La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°288)

Suite de l'épisode précédent N°287 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

Toujours dans la douche qui en fait n’est constituée que d’une bonde posée à même le sol au milieu d’une partie carrelée sur la dalle de béton et sur deux côtés de mur, fermé du troisième côté par un simple vitrage totalement transparent qui protège le reste du cachot des éclaboussures d’eau, Thaïs attend encore tremblotante de savoir à quel nouveau traitement elle va être soumise. L’esclave mâle s’approche d’elle, portant un gant de crin qu’il imprègne régulièrement d’eau de Cologne pour en frotter le corps de la belle chienne qui sent maintenant le propre. Il passe sur le dos, longuement sur les fesses et les jambes, mais évite les parties fragiles de l’intimité féminine, ce que Thaïs apprécie largement, car elle commençait à s’inquiéter de la suite des évènements, elle qui avait toujours l’habitude de pratiquer des soins corporels de qualité avec des produits doux et peu agressifs pour entretenir son corps et préserver sa peau au mieux. Mais elle se doute bien que son séjour au Château ne risque pas de ressembler à celui qu’elle aurait pu avoir en centre de Thalassothérapie, et se réconforte en se disant que c’est son choix et son désir le plus cher d’être ici aux pieds de son Maître Vénéré et qu’il n’y a pas d’autre place au monde où elle préférerait être.

- C’est bien ! Tu sors de là maintenant et tu te laves le visage et les dents avec la bassine que tu as là par terre (ajoute l’esclave tout en la remplissant vite fait à l’aide du jet de douche).

Thaïs s’exécute le plus rapidement possible quand elle entend e6942 MDE d’une voix ferme ajouter.

- A quatre pattes, maintenant, nous devons y aller. Mais je dois d’abord te parer de tes atours de petite chienne.

L’esclave défait la grosse chaîne qui est accrochée au cou de la soumise qu’il remplace par une laisse de cuir. Et il lui enfile sans le moindre ménagement et sans aucun gel lubrifiant un plug dans les fesses.

Tu as intérêt à ne pas le perdre à aucun moment de la journée car la punition serait terrible et tu risquerais de la sentir passer au bon endroit, si je peux dire. A toi donc, de contracter tes muscles fessiers pour le maintenir en place quelque soit les mouvements que tu devras faire, c’est très bon comme entraînement pour maintenir une bonne élasticité au niveau de ta rondelle et éviter que ton orifice ne devienne un simple trou béant qui n’apporterait plus guère de plaisir aux queues qui viendraient s’y enfoncer et en particulier la Noble et si Divine Queue de Notre Maître, qui est le seul à pouvoir disposer de ton corps pour Lui ou pour tout ceux à qui IL te livrera suivant son bon vouloir de Dominant…

Thaïs sent la laisse qui se tend et elle commence à se mettre à marcher à quatre pattes sans rien demander de plus que de suivre cet esclave qui doit la conduire suivant les ordres qu’il a lui-même reçu. Thaïs est étonné de voir enfin le jour qui éclaire le couloir dans lequel elle vient de sortir. La faible clarté de l’aurore lui fait comprendre qu’il doit être encore très tôt le matin. Les couloirs sont vides et les portes des autres cachots qu’elle longe sont restées ouvertes. Thaïs se reçoit tout d’un coup sur chaque fesse une forte frappe de la part de l’esclave qui visiblement d’un ton excédé ajoute :

- Tu crois que j’ai été chargé de te faire faire le tour du propriétaire ? Sache que ce n’est pas le cas, et ce n’est pas non plus une visite touristique prévue au programme. Nous sommes attendus pour l’inspection. Tu n’es pas là pour regarder partout en chienne curieuse mais simplement pour avancer sans rien dire et en regardant seulement où tu poses tes pattes de petite chienne. Règle suivante : Quand ton Maître voudra que tu saches quelque chose, IL te le fera savoir en temps voulu, pour le reste, tu te contentes de ne pas poser de questions et de ne pas avoir les yeux et l’esprit fouineur.

