Appelle Moi Madame 3

Cette nuit je fais des cauchemars. Je me vois sans arrêt baisée par Jo et Gérard. Je me réveille en jouissant. C’est la première fois que je suis ainsi visité par un orgasme. Je touche ma chatte ; je suis toute mouillée, en plus je suis toute nue. Je me souviens que je dois vivre comme mes patrons : totalement nue et disponible pour leur propre plaisir et le mien également.
Je me demande ce qu’ils ont fait ensemble cette nuit, certainement des machins ignobles mais tellement jouissifs. Aujourd’hui c’est Dimanche, je vais leur faire une surprise Je descends préparer le petit déjeuner. Par précaution je porte un petit tablier qui dissimule mes parties sensibles. Avec les machines actuelles le café est vite fait. J’ai fait griller des toasts. Sur le plateau je dispose ce qu’il faut pour qu’ils reprennent des forces.
J’entre dans la chambre à coucher : ils dorment encore, nus, mélangés, Je regarde la bite de Monsieur, elle est tendue comme s’il bandait et la chatte de Ma dame est ouverte entre ses jambes. Ils ont du baiser fort tard, alors que j’étais seule dans mon lit. Ils veulent des moments d’isolement. Le couple s’est bien réuni en fonction de leur libertinage. Ils ont bien raison, surtout que j’en profite.
Je pose le plateau sur la table de nuit de Monsieur. Il se réveille en me souriant. Comme je suis à sa portée, il passe une main entre mes cuisses. J’écarte instinctivement les cuisses. Je le sens monter très haut, jusqu’à mon cul. Il ne m’y fait rien de désagréable, il passe seulement le doigt comme pour lui souhaiter le bonjour. Il me fait bien mouiller quand sa main parte. J’ai envie maintenant. S’il pouvait me baiser. Il se tourne en m’abandonnant c’est Madame qui va profiter de la bite. Je reste là pour voir ce qu’il va lui faire.
Il se lève à peine pour passer entre les jambes ouvertes : c’est sa bouche qui va embrasser l’autre bouche de Madame. Il la lèche depuis le cul jusqu’au clitoris. C’est juste à ce moment que Madame ouvre les yeux.

Instinctivement la main va sur la tête de Monsieur, non pas pour le guider, mais pour l’encourager. C’est sa première caresse de la journée.
Je les regarde s’aimer comme des amants qu’ils sont : je mouille trop, je passe vite ma main sur la chatte. Mes doigts rencontrent rapidement mon point faible (un de mes points faibles ?) Monsieur intervient.
- He bien Suzanne vous n’avez rien d’autre à faire que vous branler ?
- Si Monsieur.
- Alors allez
Ils ne veulent même pas que je les regarde se faire l’amour. Tant pis se sera pour l’après midi, avec ces deux j’espère. A moins qu’une autre personne ne vienne : dans ce cas là, je serais bonne pour me branler.
Je change la nappe de la salle à manger, je dresse la table. Je réfléchis que je pourrai demander à Madame de m’acheter un gode pour me baiser quand je suis seule.
Le repas se passe comme tous les jours, sauf que nous sommes nus. Comme à tous les repas, Madame a besoin d’une masturbation que lui fait Monsieur, sans pudeur devant moi. Elle ferme les yeux pour jouir. Dès l’orgasme terminé elle s’occupe de la bite de son époux qui bien sur jouit sur la nappe.
J’allais partir dans ma chambrer pour me reposer un peu avec ma main sur ma chatte presque toujours humide. Monsieur me ratt :
- Suzanne nous avons des amis qui viennent aujourd’hui. Restez avec nous pour aller ouvrir.
- Mais Monsieur je suis nue pour ouvrir ?
- Et alors, nous aussi. Ceux qui viennent ne resteront pas habillés bien longtemps. Nous allons faire une petite réunion sexuelle, si vous aimez, restez avec nous pour vous faire mettre partout.
- Bien Monsieur.
- Non maintenant c’est Gérard.
