L'Autre Voisine (1)

L'autre voisine...!(1)

Décidément en ce moment, je fais roucouler les voisines sous ma fenêtre!
Ont-elle communiqué entre elles ! mystère !

Il est vrai que cette autre voisine, me faisait toujours des regards charmants entouré de sourires appuyés, que je lui renvoyais, mais je n'y prettait guère attention plus que ça..enfin, croyais-je !.

Mais ce jour là, je la voyais se pavané sous ma fenêtre, mais pas comme d'habitude.
Et quelle voisine !....celle là !
C'est une petite jeunette de 24ans ( je suis fin de trentaine, pour rappel).
Elle est plutôt petite(1m60), brune, cheveux longs lisses avec des yeux océan pacifique, physiquement interessant, petit cul, beaux seins(95B) que je pense lourd, une jolie jeunette en somme.
Elle s'habille comme certaines filles de sont âge....disons "street", comme elles disent...c'est à dire ? me dirais-vous !
Toujours, pour le bas, en jeans basket, taille basse, ou short de sport...pour le haut c'est des débardeurs multis-colores avec toujours des décolletés dévoilant la courbure de ses deux gros globes que l'on devine tout mignon..Une de ses filles qui portent des boxers de mec avec la large élastique apparente dès qu'elle se baisse.
Donc, ce jour là, elle se pavanait sous ma fenêtre....je levé le rideau pour lui montré que je la voyait..
Le temps passait un peu mais elle continuait..
J'ouvris cette fenêtre et me mis accoudé à son bord pour fumé une petite cigarette..
Mademoiselle ne se démontait pas, s'avançait vers moi directement et me lança !
Elle : Monsieur, je peux vous demander une cigarette, s'il vous plait !
Moi : Oui, tu peux le demandé mais en me tutoyant et en enlevant le monsieur, remplace monsieur par ceux que tu veux, la provoquais-je, comprenant dorénavant son petit jeu tout en asseyant de la provoqué légèrement.
Elle : Est-ce que ce charmant mec tout seul, veux me donné une clope que je me la fume devant lui !
Je lui tendis et tiré la cigarette vers moi pour qu'elle s'avance un peu plus et encore un peu.


Voilà, je plongé mes yeux dans son décolleté du jour comme pour me mettre en appétit car je sais que ça ne s'arrêtera définitivement pas là !
Elle prit enfin la cigarette et rougit découvrant mon regard appuyé dans ses seins !
Elle : OOOUUHHH...vous me troublez !
Moi : Tu, tu veux dire !
Elle : Oui, tu me trouble.
Moi : Ça me plait ! C'est quoi ton petit nom ?
Elle : Lola ! Et toi ?
Moi : Pierre !
" Enchanté " reprenions tous les deux en cœur !
Et on bavardais de choses et d'autres pour faire mieux connaissances, le travail et les loisirs entres autres.
Elle se penchait, elle aussi, accoudé à ma fenêtre,(j'habite au "rdc" pour celles ou ceux qui en douterai encore), pour me dévoilé encore plus son décoletté ainsi que ses fines courbes entouré par un fin soutien de dentelles noir.
Elle fumait sa cigarette avec ses lèvres charnues et en jouant avec sa langue...
Personne ne pouvait nous voir.
Puis, La discussion dériva sur le sexe automatiquement..
Elle : Tu vis donc seul ?
Moi : Oui !
Elle : Et un peu de compagnie, te manque pas !
Moi : C'est possible !
Elle : Moi aussi, un peu de compagnie ne me déplairais pas devant un bon film !
Ça y est, elle m’attaquai ouvertement, je savais bien qu'un film n'était pas seulement son dessein mais bien plus !
J'étais aux anges, une fois de plus, et mademoiselle roucoulé devant moi sous mes yeux, sur ma fenêtre!
Elle : Tu sais, même ce soir, je crois que j'ai un bon film pour toi, si tu veux !
Moi, sans être désappointai, je reprenais : Ok, viens ce soir et amène un bon film !
Elle toute heureuse répondit : Compte sur moi, j'amène un bon film, tu peux me croire, ça va te plaire, enfin j'espère !
