vient. Dément !! C’est chaud, c’est doux, c’est soyeux ! Encore !! Du bout de son majeur, il me titille la rondelle et pousse un peu. Il passe et s’enfonce plus profondément…Ouuuiii ! Il se relève, baisse légèrement son slip, empoigne sa bite et la mienne dans une même main et nous branle lentement tous les deux.
Je regarde émerveillé sa longue tige brune, bien plus longue que la mienne, émergeant d’une toison noire très bouclée. J’entoure sa main de mes deux mains et accompagne son mouvement de branle.
« - Whalà ! C’est super ta coupe de poils très très courte, et tes couilles rasées, on les sent vachement bien sous la main !
- C’est fait pour ça ! J’te jure, tu devrais essayer.
- Promis, si c’est toi qui me les taille… »
Eh ! Moi aussi, je veux goûter à cette belle bête ! Je m’agenouille rapidement en léchant son fil de poils qui file vers son bas ventre. Sa bite est largement sortie de son maillot devenu subitement beaucoup trop petit, son gland mouillé dépassant largement son nombril.
« - Putain ! Elle fait combien ta teub ?
-dans les 23 / 24 cm je crois
- Wouaaouh ! »
Je frotte mon visage contre sa belle queue vibrante. Je malaxe délicatement ses couilles enfouies sous ses poils.. Je le gobe d’un coup, en le serrant bien fort. Il vibre de tout son corps. Ses fesses rebondies et durcies tremblent sous mes mains.. Je descends de plus en plus loin sur sa bite. Je me mets à le pomper lentement. Au bout d’un moment, je me glisse derrière lui, je me colle à lui sous le jet chaud, la bite bien calée dans sa profonde raie, je la sens super comprimée. Je commence à me frotter contre lui tout en le branlant de mes deux mains. Il a basculé sa tête en arrière et cherche ma bouche. J’accélère mon va et vient sur sa bite mais ce n’est pas ainsi que je veux le finir. Je repasse devant lui pour le pomper à fond. Moi aussi, je cherche son trou du bout de mon doigt. Il est terriblement serré mais j’insiste. Je passe sa rondelle et je le dilate un peu. Il me baise la bouche en faisant de puissants allers et retours avec son bas ventre.
C’est à ce moment là qu’on entendit des coups frappés à la porte de la cabine et une voix qui disait :
« -Eh ! Ali ! Vous laissez pas enfermer dans les douches, vous allez devoir y passer la nuit ! ». C’était Slimane , le maitre nageur, qui nous avait sans doute repéré. Avant que j’ai eu le temps de faire quoi que ce soit, Ali avait déjà entrebaillé la porte et répondu :
« -T’inquiète ! Pas de soucis ! tu viens avec nous ? »
Slimane me vit agenouillé, la bouche à la hauteur de la bite d’Ali… !
« - Ca serait pas de refus, mais là, je bosse » répondit-il en rigolant.
« - Profitez bien !! »
« - Je le connais, pas d soucis, c’est …un bon copain
- Un bon coup aussi ?
- - aussi !
- De même !
- - alors, tu vois bien. »
Délicatement, il me replace sa bite dans ma bouche, empoigne ma tête et imprime un mouvement de va et vient. C’est reparti ! J’avale sa tige en feu, je lui passe un doigt dans le trou et je l’astique doucement. Il se met à haleter… Je sens qu’il vient petit à petit. Son corps se durcit, il tressaille de plus en plus. A la toute dernière seconde, il se retire brusquement et vient m’inonder le visage de plusieurs jets de sperme chaud. Il est rayonnant de plaisir assouvi.. Du bout des doigts, il récupère son sperme et le porte à sa bouche pour s’en délecter.
On laisse couler l’eau chaude un moment pour se laver et s’apaiser.
« - A toi, maintenant ! » me souffle-t-il à l’oreille. J’ai toujours la bite en feu, super bandée. Il vient se frotter contre elle, de fac, de dos, le long de sa raie, sous son périnée, tout en me couvrant de caresses. Il s’est agenouillé face à moi, pour me prendre en bouche. Je me tends vers lui, offert. Il me branle régulièrement, puissamment et alterne avec des mouvements de succion de sa bouche.
