Imprévu À L'Hôtel Avec Le Patron ! (Suite)

A la suite de ma nuit passée à l’hôtel avec mon patron Christian, les choses changèrent. Tout n’en resta pas là et il fut loin de s’en contenter de si peu. Et le jour suivant, tout recommença à nouveau.
Nous étions vendredi, et comme il avait été convenu, nous nous étions rendus en audit chez notre fournisseur allemand. Durant la visite de l’entreprise et des diverses réunions de la journée, je ne pus m’empêcher d’être gênée à cause de ce qui s’était produit la nuit précédente. Si bien que je n’osais m’exprimer en anglais pour poser les questions nécessaires à la visite. Mon patron ne s’en offusqua aucunement. Bien au contraire, il me souriait très fréquemment et en repensant à ce qu’il m’avait fait subir dans le lit, je ne savais que lui répondre et me contentais à chaque fois d’esquisser un léger sourire à son égard avant de détourner le regard. Je ressentais mes fesses encore ouvertes de sa sodomie profonde. J’imaginais encore son sperme au plus profond de moi car il avait joui de toute sa masculinité dans mon cul et pour avoir eu, hier soir, la paresse de me lever et d’aller me nettoyer, je l’avais gardé dans mes entrailles. Je m’en rappelai rapidement lorsque je me rendis aux toilettes et que je baissai ma culotte pour remarquer une tâche toute sèche imprégnée à l’intérieur du tissu de couleur bleu ciel. J’étais profondément gênée envers mon chef Christian et je le demeurai toute la journée.
Nous repartîmes ensuite dans la soirée en voiture pour retourner à notre entreprise qui se situait en France. Il conduisait sur l’autoroute, et après quatre bonnes heures à parler de choses et d’autres concernant le travail, il se retourna finalement dans ma direction. Nous étions revenus dans notre région, et il ne nous restait plus qu’une cinquantaine de kilomètres à parcourir avant de revenir à notre entreprise.
-Ça va, Claire ? me demanda-t-il alors.
-Oui, très bien, pourquoi ?
-Te connaissant au travail… je pensais que tu allais plus parler lors des réunions et de l’audit !
Je baissai le regard en me pinçant les lèvres.


-C’est à cause d’hier soir, c’est ça ?
-C’est… C’était un peu bizarre pour moi !
-Tu sais, on peut en parler ouvertement ! Nous ne sommes que tous les deux dans la voiture !
-Oui, je sais… répondis-je bêtement.
Je n’osai le regarder dans les yeux tandis qu’il me cherchait du regard dès qu’il le pouvait.
-J’ai vraiment beaucoup apprécié moi, tu sais ! C’était merveilleux…
Et tandis qu’il m’exprimait son point de vue, je me rappelais encore comment je l’avais masturbé puis sucé avant qu’il ne m’encule dans le lit d’hôtel que nous avions réservé au nom de l’entreprise. Il était mon patron et avait la cinquantaine, et moi, à peine âgée de 21 ans je m’étais laissée faire sous l’excitation de son sexe tendu pour moi.
Je n’osai réagir face à lui.
Il se tut un moment puis m’observa, glissant son regard sur mon tailleur puis il s’arrêta sur ma jupe et sur mes bas foncés qui recouvraient mes cuisses.
-Et toi ? Tu as aimé, Claire ?
Je sursautai à cette question prévisible mais que je n’escomptais pas.
-C’était… euh…hésitai-je.
-Oui ?
-Ça allait mais ça m’a fait mal toute la nuit ! lui expliquai-je.
-Je comprends !
De nouveau, il garda le silence et fixa devant lui alors qu’il était lancé à plus de 90 kilomètres heure sur la route. Le crépuscule s’épaississait et laissait place à la nuit. Il souffla puis reprit :
-Ecoute, Claire, je vais être direct ! J’ai adoré te voir me sucer et j’ai adoré te baiser ton petit cul serré. J’ai encore envie de toi avant de rentrer !
