Leslie Va11

Leslie VA11 – Vacances - Avec Laure, suite

Juste le temps d’aller me changer dans ma chambre et me voilà rentrant dans le bar pour retrouver Nadja.
- Je suis là, Leslie.
J’ai sursauté en entendant la voix de Nadja, qui m’attendait assise dans un fauteuil dans un coin du bar.
- Allons manger maintenant, me dis Nadja en se levant.
- Tu me parais bien pressée ; lui dis-je.
- Ohhh, oui pressée de nous retrouver dans ta chambre et que nous fassions l’amour.

Nadja avança vers moi, déposa un baiser sur mes lèvres, j’ai sentis la langue de Nadja percer la barrière de mes lèvres et venir explorer ma bouche, et ma langue s’anima autour de la sienne pour un baiser torride, mais je parvins à me dégager un petit peu me rappelant les consignes du réceptionniste sur la discrétion…
- Alors allons-y, dis-je.
Dehors, dans la rue, Nadja m’embrassa à nouveau, en disant :
- Je veux profiter de ton sexe qui m’a fait tant de bien l’autre nuit…
Nous avons diné et très rapidement nous nous sommes retrouvées dans ma chambre et là je rendis les baisers à Nadja et, cette fois, ce fut moi qui enfonçais ma langue dans sa bouche.
Nadja était habillée d’une petite jupe très courte et d’un débardeur qui laissait deviner ses formes, elle n’avait pas de soutien-gorge.
Debout dans la chambre nos corps collés l’un à l’autre, nous avons fait durer ce baiser, sentant les seins fermes de Nadja qui appuyaient doucement sur ma poitrine.
Mais Nadja se dégagea, et se jeta sur le lit, faisant apparaitre un petit string rose que sa jupe ne pouvait cacher, tant elle était courte.
Je défis mon corsage et ma robe afin de m’approcher juste vêtue de mon string déformé par mon érection.
Nadja se rua suer ma poitrine pour me lécher goulûment les seins, et en glissa dans sa bouche, le pinça avec ses lèvres et agaça le bout avec ses dents.
D’une main, elle soupesait le sein qu’elle avait pris en bouche, et, de l’autre, elle massait le deuxième sein sans grande douceur.


Je la regardais s’abreuver de mes seins et caressais sa chevelure avec douceur.
Nadja fermait les yeux lorsque le plaisir était trop fort et je posais alors la main sur la nuque de mon amante, l’invitant à me dévorer encore et encore.
Puis en se relavant un peu, elle finit par se jeter sur mes lèvres pour échanger un baiser passionné. Nos seins se collèrent à nouveau et Nadja me laissa décrocher sa petite jupe, tandis qu’’mm’ enlevait son débardeur.
Nadja s’allongea sur le lit et je la regardais retirer son string, puis je vins me coucher sur elle et frotter mes seins contre les siens.
Nous étions excitées sans avoir eu besoin de caresser nos sexes, nos seins étaient tendus à en faire mal et nos jambes étaient presque tétanisées par l’excitation et la passion. Enfin, Nadja fit descendre ses lèvres des rondeurs de ma poitrine et partit à la recherche de mon sexe.

Lorsqu’elle parvint à la hauteur de mon membre, elle le prit à pleine bouche, puis jeta un long regard à son moi, en me demandant :
- Tu aimes ?
Mon sexe tout émoustillé réagissait en coulant de bonheur et je crus défaillir lorsque mon amante, de son doigt effleura ma rosette en m’envoyant ainsi une décharge qui le fit gémir, mais Nadja n’en avait pas fini avec moi.
Doucement, sans un mot, elle me fit venir sur elle et plaça mon sexe à l’entrée de sa vulve, tout en maintenant les jambes bien écartées. Et s’aidant de ses mains posées sur mes fesses elle me poussa en elle, en feulant de plaisir.

J’étais envahi de spasmes de plaisir, poussant de petits cris sauvages en enfonçant au plus profond mon sexe dans le corps de Nadja.
Puis je sentis les ongles de Nadja me griffer la peau douce de mon dos, mais cette petite douleur ne faisait que renforcer mon désir et me faisais espérer que cet instant ne s’arrête jamais.
Nadja percevait sans honte mon sexe lui remplir le corps et commençait à onduler sous la jouissance qui montait en elle et nous gémirent au rythme de mes pénétrations, nous embrassant follement comme des bêtes sauvages jusqu’à ce que, finalement, je me répande en elle pour jouir en chœur, nos muscles tétanisés et nos corps lourds de jouissance et de plaisir.

