Mémoire D'Une Baiseuse

Je suis nue dans la voiture, garée dans le fond d’un chemin, je pense à mes débuts, quand j’avais 17 ans. J’aimais bien les garçons, ils me le rendaient bien par des baisers que moi j’aimais, puis par des caresses toujours maladroites sur mes seins. Du coup je leur interdisais de me toucher. Pourtant j’avais au fond de moi ce que je ressens maintenant en ayant le levier de vitesse dans la chatte : je me baise ainsi par simple envie de jouir. Ma main ne suffit plus depuis longtemps. J’ai les pieds sur chaque siège avant, je suis accroupie sur le frein à main soit à portée de mon con.
Je me baise seule quand j’ai envie d’une sodomie. C’est facile, je me déplace à peine pour trouver l’anus. J’ai bien huilée le levier avec ma petite bouteille. J’enfile le levier dans mon cul. Quelle bonne impression j’ai. Je vais et viens sur ce gros machin qui me défonce et qui me fait du bien dans le ventre. Je penche ma tête en avant pour voir un peu comment ça fait en entrant et sortant. Pour l’entrée je ne vois qu’à peine la peau de mon cul passer vers l’intérieur, par contre quand je fais sortir à peine le levier, je vois l’intérieur de mon rectum. C’est vachement bon, comme dirait ma nièce. Il a fallut que j’ai 45 ans pour être aussi vicieuse.
Je suis encore au lycée quand je rencontre un vieillard pour moi. Il doit avoir plus de 50 ans, bon à mettre à la poubelle. La première chose que j’ai vu c’est son sexe quand il pisse contre un mur. Il me semble très gros. C’était le premier que je vois. Ca m‘a fait un choc de penser qu‘un tel engin pouvait entrer dans mon vente, si je le voulais.
Seulement je suis allergique à ces bites d’hommes. Il me semble même que je serais plus à l’aise avec une chatte d’une autre fille que je sucerais. Je sais comment on fait : j’ai vu des films pornos. Mes préférés restent toujours ceux où les filles s’aiment. Seulement comment faire pour lever une fille ?
Vaste question sans réponse pour le moment.


Bien sur je me masturbe des fois, sous la douche pas assez, d’après des copines, c’est si bon de jouir. Un soir à la maison un de mes oncles est invité pour quelques jours. Il est au moins aussi âgé que celui que j’ai vu pisser. J’imagine sa queue qui doit pendouiller lamentablement au lieu d’être en érection comme j’ai vu la bite d’un copain qui tenait à me monter sa pine pour que je lui montre ma chatte.
Mon oncle Jean est sympa. Il me raconte des histoires de fantômes ou de revenant. Il s’imagine que j’ai 10 ans. Quand enfin il se rend compte que j’ai 18 ans, que je suis en terminale, juste avant de passer mon bac pour entrer en fac, il se rend compte de ses erreurs.
Il me parle comme à une vraie femme, ce que je ne suis ne pas encore : je suis toujours vierge. Un après midi, mes parents étant partis faire de longues courses en ville, il me lutine comme on dit dans les vieux romans. Ses mains viennent sur mes seins, il les caresse. Je ne le veux pas, il passe sa main sous ma jupe plissée. J’ai l’air d’une écolière habillée ainsi. Il me force pour que je ne bouge pas d’un pli. Le voilà qui prend la place de ma main quand je suis sous la douche. Il essaie de me masturber sans arriver à un résultat agréable.
Il me fait coucher sur mon lit, il vient sur moi, lève totalement la jupe pour me la mettre sur le visage. J’arrive à voir en la baissant un peu. Il sort son engin. Je ne pensais jamais qu’une bite ait cette grosseur. Je sais ce qu’il veut me faire. Il s’agenouille entre mes jambes, prend sa queue dans une main, de l’autre il écarte mes lèvres. Je sens que malgré moi je suis mouillée. Je ne le veux pas du tout.
Il commence à entrer doucement, très doucement. Il ne me fait pas mal. Par contre quand il entre à fond, là, il me fait mal en me dépucelant. J’ai beau m’agiter pour qu’il sorte :
- Laisses toi faire, petite nigaude. Plus tard tu aimeras.
- Je ne veux pas aimer ça.
Il commence à aller et venir. Finalement ce n’est pas mortel.
Je ne peux pas dire que j’aime, mais ne sentant pas grand-chose, je le laisse me baiser. Il jouit en moi. J’ai peur d’être enceinte.
Le lendemain, le soir il revient dans ma chambre. Je pense qu’il veut encore me baiser.
- Je vais te la mettre au cul. Tu verras, ça fait un peu mal la première fois, après tu en jouiras.