Moi : A tout à l'heure, repasse vers 20h30, et on regardera ce film tranquillement !
Elle : Oui, c'est ça, tranquillement ! enfin faut voir !
Je pavoisais et souriais.
Elle me tourna le dos, non sans m'avoir fait un regard de braise, un sourire aguicheur tout en passant une main dans ses cheveux la ramenant vers sa poitrine.
.et dis à nouveau : tranquillement, tu peux me croire !
J'en croyais pas mes yeux, cette jeune fille allait venir se faire sauté chez moi ce soir et par mes soins..tant qu'à faire !
Puis, elle s'éloignait, je lui souriais quand elle se retournait une dernière fois et je fermais ma fenêtre!
J'allais me douché et me faire propre tout en m'habillant léger pour lui montré aussi que c'est pas qu'un film qu'il me fallait !
Je me mettais un seul short et me préparais à manger pour être à l'heure...et oui la politesse c'est pas dégueulasse !
Le temps passait et 20h30 arrivait !
J'entendis toqué à ma fenêtre et la vit disparaitre, puis retoqué à ma porte..
J'arrivai tout fier et ouvrer cette porte !
Elle était là, un "dvd" dans la main, elle s'était changé et porté un short blanc moulant, des tennis beige, un débardeur pomme, et je voyais qu'elle avais omis de mettre un soutien quand je vis ses tétons pointé et tirer le tissus de son petit haut trop court !...Évidemment le décolleté était plongeant et les courbes de ses deux seins généreux ne se cachait pas..Elle porté aussi un bijou fin qui l'entouré au niveau de son nombril et de son ventre extra plat.
Elle : C'est moi, j'ai amené un film comme promis, j'espère qu'il va te plaire !
Moi : Oui, entre, veux-tu un verre avant ce fameux film.
Elle : Oui, un whisky
Moi : Quoi ?...un whisky ?
Elle : Oui , tu n'en à pas ?
Moi : Si,si, je te sers de suite ça !
Je me dirigeais vers ma cuisine et pris un verre ainsi que la bouteille, mais étant de dos, je ne la sentis pas venir !
Elle viens se collé derrière moi, me mets une main aux fesses en pressant tout en me mordillant le lobe de l'oreille et me dis :
Elle : Tu vas voir, j'ai prévu un film juste pour toi et moi, et peut-être, il y en aura t-il d'autres ?!!
Moi : Tu es une tornade, et j'ai compris ce que tu veux, ne me provoque pas trop sinon je vais te mettre une fessée sur lévier, tout de suite !
Elle : Oula, monsieur est à point ! me glissait-elle !
Moi : Vas au salon et met le dvd dans le lecteur avant que je glisse en toi, maintenant !
Elle : Tu me parle comme il faut et je n'en demande pas tant, que de bonnes surprises !
Moi : Tu n'as encore rien vu !
Elle : Et tu crois que je vais voir ?!!?
Moi : File, vas mettre ce "dvd", j'arrive d'ici 2 minutes !
Elle décampa, et je l'entendis marmonné de loin, ainsi, aussi, ouvrir le coffret "dvd" et rentré le disque dans le chariot du lecteur !
J'arrivais avec les deux verres et la bouteille pour ne plus me déplacé.

Mais je m'assis en face d'elle et pas à coté, pour la provoqué !
Là, elle râlait.
Elle : Tu me cherche, et je le sais, reste en face si tu veux !
Elle se pencha en avant pour prendre son verre sur la table basse, et je vis ses seins pendre au dessus de la table tellement qu'ils étaient lourds et gonflés de désir dans son débardeur décidément trop fin et trop court.
Puis elle leva les yeux vers moi en prenant mon verre.
Elle : Tu veux gouté quoi ?
Moi : Les trois !
Elle : Quoi ?
Moi : Oui, les trois, tes deux seins et le whisky !
Et là, je sais pas ce qu'il lui a pris, elle déversa le contenu de mon verre sur sa poitrine tendu !
J'en croyais pas mes yeux !
