Suite Chez Une Belle Bourgeoise

Marie fut quelque peu étonnée face à la vitesse où c'était deroulées les choses... Je m'excusais alors penaud nettoyant mon pénis avec un mouchoir, en raison de mon manque d'expérience. Qu'importe tu finiras bien par apprendre comme tous les garçons disait elle.
Elle se brossa alors les dents et décidait de prendre une douche.

Je me vautrais alors sur le fauteuil en bas en repensant à cette scène si excitante fut elle, avec peu à peu un goût amer dans la bouche. La sensation d'avoir enfraint une règle se propageait à travers mon esprit.
Le téléphone sonna, je décidais alors d'y repondre , étant le seul au rez de chaussé. C'était son mari, celui ci me demandait si tout aller bien, et qu'il serait en retard d'une heure.
Quelque peu troublé par ce qui venait de se passer je me laissais languir sur le canapé devant la télé. Marie descendit : "Il y a eu un appel ?"
- "Oui affirmais-je. C'est Patrick il sera en retard d'une heure !"
Marie éprouva aucune réaction. Au fil des minutes qui s'étaient passées, le désir naquit encore une fois, et la sensation étrange d'anxiété et de culpabilité s'était à présent fort heureusement dissipée.

Durant un bon quart d'heure nous parlions de sexualité avec Marie, et en particulier de ses toutes premières fois lorsqu'elle n'avait encore que 18ans. Je n'ose imaginer la beauté de cette femme avec prêt de 25ans de moins...
Toutefois la quarantaine lui endossait un caractère charmeur et évocateur de sexualité débridée qui m'excitait au plus haut point. J'evoquais alors mon grand manque d'expérience et la déception que cela pouvait engendrer... Marie n'avait pas perdu son sourire charmeur. Elle glissa deux buches dans la cheminée, la nuit était tombée et le feu nous réchauffait grandement. Au fur et à mesure que le feu crépitait, elle posa sa main sur ma braguette. L'érection soudaine ne se fit point attendre, elle sorti à nouveau mon sexe ardent qu'elle s'empressa de masturber pour le rendre plus dur.

Quel fut mon plaisir...Se faire branler par une si jolie femme devant la cheminée, les bourses douillettement sorties à la chaleur...
Après quelques minutes de masturbation douce et apaisante, Marie me laissa en plan, pantalon et caleçon baissés aux chevilles sans dire un mot. Bon sang les femmes sont elles toujours comme cela ? Elles sont prêtes aux pires gatteries, et s'en vont quand elles en ont assez?
Pas grave... Pensais-je je peux très bien me faire plaisir seul pensais-je soudainement irrité.
Mais non, à ma grande joie, Marie revient avec un préservatif à la main. Évidemment... La simple vue de ce préservatif me provoqua une grandiose érection et je du lâcher mon sexe de ne peur d'éjaculer. Bon sang j'allais faire l'amour pour la première fois et avec une dame d'un certain âge, la vie nous réserve parfois des surprises...