Nous nous sommes allonger l’une contre l’autre sur le lit et nous nous sommes endormies, ma tête de Leslie posée au creux de l’épaule de Nadja.

Lorsque je me réveillais au milieu de la nuit, je me retrouvais nez à nez avec Nadja, qui me regardait intensément tout en tenant dans sa main mon sexe qui recommençait à bander.
Les yeux de Nadja me fixaient intensément et je vis une lueur de désir et de vice dans son regard, mais aussi j’ai eu le sentiment que Nadja allait me demander qulque chose d’insensé.
- Tu es belle quand tu dors, dis Nadja.
- Mais si tu m’as réveillé, c’est que tu as quelque chose à me demander.
- C’est vrai, j’ai quelque chose à te demander, dit Nadja avec un petit sourire.
- Tu sais, on a fait l’amour et j’ai beaucoup aimé, mais…
- Mais quoi ?
Nadja se posta face à moi et je lus de l’imploration dans ses yeux.
- Leslie, je sais que notre aventure ne va pas durer, demain, plus tard, tu m’auras oublié, mais toi tu auras compté pour moi, et je retiendrais de toi que tu étais une fille exceptionnelle, attentive et douce. Mais j’aimerais quand même me souvenir que c’est à toi que j’ai donné ma virginité anale et que tu m’as donné le plaisir le plus fou en me sodomisant.
- Tu veux que…
- Oui je le veux, aucun homme ne m’as prise par là et pourtant beaucoup auraient bien aimé et je n’ai jamais accepté qu’une femme me gode à cet endroit, mais je t’offre mon trésor.
J’allais répondre à Nadja, mais elle m’en empêcha en disant :
- Chut, ne dis rien, c’est le plus bel acte d’amour que je puisse faire et c’est le plus cadeau que tu puisses m’offrir, je pense que je vais adorer, peut-être que je me trompe, mais je ne le crois pas. Mais, quoi qu’il en soit, ce n’est pas une maladie que d’être la petite enculée de son amour de vacances, cela ne peux me faire que du bien et aussi me rendre heureuse, et plus tard quand je toucherais le soir mon œillet je penserais à toi.

Nadja m’embrassa sur les lèvres et descendit vers mon sexe pour le prendre en bouche, avec douceur elle m’a fait bander comme une folle, puis prenant un tube de gel, elle s’est elle-même enduit son petit trou avec application, puis elle a enduit copieusement mon membre de gel, avant de se mettre en levrette, la tête dans son oreiller et le cul relevé, prête à être possédé.

Je me suis placé derrière elle, le sexe tendu et le gland posé sur son petit trou vierge.
Il était fermé et il était indéniable qu’aucun sexe ou objet de quelque sorte que ce soit n’avait à ce jour franchit l’entrée, quand Nadja sentit le contact de mon gland sur les replis d son anus elle gémit et fut parcouru de frissons.
- Quelle sensation unique d’être dans cette situation indécente et de s’offrir par amour aux volontés de son amante, chuchota Nadja.
J’allais prendre tout mon temps pour que ce moment reste unique et gravé à jamais dans la mémoire de mon amante, qui continua dans un souffle :
- Etre dans cette attente de soumission d’amour, être bercée entre l’envie et la peur, cela ne se reproduira jamais, jamais…
Mon gland venait d’effleurer les replis de l’anus de Nadja et le bout était juste posé à l’orée, légèrement incrusté dans ce petit trou qui commençait à s’ouvrir par les désirs qui envahissaient Nadja.
- Ohhh, soupira Nadja.
Mon premier coup de reins fit rentrer mon gland en elle, lui tirant un petit cri et lui fit dire :
- Ohhh, comme c’est gros, je suis écartelée par ton sexe ma chérie.
Effectivement son petit anneau était distendu par ma pénétration et lentement je me suis glissé en elle, lui tirant ses premières larmes de douleur.
- Ohhh, je souffre par amour, mais c’est trop bon que de s’offrir, vas-y ma chérie prend moi maintenant que tu as la porte de mon temple intime.
J’ai sodomisée Nadja, avec le plus de douceur possible, elle était serrée et le plaisir est monté tardivement, mais quand il a explosé en elle, tout son corps s’est mis à trembler avant qu’elle ne s’affaisse, sur le lit, tétanisée par le plaisir.

Puis elle ma sodomisée avec mon gode ceinture avant que je ne la reprenne pour jouir en elle au fond de ses entrailles, bien au fond de son petit cul serré, puis nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.

A suivre…

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