Ma queue se tendit et dépassait dorénavant de mon short par le bas, le gland décalotté de désir et de tension ! fier !
Elle : MMMHHHMMMHHHHH, je vais me régalais !
Moi : Si tu es sage !
Elle : Viens lécher ton whisky sur moi !
Je me jetai sur elle et sa poitrine puis arracha son corsage pour m’enivrai de ses seins et prendre enfin mon digestif, et quel digestif !
Je léchais la courbure de ses seins et pris un téton dur en bouche tout en lui roulant des pelles dont j'ai le secret!
Elle : HHHHAAAAAANNNNNNNN
Moi : Tu aime ma langue, hein !
Elle : HHHHHHHAAAANNNNN
Et je sucé, mordillé, fouettai de ma langue ses deux tétons pointus à tour de rôle, avec mes mains qui massaient les rondeurs de ses deux mamelles de bon goût!
Elle commençait à prendre son pied et on en oublié presque ce film qui avait démarré.
Je la relâchais et me repositionnai à coté d'elle avec ma queue violette de désir qui dépassait toujours mais la salope ne me la prenait toujours pas, ni en main , ni en bouche.
Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle dit :
Elle : J'ai bien vu ton gland et je vais bientôt m'en délecter, t'en fais donc pas, je vais pas te laissé comme ça ! Mais je joue un peu avec toi, te fait monté en températures pour que tu te jettes sur moi assoiffé de mon corps !
J'en pensais pas moins et essayait de me calmer, en regardant le générique et le titre du film, je compris.

Le titre du film était : "Une coquine qui va se découvrir salope" " ..c'est un porno...WWWWHHHHOOOUUUUAAAHHHHHHHH
Elle : Maintenant, si tu l'avais pas compris, tu sais que ton gland va pas resté seul !
Moi : Tu es une vrai cochonne et ta bien fait !
Elle : Non , je suis ta salope et j'ai encore rien fait.
Moi : Si c'est toi qui le dis !
Puis on commença à regarder le film, j'étais subjugué par la première scène offerte, ou une jeune fille, belle et blonde à vélo, robe frivole, sans culotte, ni soutien et avec un décolleté ouvert de plusieurs boutons très très bas, on voyait ses seins valsés a chaque coup de pédale, elle roulait, tout en se déhanchant sur la selle, mais à la place de la selle, c'était un gode rose dur, gros et vibrant..Elle gémissais...ça commençais bien !
Et pendant que j'étais dans le film excité par cette fille à bicyclette, de sa main, ma voisine me pris la queue toujours débordante de mon short...puis l'enserra doucement au niveau du gland en faisant tournicoté ses petits doigts fins.
Elle : Ca te plait !
Moi: Oui, la fille du film à l'air de bien s'épanouir, souriais-je !
Elle : Non, ma main sur ta queue !
Moi : Tu peux faire mieux !
Elle : D'abord, je vais te branlé, espèce de beau voisin à la queue bien dure !
Moi : Ma queue à soif de bouche !
Elle : Je vais t’embouchai très vite au vu de ce que tu a mis tout à l'heure à mes seins !
Moi : Tarde pas trop !
Elle commença de lents va et viens en tirant sur mon short, ma queue reprenait encore plus de vigueur et je fixai le film ou la cycliste s'empalait toujours sur sa selle adapté, mais celle ci arrivait apparemment à destination dans un corps de ferme ou l'on apercevait un beau gaillard jardinant ...Elle se dirigeait vers lui..Apparemment le connaissais..Elle se frotta à lui et lui arrachait son tee shirt et baissa son pantalon de travail pour le prendre en bouche en direct, sans fioriture et sans délai, toujours sa robe ouverte et les tétons pendant.Elle le léchai goulument.
Ma voisine pris la parole domptant toujours ma queue.
Elle : Je connais cette scène, elle va le sucé comme une pute qui fais sa vierge.
Moi : Ah, pas mal comme début, ça fait salivé !
Elle : Ça fait jaillir et durcir ta queue encore plus, tu veux dire, cochon.
Moi : Il m'en faut plus, grosse cochonne.
