Leslie La95

Leslie LA95 - Laure, le journal intime - Leslie

Leslie, elle entrée dans ma vie, lorsqu’elle est venue faire un stage chez mon oncle Michel, architecte, il savait qu’elle était transexuelle et occasionnellement l’amante de Jacques, un ami de mon oncle.
Michel m’a laissé entendre qu’il voudrait embaucher Leslie après son stage, car, ayant vu son travail, il dit qu’elle serait très importante dans son équipe.
Michel, qui possède un patrimoine d’appartements, m’a fait part de sa décision de l’installer avec moi dans l’appartement du boulevard Saint Germain.
Nous aurions chacune notre chambre à l’étage avec une salle de bains et des toilettes privatives pour chacune de nous. Je ne suis pas contre à cette proposition et cette petite nouvelle me tiendrais compagnie dans mes instants de solitude…
Elle va donc s’installée dans cet appartement, Leslie parait-il est un joli petit brin de jeune femme de vingt-quatre ans, le même âge que moi, et j’espère que nous allons nous entendre.

Il est seize heure quand Leslie se présente à l’appartement et je l’accueillie avec enthousiasme, elle m’embrasse chaleureusement en me serrant contre elle dans ses bras et après une visite de l’appartement, nous montons à l’étage où je lui montre nos chambres.
Elle est enthousiaste de voir sa chambre avec sa partie privative, comme un petit studio, avec un accès privatif par un couloir commun, en fait je lui explique que l’ascenseur qui désert le cinquième n’est que pour nous pour accéder à nos appartements.
Je la laisse s’installer tranquillement et en partant je lui dis :
- Champagne de bienvenue dans une heure.

Elle doit s’installer pendant que je prépare le champagne, puis prendre une douche et c’est juste revêtu d’un kimono japonais qu’elle vient me retrouver au salon-salle à manger.
J’ai déjà servie le champagne et je l’attends dans un ensemble de nuit en soie.
- Bienvenue chez nous, dis-je.


- Merci de m’accueillir si chaleureusement, me dit-elle, je suis toute à toi.
- Attention, dis-je avec un sourire, je peux te prendre au mot.
Nous trinquons à son installation et commençons à parler comme deux vielles amies, les choses vont bon train et je lui dis que j’ai commandé un repas pour deux chez le traiteur et que nous serons livrées dans peu de temps.
- Le temps de terminer cette bouteille, dis-je, de diner et de ne plus avoir de secret l’une pour l’autre.

Dans la conversation tout en buvant le champagne nous remarquons que nous avons plusieurs points en commun, nous sommes libertines et aimons le sexe, nous nous trouvons très jolies mutuellement et pensons que nous allons bien nous entendre.
Lorsque le diner arrive nous sommes toutes les deux un peu gaies, elle installe la table tandis que j’allume des bougies en disant :
- Ainsi cela fera plus romantique, un repas d’amoureuses !
Nous nous installons et commençons à diner, je la regarde avec attention, comme je voulais découvrir en elle un secret caché, puis j’engage la conversation sur ma façon de vivre et lui dit qu’il ne faut pas s’inquiéter quant à notre cohabitation, que je suis très libre et ouverte d’esprit et qu’étant bi sexuelle je partage souvent mes nuits avec mes amants ou amantes de passage que je ramènent à l’appartement, qu’il est normal qu’elle soit au courant compte tenu que nous allons partager le même volume pendant un certain temps et qu’elle je serais pas choquée si elle fait de même.
Elle me dit qu’elle aussi a une vie sexuelle relativement remplie et que bien entendu la réciprocité sera de mise.
- Sauf si… Lui dis-je.
- Sauf si quoi ? Me demande-t-elle.
- Sauf si comme moi tu es bisexuelle et que tu me rejoignes dans mon lit, dis-je.
- Heu, oui je le suis, dit-elle, mais pas comme toi.
Je parais surprise, bien que je sache déjà de quoi elle veut parler, mais je suis censée ne pas être au courant, et je rajoute :
- Je ne comprends pas très bien et je suis curieuse tout comme le jour où mon oncle Michel m’a parlé de toi en ne voulant pas rentré dans les détails, maintenant ma curiosité est en éveil et j’ai hâte de savoir.

- Alors, dit-elle, attendons, n’allons pas plus loin et restons en-là pour l’instant.
- Bien comme tu veux, dis-je, mais quand tout à l’heure tu me disais que « tu étais toute à moi » tu étais sérieuse ou tu plaisantais ?
- A ton avis ? Dit-elle.
- Je ne sais pas, mais tu me plais et je vais essayer de t’emmener dans mon lit, dis-je
- Fais attention que ce ne soit pas le contraire et que ce ne soit toi qui finisse dans ma couche.
- Alors là, ce sera avec le plus grand plaisir, dis-je.

