Dans La Chaleur De L'Été (2)

Claire fut étonnée de m'entendre lui parler de mes expériences sexuelles. Elle ne s'attendait pas à ce que j'aie une vie aussi riche en aventures de toute sorte. Elle reconnaissait qu'elle n'était pas une oie blanche, mais en dehors d'une aventure lesbienne avec une cousine éloignée pendant un été, elle n'avait jamais exploré d'autre voie que celle très classique du sexe hétéro entre deux personnes.

— J'aime baiser, dit-elle alors que nous nous étions installés en terrasse pour boire un verre, mais je suis très sage comparée à toi. Je pratique la sodomie de temps en temps, et je crois que c'est ma seule « perversion ».

Elle éclata de rire en prononçant ces mots. Je l'accompagnais de bon cœur.

Elle voulut tout savoir, et desserrant ma cravate je lui fis le récit de ma vie de débauche. Marc et mes premiers émois homos. Émilie et l'entrée dans un monde de sexe débridé. Erwann le fruit défendu. Svetlana le bombe de l'Est. Nina la presque pucelle devenue une femme libre. Sophie notre amie transsexuelle. Les weekends de sexe. Les partouzes avec Nadège. Sandra l'amante d'Émilie. Bref tout, en résumé, mais sans omettre les détails les plus croustillants, histoire de bien l'exciter.

Car, j'avais aussi dans l'idée de lui donner envie de rejoindre Émilie et moi, et en cette veille de 14 juillet, de lui offrir un feu d'artifice sexuel. Hélas, après m'avoir écouté, elle se leva, finit son verre, vint déposer un baiser au coin de mes lèvres, me laissant humer son parfum auquel se mêlaient les odeurs de sa transpiration, et elle s'en alla.

— À lundi, me lança-t-elle en se retournant et en me lançant un regard dévastateur.

Si je l'avais fait mouiller avec mes histoires, ce simple regard m'avait fait bander comme un âne, et je n'avais qu'une envie retrouver Émilie et lui faire l'amour sans attendre.

Je courrais jusque chez nous, arrivant en sueur dans l'appartement, jetant mes vêtements au travers du salon pour rejoindre Émilie et la prendre sauvagement sur la terrasse.



Comme à son habitude depuis le début des vacances elle branlait nue sur un transat, offrant son corps parfait aux rayons du soleil, prenant une peau couleur bronze. Elle me vit arriver comme un fou, nu, sexe au vent. Je plongeais vers elle, léchant rapidement son sexe pour le lubrifier, et sans un mot je la baisais sur le transat. Sa peau était chaude, enduite d'huile solaire. Je glissais autant en elle que sur elle. Elle posa ses mains sur mes fesses, appuyant sur elle pour m'enfoncer bien profondément en elle. Nous nous embrassions à pleine bouche. Ses seins s'écrasaient sur mon torse. Je jouis très vite, déversant mon foutre en elle.

— Je t'ai manqué, me dit-elle, en glissant sa main vers son sexe pour recueillir mon sperme et le lécher.

Je lui racontais alors ce qui venait de se passer. Je lui avais déjà parlé de Claire,de sa beauté vénéneuse, des histoires que nous nous racontions. Elle avait deviné que j'avais très envie de faire l'amour avec elle, et qu'elle n'était pas contre l'idée de la rencontrer, et de l'ajouter à notre cercle d'amis.

— Je pense qu'elle est mure, dit-elle, bientôt tu vas pouvoir te glisser dans sa culotte. Et j'espère que tu m'en feras profiter. En attendant, je suis bien chaude, tu m'as bien excité, et je ne serais pas contre une petite gâterie.

Mon foutre coulait de son sexe, elle écarta les jambes pour que je vienne la lécher. Je me mis à genou et me penchait vers elle. Ma langue gouta ce cocktail, mon foutre et sa mouille. Breuvage chaud et âpre. Je me délectais de son sexe dégoulinant, et la sentit se raidir sous mes coups de langue. Le soleil de cette fin de journée me brulait le dos. Je sentais de grosses gouttes de sueur me couler entre les fesses. Émilie se cambra et poussa un cri. Elle jouit dans ma bouche, m'emplissant de son nectar. Elle retomba sur le transat, essoufflée, ruisselante de transpiration. Elle me regarda droit dans les yeux. Je devinais dans son regard son excitation et vint lui donner ma bite de nouveau bien dure à sucer.


Gourmande elle se jeta sur elle, la prit dans sa bouche, la lécha, la mordilla, l'avala. Ses lèvres douces me firent frissonner de plaisir. Elle prit mes couilles dans sa main et les massa. De son autre main elle caressa mes fesses, et se glissa entre elles pour me titiller le trou. Bien vite elle y glissa un doigt et je fus traversé par une vague de plaisir. Elle me branla le trou, me massa les couilles et me sucs la queue pour une trilogie de plaisir qui ne tarda pas à se transformer en un orgasme puissant qui lui remplit la bouche de mon sperme chaud. Elle me regarda au fond des yeux et avala d'une gorgée mon foutre.

Nous restâmes un moment sur la terrasse à profiter de la chaleur de la fin de journée. Émilie me servit un verre de citronnade bien fraiche. Je bus mon verre d'une traite, et m'allongeais sur un transat à côté d'elle. Chacun posa sa main sur le sexe de l'autre, le caressant doucement.

Nous allâmes prendre une douche, et nous préparer pour sortir.

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