Elle : Je vais faire de toi mon salaud, je vais te faire tout ce qui se passe dans ce film jusqu'au générique de fin ,c'est mon rêve depuis notre cigarette.
Moi : Ah oui !...Alors, tu es en retard, car elle, elle à déjà la bouche pleine !
Elle se positionna, seins pendant, elle aussi, elle porté toujours son short, et m'emboucha la queue d'un geste à la fois léger et goulue.
Moi : AAAARRRRGGGGGFFFFFFF
Elle : PPPPPCCCCHHHHHHHEEEFFFFFFMMMMMMPPPPP...voulut-elle dire !
Je savouré, sa bouche qui était bien chaude et humide, sa langue dansé sur mon gland pendant que ses deux mains me branlait doucement.
Je pavoisé, en plus de voir ma cochonne de voisine me pompé le dard, je me délectai de la vision de ce film avec cette pute de cycliste mangé la trique du jardinier qui souriait fièrement.
Quand à ma voisine, toujours, ses seins pointant le sol d'excitation, le débardeur arraché comme une pute, elle me sucé toujours avidement de plusieurs manières, léché, pompé, sucé, mordillé...bref, j'étais une fois de plus aux anges et prenait mon pied.
Ma voisine était bien concentré, un coup elle me regardait, un coup elle fermait les yeux pour bien faire sa tache du moment.
Le film suivait son cour, comme vous vous en doutez, et la belle blonde chevauché à califourchon la queue du mâle, les bras autour de son cou, lui debout imprimé des mouvements du bassin en perdre haleine tellement qu'il s’active à la martelé bruyamment.Elle portai toujours sa robe maintenant débrayé, quelle vision, quelle offerte !..Ce film était bien monté et pas que le film !
Ma douce voisine continué son ébauche et j'allais pas tardé à venir dans sa bouche à ce rythme tellement qu'elle agacé mon gland.
Moi : Tu vas me faire jouir, salope !
Elle : Enfin, c'est pas trop tôt, je croyais que je n'y arriverai jamais....tu es endurant mon salaud.
Moi : Je me suis retenu pour faire durer ton supplice et mon plaisir.
Elle : Viens moi en bouche, je veux goûter ta liqueur !
Ces derniers mots me troublait et m'excitait jusqu'au bout !
Moi : Ca y est, je viens, je vais jouir, je vais giclé, je vais arrosé ton palais !
Moi : EEEEHEHEHHHHHHAAAAHHAHHHHHHOOOOOHOHOHHOOH !!!!!!!!!!!!!
Et je déversais une quantité incommensurable de foutre dans sa bouche et elle avalait par séquence toute ma semence !
Elle massait toujours mon gland avec sa langue et me lavé de tout liquide...j'étais séché au sens propre comme au figuré !
Elle : Mmmmmmmhhhhhhhh, c'est bon, mon salaud à bon goût...Mmmmmmmmmhhhhhhhh
Puis on se repositionna sur le canapé pour reprendre nos esprits, toujours le porno en fond, ou la cycliste, se faisait arrosé les seins de foutre, à son tour, par son mâle.
Mais je voulais, maintenant et sans trainé me délecter de sa chatte dégoulinante et enfin la goûté...
Après avoir éjaculé, je reprenais mes esprits, attrapait ma voisine brusquement d'un air autoritaire, la soulevait et la jettait sur mon canapé, je lui baissais son short jumelé à son boxer, les tira tous deux vers le bas jusqu'à ses chevilles.Je voyais sa chatte luisante de mouille par les excitations récente...je vais me régalais, lui dis-je !
Et j'enfonçai directement ma langue pointu experte dans sa chatte et avec ma main lui agacé son clitoris.
Elle décollai....du pur bonheur !
Elle : ooooohhhhhhhhhhhhh.....aaaahhhhhh
Moi : Je vais te rendre la monnaie de ta pièce, tu m'as fais jouir comme un porc, alors, tu vas hurlé comme une truie !
Elle : ooooohhhoooohhhooohhh....ooooouuuuuuiiiiiii....mon salaud !