Continuant à me masturber Marie otta son haut et son soutien gorge et s'assit à califorchon, sur mes cuisses si fines étaient elles. J'avais donc cette magnifique paire de sein en plein visage... Je ne pensais même plus à me masturber, le point de non retour aurait été très rapidement atteint. Je bandais comme un âne face à son ventre. Elle posa alors ses mains froides sur mon gland et déchira le préservatif. Dans un terrible gémissement de ma part, elle parvînt à me me glisser jusqu'à la base de mon pénis. J'ai probablement la même taille de pénis que son homme pensais-je. La vie est surprenante, c'est le sexe de son homme qui aurait du se retrouver enfouit dans ce préservatif, et non le mien... Cette simple pensée attisa mon érection.
Elle retira alors son jean et sa culotte blanche et se replaça à l'identique à présent totalement nue. Elle leva alors ses cuisses, et prenant la base de mon pénis elle cherchait à l'enfouir au fond de son vagin. Mon gland éprouva alors une douleur innatendue, le fait de se faire diriger le pénis par quelqu'un d'autre que soit la première fois parait étrange et légèrement désagréable.
Finalement au bout de quelques secondes je senti mon sexe rigide rentrer en elle, tant son vagin était si peu étroit. Elle se replaça à merveille sur mes cuisses, je bandais enfin en elle. Quelle sensation agréable ! Marie s'empressa alors de faire des mouvements de bas en haut sur mon sexe en se soulevant de mon pénis. Ces va-et-vient firent durcir mon pénis, il devait être bleu de veines... Cette jolie séances de va-et-vient durait à présent depuis 5 bonnes minutes, quand l'envie d'éjaculer était trop forte. Je suppliais qu'elle ralentisse. Elle s'écarta et se leva afin de me faire récupérer de ralentir le plus possible l'éjaculation cette fois.
Elle se plaçait alors derrière le fauteuil dans lequel jetais confortablement installé, et laissait tomber ses gros seins sur mon visage. Elle m'expliquait alors que d'ici quelques mois ou années je pourrais profiter plus pleinement de sensations sans être contraint de laisser mon sexe se reposer afin de réduire le risque d'éjaculation. Pendant ce moment agréable où je plongais ma tête dans ses seins, je me senti alors prêt à retourner au fond de son vagin. Marie changea alors de position, peut être afin de me faire découvrir d'autres plaisirs j'imaginais. Elle se mit alors dos à moi, et je vis son gros postérieur se poser sur mon sexe.
"Il faut que tu apprennes à entrer rapidement dans le vagin d'une femme." me chuchotait-elle.
J'essayais alors de placer mon sexe dans son vagin à l'aveugle, mais la tâche fut difficile,au bout de quelques secondes d'une voix tremblante je lui demandais de m'expliquer comment trouver l'orifice vaginal aussi rapidement que possible. Elle se pencha alors en avant, révélant son anus entre-ouvert juste face à moi. "Regarde mon anus" fit-elle. Ce que je fis. Maintenant vise juste 2cm en dessous!" ajoute-t-elle en pouffant. A l'évidence elle ne devait pas ressentir grand plaisir malgré ses petits gémissements, alors que moi je devais tout faire pour ne pas éjaculer en elle. Dans cette position fort excitante je remarquais que Marie avait un début de cellulite assez disgracieux.
Mais qu'importe le moment était si bon pour moi que je me focalisais sur le plaisir qu'éprouvait mon gland durant ce chevauchement...
Je me retirais alors, afin de ne pas éjaculer trop rapidement. Marie me proposa de me lever. Elle me prit par la main et me positionna devant elle tout en me masturbant doucement. Elle se mit alors à 4 pattes sur le canapé et me présenta alors son anus et son vagin. Suivant ses conseils j'arrivais alors la pénétrer sans mal. Encore fort peu adroit, je me balançais maladroitement, en donnant lentement des coups de reins. Ma vue était tellement splendide. Face à un tel posterieur, si bandant me vint une furieuse envie de lui lécher son vagin. Ce que je fis, tout en prétextant une envie de m'améliorer. Elle ne releva pas, mais se laissa faire. Bon sang quel fut mon plaisir et mon érection solide lorsque j'approchais mon nez dans ses deux magnifiques orifices. Quel bonheur d'avoir l'anus de Marie à moins de 10cm de mes yeux... Tandis que je lechais avidement sa petite chatte, je laissais mon nez à la hauteur de son anus afin de pouvoir renifler l'odeur qui m'avait tant de fois fait bander et lécher son vagin. Tandis que je lui rentrais ma langue dans son vagin, une petite protubérance, une sorte de petite boule de la taille d'un petit pois se mit à enfler et durcir. Intrigué par une anatomie jusqu'alors inconnue pour moi je lechais alors avidement cette petite boule et Marie poussa alors des petits cris de plaisir qui amplifiaient mon érection. J'y fourrais ensuite mon pénis gluand de liquide visqueux propre à une grosse excitation chez l'homme. Par petits accouts, je la penetrais et retirais aussitot mon pénis decaloté. Pris d'une soudaine grosse envie d'odeurs, je me mis à genoux pour pouvoir renifler une seconde fois son anus. Je glissais alors ma langue de bas en haut sur ses orifices. Bien que tenté de glisser ma langue dans son anus, je me retenais pensant alors que j'allais trop loin. Mais à ma grande surprise sa main vint se poser sur l'arrière de ma tête et elle m'appuyait fortement pour que je continue à lui lécher l'anus.
Mes sens étaient en effervescence...
Je bandais comme jamais, je lui glissa alors un doigt humidifié par ma salive au fond de son cul. Elle gémit davantage, je décidais alors de la sodomiser. Ayant à peine toucher son anus avec mon gland, Marie se détourna et s'exclama que c'en était trop. En effet en bonne chrétienne elle ne devait accepter cette pratique... Je plongeais alors mon pénis au fond de son vagin, tout en reniflant mon doigt. L'odeur me provoqua une terrible ejaculation en elle. Au 2e jet je décidais de me retirer de peur d'un accident. Je retirais alors le préservatif grâce au petit reservoir, et ejacula un 3e et dernier jet sur le bas de son dos...

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