Un Nouvel An &Quot;Confine&Quot;

Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis ma rupture avec Jérôme. La crise sanitaire nous avait imposé un second confinement, qui avait permis de me rapprocher de mon mari. Les affaires avaient finalement connu un léger rebond nous permettant de nous projeter à nouveau. J’avais évité le bureau pour privilégier le télé travail ce qui me permettait également de ne pas me retrouver en face de mes collaborateurs qui avaient profité de moi pendant l’automne. Noël approché à grand pas, et nous passions les fêtes en famille, profitant des s qui étaient venus passer quelques jours à la maison. J'avais également renoué avec mon amie Marielle qui malgré notre expérience m'avait pardonné. Je m'étais confiée à elle, et lui avait avoué mon adultère et mes diverses expériences avec mon amant. J'avais plusieurs fois revu mon amie, chez elle où nous prenions un thé. Dans un premier temps, elle restait distante, mais assez rapidement les vieux réflexes resurgir et elle se faisait charmeuse. J'étais soulagée de cette situation ayant peur d'avoir perdu irrémédiablement ma meilleure amie. Après Noël nous avions décidé avec Richard d'organiser une soirée de nouvel an à la maison, dans le respect du protocole sanitaire. J’avais donc invité Marielle et son mari alors que Richard avait insisté pour inviter Jérôme avec qui, il continuait d'avoir des contacts. Une nouvelle amitié été née, et je soupçonnais Richard d'utiliser mon mari afin de rester en contact avec moi. Nous étions donc 6 pour cette soirée de nouvel-an un peu improvisée, Jérôme ayant informé mon mari qu'il viendrait accompagner de son ami. Ne voulant pas passer trop de temps à la préparation, j'avais fait appel à un traiteur qui m'avait livré dans l'après-midi l'ensemble du repas incluant l’apéritif. Je passais donc le reste de l'après-midi à me préparer et avait choisi une robe Wolford Selene Dress justaucorps en polyamide et élasthanne qui marquait mes formes pulpeuses et me rendait une fois de plus très attirante.

La robe m'arrivait en dessous du genou, manches longues avec col roulé et ne cachait rien de mes hanches ou de ma poitrine de femme mature. Pour la lingerie, j'avais opté pour un ensemble Lise Charmel soirée libertine noire, avec soutien-gorge en armature et tanga qui s'adaptait à ma morphologie luxueuse et moderne. Excellent compromis entre l'élégance et le raffinement la finesse de la dentelle aux motifs floraux et la modernité des coupes ainsi que la richesse me rendait très désirable. Pour finir, un porte-jarretelle qui me sublimait les jambes, ajoutant une dose d'érotisme avec sa dentelle et un Tulle léger me rendait très sexy.

Nous avions demandé à chacun d'arriver entre 19h-20h afin de respecter les règles sanitaires. Jérôme était arrivé vers 19h45. Après avoir fait les présentations notamment son ami avec qui je soupçonnais il était en couple nous nous installions tous au salon afin de prendre. Richard servit le champagne que nous avions décidé te faire couler à flots, au vu des circonstances et de cette année difficile. À cours de petits fours, je descendais à la cave afin de nous réapprovisionner. Jérôme me proposa son aide, il me suivit jusqu’à la cave. Je prie un plateau dans les mains et lui demandais de remonter le second. Alors qu'il était derrière moi, et au lieu de prendre le plateau, je sentis son corps se coller au mien. Sa main gauche se posa sur ma bouche fermement afin de m’empêchait de crier, alors que sa main droite se plaqua entre mes cuisses. Il était collé contre mon corps, qu'il maintenait fermement et je pouvais sentir son souffle dans ma nuque.
- Je suis sûr que je t'ai manqué ma belle.
- Jérôme laisse-moi tranquille ce n'est pas le moment.
- Laisse-toi faire, je sais que tu en meurs d'envie.
Bâillonné par sa main, je gémissais tout en sentant la pression de ses doigts qui jouait avec mon entrejambe. Connaissant ses pratiques, je savais qu'il allait r de la situation et que je ne pouvais rien faire pour y échapper.
