Ma Femme

Dans mon denier récit, Laurence était à l'honneur :

http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18425

Cette femme occupa longtemps mes pensées. Je ne sais pas pourquoi mais après notre aventure d'un soir, j'étais devenu plus calme. Je n'avais plus de roue de secours sous la main car Sandy avait mit fin à notre "collaboration" car elle s'était trouvée un copain. Malgré cela, je me sentais zen.
Un jour, un copain du lycée me proposa de l'accompagner "à la ville" (dont je ne citerai pas le nom) pour aller rencontrer sa copine d'internet.
Ils "sortaient" ensemble depuis quelques semaines. Ils avaient prévu de me coller une copine à elle pour ne pas que j'ai à tenir la chandelle.
Avec peu d'entrain, j'acceptais en me disant que cela aller me changer les idées. Le fait qu'on me colle dans les pattes une fille que je n'avais jamais vu m'agaçait un peu. Surtout connaissant mon copain... j'allais me retrouver avec une nunuche ou une coincée (ou les deux).
Après 2h de train, on arrivait enfin.
Mon copain se fit sauter dessus par sa "copine" alors que moi je fit la bise à une nunuche coincée au physique que je n’appréciais pas du tout...
Je sentais que la journée allait être très longue.
Une lueur d'espoir me remonta le moral quand la copine de mon pote nous annonça que nous allions être rejoins par une autre copine ! Je me dit que cela ne pouvait pas être pire que maintenant.
Quand Béatrice (que j’appellerai ainsi) apparu au loin, un sourire ce traça sur mes lèvres. Elle était très belle ! C'est le jour de notre rencontre, ma femme et moi.

Coup de foudre...

La suite est simple. C'est dans le train que je passais mes vendredis soir pour rejoindre ma douce. Elle vivait avec sa mère et sa sœur dans un petit duplex en piteux état. Le divorce avait ruiné la mère et l'avait rendu tantôt amère, tantôt dépressive. C'est dans ce contexte que Béatrice passa son enfance.

Elle avait tissé des liens fort avec sa sœur et sa mère. Elles riaient beaucoup ensemble mais en dehors de son appartement, Béatrice était très timide et avec une petite voix. Se fut une épreuve quand elle se força à me parler à notre rencontre et je fus immédiatement sous le charme.

Timide avec les gens qu'elle ne connait pas mais avec ceux qu'elle connait...

Notre première fois fut le week-end après notre rencontre. Alors qu'on était tous les 4 à discuter dans la chambre de Béatrice (mon pote, moi, et nos copines respectives), les deux couples se tournèrent chacun de leur coté pour "roucouler". Après m'être assuré que Béatrice était bien réceptive (grâce à mes doigts) cette dernière m'entraina dans la chambre de sa sœur (absente). Ce ne fut pas exceptionnel. J'étais de nouveau trop pressé. Après un cunnilingus, je m'empressai de prendre Béatrice en missionnaire... bref...

Le week-end d'après, je dormais pour la première fois chez Béatrice. Après un repas interminable (ça n'a toujours pas changé d'ailleurs) je me retrouvais enfin seul avec elle dans sa chambre. Nous étions tous les deux mal à l'aise comme des gamins. Cette fois ci j'étais amoureux et je ne voulais rien gâcher. Après s'être embrassé longuement, quelques caresses par dessus les vêtements, des "je t'aime" au creux de l'oreille, c'est finalement entièrement nu qu'on s'est retrouvé allongé sur le lit. Il fallait que je m'occupe bien d'elle. Avec douceur et sensualité.
Durant nos premiers ébats, on ne se parlait presque pas et je n'avais pas osé demander des choses croustillantes à Béatrice. C'était donc tout pour elle. Même mes cunnilingus n'étaient pas aussi "appuyés" qu'avec mes précédentes conquêtes.
Béatrice m’avoua que j'étais son deuxième partenaire. Elle avait 19 ans (et moi 20) donc elle n'avait pas autant d'expérience que moi. Il fallait donc que je "l'éduque" en douceur. Après tout on avait couché ensemble au bout de notre deuxième rencart, sans qu'on se connaisse plus que cela, et sans préservatif.
Je pensais donc qu'elle allait être plutôt ouverte.

