Le Jumelage Franco-Allemand

Je m'appelle Adam, j'ai 17 ans.

Depuis mes dix ans, mes parents m'ont inscrit aux échanges franco-allemands avec le jumelage de l'école.

C'est cool le jumelage, je vais dans la même famille chaque année où je retrouve Sven, mon correspondant allemand, et Maike, sa soeur de 14 ans et demi (elle m'adore).
On s'entend vraiment bien avec Sven, quand je vais en Allemagne, je l'accompagne parfois en cours.
Lui et sa famille sont déjà venus chez nous plusieurs fois et ça se passe vraiment très bien. Mes parents parlent un peu l'Allemand, et les parents de Sven parlent aussi le Français. Alors il arrive que l'on se rencontre en dehors des échanges quand ils descendent en vacances en France ou en Espagne, ou encore quand nous allons parfois en Hollande, ou Belgique.
Pendant le jumelage, on participe aussi à des compétitions sportives, ses parents viennent jouer les supporters, c'est super marrant.


Mais l'autre fois, il s'est passé quelque chose...

Habituellement, j'ai une bonne réputation de cuisinier chez Sven. Je suis trop content de pouvoir cuisiner 2 ou 3 spécialités françaises parce qu'ils ont une super cuisine et que peut importe ce que je fais, ça déchaine plein d'enthousiasme. Une sauce de salade avec de la moutarde et un peu d'aïl et il faut les voir à table. Ils sont complètement admiratifs devant une simple quiche lorraine, et ils tirent des yeux pas possible quand tu leur explique qu'en règle générale, c'est plutôt le genre de truc que tu prépares quand t'as pas vraiment le temps de cuisiner.
Quant à sa sœur, Maike, je vois bien qu'elle m'apprécie, parce qu'elle est toujours en train de me demander de l'aider pour ses devoirs de français ou pour me regarder faire quand je suis dans la cuisine.

L'autre fois, ça faisait deux jours que j'étais arrivé chez eux, et le matin, je me promenais en petit short et tee-shirt dans le jardin, quand sa maman vint me rejoindre:
"tou es dèja levé ?" (sa mère, elle parle super bien le français, mais elle dit tout le temps "ou" ou "euh" quand il faut dire "u").


Puis, me voyant goûter une fleur d'acacia, elle enchaîne: "tou manges les fleurs ?"
- "Vous non ? Ça se mange les acacias".
- "Hein ? Euh, mais nous ne connaissons pas de cela".

Alors, je réfléchis 2 secondes et je lui demande si elle a déjà mangé des beignets de fleurs d'acacias, mais je n'arrive pas à expliquer ça en allemand, et elle ne sait pas ce que c'est. Bon, encore une occasion de passer pour un super-héro culinaire avec une nouveauté qu'ils ne connaissent pas.
Je me fais donner de quoi préparer une pâte à beignets, on va chercher quelques belles fleurs dans un saladier, et je commence à lui montrer comment on les prépare. Entre temps, Maike nous rejoint dans la cuisine avec les yeux encore ébouriffés, elle nous demande ce que l'on fait.
Sûr de moi, je temps les 2 premiers beignets à Maike et sa mère, et là, je vois dans leur regard que je viens encore de marquer des points.
Maike commence à piailler en sautillant autour de moi en me montrant ses jolies dents et sa mère me regarde d'un air complice en secouant la tête.
Une fois les beignets finis, on réveille Sven, et on prend le petit-déjeuner ensemble sur la terrasse.
La maman de Sven part au travail, Maike va passer la journée chez son père (leur parents sont divorcés depuis quelques années), et avec Sven on attend que sa copine passe à la maison pour aller se balader en ville.

Le soir, on doit passer chercher sa maman au travail, (elle est dentiste), elle nous invite tous les 3 dans un restaurant grec, mais sans Maike bien sûr qui est manque de bol avec son papa pour la journée (Sven m'a expliqué pourquoi, mais j'ai pas compris).

Alors le soir on arrive dans la salle d'attente de la "Zahnartz Praxis" (c'est le cabinet de dentiste), et on attend jusqu'à ce que les derniers patient soient partis et que la maman de Sven sorte avec nous. Mais la soirée semble compromise parce que la copine de Sven se tient le ventre, elle est franchement incommodée depuis toute la journée (sûrement par des trucs de filles si vous voyez ce que je veux dire).