J’écarquillai aussitôt les yeux, abasourdie. Je ne savais plus comment me comporter face à cette révélation. Il tourna la tête et me fixa avec un regard qui en disait long sur sa volonté.
-Mais monsieur… je n’osai décidément pas le tutoyer malgré la complicité que nous avions eue durant la nuit précédente.
-Je veux rentrer chez moi soulagé de ma contrainte. Aide-moi, Claire, stp !
Et sans me prévenir davantage, il attrapa ma main et l’amena jusqu’à sa cuisse sur laquelle il la déposa pour me frotter du revers de son pouce, le dos de ma paume.

-Tu n’as pas envie encore de moi ?
-Monsieur, vous êtes mariés ! Je ne veux pas être votre maîtresse ! Moi-même, j’ai un copain !
-Je sais, Claire ! Mais juste une dernière fois, allez ! Après nous n’en parlerons plus !
Il lâcha le volant alors que la voiture se dirigeait en ligne droite puis il vint baisser rapidement la braguette de son costume brun avant de l’écarter du bout des doigts, me révélant pour la seconde fois un bout du tissu de son slip tout noir. Il reprit le volant et entreprit de remonter ma main le long de sa cuisse. Puis il la souleva pour la fourrer à l’intérieur de son pantalon. Je me laissai faire car malgré mes remarques, j’aspirai encore à toucher à nouveau son gros sexe qui m’excitait.
-Touche-moi encore, Claire ! Fais un petit travail pour ton patron !
Et comme il le désirait, je le pinçai à l’intérieur de son pantalon. J’attrapai entre mes doigts le bout de son sexe tendu et le tâtai entre mon pouce, mon index et mon majeur au travers de son slip. Je le vis se détendre sur son siège en soufflant un grand coup. Il reprit le volant des deux mains et me laissa fouiller dans sa braguette. Il souriait et se laissait faire sans un mot. Je sentais son pénis gonfler toujours plus contre lui.
- Branle-moi le sexe, comme tu sais si bien le faire, Claire !
-Je peux vous la sortir ?
-Fais comme tu veux ! Du moment que tu me fais plaisir…
Je me penchai alors sur lui et des deux mains, je détachai le bouton de son pantalon comme je le pus malgré la ceinture qui me retenait et je baissai l’élastique de son slip pour extirper sa verge protubérante. Je me replaçai correctement sur mon siège et l’attrapai de la main gauche avant de le branler doucement contre le volant de la voiture d’entreprise.
Il baissa les yeux et regarda ma main étroite aux ongles un peu longs, s’activer pour son propre plaisir. Il gémit rapidement de joie.
-Tu sais que j’ai besoin de filles comme toi, Claire ! Ma femme ne me fait même pas ce que tu es en train de me faire ! J’apprécie tes petits doigts et ta paume brûlante ! Continue pour moi !
Je lui souris et retournai le regard sur l’extérieur.
Nous roulions sur une nationale et la nuit était presque entièrement tombée. En observant dehors, je continuai à le masturber faisant sortir et rentrer son gland à chacun de mes mouvements et je le sentais remuer le bassin sous mes caresses excitantes.
-Claire, il faut que je m’arrête ! J’arrive plus à conduire à cause de toi ! Tu n’es pas pressée ce soir ?
-Euh… Non !
Il attrapa ma main et me força à le garder serrer dans ma paume tandis qu’il m’imprimait un mouvement plus ralenti.
-Ne stoppe surtout pas ! Mais masturbe moi plus doucement ! Sinon je vais éjaculer trop vite !
Il me guidait gentiment d’une main pour l’aider à s’entretenir avant qu’il ne trouve un endroit pour arrêter la voiture. Nous passâmes dans de nombreux villages. Je vis de nombreux jeunes et de nombreux passants dans les rues, mais personne ne sembla remarquer ma main entreprenante.
