Les Mémoires D'Un Frotteur

Depuis quelques années je suis devenu addict au toucher de fesses de femme, au début j’allais dans toutes les manifestations sportives, concerts, et autres, surtout en soirée, la pénombre était ma complice, les femmes accompagnées ou non, étaient tellement prisent par le spectacle qu’elles laissaient mes mains ou mon sexe bandé effleurer leurs fesses, certaines prenaient beaucoup de plaisir lorsque ma main cherchait une issue qui me permettrais de parvenir a leur culottes trempées, et laissaient mes doigts accéder a la vulve bouillante, oubliant d’en informer leur mari, copain ou copines
Combien de fois ai-je déchargé dans mon pantalon ? Pantalon sans slip évidement ! L’érection se fait sentir de suite et au cas où je devrais sortir ma queue en urgence je devais être à l’aise, sans oublier la braguette à glissière et non boutonnée
Une fois, sur un stade, j’ai eu l’immense plaisir de décharger dans un vagin, la fille plutôt jeune, en compagnie d’autres filles, contemplaient un groupe de rock assez connu
Arrivés en retard, nous étions placés prés de barrières, tout au fond du stade, personne ne pouvait se glisser derrière moi
Un mouvement de foule l’a précipitée dans mes bras, si je n’avais pas été là elle serait tombée, elle m’a remercié avec un large sourire et a bizarrement laissé ma main sur sa hanche, de là a mon érection sur ses fesses, il n’a fallut qu’une minute, puis ma main sous sa jupe ample, c’est si bon de caresser l’intérieur brulant et doux d’une cuisse pour accéder au slip sans recevoir de claque, écarter la petite culotte sans tirer les poils est primordial, sinon c’est le sursaut assuré et du coup tout est dévoilé, le sexe était si trempé qu’elle a tout fait pour m’aider a lui introduire ma queue dans sa chatte, tout ça a sans éveiller l’attention de ses deux amies trop scotchée par les effets de scène , de plus les filles accrochées entre elles par les bras sautaient et dansaient ce qui soulevait ma maitresse d’un soir de haut en bas , je n’avais aucun efforts a produire, a part la maintenir sur mon membre ! Elle s’empalait elle-même sur ma bite, il ne m’a fallut que quelques minutes d’heure pour concrétiser et décharger dans ce con accueillant, avant de disparaitre dans la foule j’ai poussé le vice à essuyer ma queue sur la jupe d’une de ses copines qui m’à découvert et traité de sale pervers, si elle avait su que ma bite sortait de la chatte de sa copine ….



Puis je me suis ‘spécialisé’ dans les rames de métro très fréquentée aux heures de pointe, j’ai attentivement étudié la façon de se vêtir des femmes, cela en dit long sur leur sexualité, pas question d’approcher une femme qui porte un tailleur stricte, encore moins en pantalon, je préfère les jupes amples, ou très courte, a la limite jupe fendue derrière
Pour ma part, je portais un imper ‘jeté’ sur mes épaules et attaché par un ruban, ce qui permettait à mes mains de travailler en toute discrétion, les pans de l’imper formaient un écran qui pouvait aussi sécuriser ma ‘victime’ !
Lorsque j’en repère une sur le quai, je me colle a elle pour ne pas la perdre dans la rame, si elle ne me repousse pas j’ai toutes mes chances d’aller plus loin, je vais même jusqu'à la guider a la barre centrale, je pose ma main juste au dessus de la sienne, les odeurs de transpiration ? J’apporte un grand soin à mon hygiène corporelle en ajoutant un parfum de marque, discret mais attirant

Dans un premier temps je laisse faire la foule, si mon ventre se colle a ses fesses ce n’est pas ma faute, très vite mon érection se développe, là je ne peux rien cacher, au contraire je vise et pousse le tissu dans la raie des fesses, c’est là que tout se joue, ou bien elle me repousse en donnant un violent coup de rein ou elle accepte la présence de mon membre qu’elle a deviné bandé

