La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 304)

Suite de l'épisode précédent N°303 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

Walter qui vient de terminer d'éplucher deux morceaux de gingembre qu'il a taillé en forme phallique pénétrante, profite de l'occasion pour glisser ses doigts dans la chatte à nouveau humide de Thaïs, avant de lui glisser dans l'anus et dans la chatte les deux rhizomes pelés. Pour éviter qu'ils ne puissent ressortir, il att deux larges bandes de coton, comme celle qu'on trouve en pharmacie pour faire des bandages suite à des entorses. Avec la première, il ceinture la taille de la soumise installée sur la croix. Avec la deuxième, il fait plusieurs allers retour passant, à chaque aller retour, dans l'entrecuisse de Thaïs et dans la ceinture bandage, devant et derrière. Petite ceinture de chasteté improvisée à la va-vite mais suffisamment efficace pour maintenir en place les deux godes de gingembre qui ont déjà commencé à échauffer les zones sensibles intimes de Thaïs qui découvre une nouvelle sensation qui mêle à la fois plaisir de l'excitation et déplaisir de l'échauffement interne qui augmente au fil des minutes qui passent. Walter part, laissant Thaïs à sa méditation et à ses délicieux petits supplices dont il espère bien qu'il la trouvera encore plus excitée à son retour qu'à son départ pour la suite des événements. Il conduit le plus rapidement possible soumise Holly MDE dans son cachot.

- Voilà la belle chienne, tu peux en profiter pour te reposer. On te portera à manger dans ta cellule ce soir, et fait très exceptionnel, tu ne seras pas attachée pour dormir, ordre express de Monsieur le Marquis d'Evans qui voulait te marquer de la gratitude. Apprécie à sa juste valeur l'honneur qui t'es fait par le Maître que tu sers avec dévouement.

Walter ressort de la pièce qu'il referme à clef laissant là Holly MDE un peu désemparée comme si elle se sentait abandonnée d'un seul coup, n'ayant plus de consignes à suivre et n'étant plus contrainte comme à son habitude.

Mais la fatigue et le manque de sommeil sont tels qu'elle décide de s'allonger sans attendre et de tâcher de dormir pour récupérer, tout en rêvant de son Vénéré Maître qu'elle a pu approcher de si près dans l'après-midi, posant sa tête tendrement sur Sa cuisse, et pouvant savourer par la suite la Divine Queue du Châtelain dont elle a pu déguster le nectar servi directement en bouche, pour partie à la petite cuillère… Pendant ce temps là, Walter est remonté dans son bureau pour retrouver Thaïs MDE qui est en train de se tordre tant son anus et sa chatte sont en feu, ressentant l'intensité du gingembre frais sur toutes ses zones intimes aux peaux sensibles.

- Alors, voyons voir un peu ce que cela a donné (dit Walter d'un ton sarcastique ….) Tu voudrais peut-être de la glace maintenant pour calmer ton entrecuisse ! Et si je te le laissais encore un peu ainsi pour la nuit afin qu'il macère bien ? Ah, ah, ah, …. (ajoute-t-il d'un ton pervers qui glace d'effroi la soumise)

Thaïs aimerait bien être sûre que Walter plaisante, même si elle reconnait qu'elle a pris un certain plaisir à sentir ses parties intimes enflammées, sensation d’autant plus excitante qu’étant contrainte avec les quatre membres attachés, elle n’a aucun moyen (ni l’autorisation) de pouvoir se caresser pour tenter de calmer le feu qui la dévore de l’intérieur. Mais la brûlure est quand même encore intense, difficile aussi à endurer, et elle ose porter le regard sur le Majordome, les yeux tout suppliants, pour essayer de lui faire comprendre qu’elle aimerait bien qu’il en vienne à penser qu’elle a suffisamment supporté pendant toute son absence les deux godes de gingembre en punition de fautes dont elle n’était pas volontairement coupables. Mais le regard froid et pervers de Walter la saisit aussi sec et c’est résignée qu’elle baisse la tête et les yeux, en signe de réédition totale. Bien décidé à ne pas se laisser influencer même s’il a cru comprendre la supplique de Thaïs, Walter lui att les cheveux et tirant dessus vers l’arrière, il lui redresse la tête pour la forcer à croiser son dur regard froid avant d’ajouter :

- Bon, je crois que tu t’es amusée assez longtemps avec ton double gode de plaisir, sans parler du bâillon imprégné de mouille onctueuse.
Tu as dû te régaler ! On va passer à quelque chose de plus sérieux, maintenant que tes trois orifices ont eu largement de quoi se satisfaire.