La pression de ses doigts me faisait partir et je sentais le désir m'envahir progressivement. Il m'avait attiré au milieu de la cave, me tenant debout, alors que j'avais toujours le plateau en mains et que je ne pouvais me soustraire à ses caresses intimes. Je gigotais sur moi-même afin de me libérer de son étreinte, mais ne faisant qu’amplifier l'impact de ses doigts inquisiteurs qui continuaient à me malaxer ma chatte, au travers de ma robe sexy. Je savais qu’il ne me libérerait pas tant que je n'aurai pas joui. Il continuait à me susurrer des choses ignobles à l'oreille notamment de ce qu'il allait me faire pendant toute la soirée. J'avais compris qu'une fois de plus j'allais être son jouet pour une nuit entière, et cela, malgré la présence de mes invités et de mon mari. Sa main remonta sur ma poitrine qu'il s’amusa à malaxer comme un animal. Il me pétrissait mes gros seins de manière hystérique, tirant sur ma robe, sans même se préoccuper de froisser ma tenue de bourgeoise chic. Après quelques minutes de ce traitement, il fit descendre son bras pour relever le bas de ma robe faisant apparaître mes dessous tellement chics en dentelle noire. Sa main plongea en dessous de mon tanga, et je sentis ses doigts se frayer un passage entre mes lèvres humides. Il m'enfonce son index et me masturba pendant plusieurs minutes sans se préoccuper des invités qui attendaient à l'étage. Sa main gauche continuait à me bâillonner énergiquement afin de ne pas alerter mes convives. Il allait de plus en plus vite dans les va-et-vient m’amenant à un point de non-retour où je savais que ma seule alternative était l'orgasme. Je soufflais, gémissais, le suppliais, mais ne maîtrisais plus l'impact de ses caresses sur mon corps en flamme. Je me concentrais à maintenir mon plateau afin de ne rien faire tomber alors que mon premier orgasme me traversa le corps.
- Voilà ma belle salope une fois de plus je t'ai fait jouir, je sais que ça t’avait manqué dis-le moi
- Tu es un démon, tu me rends folle.

- Tiens-toi prête ma pouliche la soirée va être très longue.
Je me réajustais, repris le plateau et remontais pour rejoindre nos convives, la scène n'avait duré que quelques minutes. Je posais le plateau dans le salon sous les yeux gourmands de mon amie Marielle. Je m'assis sur le canapé. J'étais rouge écarlate assise, croisant les jambes afin de masquer à mes convives le sort que m'avez infligé mon amant quelques minutes auparavant. La discussion allait bon train, chacun racontant ses anecdotes de confinement avec une tendance particulièrement coquine pour les histoires que Marielle et Robert nous racontaient. Je restais silencieuse essayant de retrouver mes esprits, mais également d'anticiper ce que Jérôme avait en tête. 30 minutes plus tard Jérôme, son ami et Robert sortir sur la terrasse afin de fumer une cigarette, j'en profitais pour aller aux toilettes, laissant Richard et Marielle seule dans le salon. Alors que je me levai, je croisais le regard lubrique de mon ex-amant. Je m’enfermais dans les toilettes pendant quelques minutes et alors que je ressortais, je tombais sur Jérôme qui m'attendait devant la porte. Il me repoussa avec force dans les WC refermant la porte à clé derrière lui.
- Non Jérôme, je t'en prie, ils vont s'apercevoir de notre absence
- Ne t'en fais pas ma grosse salope, mon ami s'occupe du vieux Robert qui déguste son cigare. Quant à ton mari, il est trop occupé avec ta copine pour s'étonner de ton absence.
- Non, s'il te plaît, je t'en prie, je n'en ai pas envie.
- Je ne te demande pas ton avis de toute façon.
Il me poussa à califourchon sur la cuvette des toilettes, remonta ma robe laissant apparaître mes bas et mes magnifiques porte-jarretelles et me claqua le cul de sa main droite avec force. Il se pencha sur moi avec force me re plaquant sa main gauche sur la bouche afin de me bâillonner, alors que sa main droite se glissait en dessous de mon tanga. J'étais à nouveau à sa merci et je savais qu'il allait m'utiliser jusqu’au bout de ses fantasmes.
Tout en me maintenant fermement de sa main sur ma bouche, il me releva et me plaqua contre lui. Sa main était toujours en dessous de mon tanga et je pouvais sentir son doigt coulisser entre mes fesses.
- Tu sais ce que je vais te faire maintenant grosse cochonne
- Non, non, non, s'il te plaît, pas ça
- Tu sens mon petit doigt sur l'orifice de ton petit trou.
- Ohh, ohh, ouh, ouh, s'il te plaît mon Dieu arrête ça
- Regarde comme je m'enfonce bien dans ton gros derche, je suis sûr que ça t'a manqué. Tu es vraiment la plus grosse des salopes.