Finalement, au bout d’une quinzaine de minutes, il trouva enfin un endroit pour s’arrêter. Ce n’était même pas un parking ou une aire de repos mais un chemin viticole qui s’enfonçait dans les bois. Je n’osai lui dire que ce genre d’endroit me gênait mais c’est ce qu’il avait recherché depuis le début. Il s’arrêta à une centaine de mètres de la route principale dans la forêt profonde où nous ne serions pas dérangés.
Il coupa le contact, ma main toujours sur lui, et se pencha pour reculer son siège par rapport au volant. Il me força un peu pour m’ouvrir la paume et sans me prévenir me saisit de sa main droite le haut de ma tête et ma chevelure blonde et m’ordonna de me pencher sur lui.
-Allez, viens sucer ! Fais plaisir à ton patron !
J’étais abasourdie par ce qu’il osait me dire mais depuis que je lui avais sorti le sexe du pantalon, je ne désirais que le reprendre en bouche. J’adorais sucer et mon copain ne se lassait jamais de mon envie. Mais cette fois, c’était un pénis plus âgé, plus mature qui attendait ma bouche et l’humidité ne cessait de s’imprégner dans ma culotte en le regardant.

La ceinture encore attachée, je me baissai sur ses cuisses et dans l’obscurité, attrapait le bout de son dard pour le glisser entre mes lèvres et contre ma langue.
-Aaaaahhh, Claire !!! Tu aimes ça hein ? grogna-t-il en ressentant ma bouche aspirer son gros gland.
Il posa la main sur mon épaule et me caressa le dos avec un plaisir suscité. Il se taisait et me laissait m’activer pour lui donner des frémissements tout au bout de son pénis tendu entre mes dents. Il bandait comme un taureau et j’avais déjà presque mal à la mâchoire de devoir le prendre jusqu’au fond de ma gorge étroite.
-T’es divine, Claire ! Je n’ai jamais été sucé comme ça de manière aussi divine ! Tu es mignonne !
Il descendit toujours plus sa main et cette fois, se glissa contre ma jupe, puis attrapa l’une de mes fesses rebondies pour la palper avec une envie déchirante. Puis rapidement, il passa sur mes cuisses et tenta de fouiller entre mes jambes du bout des doigts. Je sentis ses chatouilles contre ma culotte et ma petite chatte et cela me fis aussitôt frémir. Il essaya ensuite de trouver l’élastique de mon sous-vêtement et l’écarta tant bien que mal, enfouissant ses doigts dans ma toison blonde. La culotte se referma sur ses doigts et je le sentis peloter longuement de son index le haut de ma fente mouillée. Je remuai toujours la bouche sur sa longueur et je gouttai son pré-sperme me lubrifier la bouche.
-Claire, ton cul ! Je veux ton cul, encore une fois ! Laisse-moi te pénétrer par derrière !
Il me tirait toujours plus sur ma culotte et je le sentais appuyer de plus en plus fort sur mon clitoris jusqu’à me faire mal. Je me relevai aussitôt, les cheveux en bataille à cause de sa main qui s’était baladée sur mon crâne pendant ma fellation. Il extirpa sa main aventureuse et fit claquer l’élastique de ma culotte sur mon ventre. Je restai rouge encore longtemps après cette soirée.
-Allez, sors que je te baise ! Tu me rends fou !
Ces paroles, en temps normal, m’aurait parfaitement offusquée. Mais je désirais encore une fois ressentir l’expérience de son gros sexe glissé entre mes fesses et qui me labourait mon petit anus serré. Si bien que, excitée, je défis ma ceinture puis j’ouvris la porte et sortit calmement. Il alluma les feux de croisement de la voiture puis sortit à son tour de manière précipitée. Il avait encore son sexe à l’air et ce dernier pointait vers les étoiles et était encore humide de ma salive. Il contourna rapidement la voiture par l’avant et m’attrapa par le bras. Il me força à me placer dos à lui, les deux mains appuyées contre le capot encore chaud de la voiture. J’avais la culotte de travers à cause de ses caresses précédentes et je la sentis quelques peu me rentrer entre les lèvres de ma chatte étroite. Il se posta ensuite derrière moi et me demanda en soufflant dans l’oreille.