Mais le film suivait son cours, je l'entendais mais j'étais de dos, c'est elle maintenant qui lui faisait face et elle commençait à me détaillé les scènes entre deux saccades d'orgasmes.
Elle : Je le connais par cœur, je vais te dire ce que tu ne vois pas, ça va t’excitai, je le sais !
Je n'avais rien à répondre à cela !
Elle me détaillait le film, en me disant que la belle blonde cycliste était en fait une directrice très spéciale, que d'ailleurs, elle rentré de ce pas, dans son entreprise pour se changé en tenue professionnelle.Elle me donné les détails de ce changement de vêtements et j'appris que la directrice avait enfilé un tailleur gris clair accompagné d'un chemisier blanc, évidemment les boutons était bien défait, elle portait un chignon, une paire d'escarpins et des lunettes aux montures blanche.
Je continuais à besogné ma voisine de ma langue et de mes doigts.
Cette directrice allait rencontré trois de ses employés et les envoyaient dans son bureau.Elle avait juste envie de se faire prendre par les trois trous en même temps pensais-je !
Ils entraient, elle les fis mettre à genoux tous trois pour les punir d'un retard commun.Mais la belle enleva ses chaussures, releva sa jupe et posait un de ses pied sur l'épaule d'un jeune homme et l'ordonné de la léché, le bougre ne se faisait pas prier et la lapait fermement, elle prenait son pied cette salope, je l'entendais, même de dos, et ma voisine continuait de me conté les images tout en étant emporté par mes gestes dans son corps.Je rebandais comme un salaud à nouveau !
Et dans le film, la belle se faisait encore lapait par chacun, à tour de rôle, puis elle leurs dégrafaient leurs trois pantalons, sortis les queues monstrueuses qui bandaientt et s'assit sur chacune, l'une après l'autre, elle s'empalait sur ces jeunes membres et jouissais de plaisir en imprimant de grandes monter et descente en vas et viens car ces trois là était tout de même sacrément bien monté.
Pendant ce temps ma belle jouissait sous mes lèvres dégoulinante de son plaisir.
Elle aussi, ce putain de film l'excité à mort, les commentaires qu'elle me formulé, en plus d'avoir les images et le son de face, la faisait décollait encore et encore à chaque coup de langue que je lui prodigué.Elle ne savait même plus quel son formulé avec sa bouche tellement qu'elle les avaient tour à tour chanter et répéter.
Même si, elle connaissait ce film par cœur, j'imaginais éventuellement qu'elle s'était faite jouir plusieurs fois devant ces mêmes images comme la grosse cochonne qu'elle est ! Elle jubilé, gueulé, crier, et hurlé dans ma main car j'avais depuis cinq minutes bâillonné sa bouche avec mon autre main, quand je voyais qu'elle ne se retenait plus.
Elle : Je ne peux même plus commenté le film tant que ta bouche et ta main me fait du bien dans mon con, baffouillait-elle, je jouis, j'ai envie que tu me déflore, baise moi, enfonce toi en moi avec ta queue qui je suis sûre est devenue dure comme de la pierre à nouveau et sûrement déjà bien juteuse de sève...mmmmmmmhhhhhhhhhhhh.............aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh
Moi : Et ce film, alors, disais-je en retirant ma main de sa bouche et en lui glissant à l'oreille également de soufflais un bon coup !
Elle : Salaud, c'est pas ce que je t'ai demandé !
Moi : Raconte moi le film et attend un peu, tu vas bientôt passé par mes coups de boutoir, mais j'attends que tu sois complètement dévergondé de plaisir pour te l'enfonçé jusqu'à la racine !
Elle : tu me tue, et quand je vais t'attrapé la queue dans ma chatte ou dans ma bouche, je vais te l'enserrer, tu vas jouir comme un porc....aaaahhhhh...ooooohohoooohh....je fouillais toujours sa chatte trempé et voyait qu'elle allait être à point dans deux ou trois minutes, j''étais heureux de cette victoire et de la soumise de plaisir que j'en faisais au bout de mes doigts et de ma bouche baveuse.