Il enfonça son doigt dans mon gros cul, et le fit coulisser pendant plusieurs minutes, alors que j’essayais de me maintenir debout, prise et possédée par la pression de la punition qu'il infligeait. Alors que je suffoquais et gémissais sous ce viol anal, sa main gauche libéra ma bouche pour me malaxer mes gros seins comme une vache qu'on prépare pour la traite. Il me prit alors par les cheveux me tirant la tête vers l'arrière positionnant ainsi mes lèvres au-dessous de son visage dans lequel il plongea sa langue avec gourmandise. Il m'envahissait la bouche de la même façon que son doigt envahissait mon anus. J'étais violée par cet homme qui profitait de ma faiblesse pour utiliser mon corps alors que mon mari se trouvait à quelques mètres. Je jouissais une fois de plus de manière intense et irrationnelle. Il continua à me doigter mon gros cul, et cela, malgré les multiples secousses orgasmiques qui me traversait le corps. J'étais à nouveau redevenu son jouet sexuel dont il allait r de toutes les façons les plus odieuses les unes que les autres. Pris par le temps, il me repoussa vers les toilettes. J'étais assise face à lui ma robe remontait avec encore les stigmates du viol anal qu'il venait de me faire subir. Sans se préoccuper de mon état, il sortit son sexe qu’il poussa dans ma bouche au travers de mes lèvres bourgeoisement maquillaient. J’engloutie son membre entre mes lèvres et m'appliquer à sucer ce sexe fièrement dressé qui n'allait pas tarder à gicler son liquide chaud sur mon visage.
- Vas-y pompe moi bien ma grosse salope. Montre-moi que tu es une bonne butineuse. Oui, comme ça, vas-y lèche-moi comme une glace pouffiasse. Quelle grosse pute, ahhhhhhhh. Allez, arrête maintenant, je veux garder des forces pour la fin de soirée. Avant minuit, tu auras ma grosse bitte entre tes cuisses.
Il sortit des toilettes, me laissant seule. Je réajustais ma robe, reprenais mon souffle, et sorti pour rejoindre mes convives. J’apercevais tous les hommes dehors sous la terrasse en train de profiter d’un bon cigare tout en dégustant une coupe de champagne. Je profitais de ce moment de calme pour débarrasser les plateaux et dresser le buffet afin de pouvoir passer à table. Alors que j'étais dans la cuisine, Marielle en profita pour me coincer contre l'évier et m'attr par les cheveux.
- Alors ma belle, tu passes du bon temps avec ton mec dans les WC. Il est au courant ton mec que tu te fais prendre comme une pute.
- Marielle, je t'en prie, laisse-moi tranquille, il ne s'est rien passé et je dois installer le buffet.
- Dis-le-moi ma petite pute. Avoue-le. Tu aimes te faire violer.
- Arrête s'il te plaît, tu sais que je n'aime pas que tu me parles comme ça.
- Ne t’inquiète pas la bourgeoise ce n’est que le début. En attendant, sois une bonne boniche et mets la table pendant que je vais boire une coupe de champagne avec les hommes.
Elle me laissa seule et je finissais de dresser le buffet avant de demander à Richard de chercher le vin à la cave. Il me demanda de l'accompagner afin de l'aider à remonter les bouteilles. Nous étions tous les 2 dans la cave quand il me poussa contre le mur et se rua vers moi. Ça main se saisit de mes poignets qu'il maintenait fermement à la verticale au-dessus de ma tête, alors que son autre main se saisissait de ma poitrine qu’il malaxa avec délectation. Il plongea sa langue dans ma bouche et me roula une belle pelle baveuse et gourmande. Sa main était partout sur mon corps. Il alternait de haut en bas profitant de toute mon intimité plantureuse et offerte.
- Tu m'excites trop ma chérie, je veux que ce soir, tu sois la plus belle et la plus offerte. Je vais te baiser devant tout le monde et quand j'en aurai fini avec toi, je te donnerai en pâture aux autres mâles qui ne rêve que de te prendre comme la grosse pute que tu es. Tu sais que j'adore te voir te faire prendre par d'autres mâles que moi.
- Ohh Richard arrête s'il te plaît, il faut qu'on remonte. Tu sais bien que je n'aime pas quand tu me dis des choses comme cela.
- Laisse-toi faire ma belle pute. Regarde comme tu gigotes tellement que tu es excitée, dis-moi que tu as envie que je te baise. Allez dis-le moi ma grosse truie.
- Ohh Oh Oh oui oui Oh, tu me fais jouir. Laisse-moi maintenant remonter.
- Chaude comme tu es, je vais d'abord te fourrer comme une oie avant de retourner en haut. T'es déjà toute humide. Tu sens bien mes doigts dans ta belle chatte baveuse.
- Non Richard, s'il te plaît, pas tout de suite, je te promets plus tard. Ohh ohh tu me rends folle
- D'accord, mais sois prête quand j'aurai envie que tu me suces.
