Elsa, Laurence Et.....

ELSA, LAURENCE ET ……


Elsa se sent un peu seule en ce mois d'août, son carnet d'adresse s'est évaporé vers les plages, la montagne ou des destinations plus lointaines. Elle n'a pas de partenaire attitrée qui serait restée avec elle. Certes la masturbation est un de ses passe temps favoris et elle s'y adonne toujours avec plaisir, mais parfois le corps d'une amie à serrer langoureusement, sentir des seins se plaquer aux siens, des pubis se frotter à son mont de Vénus lui manque.

Aujourd'hui Elsa a donc décidé de se rendre dans un club libertin qu'elle fréquente parfois et qui organise une fois par semaine une soirée filles. A défaut d'y trouver une partenaire pour des jeux saphiques elle est sure d'y rencontrer une ou deux filles avec lesquelles elle pourra échanger d'intéressantes idées sur les amours lesbiens.

Elsa arriva au club vers 23 heures pour être sure qu'il y aurait déjà quelques esseulées en ce mois d'été.
Effectivement une quinzaine de filles était déjà là, certaines seules, d'autres en couple. Quelques unes avaient troqué la tenue de ville pour la tenue d'Eve. Toutes étaient assez jolies et mises à part deux ou trois dans la vingtaine les autres avaient entre trente et quarante, aucune n'avait le 'look" de la gouine pure et dure. Elsa prit un verre, échangeait quelques mots avec le barman qu'elle connaissait bien, histoire de savoir comment était l'ambiance.
Elle alla s'installer sur une banquette à coté d'une jeune femme dans les vingt cinq trente ans qui semblait un peu perdue. Elle était jolie avec ses blonds cheveux longs, ses yeux verts, une petite poitrine qui n'avait pas besoin d'armature pour se tenir arrogante.
Le regard d'Elsa fit un tour d'horizon de l'assistance pour s'arrêter sur sa voisine et lui sourire.

- Vous semblez un peu perdue, c'est la première fois que vous venez dans ce club?
- Effectivement, mon amie avec qui je vis est absente et la solitude me pesait.


- C'est la même chose pour moi bien que je ne sois pas en couple, mais j'en avais assez de me donner seule des orgasmes! Et mes amies ont toutes déserté Paris.
- Unissons nos solitudes, vous avez l'air sympa. Mon nom est Laurence.
- Le mien Elsa, vous êtes très mignonne.
- Moi je vous trouve très belle.

Effectivement Elsa avait soigné sa mise, une robe légère, presque transparente laissait deviner ses formes avec d'autant plus de facilité qu'elle était nue dessous. Laurence, elle, était en jeans avec un chemisier vert assorti à ses yeux, largement ouvert sur deux jolis seins dont on pouvait voir les pointes quand elle se penchait ainsi que de larges aréoles très foncées.
Laurence s'est levée pour aller prendre de nouvelles consommations, Elsa a admiré les petites fesses bien moulées dans le jeans. Qu'i devait être bon de les prendre dans la main pour mieux éprouver leur fermeté. Laurence ne pensait plus qu'à pouvoir les contempler sans l'entrave du tissu.

En revenant avec les verres Laurence dit:

- Vous voulez bien danser?

Tout en tendant sa main pour aider Elsa à se lever. Le slow était idéal pour les rapprochements. La petite piste était presque pleine, certaines avaient encore des vêtements d'autres déjà nues.
Elsa mit ses mains sur les épaules de Laurence, cette dernière sur les hanches de sa partenaire. Elsa fît descendre une main jusqu'à la ceinture du pantalon pour tirer doucement les pans du chemisier afin que sa main touche la peau soyeuse de Laurence. Cette dernière laissait glisser ses mains sur les fesses d'Elsa et a marqué un temps d'arrêt en disant:

- Vous ne portez pas de slip?
- C'est du temps perdu quand on veut se déshabiller et c'est ce qui va se produire.

Joignant le geste à la parole elle a attrapé le bas de sa robe pour la faire passer sur la tête pour la jeter à leur place a coté des verres.

Laurence semblait un peu surprise mais son regard ne quittait pas le corps d'Elsa, allant des jolis seins aux petites aréoles claires au pubis dont les lèvres intimes, longues et bien visibles était surmontées par une petite toison coupée très court en forme de ticket de métro.


- Je suppose qu'il faut que j'en face autant?
- Bien évidemment mais vas t'assoire cela sera plus facile avec le jeans.

Débarrassée du pantalon, du chemisier et d'un string minimaliste ouvert d'une fente sur le devant elle revint sur la piste pour enlacer Elsa et frotter ses seins et son pubis contre ceux de sa partenaire.
Elles purent ainsi sentir toutes les deux l'humidité qui commençait à humidifier leur pilosité respective.