Nous en restons là et nous terminons le repas en nous observant, nos regards se croisent à de nombreuses reprises et je me dis que le temps où nous serons réunies dans le même lit n’est pas loin et que peu d’efforts seront à faire pour y parvenir, cette fille me plait et j’ai hâte de la voir nue et de découvrir son corps de femme et son sexe d’homme entre ses cuisses, je me sens mouillée rien que d’y penser, elle a aiguisée ma curiosité en ne répondant pas à mes questions et en laissant planer un doute.
- Laure, je suis crevée je vais me coucher, dit-elle, ne me tient pas rigueur de mettre fin à cette première soirée, merci de ton accueil.
- Normal, dis-je, va dormir ma belle.
Nous nous disons bonne nuit et nous nous embrassons tendrement, mise à part que mon baiser se pose à la commissure de ses lèvres.

Le lendemain, je suis déjà debout, quand Leslie arrive drapée de son kimono et l’odeur du café embaume l’appartement.
- Mademoiselle est servie, dis-je.
- Elle s’approche de moi et m’embrasse en disant :
- Bonjour Laure, et merci tu es merveilleuse d’être aux petits soins pour moi.
Sur la table tout est disposé pour un petit déjeuner somptueux, croissants, fruits, jus d’orange.
Nous prenons notre premier petit déjeuner en commun, Leslie est vraiment belle, elle me regarde et je la regarde tandis qu’elle déjeune, elle sent mon regard qui l’observe et n’ose lever les yeux sachant que mon regard va accrocher le sien, néanmoins je fais tout pour attirer mon attention.

- Ça te plait ? dis-je.
- Oui, tu es géniale, me dit-elle.
- Que fais-tu aujourd’hui ?
- Je n’ai rien de prévu pour le moment.
- Si tu veux nous pourrions aller nous promener et faire quelques achats, il fait beau profitons-en.
- Génial, le temps de me préparer et nous pourrons y aller.
La suite vous la connaissez, Leslie en a parler…
La ballade, le restaurant et sa soirée seule, tout vous savez tout en détail.

Cela fait maintenant une semaine que Leslie est installée, ce soir je suis de sortie et il est près de minuit quand je rentre, il y a de la lumière dans la chambre de Leslie et voulant lui souhaiter bonne nuit, j’ouvre la porte de sa chambre et la découvre allongée sur son lit, nue impudique en train de se branler, les fesses grandes ouvertes avec un gode en ivoire dans le cul. Elle veut s’arrêter, alors je lui dis :
- Je viens de rentrer et je viens voir si tu vas bien, et à ce que je vois je pense que tu as un problème de solitude, mais continue à te donner du plaisir et surtout ne bouge pas, je reviens tout de suite.
Je m’éclipse et revient un instant plus tard, j’entre et ferme la porte de la chambre, je suis poitrine nue, mes petits seins arrogants aux larges aréoles claires et j’ai passé un slip en cuir d’où dépasse un gode fièrement dressé, Leslie me regarde et je sais à cet instant que nous allons faire connaissance, mais plus intimement.

Leslie vous a parler de cette nuit, notre plaisir, ses gémissements et les miens, comment je l’ai sodomisée pour la première fois et comment nous avons fait l’amour avec la tendresse des premiers instants et comment nous avons plongé toutes les deux dans le sommeil ensuite.
Le lendemain, nos étreintes et la découverte de mes objets de plaisir et comment je lui ai offert ma plus tendre intimité.

Je me souviens l’avoir emmené dans ma chambre après des achats sur internet, comment je me suis allongée sur le lit, nue les jambes légèrement ouverte, ma petite chatte offerte et mon petit anneau plissé légèrement dévoilé.

Je mouillais comme ce n’est pas possible, ça m’a mis dans tous mes états de me dévoiler ainsi, toute excitée par la position que j’offre à son regard, elle bandait comme une folle en me regardant écarter mes lèvres de mes mains et lui découvrir mon clitoris, qu’aussitôt j’ai caresser de mes doigts.
Comment je me suis mordue les lèvres, quand mon joli petit cul soulevé de façon impudique, elle m’a pénétrer d’un seul coup, j’ai crié et feulé, avant de jouir de ses pénétrations dans mon sexe trempé où elle coulissait dedans.

Puis, comment elle m’a retourné pour me mettre à quatre pattes, me positionnant pour offrir mon petit cul et me sodomiser de son joli membre.
Quel souvenir, j’en tremble encore…

A suivre…

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