Il me laissa enfin tranquille. Nous remontions tous les 2 avec les bouteilles. Personne ne se douta de rien, notre absence n'avait duré que quelques minutes. Le repas fut festif, le buffet étant excellent, mes convives s’en donner à cœur joie. Nous avions mis aussi un peu de musique pour profiter des pauses et danser tous ensemble.

La soirée continua avec le traditionnel passage à la nouvelle année. Mon mari continua à nous servir du champagne, dont les effets commençaient à se faire ressentir sur nos comportements. Vers 1h du matin Marielle qui s'occupait de la sono mit une série de slow, pendant laquelle mon mari s'empressa de m'inviter à danser. La lumière tamisée, nous dansions tous les 2 alors que nos convives se reposaient sur le canapé. Richard profita de ce moment d'intimité pour à nouveau me démontrer son envie gourmande de me posséder. Ses mains se posèrent sur mes hanches et descendirent sur ma croupe qu'il prit à pleine paume. Il me palpait mon gros cul avec frénésie sans se préoccuper de nos invités. Je sentis ma robe remonter et sa main se glisser au-dessous de mon tanga. Bien que masquée par mon mari qui tournait le dos au canapé, je soupçonnais, toutefois, nos invités d’observer ses manœuvres dans le reflet de la baie vitrée. Je sentis le doigt inquisiteur de Richard coulisser entre mes fesses s'attardant particulièrement sur mon petit trou. Afin d'éviter toute protestation de ma part, il m'embrassa fougueusement alors que de sa main libre, il palpait discrètement ma grosse poitrine. Je pouvais voir nos convives nous regarder, alors que Jérôme nous prenait en photo en train de danser. Il ne faisait aucun doute qu'avec le reflet dans la baie vitrée tout le monde se doutait ce que je subissais à l'instant. Ne pouvant me restreindre à sa caresse, je le laissais faire, jusqu’à ce que Marielle vienne à ma rescousse.
- Allons les amoureux, vous savez que cela devient très dense ici, Patricia, tu me prêtes ton mari, je suis sûr que Robert et tes amis vont bien s’occuper de toi, pendant que je danse avec Richard…
- Allons voyons, il ne s’est rien passé…
- Ahh bon alors laisse-moi vérifier entre tes cuisses. Je suis sûr que tu es toute humide. Richard, tu me permets ?
- Bien sûr, Chère Amie
Elle glissa sa main sous ma robe et mon tanga pour me prendre ma chatte à pleine main sentant en même temps l'humidité générer par les multiples orgasmes que je venais de subir.
- C'est bien ce que je pensais, tu es trempée.
- Non, s’il te plaît, n'arrête pas devant tout le monde….
Nous étions tous les trois, debout dans l’obscurité, et alors que Richard me tenait par les avants bras, Marielle me fouillait entre les cuisses, sous les yeux de son mari, de mon amant et d’Olivier. Tout trois n’en perdaient pas une miette. Elle fit signe à son mari, qui s’empressa de nous rejoindre, afin de m’emmener sur le canapé, alors que laissais seul mon mari et ma meilleure amie, danser ensemble… Il me poussa assise sur le canapé entouré d’Olivier et de Jérôme, et prit place à ma gauche. Sa main se plaqua sur ma grosse poitrine, alors que Jérôme poussa mon visage vers Olivier qui me roula une pelle goulue. Olivier se pencha vers moi et m'embrassa fougueusement malgré ma résistance. Sa langue plongea en moi sans même se préoccuper d'un quelconque consentement de ma part.
- Quelle belle pouliche tu veux qu’elle te suce
- Jérôme, s'il te plaît, ne fais pas ça je n'ai pas envie.
- Je ne te demande pas ton avis pétasse, suce sa grosse bite maintenant.
Olivier me coucha sur le dos et poussa mon visage entre ses cuisses, et introduit son membre dans ma bouche tout en me tenant par les cheveux afin de m'obliger à lui faire cette fellation inattendue. Ne pouvant résister, je prie son braquemart entre mes lèvres et m'appliquais le pomper, alors qu'il continuait à me tenir par les cheveux comme un cavalier maintient sa jument par la crinière. Il s'amusait à commenter ma prestation échangeant ses impressions avec Robert qui continuait à me caresser le corps et n'en perdait pas une goutte.
- C'est vraiment une bonne suceuse, si tu veux la goûter n'hésite pas, je suis partageur.
- Oui, je sais que c’est une vraie suceuse et je crois que Richard ne va pas m’en tenir rigueur.
- Oui continue comme ça, dis-moi que tu es la reine des butineuses. Ohhhhh, oui encore, vas-y continue.