Thaïs a baissé depuis encore un peu plus la tête, se contentant maintenant d’avancer en regardant seulement le sol entre ses deux mains posées à plat qui lui tiennent lieu de pattes avant.
Elle est presque triste de s’être fait reprendre pour une bêtise qu’elle aurait pu et dû éviter si sa curiosité et son envie de savoir n’avaient pas pris le dessus. Mais il est vrai qu’elle est tellement excitée d’être enfin dans la si belle demeure de son Maître Vénéré qu’elle voudrait tout apprendre, tout savoir pour mieux le satisfaire, mais qu’elle doit reconnaître que c’est totalement docile qu’elle doit se contenter de le servir en toute humilité. Elle avance dans de longs couloirs aux pierres équarries qui semblent longer divers offices car elle entend des bruits de machines diverses et de chaudière. Elle fini par arriver près de ce qui lui semble être un escalier de service qu’elle doit grimper à quatre pattes, toujours à la suite de l’esclave mâle qu’elle suit pas à pas, qui est aussi nu qu’elle et qui se déplace également pieds nus, mais debout. Les nez de marche lui meurtrissent les genoux mais elle se préoccupe surtout de garder le rythme et de continuer à grimper car l’esclave n’a pas réduit sa vitesse, ce qui rend encore plus difficile la montée.

Au sommet de l’escalier qui aboutit sur un petit palier et après avoir franchi une porte, la belle chienne apprécie de sentir sous ses pieds maintenant un brillant parquet ciré de chêne ancien. Elle n’ose pas lever la tête pour éviter de se faire reprendre une fois de plus, mais elle espère qu’un jour son Maître Vénéré lui permettra de découvrir certaines pièces de son château dont IL se plaisait à lui parler chaque fois qu’elle avait été autorisée à le rencontrer. Elle sent une odeur de cire qui imprègne ses narines et constate que le sol en est presque glissant pour elle qui se déplace à quatre pattes. L’esclave s’arrête tout d’un coup devant une porte sur laquelle il frappe trois coups, ‘’Toc, Toc, Toc’’ :

- Entrez !
- Bonjour, Monsieur. Je vous amène l’esclave-soumise que vous m’avez demandé de préparer. Puis-je rentrer, s’il vous plait ? dit e6942 MDE tout en baissant la tête.

- Oui, approche. Je t’attendais plus tôt, tu en as mis du temps pour arriver jusqu’ici, dit une voix qui n’était pas inconnue à Thaïs
- Je vous prie de me pardonner, Monsieur, c’est le premier matin et elle n’avait pas encore l’habitude. Et puis comme elle sentait vraiment très fort, j’ai du faire un lavage complet avant de pouvoir vous l’amener.
- Qu’as-tu d’autres à me signaler sur ce premier contact ?
- J’ai dû réprimander de deux tapes sur les fesses la chienne qui n’est pas encore dressée car au lieu de se contenter d’avancer elle regardait partout dans les pièces autour. J’ai aussi constaté qu’elle mouillait beaucoup dès que je la touchais pour simplement la laver, mais les jets d’eau froide sont vite venus à bout de cette vraie chienne en chaleur.

Thaïs a reconnu la voix de Walter, le majordome, qu’elle avait rencontré pour la première fois au Château de M….. quand il avait été chargé par Monsieur le Marquis d’Evans de venir la chercher ainsi que les bagages du Châtelain. Elle se sent si honteuse de devoir assister dans cette situation avilissante et cette position humiliante au compte-rendu détaillé de l’esclave et de devoir entendre ses propos si blessants quand il la traite de chienne en chaleur. Elle a beau se dire qu’elle risque de ne pas être au bout de ses peines, car son séjour ne fait que commencer, qu’elle voudrait une fois de plus se faire plus petite qu’une souris pour s’enfuir dans un des trous de la plinthe du parquet (même si elle se doute que le Château bien entretenu ne doit avoir aucun trou de la sorte) et ceci d’autant plus qu’elle reconnaît qu’elle n’est bien que cela une chienne lubrique qui vient de se remettre à mouiller tout excitée paradoxalement par ce type de propos qui la choquent et la dérangent, tout en même temps qu’ils échauffent son esprit concupiscent.

