Fais Un Choix 3

Je repris ma vie habituelle, mes sorties... Evidemment, je ne racontais pas ma dernière aventure !
Je continuais à voir mon ami passer de fille en fille… Ma jalousie, elle, ne descendait pas. On se parlait de moins en moins…
Ma meilleure amie aussi était en couple et filait le parfait amour, bref, j’étais seule encore une fois ! Et le seul dans ma situation ne voulait toujours pas de moi…
Alors qu’on était en soirée, je retombais sur ma dernière aventure, il me dévisageait, je voyais de la tristesse… Honteuse, je détournais les yeux et partis dansée.
Alors que je sortais des toilettes et retournais vers la salle, je longeais la porte d’entrée et fini par tomber nez à nez avec lui.
- Salut. Me dit-il.
- Salut…
- Tu n’as pas besoin de me nier, tu sais ?
- Je ne sais pas, je m’en veux de t’avoir fait mal.
- Ce qui est fait, est fait ! Me dit-il me regardant droit dans les yeux.
- Désolée…
- Tu as l’air de vraiment t’en vouloir à te regarder.
- Oui, et je ne sais pas quoi faire pour que ça me passe…
- Suis-moi… Dit-il en passant la porte de la sortie et ne me laissant pas vraiment le choix.
Sans savoir pourquoi, je le suivis, on arrivait à sa voiture, il m’ouvrit la porte et me fis rentrer et aller derrière, je m’assis, il fermait la porte et s’assit et m’abaissais les brides de ma robe en même temps que ceux de mon soutien-gorge, je restais là, à le regarder sans réagir. Il relevait le dessous de ma robe, me faisais relever mes fesses et me retirais mon shorty. Je le laissais faire, comme si il déshabillait une poupée.
Il détachait son pantalon et sortit son sexe, il mit sa main derrière ma nuque et dirigeais ma tête vers celui-ci. Agrippant son sexe avec ma main, je me mis à le masturber alors que ma langue faisant le tour de son gland, passait le long de sa verge avant de finir par mettre cette dernière en bouche et y faire des va et viens… Où, il finit par se vider.

Je me redressais, et il me sourit.
- Tu fais mieux ça qu’être une bonne amie on dirait…
Choquée par sa phrase, je ne su pas quoi répondre, il ajoutait directement.
- Mets-toi à 4 pattes que l’on en finisse.
Je me mis alors à 4 pattes, les fesses vers lui, ses mains écartèrent mes jambes afin de bien lui montrer mon anus, il se met à jouer avec, m’y enfoncer ses doigts à peine humide de ma salive, il vint mettre son gland contre, avec un préservatif quand même, mon anus avait été peu humidifié, j’étais certaine que j’allais avoir mal.
Et ce fut le cas à peine au moment il commençait à pousser sur mon anus, il finit par bien le faire rentrer, quelque va et viens dedans et il se penchait sur moi, s’agrippant à mes seins il se mit à faire des va et viens de plus en plus fort, après un trop long moment pour moi, il finit par venir, me mettant une claque magistrale sur la fesse droite, il ressortit sans délicatesse et lorsque je me tournais vers lui, il vit que j’avais un peu pleurée.
- Tu as été gentille, tiens bois ça. Me dit-il en m’ouvrant la bouche et me faisant couler le sperme de la capote dedans.
Lorsque ce fut fini, il me fit lui nettoyer la bite, il remontait son pantalon et le rattachait, je remontais mes brides et abaissais ma robe.
- Le shorty, t’en as pas besoin… Salope comme tu es, je suis certain que tu seras plus à l’aise.
Je sortis de la voiture, sans mon shorty, la chatte à l’air, à peine cachée par ma robe et repartis dans la boite… Le sorteur me fit un sourire, ce sourire qui me disait « toi tu es passée sur une banquette arrière », je détournais les yeux et rentrait retrouver mes amis.
Mon ami, que j’aime tant, lui, n’était pas parti bizarrement, ils me regardèrent tous revenir vers eux, et ma meilleure amie, vint à mon oreille me demander :
- Tu étais avec un beau mâle ?
- Oui… Répondis-je simplement.
A nos réactions, mon ami avait compris, il se mit à tirer la tête et partir plus loin.

