La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 302)

Tandis que le chanteur sans la moindre hésitation, ce qui est le signe d’un vrai caractère de soumis déjà affirmé, retire ses vêtements pour apparaitre dans une nudité totale, la queue encore ramollie, Walter ramène Holly MDE et Thaïs MDE qui s’approchent de la table où se trouve encore le Marquis Edouard d’Evans qui termine de déguster son dessert. Elles avancent et se mettent à genoux côte à côte au pied de la table.

- Mes belles chiennes ! de belles prestations toutes les deux, pour mon anniversaire ! Mais ne croyez pas que vous allez être au chômage pour la nuitée qui s’annonce. Voilà un beau jeune homme qui vient de s’égosiller pour notre plaisir à tous, tâchez de lui rendre sans tarder une vigueur d’homme car sa queue semble bien pendante. Je suis sûr que Vos deux belles et bonnes langues de petites chiennes bien dressées font pouvoir faire des merveilles.

Holly et Thaïs se retournent, restant toujours à genoux sur le sol, étant de fait à la bonne hauteur, elles commencent à ouvrir la bouche et à sortir leur langue, tout en gardant les mains croisées dans le dos, comme elles ont souvent eu l’habitude de le faire. Prenant en sandwich le phallus plongeant et mou, elle commencent par le lécher sur toute la longueur, le mouillant d’une abondante salive pour rendre les caresses buccales plus onctueuses et puis dans un balai orchestré et alternatif, elles enfilent l’une après l’autre la hampe du mâle qui ne met pas longtemps à commencer à gonfler et à durcir devant une telle dextérité pour cette double fellation qui prend plaisir à s’attarder sur le gland décalotté, devenu turgescent et rougeoyant. Le Marquis se plait à voir ses deux soumises à l’œuvre, et IL apprécie que le divertissement qu’IL offre enfin à l’assemblée ouvre un peu plus le début des fornications orgiaques que chacun devait attendre avec impatience, car Ses Invités sont nombreux à avoir voulu de concert se faire lécher la queue ou la chatte, tout en profitant du dessert.

Le Marquis interrompt la scène centrale pour ajouter.

- C’est bon mes petites chiennes. Vous pouvez arrêter maintenant. J’ai pu constater que sa queue fonctionne, mais saura-t-elle aller au bout de Mes exigences ? Nous le saurons sous peu ! Quand à toi qui a osé te dire docile et bien dressé, sache que si tu espères que je puisse voir en toi un soumis en devenir, tu dois apprendre à te comporter comme tel. Ce n’est pas parce que j’exige de Mes deux belles chiennes qu’elles donnent un peu plus de tenue à ta queue que tu dois te sentir pour autant un mâle triomphant arborant son attribut phallique avec fierté et plaisir. Tu aurais dû baisser les yeux en signe d’humilité et d’asservissement et non parader la tête haute, le sourire aux coins des lèvres, le regard triomphant, comme un paon près à faire la cour, parce qu’il est en train de se faire sucer allégrement par Mes esclaves-soumises qui n’agissent que sur mon ordre et pour le plaisir que j’en retire de les savoir et de les voir aussi obéissantes et soumises. Sache qu’ici, ta verge sera plus souvent encagée que sortie, car seul Mon bon plaisir de Maître compte, et que j’ai tout pouvoir sur les désirs et les plaisirs de ceux qui veulent de leur plein gré se mettre sous mon joug et m’appartenir. Tient-toi le pour dit, car je n’aime pas du tout avoir à me répéter.