-Tu me laisses encore t’enculer, Claire ?
-Oui, monsieur, rentrez dans mon cul ! Fourrez-la en moi !
Il ne se fit pas le dire deux fois. Excité comme il était, il me releva la jupe en la faisant rouler sur mes cuisses puis découvrit la jolie garniture de mes bas noirs foncés. Il la remonta ensuite encore plus jusqu’à venir la passer par-dessus mes fesses et la bloquer à ma taille. Je le laissai me découvrir à sa fougue. D’un geste franc, il baissa alors ma culotte bleue jusqu’à mi cuisses. Puis ma petite chatte à l’air, je l’entendis se palucher dans mon dos. Je me doutais qu’il fixait mon intimité. Son pantalon tomba sur ses chaussures et il descendit son slip aux chevilles, puis il s’approcha de moi à pas progressifs.
Il plaqua ensuite son gland entre mes fesses et commença à fouiller pour trouver mon entrée brûlante. Je me détendis un peu en écartant les cuisses, bien décidée à l’accueillir chez moi.
Et sans me préparer davantage, il essaya de s’infiltrer dans mon cul. Mon anus qui avait pris toute la journée pour se refermer, s’ouvrit à nouveau comme un iris et il me pénétra. Je poussai un cri d’effroi sous la douleur qu’il m’imprimait et je m’affalais sur le capot de la voiture tandis qu’il continuait à pousser entre mes fesses pour se mettre à son aise dans mon corps de jeune employée à son service. Je le laissai entrer. Une fois satisfait de son exploration, il commença à me besogner. Je ressentais son long pénis glisser d’avant en arrière entre mes fesses enveloppées autour de son membre grossier.
-Claire, je ne sais pas pourquoi tu me laisses faire ça, ni même comment on en venu jusque-là mais j’adore tes fesses serrées ! J’y passerais mon envie à chaque fois.
Il posa ses paumes contre mes formes rebondies, les doigts contre mes cuisses, et accéléra son mouvement précieux. Je sentais ses gros testicules tambouriner contre ma chatte qui suintait de cyprine. Je le souillais de ma mouille sur ses poils pubiens tout noirs. Il ne put s’empêcher de me parler de son plaisir en me défonçant les entrailles.
Soudain, alors qu’il me poussait toujours plus en avant, je glissai sur le capot et trébuchai, manquant de tomber contre le sol de terre de la forêt. Il poussa un cri de douleur lorsqu’il me sentit tirer sur sa queue à cause de ma chute amortie. Il sortit aussitôt de mon cul.
-Ahh, tu m’as tué, là ! Tu vas finir par tout m’arracher !
-Désolée, m’excusai-je, vous m’enculez trop fort ! Le capot est tout humide de ma sueur et j’ai plus aucun appui !
Il observa son sexe longuement dans la clarté des feux allumés de la voiture et se remua un moment pour voir si tout fonctionnait à nouveau. J’avais toujours la culotte baissée et la jupe relevée et je l’observais sans savoir quoi faire.
-Mets-toi à quatre pattes devant la bagnole ! J’ai envie de finir !
-Mais, c’est tout sale par terre, il y a plein de poussière ! me plaignis-je.
-On ‘en fiche, je te repaye tes bas, si tu veux ! Mais tends moi le cul ! Je veux finir !