Je finis un peu plus tard par aller près de lui et d’entamer la discussion, il restait froid et puis me dis :
- Ecoute, je te ramène si tu veux, on discutera à ce moment-là, mais là… Lâche-moi !
Je partis m’asseoir sur une banquette, seule, avec mon verre… Des mecs venaient me tenir compagnie, m’offrir des verres… Tenter des techniques de drague très nulle ! Mais mon ami voyait ça d’où il était, c’est lui qui m’avait dit de lui foutre la paix.
Finalement, on finit par repartir, dans la voiture, il y avait un silence de mort.
- On ne devait pas parler ? Dis-je alors.
- Que veux-tu que je dise ?
- Ce que tu as sur le cœur ? Espérais-je…
Il se garait sur le côté, me regardais et dit :
- Ce que j’ai sur le cœur ? Je suis amoureux de toi, et tu vas te faire sauter par d’autres types !
- Et moi ? Je ne suis pas amoureuse de toi ? C’est toi qui ne veux pas de moi !
- Et alors ? Tu n’as pas à aller faire la salope !
- Et toi tu peux te tirer toutes les filles ? Dis-je m’énervant
- Ce n’est pas pareil !
- C’est ça ! Donc, toi tu peux te « vider » mais moi, mes envies, je me les gardes ?
- T’as cas m’appeler quand tu as des envies !
- Je ne suis pas ton trou !
- Au moins tu le feras avec celui que tu aimes !
- Égoïste… Dis-je en pleurant.
Il reprit la route et me ramenait chez moi, je ne dis plus un seul mot et regardais dehors… Arriver chez moi, je m’apprêtais à sortir sans lui dire au revoir et il m’attrapait le bras et me tirais vers lui, il m’embrassa, et nous fit passer à l’arrière…
- Non, je veux que tu m’aimes…
- Mais je t’aime ! Me dit-il en m’embrassant dans le cou.
Il relevait ma robe et vit que… Il n’y avait rien en dessous, je vis sa tête changer, je ne saurais définir si il était en colère, surpris, déçu… Il me retirait la robe complètement et le soutien-gorge avec, il ne me restait que mes talons à mes pieds, il se mit sur moi et sortit son sexe, qu’il enfonçait comme si ça l’ennuyais… Mes jambes sur ses épaules, il était penché sur moi et me tenait par les fesses, me donnant des coups de rein qui en fait, n’envoyait aucun sentiment, aucun amour… Il baisait un trou.

- C’est ça que tu veux, non ? Me dit-il.
- Ce n’est pas ce que je voulais !
- Mais si, tu te promènes sans rien… Depuis quand tu écartes les jambes ainsi ?!
Il vint assez vite, il me passait un mouchoir et avant même que j’aie remis ma robe sur moi il me dit :
- Dégage… Tu me dégoûtes !
Je sortis en mettant en même temps la robe sur moi, oubliant de reprendre mon soutien-gorge et rentrait en larmes chez moi… J’allais sous la douche, laissant couler mes larmes de plus en plus fortes et lorsque j’en sortis, je regardais mon téléphone et vis qu’il m’avait fait un message.
- Regarde dans ta boite aux lettres, j’avais ça à te donner. Au revoir sale traînée.
J’allais après m’être apprêtée dans la boite aux lettres, et il m’avait fait une lettre, en expliquant que celle-ci était le seul moyen de pouvoir exprimer ses sentiments, que si il partait avec des filles, c’est justement parce qu’il était trop lâche de les exprimer et préférais choisir l’option de facilité.
- Je suis désolée, je n’ai pas réfléchis… Je l’aurais su plus tôt, on serait ensemble à l’heure actuelle…
- Oublie-moi maintenant sale p**e. Me répondit-il avec tout un tas d’autres insultes plus méchantes et dégradantes les unes que les autres.
Je reçus quelques messages ainsi, relançant à chaque fois mes larmes, le dernier fut.
- Je ne veux plus te voir, ni entendre parler de toi, disparais… Vraiment disparais.
Chose dites, chose faite, ma meilleure amie était au courant, je ne sortais plus à notre boite habituel et allais à une autre, je jouais avec les mecs et les jetais avant qu’il se passe quoi que ce soit, je ne voulais plus de mecs. C’était décidé !
Sur un 1 an1/2 je sortis tout de même avec 3 mecs, chaque fois des relations entres 2 à 3 mois, le premier et le 3ème, je leur en ai fait voir de toutes les couleurs et n’ai rien fait avec eux, à part les chauffer… J’en ai larguée un, l’autre la fait de lui-même… Le 3ème, avec lui… C’était différent, je ne sais pas, mais il y a eu du sexe.

Mais au final, pendant 1 an et demi, hors ces relations, je couchais toujours avec ce type, ce type qui avait fait l’un de mes fantasmes et à qui je m’en étais voulu de lui avoir fait mal… J’allais chez lui, on faisait ce qu’on avait à faire et parfois je repartais, d’autres, il me laissait attachée à un endroit de son appartement…
Au final, aujourd’hui, je sais que d’une part, je m’en voulais vis-à-vis de lui, et d’une autre, j’avais très mal à cause de celui que j’aime.

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