Elle reprenait à me raconté le film, en me disant que la directrice était entrain de se faire aspergé de semence par ses trois interlocuteurs du moment.Je me retournais d'un oeil pour voir ça et je voyais cette directrice recevant de longues giclais de foutre sur ses lunettes, son chemisier, sur ses joues et sur sa langue tendue, elle adorais ça, et ramasser les gouttes perdues avec ses doigts pour les ramener sur sa poitrine luisante de transpiration et maintenant du jeune sperme de ces accolytes.Je bandais comme un cerf, je crois que si elle me touchait, je jouissais direct, mon excitation était à son comble entre ce film trés chaud et mes gestes de bouche et de doigts dans la chatte de Lola, qui haleté.Elle continuait à me supllier de venir sur elle, en elle, la pilonné.J'allais y venir, justement.
Je la laissais de face au film, le dos sur le canapé, remonté vers elle, me plaça contre elle, elle pris ma queue dans sa main et faisait quelques aller-retour, comme si j'en avais besoin, tellement que j'étais déjà dur.Elle le voyait.
Elle : Oooooouuuuhhhhh , qu'est-ce que tu es dur ! et chaud ! brulant même !
Moi : Me branle pas trop tout de suite, là, car je vais te jouir dessus, vite fait, ça va pas trainé !
Elle : Aaaaahhhhh , je suis heureuse, tu n'en peux plus, toi non plus !
Je prenais sa main sur ma queue et la dirigeait vers l'entrée de sa grotte, elle le comprit, et se la plaça devant, en attente, je sentais le bout de mon gland ultra-sensible flirter avec ses lèvres humide et m'enfonçait doucement mais sûrement.
Elle : Ooooouuuuccchhhh...Oooooohhhhhhh......Aaaahhhhhhh
Et moi dans l'élan de ce mouvement, je grognais de plaisir !....Ggggggggggrrrrrrrrrrrr !
Ca y est, j'étais bien en place, bien au fond, je commençais des allers-retours doux et longs, je sentais toute ma bite serré entre ses parois suintante de mouille, et elle contractait sa chatte pour me donné encore plus de sensations et elle y parvenait !
Elle recroquevillait ses jambes par dessus mes fesses et serrer aussi pendant que moi je l'entouré de mes bras musclé pour compresser sa poitrine contre mon torse trempé de sueur.
Elle : Ooohh ooouuuiii...contre moi comme ça, serre moi fort contre toi que je sente tes muscles me dominé...aaahhh oooohhhh....je sens mes seins pointu contre ton torse puissant...mmmmmmmhhhhh...c'est bon....accélère maintenant !!
Moi : Je te veux !
Et j'accéléré à une cadence infernale, maintenant j'allais vite et on ne faisait plus qu'un, je la tenais fermement et elle s'était bien aggripé à moi de ses jambes et sur mes épaules de ses bras, j'imprimé un sacré rythme et j'avais réussi à la faire taire de tout commentaire si ce n'est des gémissements inhabituel, plus forts, plus intense, plus profond, elle me mordait l'oreille doucement tout en murmurant.
Elle : Oui, baise ta vilaine voisine, baise moi, j'en rêvais, baise cette pute qui est venu chercher une clope avec une petite idée derrière la tête, enfonce toi plus vite, ça fait longtemps que je m'en languisais de ta bite, je me suis faite jouir des tonnes de fois en pensant à toi sous ma nuisette avec une culotte dans la bouche pour ne pas ameutter tout le quartier, si tu savais combien de fois j'ai pris mon pied en essayant de deviné ton corps musclé, ta queue et mon con, dans mon imagination, et là, ça y est, je l'es, tu es en moi ! Aahhhooohhhhhhhhiiiieeehehhe...jjjeee...jjjeeee....jjjeje...pppaaaaaarrrssss.....jjjjoooouuuuuuiiiiiiiss....aahahhah mon salaud !
J'étais heureux et après plusieurs minutes de ce traitement, je me relâchais et jouissait dans son antre en déversant des salves de foutre comme jamais, elle le sentit et re-jouissait en sentant mon liquide tapé au fond de son con, elle jouissait de nouveau, encore et encore....toujours plus et de mieux en mieux, je crois qu'elle même se découvrait un peu plus dans sa capacité à jouir.