Le dernier patient dure un peu plus de temps que prévu, les employés commencent à partir, et Sven décide finalement de raccompagner sa copine chez elle, elle est manifestement pas en état d'aller au resto comme ça.
Pour ma part, j'ai tenu la chandelle toute la journée, j'attends juste que la maman de Sven ait fini son travail pour rentrer en voiture avec elle.

Le dernier patient s'en va, et la maman de Sven me glisse depuis le couloir un: "tou viens ? Je ferme le praxis et on s'en va"

Je la suis dans les diverses pièces où elle éteint les lumières et les ordinateurs, et je vois ses super fauteuils de dentistes.
- "Woawww, ils sont supers beaux vos fauteuils"
- "Oui, merci, et ils sont très confortables, tou veux les essayer ?"
Je fais mine de m'allonger sur un fauteuil
"Alors Monsieur Adam, vous avez une douleur aux dents ?" me fait elle pour plaisanter.
"Oh oui !!! J'ai très mal, tout là ici en bas" je lui montre en rigolant me prenant au jeu.

Elle saisi une palette en bois, un petit miroir, elle me dirige la lumière dans la bouche, et fait mine de regarder.

Puis, je la vois manipuler le miroir jusque derrière mes molaires, mes yeux fixent directement ses pupilles pendant qu'elle m'oscule patiemment, je crois qu'elle s'en rend compte. D'un seul coût, son parfum se mélange au mien. Je ne dis plus rien.
Pendant qu'elle est penchée sur moi, je sens qu'elle monte le siège électrique un peu plus haut, et là, je sens carrément la pression de ses seins appuyés sur mon bras droit que j'avais posé sur l'accoudoir. La situation devient carrément gênante, je n'ose plus bouger mon bras, ou l'enlever ce qui trahirait mon embarras puisque ses seins sont juste posés dessus. Elle me fixe de haut, avec ses lunettes strictes et ses cheveux tirés en arrière attachés en chignon, j'ose pas broncher. J'arrête net de respirer, elle aussi arrête de bouger, c'est gênant, parce qu'en montant le siège comme elle l'a fait, on est vraiment proches, mes yeux sont droits dans les siens et dans le silence j'ai l'impression d'entendre le bruit de mon sang affluer à chaque battement de cœur.

Je la vois retirer son masque de papier, elle se mort les lèvres ... puis elle remonte encore mon dossier de quelques centimètres, et là elle écrase ses lèvres contre les miennes !

Je me prends un gros coup de chaud entre les tempes. J'ai déjà embrassé plusieurs filles mais alors là, ses lèvres sont tellement moelleuses, j'ai l'impression de mordre dans une pâtisserie à la crème.
Je commence à prendre le sens de la réalité, j'oublie que c'est la mère de Sven que j'embrasse là, juste une très belle femme (elle a 41 ans, et elle est très belle), il y a un truc chimique qui se passe, et l'odeur de son parfum mélangé à celle de sa peau me font complètement perdre la tête. Je dégage mon bras droit pour saisir son visage entre mes mains, et je l'embrasse fougueusement en poussant ma langue encore plus loin.
En étant perché aussi haut sur le fauteuil, je suis à sa merci, sa main droite se dirige vers mon pantalon. J'ai le sexe moins timide que moi, hyper tendu, après l'avoir flatté au travers de mon pantalon, sa main finit par se glisser à l'intérieur pour le saisir.

De mon côté, je commence à défaire lentement les boutons de sa blouse, mais vu ma position en hauteur sur le siège, c'est pas très pratique.
Finalement elle retire sa main de son pantalon, repousse la tablette d'ustensiles, et fait voler sa blouse par terre, pendant que je tire son chemisier hors de sa jupe, elle s'affaire sur ses boutons encore. Dans quelques secondes, je contemple ses seins fabuleux emprisonnés dans son soutien-gorge.
Je dégage un sein, et je l'empoigne. Il est dur, et woawww, c'est ... super.
J'essaye de me relever pour lui embrasser les seins, mais bêtement je me cogne contre la lampe de dentiste et me prend le faisceau de lumière en plein dans les yeux (La honte dans un moment pareil).
Nicole, (c'est son prénom), Nicole dégage mon sexe et me regarde avec un large sourire, ses mains sont douces et quand je vois sa belle peau bronzée sur laquelle se reflète la lumière, on distingue tout de suite mon enthousiasme un peu plus bas.