Olivier me poussa à changer de sens et je me retrouvais avec le sexe de Robert dans la bouche, pouvant en même temps observer Marielle, robe remontée qui se faisait ploter le cul par mon mari alors qu’il continuait à danser… Alors que je suçais Robert, Olivier avait relevé ma robe, relevant ma culotte, afin de me caresser l’entre-jambe. Sa main se plaqua sur mon vagin et me malaxa la chatte. Il me frictionna entre les cuisses, de manière virulente, et de façon hystérique me conduisant un nouvel orgasme, alors que le sexe de Robert continuait à me violer la bouche. Alors que cet orgasme me traversait le corps, je pouvais apercevoir Marielle à genoux devant mon mari en train de le sucer avec gourmandise. Jérôme les avait rejoints et se faisait sucer par mon amie alternativement avec mon mari. Elle me volait les deux hommes de ma vie alors que son odieux mari et déchaînait entre mes lèvres. Un bien triste prix de consolidation. Cette scène dura le temps de plusieurs chansons avant que Jérôme me libère enfin de l’emprise de mes violeurs me laissant quelques minutes afin de me réajuster. Je profitais de cette pause afin de me libérer de leurs étreintes et me réfugier dans la cuisine. Ma fuite mit une pause à ce qui allait se transformer en orgie sexuelle géante.

La soirée se poursuivit calmement par plusieurs danses, quand vers 3h du matin l'ami de Jérôme proposa une partie de poker pour finir la soirée. Je soupçonnais Jérôme être à l'initiative de cette proposition permettant d’occuper nos convives pendant que je débarrassais le buffet et la table. Jérôme se proposa de m'aider prétextant ne pas être intéressé par les jeux de cartes, ce qui allait lui donner l'opportunité de se retrouver seul avec moi. Ils s'installèrent tous les 4 pour démarrer leur parti pendant que mon ex-amant et moi-même débarrassions la table. Après avoir rangé le salon et la cuisine, je descendais le reste du buffet à la cave. Alors qu'ils étaient tous concentrés sur leur partie de cartes, je m’activais afin d'éviter toute promiscuité avec Jérôme. Alors que je posais les premiers plateaux dans la cave, j'entendis la porte se refermer et derrière moi senti la présence de mon amant. Il se rua sur moi afin de me prendre par-derrière, plaquant ses mains sur ma bouche et ma poitrine qu'il s'amusa à malaxer allègrement. Sa main droite jouait avec mes formes, alors que je sentais l'index de sa main de sa main gauche forcer l'entrée de ma bouche. Il m'obligea à sucer son doigt alors que de son autre main, il avait envahi mon entrejambe et que je ressentais les premiers effets de cette caresse e. Il me malaxait le corps avec frénésie, explorant chacune de mes parties intime, sans se préoccuper de ma résistance, ou de la présence de mon mari à l'étage du dessus. Il me bascula enfin sur le congélateur, me positionnant en levrette, la croupe bien relevée, prête à subir tous ses outrages. Il se coucha sur moi tout en maintenant son doigt dans ma bouche alors que sa main libre remonter ma robe, donnant libre accès à ma chatte en feu. Il écarte mon tanga, et je sentis son membre bien dur, se positionner à l'entrée de mes cuisses. D'un mouvement de hanche brutal et rapide, il me pénétra d'un coup sec. Sa queue me pilonna avec force, alors que ses mains me maintenaient par les hanches, tirant sur ma lingerie raffinée, comme un jockey tenant les rênes de sa jument. Il me défonça littéralement, et alors que je sentais sa grosse bitte aller et venir entre mes cuisses, il m'appliquait des grandes claques sur mes fesses afin de motiver mes mouvements de mon gros cul. Je n'avais pas joui comme cela depuis notre dernière rencontre à son cabinet où il m'avait donné en pâture à ses clients. Je jouissais comme une folle, malgré la violence et la force de ce viol rapide et intense.
- Bouge-moi ton gros cul espèce de salope, tu sens bien ma grosse bite au fond de toi pouffiasse.
- Ohhhhhh, ahhhhhhhh, Ouiiiiiii, mon Dieu que fais-tu, tu me rends folle
- Ce que tu es bonne, t'es la plus belle baiseuse que je connaisse, mais je ne vais pas t’inonder de mon foutre grosse truie, la soirée va être encore longue.