Le troisième week-end, c'est toujours aussi amoureux que commencèrent nos ébats. Le vendredi soir, après avoir fait l'amour, Béatrice m'annonça qu'elle devait avoir ses règles le lendemain. Elle dormit avec une protection et je me contentai de bisous.
Le lendemain soir, on parlait de tout. On avait les mêmes gouts en cinéma et série. On parlait de nos vies, de nos rêves, de nos familles.
On était bien et on fini par s'enlacer et à s'embrasser langoureusement. Après quelques caresses ciblés, Béatrice prit la parole.

Béatrice : Tu sais que je peux rien faire ce soir...?

Nelson : Oui je sais, mais j'ai tellement envie de toi !

B : Je sais moi aussi ! Mais bon... Je peux juste te caresser...

Béatrice et moi étions collé l'un à l'autre. On s'embrassait de plus belle. J'avais passé ma main sous son haut pour caresser ses seins alors que Béatrice me masturbait avec entrain. J'avais baissé mon jean's à mi cuisse pour lui faciliter la tache. C'est à ce moment que je décidai de lui demander un petit peu plus.

N : Béatrice, j'ai envie de te demander quelque chose.

B : Oui ?

N : Est ce que tu... peux me faire une fellation ?

B : ...Oui.

Visiblement, elle n'avais peut être pas osé le faire d'elle même. Le fait qu'elle s’exécute sur le champs sans sourciller décupla mon excitation.
Je lui caressais les cheveux et machinalement, j'accompagnais ses vas et viens en bougeant le bassin. Béatrice me suçait divinement bien. Elle était toute timide en temps normal mais là elle s'appliquait à merveille. A un moment elle sorti mon sexe de sa bouche pour me masturber assez vite. Son regard candide croisa le mien et je ne pus m’empêcher de lui faire un compliment.

N : Oh Béatrice, tu fais ça trop bien ! Tu l'avais déjà fait avant ? (On se souvient encore de cette question bête)

B : .
.. Oui...

Sur le coup, je m'en voulais d'avoir poser ma question car je la voyais en train de sucer un autre que moi. Béatrice le senti et remit mon sexe dans sa bouche pour le sucer de plus belle. Ce traitement dura encore quelque minute avant qu'elle ne m'adresse à nouveau la parole.

B : ...Par contre... tu pourras me prévenir ?

N : Heu... oui...ben là ça vient !

Béatrice retroussa mon tee-shirt sous ma gorge. Elle continua de me masturber jusqu'à ce que j’éjacule sur mon ventre. Elle me regardait en pinçant ses lèvres, timidement, mais satisfaite de m'avoir fait jouir. Après ce doux traitement, je me mis nu pour m'endormir blotti dans ses bras. Durant la nuit, nous échangèrent quelques baisers et Béatrice massa tendrement mon sexe pour finalement me dire :

B : Aller au dodo !

N : On recommencera demain ?

B : ... On verra ! (On verra est son éternelle réponse à mes demandes coquines).

Le lendemain, après être descendu déjeuner, j'étais pressé de prendre ma douche pour me retrouver de nouveau seul avec ma chérie. Une fois sa douche prise, elle entra dans sa chambre en sous vêtement en prévenant sa sœur que la place était libre. J'étais allongé sur le lit en train de lire. Elle vint s'allonger à coté de moi pour lire par dessus mon épaule. C'était mon époque manga et j'avais converti Béatrice à cette lecture. Celle ci lisait mais moi je ne pouvais plus décrocher mon regard de ses seins cachés par ce maigre tissu. Je passai ma main dans son dos pour décrocher son soutient gorge. Une fois ses seins libres, je les malaxai et je les suçai. Béatrice se laissait faire. Ne voyant pas d'initiative de sa part, je lui dit :

N : On fait comme hier ?

B : Si tu veux.