J'ai le regard qui chavire une seconde en arrière, et là, je sens les lèvres de Nicole qui se referment sur mon gland. C'est chaud, doux et humide, j'avais un tout petit peu d'expérience dans ce domaine, mais là qu'est-ce que je me sens bien. je la laisse faire. Je retire ses quelques épingles à cheveux pour lui défaire son chignon et je glisse mes doigts dans ses cheveux pendant qu'elle me suce.
Et puis j'entends Nicole me complimenter sur mes attributs.
Ça me donne un peu de courage, l'envie de retourner la situation et faire un truc que j'ai toujours rêvé de faire: lui lécher la chatte !
J'ai pas trop d'expérience dans ce domaine, mais j'ai vu suffisamment de films pornos pour savoir comment faire et j'ai toujours été profondément inspiré par ça.

Je lui demande de baisser le siège et de s'y installer. Sa jupe et sa culotte disparaissent dans une seconde et elle s'installe de travers sur le siège à ma place.
De toute évidence, elle a deviné et approuvé mon initiative, parce que j'ai pas le temps de réaliser ce qu'il se passe qu'elle est déjà assise sur le siège, qu'une de ses jambes me survole et qu'elle me fait un grand écart digne d'une danseuse classique.
Ses doigts s'affairent autour de sa vulve, et en me regardant, elle me souffle:
"viens, je t'attends"
Alors là, il faut essayer de s'imaginer là scène où j'ai une paire de jambes ouvertes à 180 degrés en grand écart face à moi et tendues de chaque côté, c'est carrément obscène, et ses doigts surmontées d'ongles vernis qui commencent à tournoyer dans une chatte à quelques centimètres de mes yeux.

À ce moment, j'ai cessé d'avoir une activité mentale je crois. C'est comme si mon cerveau revenait à l'âge de pierre après une succession de pétage de fusibles en chaine.
J'ai fondu sur le sexe de Nicole avec un plaisir non dissimulé, ma langue dans ses plis, mon nez dans ses poils humides. Je ne pouvais pas rêver d'une meilleure offrande, c'était délicieux comme si je mangeais une fleur (avec un autre goût évidemment), j'ai béni ce moment et j'ai voulu que ça ne s'arrête jamais.
Je plaçais mes mains sous ses cuisses pour les tenir bien écartées parce que si je la léchais un peu au début, l'excitation a fait vite que je la bouffais avec autant de hargne qu'un félin qui dévore une proie.
Nicole était aussi bien sous le coup de l'excitation parce que régulièrement je la voyais se tendre, puis frémir, puis je sentais un tout petit peu plus de son liquide qui me coulait dans la bouche et que j'avalais comme un nectar. Ce peu de liquide salé qui était comme une récompense parce que je me disais qu'elle appréciait mes caresses.
À chaque fois qu'elle en lâchait un peu, elle remuait sa chatte pour me barbouiller le visage avec. Je crois bien que j'avais des gouttes de son liquide mélangé à ma salive qui me pendaient au menton et qui perlaient sur ma chemise tellement j'étais déchainé.
Nicole murmure des trucs dans ses pensées et dans un regard fiévreux, et je pige rien du tout à ses mots.

"Viens, je te veux" me murmura-t-elle.
Je me relève (j'ose pas imaginer la tête de psychopathe que je devais faire à ce moment là), et sans préservatif (évidemment, que j'en avais pas, on nous dit toujours qu'il faut en avoir, mais comment franchement on aurait pû imaginer tomber dans une pareille situation ?). Donc sans préservatif, je m'approche d'elle, elle tend le bras en dessous du siège et appuie encore sur les boutons pour régler la hauteur, et puis je retiens mon souffle. C'est ... comment dire ? J'ai déjà fait ça, mais là j'ai l'impression de tourner la clé d'une Ferrari, je rentre mon gland dans sa chatte en me mordant les lèvres, elle me regarde en souriant et en lachant un "Ohhhh hhh OOOhhh".
Je ressors mon gland tout de suite, il est humide, je le pose sur sa vulve et je sais pas si c'est le contact de la vulve au milieu des poils mouillés, mais là ................ là je sens la pression monter et je risque vraiment de me payer la honte de ma vie si j'éjacule tout de suite.
Je serre les dents puis je souffle profondément. Et je recommence, mais à chaque fois que j'essaye de rentrer mon sexe rien qu'un tout petit peu, Nicole lâche des râles bien bruyants qui m'excitent au plus haut point.
Je commence à me calmer et je la pénètre très lentement, j'ose même plus regarder mon sexe écarter les plis de sa vulve ou en sortir tout humide, sans quoi je vais vraiment tout lâcher d'un coup. Nicole me crie des trucs en Allemand auxquels je ne comprends rien du tout, si ce n'est que c'est sûrement obscène.