- Merci Gérard, j’aimerai découvrir ses jeux avec vous qui m’avaient ouvert les yeux sur les diverses façons de se faire mettre et de donner du plaisir aux autres. J’espère bien que je serais prise par deux hommes à la fois.
- Gourmande, me dit Jo. Moi aussi j’aime me faire mettre devant et derrière en même temps.
Tu verras c’est drôlement bon, on ne peut plus s’en passer quand on connait cette chose.
J’ouvre la porte à trois personnes : une belle femme sexy, encore plus que Madame. Les deux autres sont des hommes qui me semblent très séduisant. J’espère bien baiser avec les trois.
Ce qui m’étonne c’est que les visiteurs ne semblent pas surpris de la nudité de mes patrons pas plus que de la mienne. Madame reçoit des baisers rapides sur la bouche, tant de la femme que des deux hommes : ils ne doivent pas être à leur coup d’essai. Seule la femme embrasse Monsieur sur la bouche, quoiqu’un des hommes touche la bite de monsieur qui réagit vite en bandant.
Tout le monde se lève pour aller au salon : je dois leur servir des alcools. Pendant qu’ils dégustent Monsieur me fait venir sur ses genoux pour me présenter :
- Regardez bien cette fille, elle semble rangée, pas du tout, elle aime baiser avec Jo et moi. Sachez aussi qu’elle aime se masturber.
C’est quand même bizarre d’être présentée nue, sur les genoux de son patron à trois personnes vêtues, dans ces conditions. Machinalement sa main est entre mes cuisses pour caresser doucement mon endroit le plus sensible.
Je n’ai même pas un geste de défense pour préserver ma pudeur. Je suis devenue une adepte de l’exhibition. C’est vrai que je n’ai même pas fait attention que je donne toute ma féminité à voir aux visiteurs.
Madame s’intéresse à un des amis : elle est tout contre lui. Sa bouche cherche l’autre. Je vois que sa langue entre dans la bouche de l’autre qui doit être son amant. Elle sort la bite déjà bien dure du pantalon. Monsieur la regarde sans rien dire, il approuve au contraire : il aime voir sa femme se faire baiser devant lui. S’il veut lui rendre la pareille il a le choix entre l’autre fille et moi. J’espère qu’il va choisir l’autre fille.
Je me trompe encore une fois, c’est elle qui me choisit. Elle est vite nue devant tous. Quelle souplesse dans sa démarche. Elle me fait lever pour m’embrasser.
Sa langue entre dans ma bouche. Son pubis est contre le mien, avant qu’elle décide de me sucer les pointes. Je ne sais comment elle fait ; je pars dans un orgasme inconnu : je jouis grâce à mes seins et sa langue. Je défaille : elle me fait coucher sur la moquette pour venir carrément sur moi. Je sens encore sa poitrine sur la mienne. Sa bouche ne m’embrasse plus : elle me lèche les lèvres : c’est drôlement bon et excitant. J’ai envie d’elle : je trouve la raie de ses fesses où je passe mon doigt. Je descends lentement : elle tend son cul vers moi. Je n’entre pas en elle, je fais simplement le tour de son anus. Elle gémit comme si je la baisais. Je continue jusqu’à la fin quand elle jouit. Elle s’adresse à Monsieur :
- Tu sais, elle baise bien.
- Je le sais, elle baise surtout avec Jo.
- J’aimerais bien qu’elle me la prête deux ou trois jours.
- Et pendant ce temps comment nous baiserions ?
- Je m’en fiche, je la veux.
- Alors baise-la.
Elle se tait pour agir. Agir avec ses doigts quand elle trouve ma fente : elle me branle lentement pendant que de mon coté je prends possession de son sexe. Notre mutuelle masturbation dure longtemps. C’est vrai qu’elle est douée, comme moi semble-t-il. Nous jouissons souvent.
