Après La Nuit Orgiaque - Série Les Talons Rouges (Épisode N°15)

Après la nuit orgiaque - série Les talons rouges (épisode N°15)


Agathe, Gaëlle et Jacques ont entrepris de dépraver Gilles notaire de la famille et Virginie son épouse plantureuse en les initiant au Strip-Poker. Puis l'innocente Virginie après avoir été initiée aux amours de groupe est dépucelée de son dodu cul de bourgeoise par le beau Jacques, pour qu’enfin, les cinq protagonistes se mélangent à profusion dans une nuit voluptueuse.

Après la libidineuse nuit qui s’est déroulée au château de Garralda dans les appartements d’Agathe, la belle quadragénaire célibataire, initiée par Jacques aux jeux de l’amour, aidée en cela par sa sœur Gaëlle, l’épouse du comte, propriétaire du lieu, à laquelle ont participé Gilles et Virginie, dévoyés par Jacques et les deux sœurs, le reste du week-end se déroule presque calmement.

Pourtant, la nuit suivante, Virginie est prêtée par son mari au beau Jacques, qui lui fait l’amour dans sa chambre sans artifices cette fois. Il profite sans vergogne du corps épanouit de la jeune notable bayonnaise. Après que la plantureuse bourgeoise se soit servie de ses lèvres et de sa langue pour lui offrir une fellation savoureuse à souhaits, Jacques la baise tendrement avant de lui murmurer son envie de l’enculer. Virginie rougit des propos crus que son compagnon lui susurre, mais, se souvenant de son initiation de la veille, elle se prête sans murmurer aux manœuvres audacieuses qui stimulent son œillet anal, crispant ses mains sur ses fesses disjointes pour que Jacques introduise son vit dans sa croupe. Lorsque le membre coulisse parfaitement dans sa gaine rectale et que Jacques passant une main sous son ventre, titille son clitoris, elle se laisse aller à répondre de tout son bassin aux coups du dard qui lui défonce son gros derrière. Elle prend un plaisir masochiste à se savoir dominer par l’homme qui la sodomise ainsi, offrant son cul haut levé alors que sa tête, posée sur le lit, accentue encore sa soumission.

Jacques, tout en l’enculant proprement, flatte ses fesses et ses reins, agaçant le mamelon d’un de ses seins, puis claquant sans ménagement le postérieur tout en pistonnant l’anus, faisant crier la femme sous la douleur des coups qui rougissent bientôt sa croupe agitée de soubresauts :

- Oh ! Mon Dieu, gémit-elle d'une voix brisée étouffée par les sanglots. Oh Mon Dieu !.......... c'est affreux Jacques ! Vous me faites mal ! Doucement, je vous en supplie ! Non ! Continuez mon chéri ! Oui ! Non ! Non ! Ah ! Encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! Oh ! Doucement ! Mais continuez ! Oui ! Oui ! N'arrêtez pas surtout, Oh ! Encoorrrr !... Vous me faites mal, mais continuez.... Oui ! Oui ! Ah ! Aaarrrrrrrr....... aaaaarrrrrrrrrr...

Virginie découvre non sans stupeur, que la souffrance peut être aussi la cause de sa jouissance. Cette nuit, Jacques lui fera découvrir tout ce que son corps peut lui offrir comme volupté. Non décidément, elle ne peut regretter ce que son mari lui permette de vivre, appréciant ce jeune amant qui la tourmente et l’aime charnellement à la fois. Elle laisse même Jacques lui fouetter ses fesses avec un martinet, offrant son derrière, et même son entrejambe et ses seins aux lanières qui la cinglent, d’abord mollement, puis graduellement plus vigoureusement, jusqu’aux derniers coups donnés violemment. Elle est très étonnée de se retrouver trempée après cette correction, surtout lorsque Jacques lui doigte son vagin jusqu’à ce qu’elle explose dans un orgasme fabuleux.

Jacques passe plus d’une heure à lui passer des onguents pour calmer les brûlures occasionnées par les lanières en cuir. Puis, il entreprend de caresser habilement la voluptueuse bourgeoise, il laisse ses doigts parcourir lentement le chemin, qui mène de la chair si douce et si tendre de l'intérieur du haut des cuisses, jusqu'à la vulve entrouverte. Elle gémit doucement sous les attouchements qui se font de plus en plus précis. Les doigts explorent le tour du vagin, frottent légèrement contre le capuchon du clitoris, certains se glissent bientôt dans la vulve qui s'entrouvre.
Jacques constate que l'antre dans lequel ses doigts sont plongés est très chaud et qu'il s'humidifie de la mouille que la jeune femme secrète à son corps défendant. Il caresse maintenant le clitoris qu'il a décapuchonné entre deux doigts. Elle halète maintenant du plaisir qu'elle contient à peine, ses jambes s'agitant en cadence. Jacques caresse tout doucement le bouton d'amour, faisant pousser à la jeune femme de petits cris.

- Oh ! Oui, oui, doucement mon chéri, continuez, Oh ! Que c'est bon, j'adore, vos doigts sont diaboliques. Oui ! Oui ! Encore Oh ! Ouiiiiiiiii, mon amour !