Et là, devinez quoi ? Le réveil, le retour à la réalité: la lumière au fond du couloir s'allume.
Quelqu'un est rentré, je suis mort de trouille. Nicole m'explique que ce doit être le personnel de ménage qui nettoie les bureaux. Nous ne sommes qu'à quelques mètres juste cachés par une porte vitrée opaque. Nous entendons la personne qui s'affaire dans le local technique pour prendre les ustensiles. La personne a obligatoirement vu qu'il y avait de la lumière. Elle va sûrement débarquer ici en premier lieu je me dis.
Là, pour moi c'est la méga confusion et la panique: tout arrive dans ma tête et dans le désordre: j'ai peur que l'on soit découverts, je veux pas qu'on me voit comme ça, je pense même à l'honneur de la dentiste que l'on découvrirait en train de forniquer dans son cabinet.
J'ouvre les yeux en me disant qu'on est tout nus, que mon sexe est encore en elle, et qu'en une seconde il faut qu'on soit présentables.
Je suis effrayé face au spectacle: nos vêtements sont complètement éparpillés dans la petite pièce, j'ai mon caleçon emmêlé dans mon jean, lequel est aussi à moitié retourné avec une chaussette qui sort d'une jambe et l'autre quelque part vers la porte, et j'ai ma chemise toute froissée avec de la mouille de Nicole quand ça me dégoulinait du menton, et un coup d'œil dans le miroir me montre que j'ai les lèvres pleines de son rouge à lèvres aussi !
Nicole n'est guère mieux: la jupe est par terre, la culotte a disparu, les seins sortis du soutien-gorge et du chemisier ouvert et surtout tous rouges tellement je les ais mordus avidement: mais qu'est-ce que j'ai foutu comme massacre putain ! Les cheveux complètement dépeignés, elle a de la mouille le long des cuisses, je me dis qu'il faudra cacher ça pour sortir dignement !!

Pendant que j'essaye de me railler et que j'aide Nicole en même temps, des pas se dirigent vers nous et une voix nous interpelle du fond du couloir: pour moi c'est la crise cardiaque ! Mais Nicole répond je ne sais quoi, pour faire patienter la personne sans doute, ou lui expliquer que c'est juste elle qui est là. Bref, on finit de se rhabiller en catastrophe, et on marche d'un bon pas en direction de la sortie. Moi je tremble de peur, j'ai les cheveux dans tous les sens, des grosses tâches sur ma chemise, le sexe tout rouge douloureusement remis en cage, et sa culotte retrouvée in-extrémis remis en vrac dans ma poche de jean. Nicole a réattaché ses cheveux un peu rapidement d'une façon qui est de toute manière pas aussi soignée que d'habitude, on voit bien qu'il s'est passé quelque chose.

On s'engouffre dans l'ascenseur et Nicole explose de rire, je sais pas si c'est nerveux ou pas, mais visiblement, je vois bien qu'elle est pas aussi dérangée que moi par la situation, en plus j'imagine que n'importe qui, qui va rentrer dans la pièce va sentir l'odeur de nos ébats.
Je la vois prise dans son fou-rire en train de glisser sa main dans ses cheveux sans me regarder et d'appuyer vers le bouton pour descendre au garage.
Moi ... Je suis rouge de honte.

