La Main Baladeuse

La main baladeuse

Steve,17 ans neveu de Dominique 42 ans (voir : « la leçon d'anatomie », « Sales garnements », « Noël en famille » ) Depuis ces anecdotes, ma tante hante tous mes rêves.
Arrive le mariage d'une lointaine cousine. Mes parents et mon frère étaient déjà entrés dans l'église. Moi j'attendais mon oncle et surtout, Dominique, ma tante tant désirée. Comme d'habitude, ils arrivent en retard. Il faut dire que mon oncle a sorti pour l'occasion sa 4CV de collection, ce qui explique ce léger désagrément. Mon oncle sort de la voiture pour aller ouvrir la portière à sa passagère. Je me dirigeais lentement vers eux sachant que sur ces voitures anciennes les portes s'ouvrent vers l'arrière et que ces dames nous « photographient » pendant leur descente. Ma tante donc, avec beaucoup d'efforts, pour ne pas abîmer son beau tailleur bleu pâle, pose un pied chaussé d'escarpins à talons au sol en écartant largement les jambes pour pouvoir s'extraire du véhicule. Elle me présenta alors, sans le vouloir, ses cuisses gainées de bas noirs et je pouvais même apercevoir jusqu'à sa culotte. Quelle vision !!
Elle vint m'embrasser et se précipita dans l'église tout en s'excusant du retard. Elle marchait sur la pointe des pieds pour éviter de faire trop de bruit ce qui faisait ressortir son gros derrière, elle était belle dans son tailleur de cérémonie. Nous nous sommes retrouvés sur les bancs du fond. Je m'installais derrière eux. Le prêtre, un beau garçon noir en était déjà à la lecture de l’Evangile, c'est dire que n'étions pas en avance. Mon regard était bloqué sur le cul de Dominique bien mis en valeur, tellement son tailleur était serré. Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais au moment ou tout le monde s’assoit pour le sermon, je posais ma main sur le banc de devant si bien que ma tante vint poser son postérieur sur celle-ci. Elle eut un mouvement de recul, en se retournant elle me fusilla du regard mais ne dit pas un mot, respectant ainsi ce lieu de prière.


Ma main, en contact avec son cul, je bougeais les doigts et lui palpais les fesses à travers le tissu.
Occupé à ce travail manuel, j'écoutais le sermon du prêtre, se rendait-il vraiment compte de ce qu'il disait, en effet, il proclamait à toute l'assemblée « Pénétrez vous bien de toutes les paroles que vous venez d'entendre » et ce « pénétrez vous bien » il le répéta à maintes reprises, (vous me direz que ces termes son appropriés pour un mariage) ce qui fit sourire toute l'assistance.
Dominique se tortillait sur son banc, elle croisait et décroissait les jambes dans un délicieux crissement de bas nylon.

Fin de la cérémonie, elle se lève,libérant ainsi ma main, et tire sur sa jupe tout en se trémoussant pour remettre de l'ordre dans ses vêtements.

Le vin d'honneur a lieu dans un château des environs, tous le monde se répartit dans les voitures.
« Tu montes avec nous » me dit-elle.

Sa montée dans la 4CV fut pour moi encore plus spectaculaire que sa descente. J'eus droit à un nouveau levé de rideau et cette fois je pus même détailler sa petite culotte d'où j'ai cru apercevoir quelques poils follets qui s'en échappaient (mais c'était peut être un effet de mon imagination)
Je montais à l'arrière et pendant le trajet mon oncle me raconta sa 4CV par le menu. J'eus droit à tous les détails y compris qu'il avait changé le moteur pour y substitué un moteur culbuté (si j'avais quelque chose à culbuter ce ne serait pas un moteur me dis je, en pensant à ma tante.)
Comme d'habitude nous sommes arrivés bon dernier à la réception, si bien que nous fîmes une entrée triomphale avec la 4CV. Les regards des hommes se portèrent tous sur ma tante à sa descente de voiture, elle « photographia » si bien l'assistance que personnes maintenant n'ignorait la couleur de sa petite culotte.
Je retrouvais mon frère flanqué d'une cavalière boutonneuse, peut être lui expliquait-il une méthode pour lui faire passer ses boutons.