Se sachant limité par le temps, il accéléra le mouvement, anéantissant définitivement toute résistance de ma part. J'avais la croupe en feu, avec des orgasmes multiples qui me traversaient le corps comme à chaque fois qui me prenait de cette façon animale et bestiale. Au bout de quelques minutes, seulement, il sortit son sexe bien dur de mon vagin et alors que je pensais qu'il allait me laisser tranquille, il me tira par les cheveux afin de redresser ma tête la tournant pour me rouler une belle gourmande et que je sentais son droit titiller mon petit trou qui était resté vierge pendant ce viol rapide. Alors que sa langue m'envahit, son doigt s'enfonçait dans mon anus afin de démontrer une fois de plus que je n'étais pour lui qu'une poupée de sexe juste bonne à épancher son désir de prédateur sexuel. Il me releva toujours en me maintenant fermement avec sa langue de serpent qui jouait dans ma bouche, son doigt dans mon petit trou coulissant de manière mécanique, et son gros sexe baveux et flasque qui se frottait sur mes cuisses et mes bas. Je savais que son objectif n'était pas de me posséder une seconde fois, mais juste d'r pour une dernière fois de mes formes plantureuses, et de me faire jouir dans un orgasme anal ultime. Alors que son doigt violait mon petit orifice, sa main libre palpait avec frénésie mes deux grosses mamelles juste protégée par ma robe Wolford tellement chic. Il m'arracha un ultime orgasme alors que mon corps gigotait entre ses bras, remué par les pulsions de ma jouissance.
- Je veux que tu te fasses baiser par ton mec, dans ta chambre, avec la porte bien grande ouverte pour qu’on puisse t’entendre te faire défoncer, et ensuite, quand il dormira, tu viendras me rejoindre compris ?
- Ohhhh, Jérôme, tu es un démon, tu me fais faire des folies….
Il me libéra enfin et après un court baisé, sortie de la cave me laissant seule. Je me nettoyais rapidement essayant de faire disparaître les traces sur mon corps ainsi que sur ma culotte, craignant que mon mari s’aperçoive de mon adultère.
Je remontais au salon ou la partie de poker battait son plein. Il était 4h du matin, et j'annonçais à tout le monde que j'allais me coucher. Je m’approchais de Richard pour l’embrasser tendrement, et lui glissait dans l’oreille.
- Viens me rejoindre vite dans la chambre, j’ai envie que tu me baises.
Richard demanda à Jérôme de prendre sa place. Je me dirigeai vers la chambre, et une fois à l'intérieur senti la présence de Richard qui se rua sur moi sans même se préoccuper d'avoir correctement fermé la porte. Il me poussa sur le lit sans un mot, remonta ma robe, et tira violemment sur mon tanga qu'il déchira d'un coup. Il me glissa la dentelle humide dans la bouche sans même s’apercevoir des traces que j'avais essayé de masquer. Bâillonnée avec ma culotte qui sentait le sperme, je sentis le sexe de mon mari entrer en moi tel un démon en rut. Il me burina violemment appliquant de grandes claques sur mon gros fessier affamé et ouvert, tout en me tenant de la même façon que mon amant précédemment en s’accrochant à mes porte-jarretelles. Le bruit des claques sur ma croupe raisonnait dans la chambre, mais sûrement aussi dans la maison, ne laissant aucun doute à mes invités sur le sort que je subissais. Il alterna les positions, affamé de mes formes pulpeuses, et jouant alternativement avec mes gros seins qui se balançaient au rythme de ses coups de rein. Fort heureusement, mes gémissements étaient atténués par la culotte que j'avais dans la bouche alors que les coups de reins violents de mon mari et la séance vécu avec Jérôme auparavant me faisait partir à nouveau vers un autre monde. Alors qu’il s’était positionné au-dessus de moi et que j'avais les jambes écartées, remontées à la verticale et qu'il me pilonnait comme un fou, je pouvais voir dans l’entrebâillement de la porte l'ami de Jérôme qui nous espionnait avec envie. Il me fit un signe de silence le doigt sur la bouche afin de ne pas éveiller l'attention de mon mari pendant que ce dernier me défonçait comme un fou. J’étais devenue l’attraction principale de cette soirée de nouvel an. Alors que mon mari se déchaînait sur mon corps soumis, je pouvais observer notre voyeur qui libérait son sexe. Il se masturba tout en nous observant, me souriant avec délectation. Il profita de la vue pendant quelques minutes, avant de se cacher, mon mari ayant une fois de plus décidé de changer de position. Il me prit sur le lit en levrette face à la porte, ce qui empêchait mon admirateur de nous observer. La grosse queue de Richard allait et venait en moi tel un piston coulissant dans son cylindre pour transmettre sa puissance. Je m'étais effondré sur le lit et continuais à subir la démence sexuelle de mon mari. Tout en m’insultant, il continua encore et encore ne se rendant pas compte que mon corps ne répondait que de manière désarticulée et sans aucune logique, simplement animée par les violents coups de reins que sa bitte faisait résonner en moi.