C’est sans compter sur ses désirs : elle se met sur moi, son sexe près de ma bouche. Je ne peux résister à un sexe trop près de moi. Ma langue se promène un instant avant de se fixer sur le clitoris. Je le mets entièrement dans la bouche pour le lécher. Je ne sais pas ce qu’elle me fait : c’est bon. Pour agrémenter notre 69, nous tournons sur nous même. Sauf qu’il faut nous arrêter quand Monsieur vient sur nous. J’ai le malheur d’être dessous : c’est mon amante qui reçoit la bite dans son cul. Je ne fais que la diriger. J’aime voir la queue entrer dans un cul comme j’aime voir le cul pénétré, même si des fois les couilles me gênent un peu. Je vois la queue qui jouit. Il la laisse un instant à l’intérieur du ventre de celle qui me lèche.
Je n’ai pas à me plaindre : quand il sort du cul une goutte de sperme s’échappe : je peux la prendre sur ma langue.
J’ai jouit comme il faut, j’aime autant les filles que les hommes. Madame que je regarde se fait prendre par les deux hommes. Elle est prise en sandwich par ses deux amants. Le premier couché sur le dos l’encule profondément, sa foufoune est au prise avec une autre bite qui elle aussi entre bien profond. Qu’elle chance elle a de se faire baiser ainsi.
Mon amante suce Monsieur qui la laisse faire puisqu’elle le fait encore bander. Je regarde sa queue qui me plait bien. Je suis la bonne, il ne veut pas me satisfaire, c’est un salaud. C’est ce que j’ai envie de lui dire. Pourtant je me trompe encore dès qu’il bande, elle passe entre les jambes de cette femme pour la sucer : sa queue est libre :
- Viens que je te baise le con, tu en a envie je sais.
- Oui, je te veux dans le ventre. Si tu peux, encule moi aussi après.
Je n’ai qu’à me mettre en levrette. Je vois sa bouche sur la chatte de l’autre et je sens qu’il vient sur moi. Sa bite ouvre son passage dans mon vagin. Il me fait du bien, j’en avais drôlement envie. Ses va-et-vient sont rapides. Il me lime sans arrêt jusqu’au moment où je jouis encore une fois. Il ne fait que changer de trou pour me sodomiser. Je ne tarde plus à jouir encore. Je me sens la dernière des salopes, la pire des putains que la terre ait porté. C’est peut-être vrai, mais qu’est-ce que je me régale d’avoir des sexes à ma disposition.
Enfin le grand moment arrive : les deux amants de Jo ont fini depuis longtemps. Je les vois du coin de l’œil ; ils me visent.
Je me sens désirée, c’est toujours agréable. Maintenant que va donner la suite ?
Ils se mettent à deux pour me caresser les seins, les hanches, les cuisses et l’intérieur avant d’aller à deux dans ma chatte. Se faire branler pas deux mains est un plaisir encore différent. Je tiens deux bites dans les mains : je les masturbe ensemble ce qui ne semble pas les gêner. Puis ils me parlent enfin
- Tu veux qu’on te baise à deux ?
- Bien sur que je veux.
- Couche-toi sur moi.
C’est vague comme consignes, vague mais efficace. Je vais entrer la bite du premier dans mon con. Je la fais bien entrer : c’est bon d’être baisée. Ensuite, un petit moment plus tard, je sens l’autre pine sur mon cul. Je me demande si je n’ai pas fait une bêtise en acceptant. Je me détends encore plus que d’habitude. Je sens mon sphincter ouvert. Le deuxième amant en profite lâchement. Je le sens glisser dans mon œillet : c’est bon, je remue comme une folle avec ses deux sexes en moi. Que j’aime, qu’ils me font jouir ! Je ne sais combien de temps je me suis faite doublement baisée : je n’ai même pas pu compter mes orgasmes. Je sens le dernier quand ils déchargent presque ensemble dans mon ventre. Mon premier souci est de dormir. Heureusement que tous partent. Je vois quand même Madame avec la main de Monsieur dans son cul : elle m’avait promis de me le faire à moi aussi. Peut-être la prochaine fois avec sa main entière dans mon anus.

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