Rouge de honte de s’être fait reprendre et aussi surprendre à avoir éprouvé un vrai plaisir à ce savant léchage dont il avait presque oublié le goût depuis fort longtemps, le chanteur baisse immédiatement la tête et se tient immobile dans une indécence qui d’un seul coup lui fait honte. Il est là au centre de toute une assemblée de Dominantes et Dominants, totalement nu à la vue de tous, immobile et conscient de son désir de docilité qui lui fait abandonner tout contrôle de la situation, la queue redressée visible comme le nez au milieu de la figure, la tête baissée en signe de soumission. Mais en même temps, ce sentiment de honte lui procure un réel plaisir viscéral qui le transporte et qui achève de le maintenir dans un état d’excitation manifeste faisant redresser sa queue de plus en plus gonflée.
Le Marquis d’Evans scrute de son regard dominateur les réactions de celui dont IL a bien l’intention de prendre en charge le dressage sans tarder, comprenant qu’IL doit le tester sans tarder pour savoir quelles seront ses réactions s’IL commence à le pousser un peu plus dans ses retranchements.

- Alors la petite queue qui vient enfin de nous montrer que tu n’étais pas juste une femelle aux cordes vocales de soprano, mais que si tu n’en as pas dans les couilles, tu n’en es pas moins homme, tu vas sans tarder remercier la belle Olympia à qui tu as prêté ta voix. Et tâche de me la faire grimper aussi haut que tes notes les plus aigues, car je veux l’entendre maintenant crier son plaisir et nous montrer qu’elle aussi peut nous jouer dans les plus hautes cimes pour peu qu’on la pénètre avec dextérité et habileté… Tu la prends tout de suite en levrette là à Mes pieds, devant moi et devant tous.

Le castrat s’exécute aussi sec pour ne pas risquer de se faire reprendre une fois de plus par le Châtelain, et attrapant la croupe de soumise Emeline MDE entre ses mains, il s’empale dans sa chatte déjà suintante de cyprine, Il commence à la pilonner avec une régularité de métronome, portant ses à-coups le plus profondément jusqu’à toucher le fond du vagin de celle qui commence à haleter, tandis que ses battements cardiaques s’accélèrent. Il s’affaire sans ralentir son rythme faisant monter le plaisir dans celle qui se trouve pénétrée, possédée, enivrée de désir, mais qui sait très bien qu’elle ne doit pas céder à la jouissance, tentant de reculer son orgasme jusqu’à pouvoir être autorisée par son Maître à partir dans l’extase. Ses halètements deviennent de vrais petits cris de soupirs, mêlés de grandes respirations pour pouvoir calmer le feu qui commence à brûler entre ses cuisses. La poupée « Olympia » n’en pouvant plus, lève la tête quelques secondes et sans un mot mais d’un regard suppliant, si attendrissant sur ce visage de porcelaine grimé, elle implore des yeux Celui qui lui fait face et qui a tout pouvoir sur elle, avant de baisser à nouveau la tête, pour faire comprendre à son Maître, que quelque soit ce qu’IL exigera d’elle, elle Lui obéira et acceptera ce coït ininterrompu qui a enflammé son corps et son bas-ventre, mais auquel elle ne peut céder, devant contrôler la montée du plaisir pour éviter un orgasme non autorisé, jusqu’à ce que le Noble décide qu’il en sera autrement.


Le Marquis attendri par les yeux suppliants de celle dont IL tient avant tout à la remercier pour le spectacle qu’IL a apprécié et dont IL souhaite voir une jouissance sans bornes la traverser, mais sachant que le temps d’attente qu’IL a imposé à sa soumise aura eu pour effet de décupler le plaisir, s’écrie au bout encore de longues secondes :

- Maintenant, Ma belle chienne, et pousse nous à ton tour tes plus belles notes, fait vibrer ton corps, ton sexe, tes lèvres intimes, ton bouton d’amour, et toutes tes cordes vocales.

C’est un vrai courant électrique qui traverse aussi sec Emeline qui avait su se retenir jusque là, prise de spasmes convulsifs qui la font se tordre dans tous les sens, alors qu’elle est encore martelée par un phallus qui semble ne pas vouloir s’arrêter, ni débander. D’orgasmes en orgasmes successifs, elle rejoue à sa manière l’air de la si mignonne poupée Olympia qui, si elle n’a pas de mécanisme que l’on remonte dans le dos, ne semble pas en avoir besoin pour être ainsi montée par celui qui fait preuve d’une régularité mécanique à la pourfendre. Et c’est réjouie, mais épuisée et en nage, qu’elle s’effondre au bout d’un nombre presque incalculable d’orgasmes successifs lorsque le Marquis d’Evans fait signe au castrat de s’interrompre pour permettre à Sa belle de reprendre ses esprits.