Il me met à quatre pattes, en levrette comme il dit. Il embrasse mes deux fesses, passe une main entre les deux hémisphères. Je ne sens rien de particulier. Il trouve mon cul pour y entrer un doigt profondément. C’est une sensation bizarre, pas désagréable.
- Branles toi maintenant.
Je suis obéissante, je me caresse le bouton comme je le fais sous la douche. C’est meilleur avec lui sur moi. Il sait que je mouille alors il vient prendre ma cyprine sur mon con. Il l’étend sur l’anus avant d’y mettre son gros membre. Je suis sure qu’il ne pourra jamais l’y faire entrer.
Je sens le début de sa colonne venir juste sur l’anus. Au début ce n’est pas désagréable, même le contraire. Il force de toutes ses forces pour écarter mes chairs. Il me fait un mal de chien. J’hurlerais si mes parents étaient absents comme hier. Mais je ne peux pas le faire, alors je serre les dents. Je me demande comment des filles comme moi peuvent aimer la sodomie. Mes chairs s’écartent lentement comme il me pénètre.
- C’est bien, salope de ne rien, dire quand je t’encule. Bravo. En plus c’est bon de te la mettre là.
S’il savait comme j’ai mal. Il me la met tout au fond : je sens les poils du pubis contre mes fesses. Je pense qu’enfin il ne pourra plus en mettre d’avantage. C’est franchement dégueulasse. Il fait plusieurs va-et-vient avant de jouir encore dans mon ventre. Il se retire en me disant :
- Demain je te baise à nouveau. Non, c’est toi qui me baiseras avec ta bouche.
Je ne dors pas une bonne partie de la nuit à cause des brulures que je sens dans mon cul. Et il veut que je le baise avec la bouche. Il est malade cet oncle.

Le lendemain soir il est encore là, sa bite déjà sortie. Il me semble qu’elle est plus importante que les autres fois. Il s’approche de moi, pose sa bouche sur la mienne pour échanger un baiser ; Là je ne suis pas ignare, je sors ma langue pour la lui donner. Il me la lèche, la chatouille avec sa propre langue.
- Bravo, petite, tu sais te servir de ta langue, tu vas me lécher la queue pour me faire jouir dans ta bouche.
Il me fait pencher sur lui, je dois prendre sa queue, j’ouvre à fond la bouche : il enfourne tout son fourbi. J’ai le souffle coupé un instant. Je respire à peine pour lécher son bout. Je trouve que c’est doux, avec une goutte d’un liquide pas mauvais. Ma lèche n’est pas suffisante, il me force à laisser mes lèvres comme l’entrée d’un sexe. Il me baise carrément la bouche. Ce n’est pas mauvais, je continue à la sucer comme il veut. Mais il jouit fortement à mon gout. Je reçois son sperme dans ma bouche. Outre le fait que je n’aime pas son gout, je suis bien obligée de tout avaler avec dégout.
Presque tout le temps de son séjour il me baise la nuit. Je ne sens plus rien quand il me baise, je commence à ne plus avoir mal au cul. Mais je n’accepte toujours pas son sperme. Je me suis munie d’un kleenex pour cracher, ce qu’il n’aime pas.
Je pousse un grand soupir de soulagement quand il part. Ca coïncide avec mon départ pour la fac. Là je suis logée dans un petit 20 m² au dernier étage d’une vieille maison. Je n’ai pas trop à me plaindre. Juste en face, sur le même palier réside un homme un peu moins âgé que mon oncle. Je saurais me défendre.
Un dimanche, quand la maison est vide, il vient chez moi demander un petit service. Il est en panne de fer à repasser. Il me porte sa lessive.
- Je repasse dans la soirée.
-Quand vous voudrez monsieur ……
- Georges.
Il est sympathique Georges. Je repasse vite fait ses chemises. Je me mets nue pour me caresser. C’est la première fois depuis que j’ai quitté la maison que j’ai envie de me masturber.
Je vais même jusqu’à entre deux doigts dans le cul, comme si les leçons de mon oncles entraient en moi. Mon clitoris est caressé en même temps que l’anus. Pour une première fois c’est une réussite. Je jouis longuement. Malgré moi je pense à Georges. Je le vois me la mettre dans le con en forçant un peu pour me faire jouir. Rien que mon fantasme me fait jouir.
Le soir, quand Georges vient chercher son linge je rougis. Il ne comprend pas pourquoi. Je regarde sa braguette qui me semble bien garnie. J’ai pour la première fois envie d’une queue dans mon con. Je n’ose pas le lui demander, il comprend mon problème.