- Bien ! N’oublie pas que tu dois me faire un compte-rendu très détaillé de tout ce qui se passe, dans le cachot et dans tous tes déplacements, car je ne peux pas avoir l’œil partout et m’occuper de tout le cheptel en même temps, surtout de ce type de chienne encore très mal dressée.
Tu peux sortir maintenant et tu attends à l’extérieur de la pièce. Je t’appellerai par la suite, car il faudra que tu la conduises jusqu’aux cuisines pour qu’elle puisse se restaurer un peu, et puis … la passer entre les mains de notre Marie (la cuisinière) lui sera profitable … Monsieur le Marquis n’est pas un affameur et IL prend grand soin de ses esclaves, même s’IL est dur et exigeant avec eux pour leur bien tout autant que son bon plaisir. Tu n’oublies pas de fermer la porte en sortant et attend que je te siffle...

‘’Que je te siffle’’ comme on siffle un chien, cela n’avait pas échappé à Thaïs qui comprenait que tous ici avaient une place bien définies. L’esclave qui était tout juste entré dans la pièce, lâche donc la laisse de Thaïs la déposant sur le sol et ressort comme cela le lui a été ordonné. Thaïs ignore tout de ce qu’elle va avoir à vivre pendant les jours qui vont venir et elle aimerait tant que son Maître Vénéré soit là à ses côtés, mais elle a bien vite compris que le merveilleux week-end qu’elle a pu vivre dans ce Château-Hôtel était vraiment exceptionnel et que la vie ici sera tout autre. Elle va devoir apprendre à n’être qu’une parmi tous les autres, à se contenter de peu ou de rien, à devoir toujours être sur le qui-vive pour donner toutes satisfactions à son Maître… et surtout à ne plus jamais savoir quand elle va pouvoir le revoir et plus exactement quand IL va désirer la voir et la faire venir à Lui. Elle va aussi apprendre à abandonner encore un peu plus son égo, ses états d’âme, son intimité, son libre-arbitre, ses désirs, pour se fondre dans la peau d’une vraie soumise, digne de ce nom et pour se concentrer sur les désirs de son Maître Vénéré et le plaisir qu’elle prend à le satisfaire et à le savoir heureux. Walter s’est levé et s’est approché de Thaïs, dont il vient d’attr la laisse pour la prendre en main fermement, tirant dessus pour la tendre mais pas au point de l’obliger à bouger.

- Alors, soumise Thaïs, te voilà enfin ici, dans l’enceinte du fameux Château de la famille Evans. Tu nous as fait une entrée remarquable et remarquée hier soir. A peine avais-tu franchi la porte que tu avais déjà récolté une première punition qui tombait parce que tu ne savais pas encore fermer la bouche et t’empêcher de crier ! Et tu remets déjà cela ce matin parce que tu ne sais pas garder la tête baissée sans avoir les yeux qui traînent de partout …. J’aviserai et je sévirai tout à l’heure, mais je sens que je vais bien m’amuser avec toi si tu continues sur cette lancée (dit-il d’un ton très pervers et sarcastique). Mets-toi debout que je t’inspecte.

Walter tire sur la laisse pour obliger la soumise à se lever, symboliquement plus pour la contraindre à le faire que de la laisser seule docilement obéir à l’ordre qu’elle vient de recevoir. Il s’approche d’elle pour la renifler, ce que Thaïs trouve particulièrement déshonorant et humiliant, surtout qu’elle sort d’une douche e et glacée, et qu’elle doit ment sentir le propre à défaut de pouvoir embaumer les douces fragrances de son parfum préféré.

- Je dois avouer que c’est mieux. Hier soir, tu puais vraiment l’urine et la bave de chien. Il va falloir qu’on lave ce chenil plus à fond.