Cette fois ci c'est elle qui baissa mon jean's. Lorsqu'elle prit place pour s'allonger sur le coté, je pus voir sa protection sous son slip.
Cette vision ne me laissa pas indifférent.
Béatrice me suçait aussi bien que la veille. Je sentais qu'elle voulait vraiment me faire plaisir malgré son indisponibilité. Je me suis dis que je pouvais tenter de lui demander un supplément.

N : T'es vraiment trop douée !

B : C'est vrai ? (le fait qu'elle me réponde en me suçant m’excitait vraiment)

N : Oui ma chérie, j'aime comme tu me regardes, tu es trop belle. (Béatrice se pinça les lèvres et rougie, signe que mes compliments l'avaient atteint)

B : Ça te plait alors...?

N : Oui ma chérie ! Tu es trop forte !

Il fallait que je lui demande. Elle était prête à l'entendre.

N : Tu veux pas essayer un truc ?

B : Heu... quoi ?

N : Je veux pas te choquer hein ! Si tu veux pas tu le dis.

B : Ben je me doute bien de ce que c'est... (Elle s'arrêta un moment)

N : Tu es d'accord ?

B : Ben je sais pas dis moi ce que c'est quand même. (Elle n'a jamais appeler les pratiques sexuelles par leur nom)

N : Ben... Tu veux pas essayer d'avaler ? Mais si tu veux hein !

B : Mouais... (Après un petit moment de réflexion elle se décida) Ok je veux bien essayer mais préviens moi.

N : Oui oui ma chérie, je te dirais.

Cette fois ci, Béatrice repris la fellation avec une petite appréhension. Je l'avais perçu et pour l'aider je lui fis plein de compliments.
Elle finit par reprendre comme une petite cochonne. Elle sortait mon sexe de sa bouche qu'elle laissait grande ouverte pour me branler contre sa langue. Ma main avait gagné ses seins et je roulais ses tétons sous mes doigts. Béatrice lâcha un "mmm" et je compris qu'elle n'était pas indifférente à ses caresses. Je lui pinçais les tétons et cela la faisait sursauter. J'aimais la voir comme ça et il fallut que je la prévienne de ma jouissance. Béatrice avala tout comme il fallait.

N : Ahhh ma chérie, c'est trop bien !

B : Ça t'a plu ?

N : Carrément ! Et toi ça va ? Je... t'ai pas trop choqué ?

B : Non... non ça va...

N : Tu es sur hein, tu me dis si ça va pas.

B : Si si, ça va, t'inquiètes pas.

N : C'est juste que tu es tellement merveilleuse comme fille que je ne veux pas te faire peur en passant pour un pervers.

B : Mais ça va... c'est un peu nouveau pour moi mais ça va.... J'aime bien...

Béatrice me confia cet aveux juste avant de se pencher de nouveau sur mon sexe. En me masturbant tout doucement, elle avait fait perler mes dernières goutes de sperme sur le bout de mon gland. Elle les aspira très vite en suçant une dernière fois mon sexe avant de me dire :

B : Tu vois ?

N : Oh purée oui !

C'était la première fois qu'elle me surprenais...



Les semaines passèrent et nous étions toujours plus complices. Nous faisions l'amour de manière plus torride à chaque nouvelles fois. Béatrice se laissait guidé docilement sans jamais refusé mes demandes. Notre premier 69 fut magnifique. Béatrice voulait bien avaler mon sperme si on ne faisait que cela. Autrement dit, elle ne voulait pas croisé le gout de son sexe sur le mien. Il me fallut quelques semaines pour la convaincre de gouter à sa chatte uniquement avec ses doigts. Elle n'y voyait pas de grande sensation mais quand elle vu mon excitation, elle accepta finalement d'essayer de me sucer après s'être fait prendre. Elle n'aimait pas. Cela risquait de la dégouter de la fellation "propre" alors c'est à ce moment que je lui proposai d’éjaculer simplement sur son visage. Ça elle accepta facilement.
Nos positions changèrent également. Mon plus grand plaisir était de la voir sur ses pieds en train de bouger son bassin sur mon sexe. Je l'aidais en soulevant ses fesses et j'avais le droit de glisser mon doigt dans son anus. Lorsque Béatrice jouissait, elle se retenait tellement de faire du bruit que parfais elle en pleurait. Elle était magnifique à voir.
Sa première sodomie fut un échec mais les suivantes remplaçaient le coït normal pendant ses règles. Bref, j'étais aux anges avec Béatrice.
Elle était toujours d'un tempérament calme et réservé mais une fois nue, je pouvais faire d'elle ce que je voulais.

