Leslie Re06

Leslie RE06 – Rêves.
Le gros sexe du beau-père de mon amie Clara

C’est un drôle de rêve qui me reste en mémoire, un rêve qui ne s’est jamais réalisé et pourtant…
J’aurais certainement bien aimé…

« A cette époque j’étais seule dans la vie, j’avais une amie, Clara, rencontrée pensant mes études, nous nous étions liées d’amitié et étions devenues confidentes de nos vies, nous n’avions aucun secret l’une pour l’autre, sur tous les plans, même sexuels…
Nous avions gardé contact et j’allais souvent chez elle, pour échapper à l’incompréhension de mes parents et à leur invitation, car Clara avait des parents merveilleux et compréhensifs.
La mère de Clara veuve, âgée de cinquante ans, vivait depuis plusieurs années avec un homme un peu plus vieux qu’elle, Ugo, un homme grand qui portait ses cinquante-cinq ans avec une certaine prestance, italien d’origine, taillé dans le roc, il dégageait une impression de puissance et une virilité indéniable.
Les parents de Clara étaient au courant de ma situation et l’acceptaient sans se poser de questions, mais je sentais bien qu’Ugo me regardait parfois avec intérêt, mais je n’y voyais pas de mal à ce qu’un homme s’intéresse à une jeune transsexuelle, amis de sa belle-fille…

Nous nous entendions très bien tous les quatre, la mère de Clara était sympathique, encore jolie et attirante malgré ses cinquante ans et ils m’invitaient régulièrement passer quelques jours chez eux et je me plaisais bien en leur compagnie.
Chez eux, la vie était décontractée et il n’était pas rare que nous nous retrouvions tous en peignoir pour le petit déjeuner ou bien que nous traînions à la maison avec un vieux tee-shirt sur le dos, sans rein en dessous, laissant parfois notre imagination vagabonder...
Je me retrouvais souvent dans une robe en jean, toute boutonnée devant pour vaquer et aider aux menus travaux de la maison. J’adorais cette robe laissant souvent entrevoir mes charmes quand je la boutonnais négligemment oubliant de la fermer complètement…
Il est vrai que parfois j’en usais un peu, tentant d’attirer l’attention, laissant Ugo m’épier, admirer qui sait, et peut-être désirer…

Un jour dans mon rêve voilà ce qui s’est passé :
Nous étions au petit déjeuner, et Clara et sa mère devaient aller faire des courses, alors Ugo décida de ranger la réserve au fond du jardin et me proposa de l’aider.


Je portais ce matin-là, mon éternelle petite robe en jean dont j’avais négligé de fermer tous les boutons, laissant apparaitre de temps à autre un sein nu qui sortait du tissu pour prendre l’air au gré de mes mouvements ou le haut d’une cuisse largement découverte entre les pans de ma robe, peut-être plus, je ne saurais le dire…
Tout en dévorant mon croissant, j’ai souri car je viens de surprendre les regards du beau-père de Clara, qui, le nez dans son bol de café, ne perd rien du spectacle.
J’ai l’impression, qu’à cet instant, il serait prêt à me sauter dessus et prendre dans ses bras, pour men prendre sur le champ…
Amusée par cette situation, je termine mon déjeuner de très bonne humeur en me disant que cette matinée va être certainement pleine de surprises.

Il fait bon en cette matinée d’automne, et dès Clara et sa mère parties, avec Ugo nous nous mettons au travail.
Une fois dans la remise, Ugo me demande de lui passer les cartons posés sur une étagère pour faire l’inventaire de ce qu’il y a dedans et pour cela je me retrouve juchée sur un escabeau pour passer un carton à Ugo, il s’en saisit, le pose au sol, se redresse lentement puis pose les mains sur les côtés de l’escabeau comme pour le maintenir en cas de chute.
Il a le visage à hauteur de mes genoux et je sens qu’il se penche à nouveau légèrement. Je suis sûr qu’il est en train de savourer le spectacle que je lui offre presqu’innocemment !
Après tout, il n’a pas tort, c’est un homme et qui ne ferait pas la même chose dans une telle situation, ça m’amuse et je décide de reculer un peu les fesses pour lui en offrir d’avantage, le plus discrètement possible.
Puis je pivote légèrement sur la plus haute marche de l’escabeau, Ugo fait un pas de côté et se retrouve face à moi, il a maintenant sous les yeux mes cuisses largement dévoilées par le tissu mal fermé et, certainement plus.

Cette fois, j’en suis sûr, il profite largement de la situation, je le constate en voyant son vieux jogging et, si mes yeux ne me trompent pas, il n’a rien dessous car, de profil maintenant, j’aperçois une protubérance véritablement indécente !
Il bande comme un cerf, le beau-père de Clara ! Je lui passe un nouveau carton, puis un autre, laissant le tissu de ma robe s’ouvrir au gré de mes mouvements.