- Et bien maintenant que tu as su jouer de ton bâton de joie avec Ma belle Emeline MDE, je te laisse le plaisir de sodomiser mes deux autres soumises Holly MDE et Thaïs MDE qui ont su si bien te faire bander en réveillant ta queue qui semblait ne pas avoir trouvé de fourreau depuis fort longtemps, si j’ai bien compris ce que tu as laissé insinuer. Je voudrais bien savoir combien de temps tu vas tenir devant les croupes si tentantes et si accueillantes de mes deux belles chiennes, surtout que ton postérieur mériterait aussi de prendre un peu de couleur et de chaleur. Mais ici, rien ne te seras imposé sans ton accord, surtout que tu n’es à ce jour rien de plus qu’un chanteur et non l’un des esclaves de mon cheptel ayant fait vœu d’allégeance.
Tu es donc libre de partir si tu le souhaites et/ou de rester tout en profitant de Mes deux chiennes à titre de remerciement sincère, mais sans accepter que je puisse prendre Mes dispositions pour m’occuper de ton postérieur qu’IL me plairait de voir à l’ouvrage.

Le Marquis marque un temps de pause pour attendre la réponse qui ne tarde pas.

- Ho oui, j’accepte, Monsieur le Marquis d’Evans, tout ce que Vous voudrez. Je Vous saurai même infiniment gré de me faire goûter à des plaisirs sensuels qui me manquent depuis si longtemps.
- Tu ne devrais pas dire des choses aussi fortes que « tout ce que je voudrais », car je pourrais bien te prendre au mot. Mais contentons-nous pour commencer du « raisonnable déjà déraisonnable » (ajoute t-IL d’un petit air plaisantin). Si tu veux arriver à tes fins, tu peux bien sûr retirer les plugs que ces chiennes ont entre les fesses et leur coller dans la bouche, pas question de laisser trainer par terre ces objets qui portent Mes Armoiries. A mon avis, tu devrais trouver de quoi lubrifier ta queue pour rentrer dans leurs petits trous simplement en la passant dans leurs intimités, car je connais Mes deux gourmandes, qui, bien qu’obéissantes et ne jouissant que sur Mon ordre, n’en sont pas moins souvent coulantes et poisseuses, et totalement ouvertes et offertes à mon bon plaisir. Quand à vous, mes deux esclaves-soumises, je vous autorise toutes les deux à crier à souhait et à jouir autant que vous le voulez, sous mon regard dominateur qui vous observe avec délectation. Profitez-en ce ne sera pas toujours le cas, vous le savez bien. Mais, ce soir, je veux vous savoir vous tordre dans la jouissance et le plaisir absolu sous les yeux de toute l’assemblée encore réunie autour de cette table.