Il est tout près de moi, prend ma main pour la poser sur sa bite cachée qui bande déjà. Je ne sais pas branler un homme, mais la nature me guide quand je lui masse le sexe. Il sait que je suis prête pour une baise. Il m’embrasse tendrement sur la bouche. Ses mains viennent sur mes seins qu’il caresse comme je n’en l’ai jamais été. C’est bon, délicieux, sexuellement excitant. Je mouille encore plus, pourtant j’ai joui seule dans l’après midi. Je me mets nue rapidement pour le déshabiller moi-même. Je laisse son caleçon en dernier pour voir au final sa queue. Elle me plait bien avec son prépuce un peu descendu, ce qui montre qu’il se branle souvent, ses couilles massées vers sa queue, un morceau plus gros que celui de mon oncle. Et une belle longueur. Il vient me coucher, m’écarter les jambes, se met entre elle. Je ne sais pourquoi je passe mes talons sur ses fesses ; Ainsi réunis il commence à entrer dans la chatte. Cette fois j’ai la révélation. C’est bon de se faire mettre par une belle queue. Je ne m’attendais jamais à un tel déferlement de plaisir à la fois douloureux et bon. C’est le bon qui l’emporte avant qu’il me donne sa semence. Je jouis pour la première fois avec un bâton dans le sexe. Je sens ses spasmes dont me parlaient mes copines. Je me dégage à son grand dam, quand je me tourne pour lui montrer mes fesses il comprend que je désire une sodomie.
Il entre comme ça en terrain conquis. Je sens d’abord une petite douleur vite passée par un nouveau plaisir. C’est totalement différent que par le sexe, c’est par certains cotés meilleur. Il va et vient dans mon anus. Je m’entends gémir comme une grue. C’est trop bon, je vais exploser de plaisir. J’ai peur qu’il jouisse avant moi. Trop tard je sens son jet dans me boyaux. C’est-ce qui me donne l’orgasme libérateur.
Il vient tous les dimanches soirs, quand je suis là. Nous baisons pas mal, nous faisons des 69 pour son plus grand plaisir. J’aime sentir son jet dans le bouche, je ne le crache plus depuis le début. Mes études se terminent comme notre relation : il a prit de l’âge et ne peut plus trop baiser. Je me contente seule au début. Il me faut une présence dans le ventre.
Georges me fait un cadeau magnifique ; un gode vibrant. C’est délicat de sa part et bon pour mes vides. Je cherche autour de moi pour trouver un jeune de 25 ans. Il me plait bien pour que je m’offre à lui. J’ai 26 ans, presque enfin de cycle, lui aussi.  Le premier soir nous sommes chez lui, un appartement plus grand que le mien. Au moment de me la mettre il sort un préservatif. Je le lui mets maladroitement. Il bande bien. Quand il me baise je le sens bien me faire jouir une fois. Il reste dur pour recommencer une autre fois. J’aime sa baise.
J’ai essayé avec d’autres au point de passer pour la pute de la fac. J’ai même fait l’amour avec deux filles. C’était agréable sans plus. Je trouve enfin du travail en entreprise. J’ai beau chercher je ne trouve personne à mon gout.
Alors je fréquente un bar où je trouve toujours chaussure à mon pied. Je ne peux me passer de queues. Je vis souvent l’expérience que j’aime bien de la double pénétration. J’adore être prise en sandwich, une bite devant l’autre derrière. Si en plus j’en ai une dans la bouche c’est le nirvana. Une fois dans une soirée, je devais avoir 29 ans quand je baise un gars que je connaissais comme amant qui me la met devant les autres. Une jolie fille, sa fiancée vient vers nous pour avoir sa part. C’est la seule fois où j’ai aimé être avec une demoiselle en baisant : elle a une langue parfaite pour mon con et mon clitoris.
Maintenant je suis ce qu’on nomme une cougar. Je ne recherche plus que des jeunes qui savent bien bander pour me la mettre plusieurs fois de suite. L’un deux me fiste souvent. J’aime sentir toute sa main dans mon vagin écarté le plus possible. L’autre jour il a tenue à me fister le cul. Il s’y est pris plusieurs fois pour entrer tous ses doigts dans l’anus. La dernière fois il a réussi à mettre sa main st son poignet. J’ai eu mal au début, comme pour une première sodomie. Mais la suite a été parfaite pour moi. Je jouis comme une dingue.
En attendant je suis nue, dans ma voiture avec le levier de vitesse dans le cul avec des sorties sur le levier du frein. Pour moi depuis que j’ai découvert le plaisir sexuel, je ne peux m’en passer. Même si je suis surpris maintenant avec mon levier de vitesse dans le cul, je sais que j’aurai droit à une vraie bite dans l’anus, ou ma bouche, il y a un moment que je n’ai pas sucé de bite.

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