Je ne quittais pas Dominique des yeux, elle papillonnait de tables en tables une coupe de champagne à la main, mon regard ainsi que celui de beaucoup d'hommes, y compris le curé, était braqué sur sa chute de reins . Quel cul, mon Dieu quel cul.
Un bon moment plus tard elle commença à se dandiner d'une jambe sur l'autre. Tout en parlant elle serrait parfois les cuisses, son manège ressemblait fort à une danse pipi. J'en eu la confirmation quand elle demanda à ma mère :
«  Ou nous as tu loger ? je voudrais me refaire une beauté »
« Dans les communs du château, au premier étage, chambre jaune, j'y ai fait porter votre valise. Tu verras c'est une des chambres avec salle de bain, certaines des autres chambres sont moins spacieuses et les toilettes sont communes » lui répondit ma mère.
« C'est très bien, je vais de ce pas me repoudrer le nez » dit-elle en se dirigeant vers le bâtiment.
Je ne pus m'empêcher de la suivre, d'assez loin cependant. Elle tortillait son popotin tout en serrant les cuisses, c'était clair qu'elle avait envie de pisser. Je sentais qu'elle était mal à l'aise en cherchant la fameuse chambre jaune. La porte trouvée, elle se précipita dans la pièce sans prendre le temps de refermer la porte.
Sur la pointe des pieds j'entrais à mon tour, la porte de la salle de bains était ouverte.
Dominique était là, assise sur les toilettes, jupe troussée, cuisses écartées, culotte aux pieds, toison en évidence, elle avait commencé à se soulager.
D'un coup je fus à genoux près de la cuvette, ma main se perdant dans son entre cuisses et recevant la cascade de champagne recyclé.
Par réflexe, elle serra les jambes ce qui eu pour effet de remonter ma main en conque sur sa fente, mon majeur touchant son anus.
« Qu'est ce que tu fais, Steve, t'es fou, t'as trop bu ou quoi, enlève toi de là. Tu vois bien que je ne peux pas m'arrêter tellement j'ai envie de faire pipi, j'en met partout, ce n'est vraiment pas raisonnable ».

« Tu excites tous les mâles à chaque fois que tu montres ton anatomie en descendant de voiture et tu viens te plaindre du résultat ».
J'étais sur un nuage, ma tante me pissait dans les doigts, doigts que je commençais à faire jouer sur son intimité. Alors que le jet tarissait, je titillais sa fente, son trou du cul et à la fin trouvait son clito.
« Arrête ce petit jeu, tu veux, déjà à l'église tu as commençè à me tripoter, ce n'est pas bien, je suis ta tante avant tout et puis il faut que je m'essuie, j'en ai mis partout. Laisse moi me relever, tu n'es qu'un petit salopard d'urophile ».
«Pour ce qui est de l'essuyage, je m'en charge »
« Tu veux réparer les dégâts, et comment vas tu tu t'y prendre ? Je ne vais pas me laisser torcher le derrière par un petit merdeux comme toi »
« Mais avec ma langue, tantine »
« Quoi, ça va pas, non » me dit elle en se relevant et en se retournant pour attr le rouleau de PQ posé à terre.
Étant à genoux j'avais son cul juste en face de mon visage, et quand elle se pencha en avant, je plongeais ma tête entre ses cuisses, mon nez coincé entre ses fesses , je léchais à pleine langue sa toison, son sexe. Ah que c'était bon.
Je m'attardais alors sur son petit bouton et là contrairement à toute attente son attitude changea du tout au tout, ma langue faisait son petit effet, on aurait dit qu'elle était assise sur une fourmilière.
« Petit salaud, tu me fais mouiller, tu es arrivé à ce que tu voulais, maintenant tu ne peux pas me laisser comme ça. Il va falloir que tu assumes ton audace. Je veux ta queue tout de suite, dépêche toi »me dit elle en enjambant sa culotte.
Me tenant par la main, elle m'entraîna dans la chambre
« Tu vas voir si je ne vais pas assumer, vas te coucher sur le lit, sur le dos et relève les jambes, j'arrive ».
A ma grande surprise, elle se positionna comme je le lui avais demandé. Couchée sur le dos les jambes au ciel, les fesses à l'air,son sexe poilu bien en évidence, elle était en rut.

