Jean Louis, L'Autre Client Du Kiosque À Tabac.4. La Révélation.

Sa liaison avec Jean Louis, durait depuis 2 mois déjà, ce qu'elle aimait chez lui, c'était son gros sexe et son coté pervers endurant.
Elle adorait explorer son coté salope, avec lui, qu'elle cachait sous son air timide et un visage angélique.
Lorsqu'on la regardait, on avait envie de la protéger, du moins, c'était une des choses qui m'attirait chez elle.
Elle me remerciait parfois de lui avoir révélé son identité sexuelle.
Dans l'après-midi, elle était retournée à la brasserie, avec une amie, elle savait que Jean Louis l'attendait.
Devant les toilettes, il durent attendre qu'un homme sorte des lieux pour s'y rendre.
A l'intérieur, Jean Louis s'assoit sur le WC, en lui offrant sa queue a sucer.
Elle lui parle de la veille.
"C'était bon hier! Tu m'as bien défoncée au studio!".
"Moi aussi, j'ai adoré, c'est bien aussi d'avoir plus de temps!".
"Oui, j'ai beaucoup joui! c'était fort!".
"T'as envie de quelque chose de spécial, là?".
"J'adore quand tu me baises debout!".
Il se redresse et l'empale sur lui, en la tenant sous les cuisses, il la besogne profondément en s'aidant du mur pour mieux la garder sur son sexe.
Elle atteint deux orgasmes puissants, Jean Louis annonce qu'il va jouir, lui aussi, il sort de sa chatte et s'assoit pour lui donner la possibilité d'avaler son éjaculation.
Elle rejoint son amie, qui, comme moi se demande pourquoi, elle met autant de temps.
Elle lui donne une excuse bidon, puis sourit, en voyant Jean Louis, retourner s'assoir et finir sa boisson.
Voyant leur jeu de regards, son amie lui dit:
"Je rêve ou tu te fais draguer là!".
"Mais non! N'importe quoi! Allez on y va!"
Le lendemain, après de longues caresses, et des jeux buccaux, j'ai deviné en elle, un besoin de sexe torride.
J'en avais envie moi aussi, elle réveillait mon coté pervers.
Après l'avoir baisée dans plusieurs positions, lui procurant quelques orgasmes, et lui parlant crument.

Je la baise encore pour lui parler de ses amants:
"Tiens salope! t'aimes la queue! Pas vrai?".
"Oh, oui, j'aime la queue! J'aime qu'on me baise, qu'on m'encule!".
"C'est super Lisa, continue à prendre du plaisir comme ça! ça m'excite que tu te fasses baiser!".
"Tu aimes ça? T'aimerais que je te racontes des choses?".
"Bien sûr, Je pense que tu m'as pas tout raconté avec Marc!".
"C'est vrai, tu sais que je le vois plus! Mais, je m'amuse encore! J'ai baisé avec un autre client!".
"Ah bon? Racontes!".
"Il m'a dragué au boulot! On est allés chez lui, il m'a défoncée mon amour! Il me baise bien! Tu sais!".
"Hum, salope! tu te rends compte que tu es une salope?".
"Oui, j'espère que tu m'en veux pas! Parce que moi, je suis mieux dans ma tête avec ça!".
"C'est super, mon amour, tu sais que, plus tu t'éclates, plus tu m'excites!".
Je la retourne sur le dos, et pointe mon sexe contre son anus, en relevant ses cuisses.
"Oui, encules-moi!".
"Oui, je vais t'enculer! Ca te plait qu'on t'encule! Pas vrai?".
"Oui, c'est cochon! j'adore!".
Son anus s'ouvre peu à peu, me laissant la pénétrer jusqu'aux couilles.
Progressivement, j'augmente mon rythme pour atteindre mon but, la faire crier de jouissance anale.
En l'enculant, je lui demande:
"Et ton nouvel amant, il t'encules? lui aussi?".
"Ahhhh, oui! Il adore mon cul! Il me défonce souvent! Elle est bonne sa queue!".
Le fait de me dire ça, lui remémore les sensations qu'elle ressent avec lui, et décuple son plaisir cérébral qui se mêle à sa jouissance anale.
"Ohhhhhhh, mon amour, je jouis! Ahhhhhhhhhhhhhhh, Ahhhhhhhhhhhhhh, Ahhhhhhhh!".
"Salope, ça t'excites tout ça!".
"Ouiiiiiiii! Ahhhhhhhhh! Ca me rend folle! Ahhhhhhhh! Je pense à sa grosse queue dans mon cul! Ahhhhhhhhhh".
Je vois sur son visage, quel a atteint un moment de plénitude et de bonheur.
Elle reprend un peu de force, puis se penche au dessus de moi, pour me sucer la queue.

