Cabines D'Éssayage

Marc choisit trois chemises et quatre pantalons de style différent puis il s'approcha des cabines d'essayage . Elles étaient toutes occupées et il dut attendre aux côtés d'un couple d'âge mûr qu'il eu le temps de détailler.
L'homme, à la calvitie naissante, était légèrement bedonnant. La femme, brune, petite et svelte avait l'air dotée d'une jolie poitrine.
Après une dizaine de minutes, une cabine se libéra et l'homme entra. Sa femme lui passa une demi douzaine de pantalons avant qu'il ne tire le rideau. Marc et la femme échangèrent quelques regards puis il entra dans la cabine d'à côté. Il entreprit d'occulter la vue tandis que la femme lui lançait un furtif regard. Il se mit torse nu et s'apprêtait à déboucler sa ceinture lorsqu'une idée folle lui vint. Il écarta légèrement le rideau et constata qu'hormis la femme qui s'était assise face à la cabine de son mari et donc à la sienne, le secteur était maintenant très calme. Il sourit malicieusement puis entreprit de faire bouger le rideau afin d'attirer l'attention de la dame. Persuadé que de sa position elle devait avoir une vue suffisante sur l'intérieur de sa cabine, il déboucla sa ceinture et ôta son pantalon. Un rapide coup d'oeil à l'extérieur l'informa que la femme regardait dans sa direction. Il écarta d'avantage le rideau et put plonger les yeux dans ceux de l'observatrice qui détourna aussitôt le regard pour se concentrer sur la cabine de son mari ce qui ne sembla pourtant pas captiver son attention puisque ses yeux se portèrent à nouveau, très vite, dans la direction de Marc. Celui-ci n'hésita plus. Il fit tomber son slip sur ses chevilles et sentit aussitôt les yeux de la femme se poser sur son sexe ce qui déclencha une superbe érection. Il croisa de nouveau le regard de la belle qui le gratifia d'un sourire. Encouragé, il laissa tout loisir à la femme de contempler sa verge, laquelle, quoique de longueur modeste présentait un bon diamètre lorsqu'elle était au garde à vous.

D'une moue admirative la femme lui signala qu'elle appréciait, et il se mit de profil pour changer l'angle de vue. La femme sourit et lentement Marc décalotta le gland, puis commença à se masturber. La femme le regardait toujours et c'est à peine si elle entendit l'appel de son mari qui sollicitait son avis. Marc ferma rapidement le rideau, déçu, tandis que la femme s'approchait de la cabine de son homme qui l'invita à rester là.
Dépité, Marc se dit que malgré tout ce petit intermède avait été très érotique et alors qu'il s’apprêtait à se baisser pour relever son slip, il vit la main de la femme se glisser dans l'ouverture du rideau. Surpris, il osa un rapide coup d'oeil. La femme regardait son mari tout en remuant la main dans l'espace de Marc. Il approcha l'objet du désir et la femme le saisit par les bourses qu'elle soupesa et palpa à loisir, puis elle saisit la queue dressée et la décalotta ; elle caressa doucement le gland humide puis commença à masturber Marc qui involontairement fit bouger le rideau qui séparait les deux cabines. Après quelques minutes délicieuses, la main se retira. Désorienté par le subit abandon Marc passa la tête à l’extérieur. La femme avait dû entrer dans la cabine de son mari. Soudain il perçut comme un murmure et il prêta l'oreille :
« non, pas ici Suzanne 
mais si tu vas voir ça va être bon »
Intrigué, Marc risqua un regard en écartant précautionneusement le rideau qui séparait les deux cabines. Suzanne était en train de masturber son mari, qui les yeux fermés affichait un sourire béat. Elle fit signe à Marc d'écarter le rideau sans bruit, et entreprit de faire légèrement pivoter son mari vers le mur tout en continuant ses caresses. Elle tendit la main, saisit la queue de Marc et lui fit faire deux pas vers elle, après quoi elle commença à le masturber. Ses mains s'affairaient sur les deux sexes surveillant régulièrement les réactions de son homme
« je veux que tu gardes les yeux fermés mon chéri, tu pourras les rouvrir quand je te le dirai.
Tu promets ?
Oui ma chérie »
Satisfaite,Suzanne souriait. Elle souriait à Marc qui s'apprêta bientôt à fermer les yeux lui aussi. Pour l'en empêcher elle serra vigoureusement la queue tendue, et, d'un signe lui fit comprendre qu'il devait garder les yeux ouverts. Marc la questionna d'un regard, alors elle fit bouger ses lèvres d'une manière si explicite qu'il comprit : « tu... as... une... belle... queue » bien qu'aucun son ne fut émis. Continuant le jeu elle mima : « tu... as... compris... ce... que... j'ai... dit ? » et Marc « répéta » silencieusement d'un mouvement de lèvres. Suzanne acquiesça puis ses lèvres bougèrent à nouveau : « j'ai... envie... de... te...sucer....approche....toi » Marc fit encore un pas et la femme engouffra le sexe turgescent. Elle suça le gland comme elle se serait régalée d'une crème glacée, puis, posant la main sous les volumineux testicules, elle pompa consciencieusement tandis que de sa main gauche elle continuait à branler son mari qui souriait toujours aux anges... Elle le connaissait bien, ce qui lui permit de régler le rythme de la fellation et de faire jouir Marc dans sa bouche quelques secondes seulement avant que son homme n'éjacule dans sa main. De la langue elle nettoya consciencieusement le gland de Marc puis lui fit signe de reculer dans sa cabine. Il finissait à peine de tirer le rideau lorsque le mari de Suzanne ouvrit les yeux.
« C'était bon mon chéri ? » Marc n'entendit pas la réponse mais il devina que l'homme s'était affublé d'un sourire ravi.
Tout le stress de la journée ayant disparu dans la cabine d'à côté, c'est très détendu que Marc essaya ses pantalons. Il sortit de la cabine conjointement avec le mari de Suzanne. L'homme, souriant, lui adressa la parole :
« vous savez, c'est bien agréable d'avoir une femme à côté de soi quand on essaie des vêtements
-je vous crois volontiers »
Sur ces mots Marc échangea un dernier regard avec Suzanne qui lui sourit, apparemment elle aussi ravie.

Bambyfou

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