Sur Les Berges D'Un Lac

Par une journée chaude été où le facteur humidex dépassait le seuil de tolérance, j’avais proposé à mon amant d’aller nous rafraîchir à la plage. Me rappelant qu’il n’était plus un jeune homme, George prétendait qu’il serait moins embarrassé d’y aller avec notre bon amis Gilbert.

Veuf depuis quelques années, Gilbert 64 ans était un homme très actif. Pratiquant plusieurs activités, il disait ne pas avoir de temps pour la vie amoureuse mais être entièrement satisfait les plaisirs sexuelles qu’il s’offrait avec nous.

Top de préférence, comme George ne possédait plus une érections assez dur pour me pénétrer, l’érection de Gilbert m’apparaissait comme une révélation divine à chaque fois qu’il me la présentait. Mature à souhait, je bandais sur les quelques tâches de vieillissement qui agrémentait son gland. Droit et bien dressé dans les airs, elle avait fière allure. Ainsi, avec ses longes veines qui longeaient sa verge, ça lui donnait plus de jeux pour me travailler l’anus.

Faisant mouillé ma rondelle à chaque fois, j’adorais lorsqu’il relâchait son sperme chaud et bouillant en moi. Ainsi j’avais l’impression que nous formions qu’un. Retransmit à George, j’avais toujours l’impression que ce multiple de trois n’était qu’unitaire.

D’un diamètre respectable, j’étais amoureux de ces 5 pouces de queue. La grosse tête décapé de son gland était tout a fait remarquable lors de son passage dans mes entrailles.

Aimant embrasser, se coller et baisé, il avait tout les caractéristique de l’amant que nous pouvions recherché. N’ayant pas aucun tabou, nous avions un plaisirs fou à baisé en tout intimité. Ainsi au téléphone, Gilbert racontait qu’il avait déjà connu un couple d’ami qui lui avait raconter une baise extraordinaire sur une plage isolé.

En retrait de la ville, cette plage peu fréquenté semblait être l’endroit désigné retrouver l’intimité désiré. Décrivant ce lieux comme étant un paradis sur terre, Gilbert affirmait que les arbres qui bordaient la rive du Lac offraient tout l’ombrage désiré aux tourtereaux qui avait envie de faire l’amour sans se faire prendre.



Rêvassant de voir le vent stimuler nos verge pour mieux me faire prendre en pleine nature, George et Gilbert ont rapidement manifesté leurs engouements sur les jouissances qu’ils pourraient se procurer.

Après avoir raccroché le combiné du téléphone, j’ai préparé quelques sandwichs pour soutenir le vente de mes hommes pour la journée. Affirmant qu’il serait plaisant d’apporter la crème fouetté, je pris le pot de sauce au chocolat en prenant pour acquis que le lac serait à porté de main si l’ont voulaient se nettoyé.

Allant chercher Gilbert à la porte de sa demeure, nous nous sommes mit en route pour cette plage de plaisirs. La bonne ambiance se faisant sentir dans la camionnette à écourté la longueur du trajet.

Ce stationnant au bout d’un rang, ce lieu désertique nous rassurait en découvrant un taux d’achalandage inexistant. Marchand en bordure du boisé pour s’assurer de notre solitude, lorsque nous avons atteint la plage, nous nous sommes réjouis doublement d’être si isolé.

Surexcité, nous nous sommes mis rapidement à l’aise en étendant nos serviettes sur la plage pour mieux se dénudé. Se réjouissant de cette belle journée, nous avons été nous baignés.

Savourant la nudité de mes hommes qui entraient nus et sans retenues dans les eaux du lac, les caresses et accolades sont rapidement apparut. Observant ce territoire inoccupé, je bandais à l’idée de me faire prendre.

S’amusant dans l’eau, nous avons fini par se rapprocher de la berge où je me suis étendu sur ventre dans les eaux peu profondes. Mes fesses sortant de l’eau, Gilbert venait s’installer par dessus mes jambes pour ouvrir mes fesses et laissé l’eau couler entre celle-ci. Les vagues effleurant mon anus au même moment qu’elles atteignaient le rivage stimulait doublement ma rondelle.

Ainsi mon ventre placarder contre le sol, ma verge s’érigeait dans le sable. Ma faim interpellant le désir de George m’a offert spontanément sa verge flasque qui coulait abondamment.
Me régalant de ce met de choix, Gilbert en profitait pour s’enfoncer dans mes profondeur.

Jouissant au plus haut niveau, ma verge s’enfonçait encore plus profondément dans le sable alors que Gilbert se reposait au fond de mes entrailles. Ainsi j’ai glissé ma langue le long de la verge de George pour atteindre ses lourdes testicules et lui dévorer l’anus.

Savourant sa rondelle à haute voie, George m’a demandé de le pénétrer en ouvrant ses jambes grandement. Embrassant sa rondelle une dernière fois, j’ai fini par atteindre ses profondeurs. Se régalant de notre plaisir, Gilbert en a profité pour commencer à me travailler l’anus pendant que ma langue tournoyait autour de celle de George.

Plus que Gilbert me travaillait l’anus, plus que je le laissais me conduire vers le summum de ma jouissance. M’abandonnant complètement en George par l’entre mise des coups de butoir de Gilbert,

j’embrassais passionnément George lorsque ma libido à plafonné et que je n’ai pas été capable de me retenir plus longuement. Ainsi j’ai jouis abondamment dans les profondeur de cette douceur.

Continuant de me pistonner jusqu’à ma dernière giclé porté en George, Gilbert à prit un pose au fond de mon canal lorsqu’il a sentit mes muscles se détendre.

Incitant Gilbert et George à me remettre tout leur jus, Gilbert nous a proposé de remettre ça à plus tard puisqu’il avait en tête de jouer dans la sauce au chocolat. George affirmant que Gilbert avait eu une excellente idée, Gilbert a prit soin de me nettoyé l’anus et la queue. Amoureux, nous sommes aller nous reposé totalement dénudé sur nos serviettes.

Appréciant la belle température et mes hommes qui étaient toujours aussi collés sur moi, je me suis endormit paisiblement dans les bras de George alors que Gilbert me caressait tendrement tout en me désirant.

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