Un peu impressionnée, je finis par obéir. Je glissai mes mains contre la carrosserie de la voiture grise de l’entreprise puis passai devant les feux et m’agenouillai au sol en un endroit que je jugeais un peu moins crasseux qu’ailleurs. Il me rejoignit rapidement et appuya dans mon dos, sa paume contre mon chemisier blanc, pour me faire pencher en avant. Après s’être mis à genoux derrière moi, il me replaça rapidement son sexe dans le cul. Et il recommença à m’enculer en gémissant de plaisir.
Et moi, sur le coup, je ressentis de la honte. Bien que j’adorais ressentir son pic dans mes fesses, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer que c’était les femmes de joie ou les nymphomanes qui se laissaient prendre de cette façon-là dans les bois. Et non pas les filles comme moi ! Mais mon patron ne s’en souciait guère, il se colla dans mon dos tandis que je décidai d’oublier la situation scabreuse pour me concentrer sur le plaisir de me faire sodomiser par un homme âgé qui me prenait pour sa petite poupée.
Il plaça ses grosses paluches sur mon ventre puis remonta pour chercher mes seins tandis qu’il me grimpait dessus. Sans honte, les fesses à l’air, il était emboité avec moi et se laissait aller au frottement de mon anus contre son pénis bien dur.
Excité comme il était à triturer ma poitrine à l’aveugle, il déchira les boutons et écarta les pans de ma chemise avant de m’attr les bonnets du soutien-gorge que je portais alors. Il était de la même couleur que ma culotte et formait un même ensemble. Il fit glisser mes bonnets de taille B et me libéra les seins avant de les prendre avec une passion indéfectible entre ses paumes pour les peloter. M’excitant les pointes entre ses mains rugueuses.
Il commença à me déposer de long baisers mouillés dans le cou tandis que je gémissais à l’excitation qu’il me prodiguait en remuant en moi.
-Claire, Claire ! Je vais faire ! Tu veux tout dans le cul ? Je vais te mettre tout dans le cul comme hier !
Et il finit par se relever, m’attrapa par le bassin et en me ramenant trois fois de suite violemment contre lui, il éjacula au plus profond de mon cul. Il poussa un cri rauque lorsque je sentis son liquide brûlant et gluant s’infiltrer entre mes fesses.
-Je t’encule, Claire ! Je t’encule ! Oh oui, je t’encule !
Pour ma part je m’appuyai sur mes coudes pour tendre encore plus mes fesses à son intention. Désormais, salir mes vêtements m’importait peu et je me concentrai sur sa grosse verge enfoncée en moi. Je ne lui dis rien mais j’éclatai également. Ma petite chatte libéra ma cyprine avec une envie dévorante. Et ma mouille, chaude, s’écoula au sol, alimentant la forêt de mon jus de jeune fille perverse.
Il envoya ses dernières giclées de sperme en me secouant dans tous les sens possibles puis souffla, épuisé par l’effort. Il demeura encore un moment en moi et me révéla :
-Si tu me laisses faire, Claire ! Je te le ferai tous les jours ! Tu as des fesses parfaites et tu es si bandante que tu ne me laissais déjà pas indifférent bien avant notre voyage. Je me suis même fais sucer deux-trois fois par ma femme en pensant à toi !
Puis il s’extirpa ne me laissant le choix de répondre. Quelques gouttes de sperme issues de son gland souillé tombèrent à leur tour au sol. Mais ne prenant même pas la peine de se nettoyer de son jus, il remonta son slip.
-Allez, remonte ta culotte et remets ta jupe en place, nous rentrons ! Il est déjà tard.
Je me redressai alors sur mes genoux et remontai mes sous-vêtements sur mes fesses. Je réajustai ensuite mes habits constatant avec horreur que je ne pouvais même plus fermer mon chemisier à cause de lui.
Je le remerciai néanmoins de cette agréable sodomie en revenant dans la voiture. Il me sourit puis démarra tandis que je rabattis les pans de ma chemise sur mon soutien-gorge que je venais de réajuster autour de mes seins encore bouillants.

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