Un matin, le quai était noir de monde, j’ai tout de suite repérée cette nana court vêtue, une jeune femme ne peut se balader ainsi habillée dans le métro sans être accompagnée d’un homme, ils n’arrêtaient pas de s’embrasser et osait même une main baladeuse sur le cul de la fille au vu des gens trop occupés a attendre pour remarquer le manège, je me suis approché d’eux, ma hanche collée volontairement a la sienne , elle m’a dévisagé, avant de le signaler par un murmure a son ami ou mari, qui m’a regardé a son tour avec un sourire énigmatique, j’ai même décelé un battement de cils approbateur ….
a partir de là il ne fallait absolument pas que je les lâchent
La rame est arrivée, des gens se sont arrachés du ventre du wagon avant qu’il ne soit pris d’assaut par ceux du quai, mes tourtereaux ont agrippés la barre centrale, en face a face, et moi derrière la fille, ‘ont’ m’a littéralement poussé sur elle, j’ai bredouillé une excuse a l’homme qui a de nouveau sourit, j’étais miraculeusement placé juste au centre des fesses rebondies, je pouvais sentir la raie qui sépare les deux lobes très fermes

Impossible de retenir l’érection, je dois dire que je faisais tout pour qu’elle survienne ! Aucun signe de rejet ! Je suis certain qu’elle commentait ce qui lui arrivait en se parlant avec les yeux, a quoi bon tergiverser ? D’abord tester du dos de la main, j’effleure le cul qu’elle ne cherche pas à soustraire a mes avances, c’est donc a pleine main que j’ai tâté ce croupion féminin, l’homme ne me quitte pas du regard, il semblait me dire ‘va-y continue, nous sommes là pour ça ‘
Ma braguette transformée en toile de tente pèse durement sur ses reins, je perçois même des balancements volontaires ou non sur mon membre, car le wagon tangue fortement, protégés des regards par les pans de mon imper, mes doigts ont atteint le bas de la jupette, je tire le tissu vers le haut, et le coince entre nous , au dessus de la bosse phénoménale de mon érection, le cul est a l’air, mes doigt repartent en exploration … sans trouver de trace d’un slip quelconque, elle est nue … ces deux là sont venus s’éclater dans la foule , peut-être voulaient-ils s-amuser entre eux ? Je suis arrivé au bon moment pour changer et améliorer leurs plans, ses pieds se séparent autant que la promiscuité le lui permette

L’homme lui murmure quelque chose a l’oreille, elle fait non de la tête, il insiste …..Elle reprend une attitude normale, une main fine se faufile entre nous, elle tâte mon excroissance et serre ma queue a me faire mal, je devine ses intentions, il faut que j’ouvre ma braguette … c’est chose faite, la main pénètre dans mon pantalon pour en extraire difficilement mon membre plié en deux, ses doigts tirent sur ma queue a moitié décalottée au bout de laquelle perle ma mouille, de la paume elle l’étale sur le gland , l’homme se mord la lèvre inférieure , il devine qu’elle me tient par la bite, ma main glisse pour venir devant ses cuisses , j’y trouve une main masculine , qui se retire pour me laisser la place, la toison est très humide, je fais rouler le clito nappé de mouille avant d’enfoncer sans difficulté deux doigts dans le passage préparé part son homme
Elle guide ma bite entre ses jambes, je plie légèrement les genoux et mime le coït, ma queue glisse aisément sur son anus et ses lèvres détrempées pour venir bousculer le clitoris

Si je veux la pénétrer je n’ai qu’à stopper mon phallus en le poussant du bout des doigts pour l’obliger à prendre le sens unique
Son compagnon ouvre la bouche, elle doit faire la même grimace car ma queue vient de la pénétrer totalement, si je force vers le haut je vais la décoller de terre, il n’y a qu’une solution m’agripper à ses cuisses, ce qui me maintient en équilibre et me permet ainsi de la baiser a fond

L’homme comprime la main de sa femme en signe d’approbation, un parfum de cul monte entre nos deux corps, j’ai l’impression qu’autour de nous un cercle s’est formé, notre trio n’est pas passé inaperçu, il est temps de mettre un terme a notre saillie car la rame ralentit, j’ai juste le temps de refermer les pans de mon imper sur ma bite gluante qui vient de juter avant de glisser du fourreau, des traces de notre accouplement restent au sol ….
la foule nous a séparés a jamais…

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