On arrive au garage du sous-sol, le bruit des néons qui s'allument en cascade retentit, je regarde: .. personne, juste sa belle voiture qui trône au milieu, on est seuls.... Enfin, je retrouve mes esprits, et je me calme un peu.
Nicole ouvre sa voiture, elle s'assied pour mettre un peu de musique, et elle déclenche l'ouverture électrique de la capote: personnellement je crois qu'un peu d'air frais en conduisant avec toutes ces émotions me fera du bien.
Elle ressort et se place devant moi, place ses bras autour de mon cou et me serre pour m'embrasser, elle me dit des choses gentilles et me fait des compliments sur l'amant que je suis. Elle se colle à moi et sent ma bosse. J'ai encore un peu mal au sexe d'avoir été interrompu comme ça, mais j'ai encore terriblement envie d'elle.
Je sais pas si c'est la musique qui nous entraine, et le fait que nous sommes enfin seuls dans le garage, mais il faut se rendre à l'évidence, on pourra pas faire le trajet dans cet état.
Elle se retourne pour me tourner le dos, s'appuie contre le montant du pare-brise et contre la portière, mon jean tombe sur mes chaussures, je glisse mon sexe encore rouge contre ses bas, relève sa jupe et découvre sa chatte nue, puisque sa culotte est encore dans ma poche.

Je contemple son postérieur, bien ferme, mais tout de même un peu large, mais je suis excité quand je découvre la légère trace de bronzage au milieu des fesses. Quel plaisir de m'enfoncer dans ce bon gros cul, large, avec les fesses qui tapent contre mon bassin et qui rebondissent comme un ballon sous le rythme d'une chanson de Brian Adams qu'elle a mis dans la voiture.
Quel pied ! Je baise la mère de Sven avec ma bite qui s'enfonce comme dans du beurre.
Elle est même musclée du vagin, parce que quand je ralentis le rythme, je la sens me serrer avec.
La mère de Sven a le torse à l'horizontale, appuyée contre sa voiture, les jambes bien écartées et les fesses à l'air, malgré la musique on entend le claquement de ses fesses contre moi résonner dans le garage.

Hélas, les meilleurs choses ont une fin, et c'est en me collant à elle que je me vide en plusieurs fois au fond de son vagin tout en lui empoignant les seins par dessous.
Je reste un peu en elle en soufflant, je crois que je suis tout rouge. Je souffle.
Pendant ce temps, Nicole se retourne et écarte les cuisses en regardant attentivement mon sperme tomber de sa chatte sur le ciment du garage.
Elle s'appuie contre l'aile de la voiture, puis plonge deux doigts dans son vagin et les ressort poisseux de notre mélange pour les porter à sa bouche.
Puis elle les replonge à nouveau et me les colle dans la bouche à mon tour. C'est ...... en fait je suis tellement excité que j'adore vraiment ça, mais je dois avouer que c'est tellement cochon que aucune de mes petites amies n'ont fait de choses comme ça avant. Je crois qu'avec la mère de Sven, je suis passé à un stade très différent des choses.

Nous nous asseyons dans la voiture, et rentrons à la maison. L'air me fait du bien et j'essaye de m'arranger un peu.
"Qu'est-ce que tou fais ?"
Même si je sais que sa fille Maike ne doit revenir que le lendemain, je m'attends à retrouver Sven à la maison, mais elle me rassure en me disant qu'il passera la nuit chez sa copine, ce qui me surprend :
"Tou ne ferais pas la même chose ?" me demande-t-elle en me fixant dans les yeux.
C'est sûr que là, désormais je la vois avec des yeux totalement différents.

Elle me conduisit dans sa chambre à coucher, une grande pièce avec un balcon, les fenêtres ouvertes, les rideaux qui bougeaient sous un peu de vent. Elle mis de la musique puis disparu dans sa salle de bain pour finalement en ressortir rafraichie et dans une tenue hyper sexe comme là encore j'ai ai vu que dans les films.

On a baisé comme des sauvages toute la nuit, on a même pas pas dormi une heure, on a passé toute la nuit à se réveiller mutuellement pour baiser bruyamment, j'ai alterné ma bite et ma langue aussi souvent que je pouvais pour la faire jouir à plusieurs reprises.
Au petit matin, en plus de la fatigue, je pouvais plus marcher tellement j'avais mal aux couilles à cause de tous les coups de bite que je lui ai asséné pendant la nuit.
Ce fut un séjour formidable.

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