Elle : Aaaaaarrrrrrrggggggffffff....Pppppppfffffff...j'en perd ma respiration....HhhhaaaaaHhhhhaaaaaa, ce que tu m'as mis, ooohhh chérie !!....
Moi : Ah tiens chérie, c'est nouveau ça, c'est ma queue qui te rend amoureuse !
Elle : Salaud, n'en profite pas..hein..tu sais que ça me plais et que je suis éprise de toi, de ta queue et de ton corps ! Je veux être ta soumise personnelle et que tu fasse ce que tu veux de moi ! quand tu veux, ou tu veux ! je baisserais ma culotte et t'offrirai ma bouche selon tes envies ! ce sera libre à ton choix !
Dans mon esprit, je pensai à l'autre voisine, celle de l'autre jour, qui m'avait fait comprendre la même chose...j'étais verni !
Moi : Tout ce que je veux ? sans rechigné ?
Elle : Oui oui... sauf les trucs trop crade, type uro/scato...et gang bang..etc.., c'est pas trop mon truc je crois, juste toi et moi, et tu sais, tu peux me la mettre dans le cul aussi, même si aucune queue n'est encore passé par là, je veux que tu sois le premier mais préviens moi et prépare moi bien avant, je voudrais pas me faire déchiré par ton membre bien dur et bien gonflé !
Moi : t'inquiète pas, je te préviendrais, et un jour j'ajouterais une personne dans nos jeux si tu veux bien !
Elle : Je la connait ?
Moi : Peut-être !
Elle : Un homme ou une femme !
Moi : On verra plus tard !
On se lova sur mon canapé, elle reprit ma queue demi-molle dans sa main et recommençais des petits vas et viens !
Moi : T'arrête jamais toi !
Elle : Je veux voir tout le temps ta queue gonflé et giclé, si je pouvais, je me la mettrais h24 !
Moi : Salope !
Elle : Oui ? Tu m'appelle ? riait-elle !
Le film se terminait, on avait raté deux/trois scènes, je pense, pendant que je la besognait, on voyait sur la scène finale, plusieurs filles et gars, se faire mettre dans tout les sens, tous déguisés...bref, une petite orgie bien porno !
On était tous les deux éreintés, l'un contre l'autre, tout calme, je prenais alors la parole.
Moi : Je veux que tu me branle encore une dernière fois du bout de tes doigts, ma queue à repris de la vigueur et elle dépasse à nouveau de mon short, tu sais que j'aime ça maintenant !
Elle : Moi, aussi, je trouve ça pas commun, et j'aime te faire jouir de n'importe qu'elle manière.
Elle chopa alors mon gland de sa main et le malaxait doucement, j'adorais ça, la commandé et me laissé faire sous ses doigts agile et humidifié par les larmes de sève qui s'épenchait dans le textile devenant chaud.Je pouvais, une fois de plus me relâché et soupirer de plaisir tant sa main me caresser docilement et adroitement.
Moi : C'est bon Lola, je sens ma sève monté doucement.
Elle : Oui, Pierre, jouis dans mes doigts, laisse toi aller !
Et je me déversais sur ses doigts et sur le tissu en grognant et râlant du pied que j'étais, une fois de plus, entrain de prendre.
Elle : C'est bon , hein !
Moi : Oui, ma salope, et je m’effondrais sur elle de plaisir en trempant ses doigts de part en part tellement que le tissus de mon short n'arrivait pas à absorbé toute ma lave très liquide et brulante.
Puis, on se lova l'un sur l'autre, j'attrapai un plaid, non loin, nous recouvrait avec et on s'endormait sans omettre de lui avoir posé la question, à savoir si elle voulait resté là pour la nuit et sa réponse fût de mettre sa langue directement dans ma bouche en la faisant tournoyait contre les parois de ma langue qu'elle avalait, j'avais donc la réponse à cette question.
On s'affalait sur mon sofa et l'on s'endormaient.

Et pour demain, j'avais déjà des plans pour elle et moi.

A suivre.

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