Rencontre Sur Une Aire D'Autoroute

Sur l'A13 direction la province, je m'arrête sur une aire de repos, pour me reposer, il est environ 20 heures, il fait presque nuit.
Dans ma voiture j'ai un coton de Tuléar, magnifique avec de longs poils blancs. La blancheur du chien a une importance pour la suite de l'histoire.
Je fais une sieste et je dors profondément, mais je suis réveillé par mon chien au bout de 15 mn.
Filou, c'est son nom, a envie de sortir faire ses besoins. Nous sortons de la voiture et il court sur la pelouse, je le surveille.
J'en profite pour aller pissser, quand je sors je vois Filou qui se laisse caresser par un monsieur.
Je m'approche et il me dit que j'ai un chien splendide, oui c'est vrai je l'aime bien.
Après 5 mn de discussion, il me dit : "Bon, c'est pas tout mais j'ai un problème avec mon camion, j'ai une fuite au moteur, sûrement une durite."
Il ouvre son capot et avec ses outils il commence à réparer. Il est habillé d'une salopette bleue claire ouverte qui montre son torse couvert de poils noirs bien lisses.
On devine un ventre bien rond et quand il se penche sur son moteur ses fesses bien potelées et bien fermes captent mon regard.
Je le trouve très beau, les yeux bleus, des cheveux clairsemés, il doit avoir la cinquantaine.
Il se retourne et voit que je le regarde travailler, ça ne le gêne pas, il a l'air même ravi, peut-être se sent-il moins seul.
Il termine sa réparation, ferme le capot bruyamment, Filou qui était sous le camion sort avec des taches d'huile sur le dos.
« He ben, il va falloir le nettoyer, voulez-vous que je le fasse, il faut aussi que je me lave les mains. »
Ok pas de problème, il sort une bassine et du shampoing de sa cabine et nous nous dirigeons vers les toilettes.
il remplit d'eau la bassine et met le chien dedans et commence à le frotter avec ses grosses mains, j'aurai aimé être à la place de Filou, humm. La mousse a raison de ses taches.


Il pose le chien qui court en s'ébrouant. Le routier qui s'appelle Didier descend les fermetures éclaires de sa salopette jusqu'en bas et enlève ses manches qui tombent sur sa ceinture.
Il se savonne le torse, je le fixe tellement qu'il finit par me dire : "tu aimes me voir faire ma toilette?" Je rougis et lui dis oui.
Tu veux me frotter le dos, à peine a-t-il dit ça que je suis en train de malaxer son dos, il se penche sur le lavabo, mes mains passent sous sa salopette et tripotent ses superbes fesses.
Rapidement, il se retrouve en slip, il se retourne et m’appuie sur la tête, je me laisse faire et me retrouve le nez sur ses parties, je sens une odeur forte de mâle qui ne m’est pas désagréable. En passant ma langue je sens une bosse qui devient vite très grosse. Je prends son sexe énorme dans une main et de l’autre, j’empoigne ses couilles que je prends dans ma bouche, ma langue les fait rouler, il apprécie en me caressant la nuque. Je fais durer le plaisir, je sens son excitation monter, je fais durer le plaisir. Je passe ma langue sur son gland énorme et bien rond, je descends le long de la verge et je fini par mettre mes lèvres sur son gland, à l’enfoncer dans ma bouche jusque dans la gorge, il gémit, je présume qu’il adore. Je passe ma main de libre sur ses fesses et avec un doigt je titille son anus, il me prend la tête avec ses deux mains et se retire rapidement. Voyant ma surprise, il me dit qu’il n’a pas envie de jouir tout de suite. Je me redresse, il me retourne et frotte son sexe sur mes fesses, je comprends qu’il a envie de me prendre. Je me laisse faire, il déboutonne mon jean avec agilité, mon slip est déjà à mes pieds. Il regarde mes fesses, les plote, les écarte. Je sens sa langue qui effleure mon anus, c’est bon, hum ..il me dit de me pencher sur le lavabo, j’obéis, je suis à lui, il approche son gland, le frotte de haut en bas et s’arrête sur ma rondelle, je serre les fesses, je ne veux pas sans préservatifs. Il n’insiste pas, en restant dans la même position, il se masturbe.
Il essaye de forcer l’entrée mais je résiste. Pourtant je sens monter en moi cette formidable envie de lui faire plaisir, je le laisse donc faire. Avec ma main, je mets de la salive dans mon anus, il me chuchote à l’oreille : « merci mon chéri ». Je sens son gland qui entre en moi, ça me fait mal, mais quel bonheur. Avec ses deux mains il me prend les hanches et enfoncent sa tige jusqu’aux couilles qui tapent sur mes fesses. Ses va et vient de plus en plus violents me brulent mais je suis tellement excité que mon plaisir est au sommet. Didier aussi, son souffle s’accélère il gémit et m’envoie toute sa jouissance dans mon corps. Il reste un long moment sans bouger en me serrant très fort, quand, il a fini de bander, il se retire tout doucement, je me baisse pour lui nettoyer le gland avec ma langue, j’aspire dans ma bouche tout ce qui reste. C’est alors qu’il me lève et m’embrasse longuement on est soudé l’un à l’autre. J’ai envie que ça dure toute la nuit, mais il faut que je parte…..
Je récupère Filou et me dirige vers ma voiture, il me suit et me dit :
« Mais tu n’as pas joui ?
- non c’est vrai-
-Montons dans la cabine, j’ai du matériel qui devrait te plaire.
-Non désolé, Didier, je n’ai plus le temps, la prochaine fois.
-OK je m’arrêterai souvent pour voir si tu es là.
Nous nous sommes embrassés encore une fois, nos corps n’avaient pas envient de se séparer. Depuis, je ne pense qu’à lui, mon Didier d’amour….
J’espère qu’il y aura une prochaine fois.

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