Tout en me prodiguant ses délicieuses caresses buccales, elle me raconte leur première rencontre, comment il l'a baisée, et sa fellation suivie de l'éjaculation de Jean Louis dans sa bouche.
Elle me raconte ensuite, la deuxième rencontre avec lui, sa fougue, quand il l'a baisée contre le mur, et enfin leur première sodomie, qu'elle a adoré.
J'éclate dans sa bouche, excité par la perversité de mon adorable salope.
Nous discutons de leur liaison ensuite, elle m'avoue qu'elle adore la taille de son sexe.
Elle ajoute qu'elle se doutait qu'il était bien membré, quand il l'a abordé, à cause de son allure imposante et ses mains.
Elle me parle de son coté pervers, qu'elle aime. Je lui demande alors:
"Racontes-moi!".
"Non, j'en garde un peu pour une autre fois! Mais tu seras pas déçu!".
J'aurai du mal à dormir après cette phrase, imaginant ce qu'elle peut bien faire avec lui.
Trois jours après, en début d'après-midi, elle me fait part de son envie d'aller boire un verre à la brasserie.
Les places près de la baie vitrée étant occupées, nous nous plaçons vers le fond.
Je ne remarque pas Jean-Louis qui est proche des escaliers des WC.
Lisa me dit:
"C'est pas possible, à chaque fois, j'ai envie d'aller au WC! Tu me commandes un Perrier Citron, s''il te plait? J'essaie de faire vite!".
"OK".
Comme d'habitude, Jean-Louis l'attends. Ils se rendent dans le local, puis dans la cabine du fond.
"Un jour, on va se faire prendre!". Dit-il.
"C'est sûr, mais on s'amuse bien! Tu veux arrêter?".
"Oh, non! On arrêtera si on nous att, mais ça m'excite trop pour le moment! T'as une envie spéciale?".
"Oui! Encules-moi!".
"Hum, salope! tu veux encore avoir du sperme dans le cul! C'est ça! Ca t'arrange bien, notre accident de capote!".
"Tu parles trop, Jean-Louis! Encules-moi! On a pas trop de temps!".
"Mets toi au dessus des toilettes, tends moi ton cul! Je vais te le défoncer!".

Elle remonte sa jupe, baisse son string, et tends ses fesses à son amant.
Il dépose de la salive sur son anus et sur sa queue, puis, force peu à peu, contre son œillet.
Ma belle se tortille pour l'aider à la pénétrer.
"Heh! T'es pressée?".
"Oui, je la veux! Enfonce toi!".
Il écarte ses fesses, et voit sa grosse bite s'enfoncer dans son anus lentement.
"Humm, tu la prends de mieux en mieux, c'est bon! Lisa!".
Elle ne réponds pas et gémit doucement pour ne pas qu'on l'entende.
"Ahhhhh, bouge! Maintenant, encules-moi comme une salope!".
Il ne se fait pas prier et la burine frénétiquement, et profondément en de nombreux coups de queues.
Ma belle est saisie d'un orgasme anal puissant, pendant que Jean-Louis continue de la défoncer.
Il veux l'emmener de nouveau à jouir avec son cul, et la rejoindre pour une jouissance commune.
Après de nouveaux innombrables assauts, Lisa est submergée de plaisir.
"Jean-Louis! Ca monte, je vais encore jouir du cul! Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh".
"Moi aussi, je viens, vas-y! Je t'attendais! Laisses toi aller, jouis! Ahhhhhhhhh".
Les deux amants pervers, jouissent ensemble en râles contenus.
Elle passe du papier à Jean-Louis pour qu'il essuie son anus.
"Hum, merci Jean-Louis! Maintenant, je vais voir mon homme! Il va encore se poser des questions!".
"Il a de la chance de t'avoir! ma petite salope!".
"Tu m'as toi aussi, non ?".
"Oui! Allez! Vas-y! Cochonne!".
Elle s'assoit a notre table et avant que je lui parle.
"Décidément, j'arrive pas a faire plus vite! désolée!".
"C'est bizarre! Quand même!".
Elle sourit, puis ajoute:
"J'ai quelque chose à te dire!".
"Quoi?".
Elle se penche pour chuchoter à mon oreille:
"Jean-Louis vient de m'enculer!".
Je reste ébahi. Elle rit doucement, puis se penche de nouveau vers moi.
"Ca t'excites pas?".
"Euh, je suis encore sur le cul! là! Ou? dans les toilettes?".

"Oui, tu veux des détails, je suppose! Il a joui dans mon cul! j'ai son sperme là!".
"Salope! mais tu voulais plus le faire sans capote?".
"On a eu un accident, je t'expliquerai! Mais tu sais pas tout!".
"Quoi?".
"On se voit presque tous les deux à trois jours ici depuis plus de trois semaines! la dernière fois, je suis venue avec Béa!".
"Mais il a pas un studio?".
"Si, on baise la bas aussi, mais ça nous excites ce petit jeu!".
Voyant que les gens sont intrigués par notre comportement étrange, nous payons et sortons en passant devant Jean-Louis.
Elle se penche pour lui faire la bise.
"Au revoir Jean-Louis! A la prochaine!".
Il est aussi étonné que moi de la situation, ma belle me tire par le bras en ajoutant.
"Allez! On y va!"
On se regarde avec Jean-Louis, d'abord étonnés, puis, nous échangeons un sourire complice.

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