Le castrat est fasciné par la facilité avec laquelle le Châtelain s’exprime devant ses Invités et Ses esclaves, comme si tout était si naturel et si érotiquement sensuel. Holly et Thaïs, très excitées autant l’une que l’autre, d’avoir vu Emeline jouir intensément sous leurs yeux, à quelques centimètres seulement, et d’être en cet instant l’objet des attentions toutes particulières de leur Maître, le Marquis d’Evans, ne demandent pas mieux que de se mettre en position, sans tarder croupe largement relevée, tête au sol, si ravies d’avoir à obéir à un ordre aussi plaisant de leur Maître, et ayant depuis longtemps abandonné toute fausse pudeur même en public, quand elles se sentent sous le joug et la protection de leur Dominant. Elles sont tellement humides de l’intérieur que la cyprine a fini par couler entre leurs cuisses. Le castrat, se positionne derrière Holly, passe sa queue entre ses lèvres roses pour la lubrifier, comme cela lui a été précisé par le Marquis qui connait suffisamment bien Ses soumises pour savoir dans quel état doit se trouver leurs corps, leurs pensées et leur intimité. Le mâle, excité à la vue de ces deux postérieurs attirants qui lui font insolemment face, place sa queue devant l’auréole encore fermée de la soumise qui de ses mains écarte ses fesses pour faciliter la pénétration. Il pousse un grand coup et pénètre dans l’étroit conduit sans qu’il lui soit opposé la moindre résistance, ni contraction musculaire, seul un petit gémissement est sorti de la bouche de soumise Holly MDE, dont on aurait bien du mal à savoir s’il était déjà de plaisir ou encore de douleur. Le castrat sentant sa queue se durcir du plaisir de cette sodomie qu’il n’avait pas pratiqué depuis de très nombreuses années, commence par de lents va et vient, sortant presque entièrement sa verge, pour le plaisir de pouvoir à nouveau la rentrer dans l’orifice étroit et la faire glisser sur toute la longueur, puis le plaisir le prend et c’est donc à grands coups profonds et forts qu’il encule sans retenue la soumise dont on entend à peine les soupirs car sa bouche est emplie du plug aux Armoiries de la famille Evans.

Le Noble avait fait signe à Walter pour qu’il puisse aller se placer derrière le castrat tandis que celui-ci était en train d’enfiler sa queue dans le premier anus à sa portée et d’un geste, il lui fait signe de commencer. Un grand paddle de cuir en mains, Walter frappe sur les fesses du castrat, s’adaptant en cadence au rythme de ses pénétrations, de telle manière que le coup tombe au moment même de la pénétration, le faisant sursauter à chaque fois, ce qui augmente encore la pression et la puissance des coups de bélier. Holly se cabre sous chaque percussion, ce qui la projette de plus en plus vers l’avant. Walter a accentué la pression de ces coups qui commencent à chauffer sérieusement les fesses de celui qui apprécie de se sentir à nouveau enflammé et pris en mains. Si excité de se sentir ainsi, au bout d’un moment, il se laisse emporter par la fougue mélangée des coups reçus et des coups donnés dans l’anus de celle qu’il sodomise comme jamais de sa vie. Il pousse soudain un grand râle guttural presque surprenant en comparaison avec sa voix si aigue de chanteur, et répand sa semence entre les fesses de Holly qui sous la force des dernières pénétrations s’est mise à hurler si fort qu’elle en a tombé le plug qui était dans sa bouche avant de s’effondrer à même le sol, aussitôt recouverte du corps du castrat qui s’est effondré à son tour sur elle, l’écrasant de tout son poids, les fesses rougies en feu, le corps et le sexe vidé de toute énergie.

Le Marquis profite de ce temps de coupure dans les ébats sexuels pour se lever en annonçant à toute l’assemblée que chacun peut aller où bon lui semblera dans le Château pour des plaisirs de toutes natures, les plus pervers et orgiaques qui soit, que cette pièce servira dès que les tables auront été enlevées de salle de danse et de tant d’autres ébats sexuels pluriels ou non, mais qu’un donjon D/s a été installé dans le Grand Hall de réception où un café vient d’être servi, pour tous ceux qui ont envie sans tarder de petits plaisirs plus affirmés, laissant parler leur talent de Dominatrices et Dominateurs. En se levant, il se tourne vers son compagnon David :

- Je pense qu’il te faudrait t’occuper pour ce soir de ma belle poupée Olympia comme je te l’ai demandé. Veille aussi à ce que Holly puisse se reposer un petit peu, elle a réussi à achever ce pauvre castrat qui est encore affalé par terre. Je crois bien qu’il a fini par nous sortir tout ce qu’il avait dans le ventre, d’abord en faisant vibrer ses cordes vocales étonnantes pour terminer par sa verge tout aussi étonnante. Tâche de le ménager, car il pourrait faire un bon soumis à dresser, qu’il me plairait de pousser encore plus loin et plus haut, il me semble qu’il y a du potentiel en lui, même s’il manque cruellement encore d’humilité et d’obéissance, mais tout s’apprend avec le temps, n’est pas mon cher David.