« - Wouaah ! J’vais pas tenir bien longtemps à ce rythme là…
-Laisse toi aller… »
J’accompagne son mouvement de branle de mouvements de mon bassin, mes deux mains enserrant les siennes. Tout à trac, il change d’idée. Il se redresse et me présente son cul, prend ma queue dans sa main et dirige mon gland vers son trou. Me faisant ainsi comprendre qu’il voudrait que je le pénètre.
OK, mais il va falloir une petite préparation préalable. Je m’agenouille derrière lui, écarte ses énormes globes au maximum et commence à lui titiller la rondelle du bout de ma langue. Il apprécie énormément, écartant lui-même ses fesses, tendant son trou au maximum vers ma langue. Je le vois se dilater à vue d’œil. Je lui passe alors un doigt, puis deux. Je le dilate au maximum. Je m’enduis alors copieusement la bite de gel douche et je commence à pousser pour forcer le passage. Il a empoigné ma queue et la tire doucement vers lui. Ca y est ! J’ai réussi à forcer son trou. Mon gland est passé. Je commence à essayer de bouger légèrement. Il grogne de contentement. Je refais couler du gel sur le reste de ma tige et continue ma poussée. Petit à petit, je le pénètre à fond. Ma bite est bien au chaud dans son ventre, enserrée dans son fourreau. Je commence un lent va et vient. Il ondule du bassin. Ca coulisse de plus en plus facilement. Tout à coup, il se dresse à nouveau, me fait face, s’appuie le dos contre le mur de la douche, s’accroche à mes épaules et vient entourer ma taille avec ses jambes !! Je glisse mes avants bras sous ses cuisses et j’empoigne ses fesses avec mes deux mains. Il veut maintenant que je le pénètre de cette façon. Je le descends tout doucement sur ma queue bandée qui n’attend que lui. Il s’empale très lentement sur mon dard. Il a fermé les yeux, ouvert la bouche et semble savourer intensément le moment de la pénétration qui se fait très très facilement. Je ralentis la descente au maximum pour qu’il puisse jouir encore mieux de l’instant présent. Il peut ainsi frotter sa bite à nouveau durcie contre mon ventre. Sportive la position mais terriblement excitante aussi. Ca y est. Je suis complètement enfoncé dans son ventre chaud. Je ne bouge plus du tout. Je suis super bien , enserré dans son fourreau douillet et chaud.
Il me chuchote à l’oreille :
« Yeah ! Je la sens super bien ! C’est ma position préférée ! Whalà ! Elle me déchire !!
- Arrêtes, tu m’excites !
- -Sérieux ! Tu me bourres bien ! putain, t’est trop bon ! J’lai su tout de suite que tu serais un bon coup !
- - A quoi t’as vu ça ?
- A ton cul mec ! Super chute de reins ! Défonce moi, mon frère ! Mets- moi tout ! Whalà !
- - Tu m’rends fou quand tu m’dis des trucs pareils
- J’te jure ! C’est trop trop bon ! Vas y, DEFONCE MOI LE CUL. Vide tes couilles et remplis moi à bord ! ».
Alors, je me déchaîne pour de bon. Pendant de très longues minutes, je le trombone, le pilonne, le défonce, le déchire de toutes mes forces. Ma bite me brûle mais c’est trop bon. Il est super excité de se faire ainsi défoncer. Tout à coup, je jouis à, longs jets chauds dans son ventre. Il a senti la décharge brûlante et m’enserre la bite au maximum. Trop cool ! On retombe lentement, très lentement. On se relave en se savonnant mutuellement. On sort discrètement un par un de la cabine. En partant, on adresse un signe de la main à Slimane qui nous salue, le pouce levé.

Cet été là, on s’est revu souvent. A la piscine, à l’étang de Slimane, à deux, à trois. On a bien déliré et joui de très nombreuses fois.

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