A un moment, le carton suivant est plus lourd que les autres, alors je dis :
- Attention ! Celui-là est lourd…
- Leslie ! Attention, ne tombe pas !
- Fort comme tu es, j’espère que tu me rattras !
- Tu sais bien que je veille sur toi !
En riant, je fais semblant de perdre l’équilibre, mais aussitôt Ugo pose ses mains sur mes hanches, me soulève littéralement et me plaque le dos contre lui et me repose au sol, mais me maintenant contre son torse.
- Waouh ! Tu es vraiment costaud ! Dis-je en riant, toujours adossée au beau-père de Clara qui n’a pas lâché mes hanches…

Mais je sens ses mains glisser un peu plus en avant pour me ceinturer et je me retrouve prisonnière des bras puissants d’Ugo.
Dans cette position, je ne peux ignorer l’état dans lequel il se trouve, mes reins collés sur la tige virile qui, à mon sens doit être énorme.
- Ugo ! Qu’est ce qui t’arrive ? Lâche-moi maintenant ! Proteste-je gentiment, sans pour autant essayer de lui échapper.
- Depuis le temps que je rêve de te tenir dans mes bras, j’ai bien l’intention d’en profiter car, ça fait longtemps que je fantasme sur toi ! Tu me rends fou et je ne cesse d’imaginer que je te fais l’amour…
- Oui, tu es complètement fou, tu pourrais être mon père et tu es marié avec la mère de ma meilleure amie…
Mais mes paroles ne semblent pas l’intimider, car ses mains remontent le long de mon corps pour venir se plaquer sous ma poitrine puis, lentement, écarter le tissu, laissant jaillir mes deux seins gonflés dont les pointes sont déjà érigées.
Du bout des doigts, il frôle ma peau avant d’emprisonner un globe offert, me faisant gémir et à cet instant je ne proteste plus…

Abandonnée dans les bras musclés, je bascule la tête en arrière, sur l’épaule d’Ugo et cette fois ses mains courent sur l’avant de ma robe qui cède, découvrant totalement mon corps frémissant. Il profite de mon abandon pour glisser une main sur mon entrejambe à la recherche de mon sexe, tout en pétrissant un de mes seins de l’autre.

Sa main passe sous mon string ne contenant plus mon sexe bandé et Ugo s’en saisit et il commence à me branler et je ne peux retenir un cri lorsque je jouis sous ses doigts virils, tétanisée entre ses bras.
Quand je reprends lentement mes esprits, Ugo me soutient toujours, il me fait pivoter vers lui, cherche mes lèvres, que je lui abandonne en un long baiser alors qu’il caresse encore mon dos, mes reins, mes fesses.
Je ne reste pas inactive, et je pose ma main sur la bosse indécente qui orne encore son jogging et je m’exclame :
- Mon dieu que tu es gros… !
Mais je ne peux m’empêcher d’empoigner cette tige raide sur laquelle j’entame une caresse au travers du tissu.
Nous échangeons un nouveau baiser puis je me laisse glisser entre les bras d’Ugo pour me retrouver à genoux, le visage à hauteur de son énorme sexe, encore caché par le tissu du jogging. Des deux mains je tire lentement sur le tissu et c’est en effet un sexe monstrueux qui se dresse sous mes yeux, tendu, raide comme un bâton, le gland violacé terminant une tige de chair épaisse, d’une longueur incroyable.

Je reste béate, comme hypnotisée par ce membre hors normes, je tends la main et me saisis du mandrin frémissant et commence de lents va-et-vient, coulissant du gland jusque aux bourses velues et Ugo laisse échapper un long soupir en tendant le ventre en avant.
Je lève mon visage vers Ugo tout en continuant à flatter le pieu fièrement dressé, en disant :
- Waouh ! C’est démentiel un engin pareil ! J’espère que tu aimes mes caresses…
- Oh oui, Leslie ! Tu vois dans quel état tu me mets !
Puis j’abaisse mon visage pour admirer ce sexe dont ma main ne parvient pas à faire le tour puis me penche lentement en avant.
Puis j’approche ma bouche de ce membre et mes lèvres frôlent le gland luisant, s’ourlent autour puis embouchent l’engin vivant que j’enfonce doucement dans ma gorge.
Je suis certaine que mon visage est déformé par le manche palpitant que j’avale lentement, le ressortant parfois pour mieux l’engloutir encore… Je bande presque autant qu’Ugo qui se laisse sucer en gémissant de plus en plus fort !

Je pompe le dard viril comme si ma vie en dépendait ! Je me sens complètement folle de ce membre et j’ai les mains sur les fesses d’Ugo, comme pour l’empêcher de m’échapper…
Soudain, après un long moment, brusquement il pousse un véritable cri, se tend comme un arc et explose longuement dans ma gorge, j’ai un hoquet, mais je déglutis plusieurs fois, avalant les giclées de semence qui inondent mon palais et ma gorge.

Je continue ma caresse un instant, laissant la tige énorme perdre un peu de sa virilité puis l’abandonne pour la caresser doucement du bout des doigts.
Ugo reprend ses esprits et je me relève et nous échangeons encore un baiser.
- C’était délicieux, tu es vraiment pas ordinaire, je n’aurais jamais imaginé que tout ceci arrive, mais maintenant j’ai envie de faire plus encore !
- Toi aussi tu es un homme admirable et j’aimerais que tu me fasses l’amour ! Mais Clara et ta femme ne vont pas tarder à rentrer. Soyons sages, nous aurons une autre occasion ! Et en disant cela je referme ma robe tandis que Ugo se rajuste pour se retrouver lui aussi une tenue plus décente.
Je me suis éclipsée aussitôt pour aller prendre une douche et attendre tranquillement le retour de mon amie et sa mère, non sans penser au membre d’Ugo et de la suite de nos futures aventures… »

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!