« Tu me rends folle, et si quelqu'un entrait ? »
« Tonton !! il est avec ses copines les bouteilles, nous ne sommes pas près de le voir arriver ».
Je plongeais rapidement entre ses cuisses pour continuer le travail de « lèche » que j'avais commencé dans la salle de bains
« Arrête avec les préliminaires, tu ne vois pas que je te veux en moi »
Je baissais rapidement pantalon et boxer et présentait ma bite à l'entrée de sa fente poilue qui se dilatait nerveusement.
« Ne me laisse pas comme ça, dépêche toi d'entrer »
Mon sexe pénétra alors doucement son intimité. Le spectacle qui m'avait fait si souvent souiller mes draps, je le vivais maintenant et ce n'était pas un rêve, je baisais ma tante, belle couguar potelée.
Je pistonnais, elle gémissait, nous faisions l'amour. J'avais 17 ans, elle 42, et ce n'en était que meilleur.
« Tu sais que je pense à cet instant depuis que tu t'ai soulagé devant nous pendant notre leçon de conduite.( voir « la leçon d'anatomie »). C'est depuis ce temps que j'espionne les filles dans l'espoir de les voir pisser et à défaut entendre leur doux chuintement ».
« C'est bien ce que je disais tu es devenu urophile » annona-t-elle pendant que je la pistonnais.
Alors que je caressais avec mon index les fameux 36 plis de son anus (voir « la leçon d'anatomie ») je fus pris d'une envie folle de changer de méthode.Je me retirais alors et la laissais là, pantelante. Elle me supplia :
« Pourquoi tu t'arrêtes maintenant, dépêche toi d'en finir, je n'en peux plus d'attendre »
« Tu sais que ton petit trou est superbe, il est tentant, on dirait qu'il m'appelle. J'ai envie de te prendre par là »
« Quoi, tu n'y penses pas, je suis ta tante, ça ne se fait pas d'enculer sa tata »
« Au point ou nous en sommes un peu plus, un peu moins, ou est la différence »
« Ou tu vas chercher toutes ces idées, tu es malin toi, tu attends que je ne puisses plus rien te refuser pour me demander des choses invraisemblables. Si tu veux me prendre par derrière tu n'y arrivera pas comme ça, il faut que je change de position »
Et de se mettre à genoux le ventre sur le lit, le postérieur bien en évidence. Je compris qu'elle n'en était pas à son coup d'essai dans ce genre d'exercice, en effet, l'homme en s’arque boutant au dessus de sa partenaire pouvait peser de tout son poids et ainsi franchir plus facilement le passage interdit.
Je replongeais alors dans sa fente béante.
« Mais je croyais que ….. » me dit-elle surprise. Elle ne s'attendait pas à être prise de ce côté.
« Ne te méprends pas, tu ne perds rien pour attendre.Là, je lubrifie seulement ma queue pour en facilité le glissement »
Sortant alors de sa grotte je pointais mon gland sur son bel orifice de sortie. Une fois celui ci pénétré sans grandes difficultés, ce qui confirmais qu'elle avait une certaine pratique par ce côté, je la pénétrais d'un coup jusqu'à la garde.
« Aie!!Aie !! arrête, tu me fais mal. Ça bute, je ne sais pas jusqu’où tu vas mais ça me fait mal. Avec ton oncle, je n'ai pas ce problème, il faut dire qu'il a une bite plus grosse que la tienne mais beaucoup moins longue. Tu me déchires les entrailles. Sort et évite d'entrer trop profond, ce n'est plus très agréable. »
Je limais donc comme elle le demandait, sans la défoncer à fond. Elle se démenait comme un beau diable jusqu'au moment ou elle se tétanisa. Elle se raidit tout en serrant les fesses au moment ou je déculais pour envoyer une quantité impressionnante de purée non pas sur ces fesses comme je l'avais prévu mais sur son tailleur bleu. Nous venions de jouir simultanément.
« Est ce que tu te rends bien compte de ce que nous venons de faire, mon ange » murmura-t-elle
« Tu ne m'a jamais appelé-mon ange-je crois que le terme n'est pas exact, les anges n'ont pas de sexe et je viens de te prouver le contraire. C'était bon au moins ? »
« Oh ! oui mais je me sens coupable envers ton oncle. Et puis je vais devoir changer de tenue, maintenant »me dit-elle en examinant son tailleur .
«Et ben mon cochon !, tu devais te retenir depuis un bon bout de temps. Tu as vu tout ce que tu m'as mis sur mon tailleur tout neuf, et ça tache cette saloperie. Je vais devoir passer au pressing et je ne me vois pas expliquer au teinturier comment j'ai pu faire une telle tache à un tel endroit ».