Virginie se pâme soudain, s'abandonnant dans une torpeur diffuse, elle est étendue raide, les jambes et les cuisses grandes ouvertes. Jacques s'est redressé, et profitant de la position de la jeune femme, il s'agenouille entre ses jambes et il lui embrasse l'intérieur des cuisses, à l'endroit où c'est le plus tendre. Virginie gémit. Jacques hume le fumet qui se dégage du bas-ventre de la femme, tout en posant ses lèvres sur le sexe féminin. Il darde sa langue et la glisse entre les parois étroites de la vulve, léchant avec vigueur la liqueur vaginale qui s'écoule abondamment de la chatte sollicitée. Sa langue, après avoir lapé le foutre féminin, remonte vers le clitoris, puis le prenant entre ses lèvres, Jacques le suce comme un bonbon. Cette fois Virginie qui se trémoussait jusqu'ici, a de brusques soubresauts. Maintenant, Jacques qui a saisi ses deux cuisses dans ses bras puissants, lui pompe littéralement le bouton, qu'il tient fermement serré dans sa bouche. Les sécrétions vaginales giclent au fond de la gorge de l'homme tellement la femme est surexcitée. Elle pousse des hurlements, se déchaînant, elle crie sa jouissance à l'encan.

Cette fois, après les sécrétions vaginales qui se répandent dans la bouche de l'homme, la femme est tellement surexcitée, que tout-à-coup, son méat trop sollicité s'ouvre, aspergeant d'urine la bouche de Jacques qui lape la pisse qui gicle et l'avale sans hésiter jusqu’à la dernière goutte.
Virginie se pâme dans une jouissance extrême, elle reste étendue raide, les jambes et les cuisses grandes ouvertes devant Jacques qui s'est redressé. Profitant de sa position, il s'agenouille et introduit ses doigts dans le vagin béant qu'il force pour introduire sa paume et ravager avec ses doigts les muqueuses enflammées. Soudain, sa main ayant le passage, se retrouve dans la matrice gluante de mouille, arrachant un cri rauque à Virginie qui hurle sous la douleur qui envahit son ventre. Elle a l'impression d'être ouverte en deux et que tout son corps va se vider sous elle sous la poussée de la main enfouie jusqu’au fond sa matrice, alors qu’il fouille sans ménagement la chatte béante qui se prête maintenant à l'introduction incroyable en expulsant une sève abondante. Elle a l'impression d'être ouverte en deux et que tout son corps va se vider sous elle sous la poussée de la main enfouie jusqu’au fond sa matrice. Mais bientôt une houle de jouissance la submerge, la faisant onduler autour de cette main qui lui procure une jouissance monstrueuse la faisant râler da joie. Jacques, tout en continuant à l'embrasser profondément et à lui malaxer les seins avec une main, la baratte à présent avec ses doigts écartés, raclant sa mouille comme pour faire du beurre avec le jus qui coule des entrailles de Virginie. Celle-ci ébranlée par cette main qui grouille dans son ouverture béante vibre de tous ses sens surexcités et hurle de joie et de volupté.

- Oh oui ! Continuez Jacques, je vous en prie, merci, merci, c'est bon, que c'est bon. Je vous en prie n'arrêtez pas. Oh ! Je jouis, je jouis, je jouis. Oui !.... Oui !.... Oh ! Ouiiiiiiiiiiiiii........

La pauvre femme, sous la douleur et le plaisir mélangés s’évanouie, n’ayant jamais connu un tel bonheur. Lorsqu’elle reprend conscience, Jacques l’entraine dans la salle d’eau et lui fait prendre un bain chaud et parfumé. Puis, amoureusement, ils refont encore l’amour jusqu’au petit matin.

Pendant ce temps, Gilles, lui, hérite des deux sœurs qui viennent le rejoindre dans la chambre de leur invité.
Les deux coquines utilisent toutes les ressources de leur féminité pour profiter des mains, de la bouche et du sexe de leur partenaire, lui offrant, il est vrai, chacune leurs trois orifices pour son plus grand plaisir. D’ailleurs, épuisé par des heures de dépravation, il s’endort comme une souche lorsque les deux friponnes le quittent au petit matin.

La dernière nuit, les cinq se retrouvent chez Agathe. Cette fois, les trois femmes se gouinent entre elles, sans s’occuper des deux hommes qui sont priés d’assister seulement à leurs dévergondages ; elles se livrent à des ébats libidineux, s’embrassant se léchant seins et vulves, se masturbant dans leurs endroits les plus intimes, fouillant de leurs doigts et de leurs langues leurs orifices vaginaux et anaux sans aucune retenue. Lorsqu’elles se sont livrées à toutes les folies que leurs corps exigeaient, elles demandent aux deux hommes de se mélanger à elles pour les faire jouir aussi, mais seulement de leurs mains et de leurs langues, ne voulant pas recevoir leurs sexes pour l’instant. Le gouinage et les caresses viennent enfin à bout des trois furies qui, pour remercier les deux hommes les masturbent uniquement avec leurs doigts jusqu’à l’éjaculation des deux verges. Enfin, pour terminer cette dernière nuit, Virginie est prise en sandwich par Gaëlle et par Agathe, harnachées toutes les deux de leur fausse-verge, tandis que Jacques enfile Gaëlle par son anus et qu’Agathe se retrouve sodomisée par Gilles. Le lendemain, le notaire et son épouse partent à regret du lieu de leur débauche, se promettant de revenir si une nouvelle invitation leur parvient

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