On se rappelle encore d'une fois où je la prenais en levrette dans sa salle de bain. On avait pris l'habitude de se laver ensemble pour faire des cochonneries salissantes. Juste avant le bouquet final, Béatrice se dépêchait de se retourner et de se mettre à genoux. Elle avait la bouche grande ouverte et la langue tendu alors que je me masturbais frénétiquement dans le but de lui remplir. Cette fois ci, au moment où mon premier jet de sperme toucha sa langue, sa sœur toqua à la porte pour lui demander un truc. Elle ne savait pas que nous étions tous les deux. Et bien Béatrice fit comme si de rien n'était. Elle répondit à sa sœur calmement alors que je lui recouvrais le visage de sperme. Une fois sa sœur partie, on éclata de rire sans faire de bruit. Je n'oublierais jamais son sourire bordé de sperme. Je m’arrêtai net pour lui dire qu'elle était trop belle comme cela. Béatrice marqua un temps d'arrêt, elle me sourit de nouveau et reprit mon sexe dans sa bouche alors que je venais de la prendre juste avant... Depuis ce jour là, elle n'était plus dégoutée de le faire.

Béatrice devenait de plus en plus ouverte à mes demandes. Quand elle venait chez moi, nous faisions l’amour dans la nature. Je la faisais systématiquement retirer sa culotte quand elle portait des jupes. Je me souviens d'un après midi où je l'ai mis au défit de marcher nue sur 500 mètres. Tous nos ébats se faisaient dans la sensualité. Même le jour où elle me fit une fellation en voiture, sans que je lui demande, c'était sensuel. Même quand je lui ai demandé, sur un coup de tête, de s'empaler sur le levier de vitesse, c'était sensuel. On s'aimait et le sexe était la finalité de notre amour, sa concrétisation.
J'en demandais toujours plus à ma chérie. Elle avait peur d'être surprise quand on faisait des trucs en extérieurs. La plus grande "peur" de notre vie, c'est alors qu'on venait de faire un 69 sur le canapé de son salon. C'était la nuit. On regardé une connerie à la TV. Béatrice avait sa jupe longue en froufrou. Alors que j'étais sur le point d'éjaculer dans sa bouche, ma langue dérapa sur son anus. Elle est chatouilleuse de ce trou et du coup elle sursauta en faisant sortir mon sexe de sa bouche. C'est sur son front que fini mon sperme. Rien de bien grave, sauf qu'au même moment sa mère s’apprêtait à descendre les escalier pour aller aux toilettes. Après un quart de seconde de panique, Béatrice fit semblant de dormir sur mes genoux. A 2 secondes près on était grillé.
Moins grave mais tout aussi gênant, c'est dans un magasin de chaussure qu'on s'est fait griller pour de bon. Alors que Béatrice essayait une paire, assise en jupe un peu plus courte cette fois, j'ai profité de l'occasion qu'il n'y avait personne d'autre que nous pour faire un petit cunnilingus rapide à ma chérie. C'est au moment de payer que la vendeuse nous a dit qu'il n'y avait peut être personne mais qu'il y avait des caméras...