Il la penche vers l’avant pour glisser sa main dans la raie des fesses, vérifier le positionnement du plug qui l’empale, en profitant pour le pousser un peu plus sur l’orifice anal et il termine par envoyer sa main dans la chatte humide de la soumise. Thaïs pense qu’il va lui faire lécher ses doigts poisseux, mais elle s’aperçoit qu’il essuie tout simplement sa main en la frottant dans tous les sens sur sa généreuse poitrine et elle reconnaît le geste qu’elle avait ressenti la vieille au soir à son arrivée au Château au moment où elle avait les yeux bandés et la bouche bâillonnée. Elle est sûre maintenant que Walter, le fidèle Majordome du Marquis d’Evans, était celui qui l’attendait quand elle a franchi la petite porte. Walter tire par la laisse Thaïs jusqu’à une table vide qui se trouve sur le côté de la pièce. Il la fait se courber dessus et écarte ses jambes pour les glisser de chaque côté à l’extérieur des pieds. Il lui appuie sur le dos pour la plaquer encore plus sur le plateau, écrasant au passage ses deux mamelles.

- Tu mets les mains sur la nuque et tu ne bouges pas. Tu ne dois pas crier non plus, je ne devrai pas avoir à te redire ce genre de choses. Tu vas recevoir tes deux punitions. Pour cette première fois, elles seront réduites mais ne t’attends pas à ce que je reste clément très longtemps. Tu es là pour apprendre et donc il est normal que tu ne saches pas tout dès le début. Par contre, il n’est pas question de répéter deux fois la même chose et également de te laisser trop de temps pour t’améliorer et faire de réels progrès dans ton comportement, sans recourir à une manière plus forte de t’inculquer quelque chose. Pour aujourd’hui, tu recevras 3 coups de badine pour chacune de tes deux punitions. Si tu ouvres la bouche, ou si tu cries, je recommence à zéro à chaque fois. Et sache que je n’ai pas de temps à perdre, donc mes coups supplémentaires seront largement plus appuyés.

Thaïs entrecroise ses doigts sur la nuque pour pouvoir résister et elle att sa lèvre entre ses dents, regrettant pour une fois de ne pas avoir un bâillon-boule qu’elle pourrait mordre et qui ait ses cris. Walter abat mécaniquement l’ustensile mordant sur les fesses de Thaïs qui arborent aussitôt six fines zébrures rosacées. Thaïs a résisté à la douleur, mais elle est consciente que le majordome n’a pas frappé avec une intensité maximum. Elle voudrait pouvoir lui en être reconnaissante, mais elle ne sait pas comment le faire, e de ne pas ouvrir la bouche avant qu’on ne l’y autorise. Sans lui laisser reprendre ses esprits, Walter att la laisse de la soumise, tirant dessus, il la force à se redresser pour aussi sec la faire se remettre à genoux.

- Petite leçon de plus. Chaque fois que tu seras punie, tu devras ensuite remercier celui qui a dû appliquer la punition en lui baisant la main, et cela bien sûr à genoux. Je pense que tu savais déjà comment remercier ton Maître quand IL s’occupait de toi pour son plaisir mais aussi pour te corriger si nécessaire. Et bien, ici, tu devras faire pareil avec moi, ou avec celui qui aura été chargé d’appliquer la sanction. Cela reste valable pour tout type de punition et tu devras aussi montrer dans ton attitude à la fois de la repentance mais aussi de la gratitude envers de celui qui s’occupe de ton éducation et t’aide à progresser. Alors j’attends !

Thaïs, s’incline respectueusement en direction de la main du majordome qui tient encore la badine entre ses doigts, et elle dépose un baiser du bout des lèvres sur le dessus de la main, avant d’y poser son front en signe de profonde humilité et de réels remerciements, trouvant ce geste approprié à sa reconnaissance pour la magnanimité dont le majordome a su faire preuve pour le début et ses toutes premières erreurs. Walter, se recule et regagne son bureau. De ses deux doigts il se met à siffler rapidement comme on appelle un animal. L’esclave e6942 MDE dehors, habitué à être sifflé, ouvre aussitôt la porte après avoir pris néanmoins la peine de frapper trois fois. Et toujours en baissant la tête :

- Monsieur, Vous m’avez appelé ?
- Oui ! Conduit sans tarder l’esclave-soumise Thaïs aux cuisines où elle est attendue par notre Marie....

(A suivre…..)

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