- Voilà à quoi t'es bonne, bouge-moi ce gros cul, je veux t'entendre jouir grosse truie
- Ohhhhh, ohhhh, monnn dieuuuuu, Richhhhaaaarrdd, je peux plus…… haaaaaaaa……
- Oui ma salope, c'est bon ca dis-moi que t’aime ça, ouiiiiii je vais gicler sur ton gros cul…. Ahhhhhh Ouiiiiii pétasse !!!!!!!!
Il se vida sur ma croupe défoncée. Il gicla et répandit son foutre sur mes fesses et ma robe, et finit par s'essuyer sur ma culotte pour la souiller encore plus avant de s'écrouler épuisé par son effort et l’alcool. Nous étions tous les 2 allongés sur le lit épuisé dans un silence profond. Il s'endormit rapidement. J'attendais quelques minutes, et décidais de sortir afin de vérifier la conséquence de notre absence mouvementée sur nos invités. Il n'y avait plus personne dans le salon, je montais donc à l'étage fidèle aux instructions de mon amant. Une fois arrivait sur le palier du haut, un bruit suspect attira mon attention, qui venait de la chambre de mon amie Marielle. Je m'approchais regardant à l'intérieur et à ma grande surprise aperçue mon ami chevauchant son mari et elle-même chevauchait par Jérôme, qui sodomisait ma meilleure copine. Alors que je les observais tous les 3 en train de baiser comme des bêtes, je sentis une main derrière moi se faufiler sous ma robe. Mon voyeur avait décidé de faire plus ample connaissance. Excitée à la vue mon ami, je le laissais faire me préparant à un troisième round.
- Alors ma belle, tu t’es bien fait démonter, tu as excité tous tes invités avec tes hurlements de chienne en rut…
- Chut ne fait pas de bruit et emmène-moi dans le bureau.
- Non, je vais te prendre ici pendant que tu regardes ta copine se faire prendre en sandwich.
- S'il te plaît non
- Tais-toi, une bourgeoise comme toi, a démontré qu'elle aime bien se faire un petit peu forcer et comme je n'aime pas partager, je vais t'enculer ça va te changer un petit peu.
- Dépêche-toi mon mari risque de se réveiller.
- T'inquiète-je viens de vérifier, il dort comme un loir, en revanche je t'ai ramené un petit souvenir
Il avait récupéré dans ma chambre mon tanga déchiré et maculé de sperme, qu'il me fourra dans ma bouche afin de me bâillonner à nouveau.
- Tu devrais reconnaître le goût après tout t'es une experte.
Soulevant ma robe et ma cuisse gauche, je sentis son sexe se pointer à l'entrée de mon anus Alors que j'observais mon amie toujours occupé avec ses 2 amants, il me sodomisa d'un coup sec, tout en maintenant ma cuisse en l’air de la main gauche et en s'agrippant à mes grosses mamelles de la main droite.
- D'habitude, je préfère le cul des hommes, mais le tien est particulièrement attractif. Ça te plaît que je t'encule dans ta maison ? T'aimes ça de te faire forcer ? Tu es vraiment une grosse grosse grosse cochonne.
- Ohhhhh, monnn dieuuuuu, ouiiii vas-y défonce moi le cul…. haaaaaaaa……
Il me pilonna au même rythme que je voyais mon ami se faire défoncer, et alors je gémissais de plus en plus fort, Jérôme qui nous observait, nous demanda de nous rapprocher. Son ami me souleva par les cuisses, et me porta jusqu’au lit, alors que sa queue continuait à me détruire l’anus. Il me poussa en levrette sur le lit contre le dos de mon amie qui continuait à se faire prendre en doublette.
- Viens-ma belle boniche, on va s’occuper de toi maintenant.
Marielle se releva, m’enleva ma robe pour me laissant en porte-jartelles et soutien gorge, et me poussa pour chevaucher son mari, qui enfonça sa grosse bitte en moi. Olivier se positionna devant moi et poussa sa grosse bite dans ma bouche, alors que j’observais Jérôme qui s’activait à mettre un gode ceinture à ma meilleure amie. Il s’agissait d’un double gode vibrant conçu pour femme avec un premier gode retourné vers l’intérieur sur lequel elle s’empala, et un second à utiliser avec son partenaire aussi bien par voie vaginale qu'anale. Une fois la ceinture bien attachée, elle se positionna derrière moi, et alors que son mari me défonçait la chatte, elle s’enfonça dans mon anus déjà largement lubrifié par Olivier. Alors que j’étais prise par tous les orifices, Jérôme se plaça devant moi avec son ami, et poussa son sexe également dans ma bouche. Ils me violèrent la bouche alternativement, parfois poussant leurs deux glands entre mes lèvres, alors que Robert me pilonnait le vagin tout en me dévorant mes gros seins qui pendouillaient au-dessus de son visage. Ma meilleure amie continuait à me sodomiser avec force tout en me claquant mon gros cul avec véhémence.