Elsa a avancé sa bouche pour prendre celle de Laurence, leur langue se trouvèrent et entamèrent un balai de reconnaissance qui eut pour effet d'augmenter la production de cyprine de l'une et de l'autre.
Elsa avait pris dans une main un des seins de Laurence et en faisait rouler la pointe entre son pouce et son indexe. Laurence laissait descendre sa main pour aller saluer la fente qu'elle avait devinée entre les longues lèvres, admirées, quelques minutes au paravent. Elles étaient couvertes de mouille et son doigt glissait aisément, elle introduisit son indexe à la recherche du petit bouton caché en haut de la fente mais Elsa bloqua son exploration en murmurant à son oreille:

- Pas tout de suite, je ne veux pas avoir d'orgasme trop rapide et de plus il faut qu'il soit réciproque et là nous sommes mal installées!
- Tu as raison

Répondit-elle en portant son indexe à sa bouche afin de connaître le goût de la cyprine d'Elsa.
Le morceau terminé elles regagnèrent leur place pour finir lentement leurs consommations tout en regardant évoluer d'autres filles sur la piste. Spectacle très excitant d'en voir l'une d'elles, dansant seule, se masturber énergiquement pour atteindre, à la fin du morceau, un orgasme bruyant qui la fît trembler de la tête aux pieds.

Elsa dit à Laurence:

- Viens-je vais te faire visiter l'intégralité des lieux.

Prenant sa main elle la conduisit vers une salle, séparée en deus par une grille. Dans celle de gauche se trouvait une croix de St.
André pour les adeptes de jeux S.M., celle de droite était garnie de banquettes réservées aux voyeuses et voyers peu nombreux à ce moment la. Elsa dit à Laurence:

- Viens allons au sous-sol cette sale n'a rien d'intéressant et de plus le SM n'est pas ma tasse de thé.
- Je te suis, tu es mon initiatrice.

Toutes deux descendirent dans une salle voûtée, entourée d'alcôves à deux, trois ou quatre places. Le centre de la pièce était occupé par une sorte d'estrade ronde sur laquelle un groupe de filles se mélangeait dans un joyeux désordre qui faisait penser à un nid de serpents. Des cris, des râles emplissaient les oreilles tandis qu'une odeur de sexe de cyprine et de transpiration mélangée au parfum des unes et des autres activait par leurs phéromones, les picotements dans le pubis d'Elsa se faisait plus violent.

- Viens Laurence nous allons contempler le spectacle tranquillement installées dans une des alcôves.
- Je dois dire que cela m'excite beaucoup!
- J'en suis consciente et moi aussi le suis, mais prenons notre temps, rien ne nous presse pour nous découvrir!

Elsa sentait Laurence un peu fragile et tendue dans cet univers nouveau pour elle et ne voulait pas la brusquer bien que la jolie touffe qui surmontait sa fente, telle la houppette deTintin, lui faisait sentir que son puit d'amour s'humidifiait de plus en plus.
Laurence s'est installée sur le ventre, la tête dans les bras; allongée contre elle Elsa a commencé à lui caresser le dos pour la détendre. Allant lentement de la nuque aux fesses, petites et fermes, faisant penser aux coco de mer que l'on trouve aux Seychelles.
Laurence se détendait et pour preuve elle a écarté les jambes permettant à Elsa d'avoir une vue charmante sur ses longues lèvres brunes dont l'intérieur, rose, semblait passer au lipgloss; preuve que les mains d'Elsa produisaient de l'effet.
Cette dernière a fait glisser un doigt, lentement sur toute la longueur de cette crevasse à jouissance sans pour autant brusquer les choses en allant éveiller un clitoris pourtant prometteur.


Laurence ronronnait comme un chat en disant:

- C'est bon! Continue, tes mains sont douces.

Elsa sentait couler entre ses cuisses son jus d'amour, son abricot étant bien mure et n'attendant que d'être coquer. Mais sentant Laurence pas encore prête, elle s'est assise en tailleur pour se masturber avec lenteur. Elle a attrapé la main de Laurence afin qu'elle l'accompagne dans ce chemin menant au graal. Laurence accompagnait le mouvement le mouvement avec plaisir et efficacité. Elsa s'est allongée contre elle et leurs lèvres se sont collées pour un baisé de jeunes amants, les langues se cherchant, s'enroulant, se déliant pour se rejoindre à nouveau avec fougue.

Ces caresses étaient divines pour l'une comme pour l'autre mais l'ambiance n'était pas de celle permettant l'embrassement des corps.

Après un moment à se mignoter l'une et l'autre décidèrent, d'un commun accord, de partir.

- Tu es en voiture? Demanda Laurence.
- Non, je vais essayer de trouver un taxi.
- Si tu veux, je te ra-compagne.
- Avec plaisir.

Elles partirent dans le petit cabriolet, Laurence mit sa main sur la cuisse d'Elsa qui prit ses doigts.

Arrivées à destination Elsa prit un bloc dans son sac pou y écrire un numéro.

- Je vais faire une entorse à mes principes, en général je ne donne jamais mon numéro dès la première rencontre. Ce portable est une ligne où tu peux laisser un message si tu le souhaites….J'aimerais te revoir avec ton amie et suis certaine que ce sera plus agréable et amical.
- Je ne te promet rien dit Laurence en déposant un chaste baiser sur la bouche de sa rencontre d'un soir.

A suivre…….

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