Le Marquis se penche sur la table avant de se retirer.

- Ma pauvre Thaïs, te voilà bien mal en peine, toujours là la croupe relevée, attendant ce qui ne viendra plus, sois en certaine, car ta sœur a su vider ce pauvre malheureux qui n’a pas encore émergé. Je voulais en récompense te faire profiter d’une queue qui semblait ne pas pouvoir débander et éjaculer, mais il n’en est rien. La nature humaine a ses limites. Mais, tu n’as pas tout perdu. Suis-moi à quatre pattes, car je t’ai promis quelque chose en début de soirée et tu sais bien que je tiens toujours Mes promesses.

L’esclave-soumise Thaïs MDE se faufile sous la table pour se retrouver sans tarder aux pieds de son Maître Vénéré, trop heureuse de pouvoir être à cette place et de savoir que son Maître n’a pas oublié ce qu’IL lui avait annoncé peu après son retour, bien avant que la soirée ne démarre, lui précisant qu’elle pourrait être autorisé à sucer Sa Divine queue, honneur suprême pour une soumise dévouée. Elle n’en espérait pas tant, car elle pensait que son Maître serait bien trop occupé par Ses Invités, et aussi l’ensemble de tous les esclaves du cheptel, ses frères et sœurs de soumission, pour se rappeler de cette phrase dite au moment où le Châtelain n’avait pas découvert les surprises qui l’attendaient pour sa soirée anniversaire et n’avait découvert, à son arrivée au Château, que sa soumise Thaïs MDE l’attendant au pied de sa superbe Ferrari rouge. C’est donc radieuse, le sourire aux lèvres qu’elle se tient juste derrière Celui qu’elle Vénère plus que tout, en se disant qu’elle n’a sûrement pas perdu au change si son Maître lui fait profiter de sa Noble Queue et du Divin nectar qu’elle produit. Le Noble tend la main en direction de Sa très belle Marquise d’Aurore qui est restée tout le temps du repas silencieuse à sa gauche et d’un ton presque solennel, IL lui sourit et ajoute :

- Très Chère, Ma très belle Marquise que j’adore, donne-moi ta main et suis-moi. Je t’ai délaissé un peu de la soirée, mais je sais que tu ne m’en voudras pas, surtout pas ce soir. Il faut dire que je n’ai eu guère le temps de m’occuper de toi, car la soirée qui est loin d’être terminée a été dense en événements et surprises de tous ordres. Allons à côté prendre un café ensemble, et j’ai aussi envie de découvrir le donjon D/s que mon fidèle Walter a aménagé. Je ne regrette qu’une chose, c’est de ne pas avoir pu souffler symboliquement Mes bougies, comme chaque année.

La Marquise Aurore d’Evans qui s’est levée à son tour, mettant sa main dans celle du Marquis d’Evans, s’approche de son oreille et lui murmure :

- N’ayez pas de regret, Mon tendre Amour de Maître, je suis dans la confidence, il est bien prévu que Vous puissiez souffler Vos bougies. Il n’en manquera pas une ! Mais, c’est un secret, et je n’aurai rien dû Vous dire, mais Votre soumise n’a aucun secret pour son Maître …. Et puis, je voudrais moi aussi pouvoir Vous offrir mon cadeau d’anniversaire à un moment donné de la soirée, en espérant qu’il Vous plaira, sachant que mon plus beau cadeau restera toujours et pour toujours l’Amour inconditionnel que je Vous porte qui n’a d’égal que la soumission totale qui est la mienne envers Vous, mon Maître, avant tout…

(A suivre ….)

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