Après ça on s'est un peu calmé en extérieur. La situation s'est d'ailleurs un peu dégradé entre nous. Cela faisait un an qu'on se voyait uniquement les week-end. Moi j'avais fais un bref passage dans l'armée et c'est finalement avec mon père que j'ai travaillé. Béatrice faisait ses études pour devenir infirmière mais elle trouva un boulot d'appoint un week-end sur deux. C'était dur de ne plus se voir tous les 5 jours.
De mon coté, les soirée entre copain me faisait un peu oublier ma chérie alors qu'elle, elle en bavait avec sa mère et sa sœur un peu paresseuse.
C'est à ce moment que les premières disputes accompagnées des "tu viens me voir que pour le sexe" firent leur apparition. Notre complicité en prit un coup... Et nos rapports n’eurent plus la même saveur... Fini les trucs filmé, le sperme avalé, les positions trop osées. Le stresse de ses études avait gagné le dessus. Lorsqu'elle prit du poids ce fut encore pire. Mais cette période me rappelle un très bon souvenir. C'était les 20 ans d'un copain. Une soirée bien arrosait nous attendait. Mais Béatrice, fatiguée de sa semaine de stage, eu un soucis avec l'alcool. A peine au milieu de la soirée, alors qu'un ami lui avait trop resservi son verre, elle s'écroula sur moi pour finir par vomir par terre. Heureusement qu'on était dans la nature ! Béatrice fini la soirée dans la voiture. Une fois terminé, je rentrai chez mes parents avec ma chérie bien endormie.
A la maison, je l'ai prise par les épaules pour la faire avancer jusqu'à la salle de bain du rez de chaussé. Je l'ai lavé en admirant son nouveau corps rond. Elle était vraiment jolie avec ses formes. Une fois sa chemise de nuit enfilée, je l'a fit monter les escaliers jusqu'à ma chambre. J'avais bien l'intention de profiter d'elle !
Béatrice s'était mise à parler de n'importe quoi. Elle était encore vraiment ivre. Je l'ai mise assis sur le lit pour lui parler.

N : Ma chérie ? Ça va ?

B : ....J'suis désolé j'ai gâché ta soirée...

N : Mais non t'inquiètes pas, je t'ai lavé, t'es toute propre !

B : ...T'es trop choux...

Je décidai de lui retirer la chemise de nuit. Moi j'étais déjà nu mais Béatrice ne l'avait même pas remarqué.

B : Tu fais quoi ?

N : Je te déshabille, et parles moins fort, tu vas réveiller mes parents.

B : Pourquoi faire ? .... Tu vas me baiser ?

N : Ouais et comme une salope !

Sur ces mots, je fis basculer Béatrice en arrière et je lui fit un cunnilingus de folie. J'écartai sa chatte au maximum et je frottai son clitoris à toute vitesse. Elle ne réagissait pas mais je m'en fichais. Il était pour moi ce cunnilingus. Ensuite, je me mis rapidement à genoux au dessus d'elle pour lui enfourner mon sexe dans la bouche. Malgré son ivresse, Béatrice suçait encore convenablement.

N : Ah ça t'as pas oublié, hein petite salope ! (J'étais déchainé par l’excitation et surement par l'alcool aussi)

B : MMMM ! Ben non... MMMM ... J'suis une salope...

N : Oh tu vas voir toi, je vais te prendre !

Béatrice me parlait comme cela pour la première fois. Fou d’excitation je me mis en position du missionnaire sur elle pour la prendre de toutes mes forces. Elle avait un peu perdu son entrain. Alors je me remis à genoux pour me faire sucer.

B : Elle sent ma chatte...

N : Oui vas y elle sent bon hein !

B : Bof... (Béatrice se mit à jouer avec mon sexe !) Eh dis donc t'es allé où pour sentir comme ça ?

N : Ouvres la bouche !

De voir ma copine faire l'andouille avec mon sexe me fit jouir. Son visage était recouvert de sperme car elle n'eut pas le temps d'avaler. Béatrice s’effondra de fatigue. Une fois de plus il fallut que je la nettoie mais avant, je pris le soin de la prendre en photo pour lui montrer le lendemain.
Malheureusement elle n’apprécia pas mon initiative et me fis tout supprimer...

Les années passèrent...
Béatrice s'installa avec moi dans ma région, nous avons eu 2 magnifiques garçons, et avons acheté notre maison dans le village de mes parents.
Le sexe n'était plus au cœur de notre relation. J'étais vraiment frustré et je décidai de succomber à mes pulsions.
Mes aventures "extra-conjugal" feront l'objet d'un futur récit.

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