- Prends ca grosse truie, depuis le temps que j’attendais de pouvoir te faire subir ce traitement. Tu te souviens la dernière fois ou les rôles étaient inversés grosse pute, et tu pensais que je n’allais pas me venger !!!!
- Ohhhh continue ma chérie à lui défoncer son petit trou, elle est en train de jouir, cette pute…
Alors qu’ils se déchaînaient tous sur mon corps, Jérôme avait prit le sexe d’Olivier dans sa main et le masturbait tout en le repoussant dans ma bouche. Alors que j’avais son sexe en bouche, la langue de mon amant s’enfonça dans ma bouche jouant avec ma langue, mais aussi profitant de la bitte de son amant. Il se mit à lécher le membre d’Olivier au-dessus du visage de Robert ébahi. C’est à ce moment qu’il poussa son sexe vers la bouche de Robert, qui bien que surpris, l’avala entièrement, alors qu'Olivier avait replacé son sexe dans ma bouche. Ils continuèrent à me prendre, me violer, me claquant mes grosses fesses, me pétrissant mes gros seins. Ce jeu de débauche dura plusieurs dizaines de minutes, pendant lesquelles j’agissais comme une poupée de sexe, prise sauvagement par une frénésie sexuelle et de débauche bourgeoise. Je sentis enfin le foutre de Robert se répandre en moi alors qu’au même moment, Olivier se vida entre mes lèvres. Ils s’écroulèrent tous sur le lit, me libérant de leurs étreintes dominantes. Jérôme utilisa ma culotte déchirée pour m’enlever le sperme qui dégoulinait sur mon visage et entre mes cuisses et sans aucun répit, me prit par la main, me releva, et m’emmena vers le couloir.
- Allez, je te ramène dans ta chambre.
Sans un mot, il m’aida pour redescendre au rez-de-chaussée, afin de rejoindre ma chambre. Arrivé devant la chambre, il me bloqua entre ses bras, me saisissant mes gros seins juste protégés par mon soutien-gorge.
- Voilà ma belle, je vais te finir devant ton mari
- Non Jérôme, s’il te plaît, il va se réveiller
- Aucune chance, il dort à poings fermés, maintenant laisse, toi faire, ma salope…
Il me força de prendre en bouche ma culotte détruite et inondée de sperme, me souleva une cuisse de sa main droite, et me pénétra pour un assaut final. Son sexe s’enfonça en moi et se mit à coulisser rapidement. J’étais en équilibre sur une jambe toujours bien plantée dans mes escarpins, alors que son sexe me ravageait, et que ses mains palpaient mes gros seins.
- C’est ça grosse truie bouge bien tes hanches, tu sens bien ma grosse bitte. Tu aimes ça ma pute, dis-moi que tu jouis.
- Hooooo, Ouiiiiiii, tu me rends folle, pas si fort, hummmmmmmm
Je gémissais sous mon bâillon, jouissant comme une folle tout en regardant mon mari endormi. Sa main gauche s’était glissée en dessous de mon soutien-gorge pour me palper mes grosses mamelles qui ballotaient sous les coups de ses reins. Il continua à me pilonner debout. Il libéra mon vagin de son membre épais, qu’il poussa dans mon petit trou déjà largement dilaté. Il m’encula, toujours dans la même position. J’étais épuisée, anéantie, mais dans une autre dimension, n’écoutant que le plaisir, et le désir qui parcouraient mon corps. Je jouissais une fois de plus avec sa grosse bite bien enfoncée profondément dans mon anus alors qu’il continuait à détruire ma lingerie chic sous ses caresses de prédateur. Il se libéra enfin, et se vida en moi, ainsi que sur mes bas. J’étais comme une poupée désarticulée et regardais son sexe se libérer de sa semence qui coulait le long de mon corps. J’étais recouverte de sperme, épuisée, après avoir été utilisée par tous mes convives de toutes les façons possibles et imaginables. Nous restions tous les deux comme ça immobile, debout, dans l’entrebâillement de la porte de ma chambre. Il était 5 heures du matin, je me couchais enfin pour quelques heures de repos bien mérité après une soirée qui restera le nouvel-an le plus spectaculaire ma vie.

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