Elle était maintenant penchée dans une position indécente au dessus de sa valise, vêtue seulement de son soutif , ses bas et ses hautes chaussures. Je ne pus m'empêcher de lui donner une tape sur chaque fesses.
Fouillant dans ses bagages, elle me présenta deux petites culottes, une enveloppante style « petit bateau » et une autre beaucoup plus affriolante.
« Laquelle tu préfères que je mette »
« Aucune, comme ça les hommes pourront voir jusqu'à tes amygdales quand tu descendras de la 4CV »
« Arrête de dire des conneries, aide moi plutôt à enfiler ma robe »
« Si je devais enfiler quelque chose ou quelqu'un ce ne serait pas ta robe mais toi ma tante ».
« Oh ! le vantard, tu en serais bien incapable, après ta vidange de tout à l'heure, il va te falloir un peu de temps pour recharger les batteries »
Je préférais ne pas répondre et changer de conversation
« Tu as souvent trompé tonton depuis votre mariage »
« Tu es bien curieux, saches que je ne l'ai jamais trompé, sauf une fois et encore, il était consentant (voir anecdote  « le cassoulet ») ; tu es le premier mon ange »

C'est à ce moment que mon oncle entra dans la chambre.
« Ah, tu es là Dominique, tout le monde en bas se demande où tu étais passée. Ah ! Steve tu es là aussi. Qu'est ce que j'ai cru entendre, vous parliez de tromper, tromper qui d'abord ? »
« Je suis venue me changer pour la soirée et nous bavardions Steve et moi de choses et d'autres. Aujourd'hui il est mon chevalier servant, il m'aidait à remonter la fermeture éclair de ma robe »
« Sacré Steve, toujours prêt à rendre service aux jolies femmes. Il faudra bien un jour te trouver une nana, il ne faut pas rester seul tu sais... Filez devant, on vous attends.... Le temps de faire uriner mon énorme bête et je vous rejoins ».
Mon oncle poussa une gueulante alors que nous étions déjà dans le couloir :
« Dis donc Dominique, quand tu vas pisser, tu pourrais au moins tirer la chasse. Et puis c'est que t'as souillé ta culotte pour qu'elle traîne par terre dans la salle d'eau. Tu aurais pu la mettre dans le panier du linge sale, ça fait désordre ».
Nous nous sommes regardé en riant, en effet, dans notre précipitation tout à l'heure nous avions laissé la salle de bain « en l'état ».

Ma main alla de nouveau à la rencontre du postérieur de ma tante. Cette fois j'eus droit à un regard réprobateur. J'ai compris que ce n'était pas le moment.

« pénétrez vous bien » qu'il disait le curé en parlant des saintes écritures ;
« culbuté » qu'il disait mon oncle en parlant du moteur de sa 4CV ;
« enfilée » qu'elle disait ma tante en parlant de sa robe.

(à suivre).


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