Dans La Chaleur De L'Été (6)

Nous regardions Sophie et Gisèle faire l’amour devant nous comme si nous étions au spectacle. Un porno en live. Il y avait dans leur étreinte de la tendresse et de la passion. De la violence et du désir. Elles étaient belles ensemble. Gisèle à califourchon sur Sophie, s’embrassant, leurs seins pressés les uns contre les autres. Leurs corps luisants de sueur, leur gémissement de plaisir.

Je sentais la fatigue prendre possession de mon corps, ma vision se faisait plus trouble et je finis par m’endormir sur le canapé.

Je me réveillais vers trois heures du matin. L’appartement était plongé dans le noir, et le silence. Je me dirigeais vers ma chambre et y trouvais mes trois amantes endormies. Sophie entre Émilie te Giséle. La main d’Émilie sur les fesses de Sophie pendant que celle de cette dernière reposait sur la poitrine de Gisèle. Elles avaient dû poursuivre sans moi leurs ébats. Deux capotes reposaient sur le sol de la chambre signe que la fête avait continué. Elles étaient belles dans leur nudité, dans cet instant de calme. Je restais à les regarder sans bouger. J’aurais voulu me glisser avec elles dans le lit, mais j’eut peur de les réveiller, de troubler leur sommeil. Je n’osais pas plus poser un simple baiser sur leur corps endormi. Alors je fis demi-tour et décidais d’aller dormir dans l’ancienne chambre de Nina.

Le parquet craque légèrement. Sophie bougea, ouvrit un œil, me vit et m’appela. Je me retrouvais vers elle. Elle me sourit, me fit signe de la rejoindre. J’hésitais, elle insista, et je vins me glisser entre elle et Gisèle. Celle-ci se tourna, je posais un baiser sur son front. Sophie m’embrassa. Je me serais contre elle, son sexe flasque se lova contre le mien. La chaleur de nos corps collés l’un contre l’autre, ses seins s’écrasant contre mon torse, nos baisers d’abord tendres puis plus passionnés réveillèrent nos instincts et nos envies. Bien vite nous bandions de nouveau. Sophie prit mon sexe en main et me caressa.

Je suçotais ses tétons. Elle gémissait doucement. Nous tentions de ne pas réveiller nos compagnes, et quand les choses devinrent trop « chaudes » nous tentâmes de partir.

Hélas, malgré nos efforts pour nous éclipser discrètement Gisèle se réveilla et nous vit tous les deux bien en forme, nous tenant par la bite. Elle posa sa main sur Émilie, la réveilla gentiment.

— Regarde les tous les deux, lui dit-elle, ils voudraient s’amuser sans nous.

Émilie s’étira, embrassa Gisèle et vint nous rejoindre. Elle nous embrassa à notre tour. Puis nous ramena vers le lit. Tous les quatre, au milieu de la nuit, alors que nous n’avions dormi que quelques heures, nous nous embrassions, nous caressions, réveillions nos corps fourbus pour de nouveau baiser.

Les filles nous sucèrent, passant d’une bite à l’autre, s’embrassant au dessus de nos sexes. Sophie et moi en faisions de même pendant que nos queues étaient entre de bonnes lèvres. Puis nous nous livrâmes à une séance de gâterie circulaire. Sophie léchait Émilie qui léchait Giséle, qui me suçait pendant que je suçais Sophie. Un cercle de sexe buccal.

Émilie se fit prendre en double pénétration par Sophie et moi pendant que Gisèle se branlait avec un gode. Émilie s’équipa de son gode ceinture pour m’enculer pendant que j’en faisais de même avec Gisèle prise également par Sophie.

Bien que fatigués, nous testâmes de nombreuses combinaisons, positions, variation avant de tomber de nouveau de fatigue alors quel jour se levait.

Déçu de ne pas pouvoir partager le même lit qui se révéla trop petit pour que l’on puisse tous y dormir, Gisèle et Sophie allèrent dans la chambre de Nina, et je m’endormis dans les bras d’Émilie qui me souriait, heureuse de sa soirée et de sa nuit.

Il était midi passé quand je me réveillais. Le soleil rentrait à flot dans l’appartement. Gisèle s’était installée sur la terrasse et bronzait nue sur un transat. J’admirais un moment sa beauté, discrètement.
Elle me remarqua, me sourit et j’allais l’embrasser. Je lui proposais de faire du café et elle me suivit dans la cuisine.

L’odeur du café monta dans la pièce, ainsi que celle du pain grillé. Nous avions tous les deux très faim et allâmes nous restaurer dehors.

Gisèle me remercia pour la soirée.

— Je suis libre, me dit-elle en croquant dans une tartine beurrée, j’aime le sexe, et je n’ai jamais eu honte de ça. J’aime les hommes, les femmes et je suis folle amoureuse de Sophie. Mais ce que j’ai vécu avec vous est une première. J’avais fait des plans à trois, mais c’était glauque, un peu sale. Avec vous c’était naturel, libre, sans préjugé. J’aime Sophie et je vois bien que tu aimes Émilie, et ça fait toute la différence.

Je la remerciais et l’embrassais. Sa bouche avait l’amertume du café, et la douceur de la confiture. Je sentis remonter en moi le désir, et mon sexe se gorger de sang, pointant vers elle. Elle le remarqua, me sourit.

— Je crois qu’il est difficile de trouver le repos avec vous, dit-elle en me prenant la bite en main.
— Je bande, c’est tout, tu n’es pas obligé de faire quoi que ce soit.
— Je sais, mais j’ai envie.

Elle me fit assoir et me prit dans sa bouche. Elle me suça avec délicatesse, ne cherchant pas à me faire jouir trop vite. Alternant les caresses buccales et manuelles. Je profitais de l’instant, de sa bouche de velours, et de ses talents de suceuse. Elle maitrisait mon plaisir à merveille, accélérant la cadence puis quand elle me sentait sur le point de jouir, stoppant tout, avant de reprendre doucement. Je finis par jouir dans un grand soupir de libération et de plaisir. Elle s’essuya le visage d’où goutait mon sperme, but son café tiède et après m’avoir embrassé alla s’allonger au soleil.

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