Il défait les deux bandages qui maintenaient les deux phallus de gingembre afin de les retirer. Thaïs sent l’air frais, qui pénètre dans ses deux orifices béants, réveiller la sensibilité de ses parties intimes, mais cela ne dure que très peu, car à peine les deux godes ont-ils été retirés que la sensation de feu qui l’avait envahie s’estompe très rapidement, laissant juste à la place un profond besoin de jouir en se laissant dépasser par le plaisir de caresses de toutes sortes. Mais c’est à regret, que la soumise constate cette fois que le Majordome ne prend même pas la peine de passer la main entre ses cuisses, sûrement pour ne pas s’irriter à son tour même si cela ne risque pas grand-chose sur la peau plus tannée de ses grosses mains, ou plus exactement parce qu’il savoure avec perversité le fait de laisser la soumise avec un désir qu’il sait inassouvi. Regardant à nouveau Thaïs droit dans les yeux après lui avoir empoigné les cheveux, il lui dit d’un ton vicieux :

- Je suis sûr que tu aimerais que je m’occupe de toi en ce moment ! Et bien, non ! Ce n’est pas du tout au programme ! Tu me fais perdre beaucoup trop de temps aujourd’hui. Je vais m’occuper de toi, sois en certaine cependant, mais à ma manière et pour que cela t’apprenne quelque chose d’utile, car finalement, il n’y a pas qu’avec moi que tu n’as pas su marcher comme une vraie petite chienne bien dressée. Que tu sois rentrée dans les pieds de ce misérable chien esclave qu’est e6942 MDE passe encore, mais dans les miens, cela ne se fait pas vraiment. Tu vas le comprendre à tes dépens, car il ne tenait qu’à toi de faire attention avant. Je te promets que dès ce soir, tu sauras avancer à la bonne allure et t’arrêter au bon moment. On va commencer par une petite balade pour que je puisse voir un peu mieux comment tu évolues à quatre pattes, espèce de petite chienne à dresser.
..

Walter détache les pieds et les mains de la soumise Thaïs MDE qui, sans avoir besoin que le Majordome ne lui en donne l’ordre, se baisse pour se retrouver à quatre pattes, dès qu’elle comprend qu’il a empoigné la dragonne de la laisse qui pend à son cou. L’esclave-soumise est très perturbée par les propos du Majordome qui ne la ménage guère, n’hésitant pas à dénaturer les choses pour la rabaisser encore plus. Elle est d’autant plus perturbée qu’elle ressent un plaisir net à se savoir remise à sa place, traitée en conformité avec la condition servile qu’elle a elle-même désirée, rabrouée sans ménagement par celui qui n’est après tout qu’un domestique mais qui bénéficie de l’entière confiance de Son Maître Vénéré. Elle, chef d’entreprise efficace et performante, qui avait souvent l’habitude dans sa société de devoir diriger et gérer tout son personnel avec justesse mais parfois avec fermeté parce qu’il fallait que le travail soit fait dans les temps et aussi avec la rigueur que le monde professionnel impose, elle se retrouve là à terre, humiliée par quelqu’un en simple livrée de domestique, fut-il celui d’un Châtelain titré, il n’en reste pas moins qu’un simple serviteur. Mais c’est par dévotion totale à son unique Maître, qu’elle se plie de bon cœur aux exigences de toutes sortes de celui qui est là pour s’occuper d’elle en l’absence du Marquis d’Evans et entre les mains de qui IL l’a remise, lui demandant de lui obéir en tous points comme s’il s’agissait du Maître en personne.

C’est ainsi que quand Walter se met en route, Thaïs MDE le suit docilement, sans se poser de questions sur sa nouvelle destination, avançant tant bien que mal d’une marche animale en ondoyant du postérieur, faisant surtout attention à tous les mouvements de Walter pour veiller à ne pas risquer de lui rentrer une fois de plus dedans, sachant bien que cela serait du plus mauvais aloi. Dans un premier temps, elle tente de rester en arrière au maximum pour se donner un peu de battement dans une marche que le Majordome soutient à vive allure à travers les longs couloirs du Château, mais comme elle se fait plusieurs fois avoir par la laisse tendue qui lui accroche le cou, Thaïs s’est rapprochée pour être vraiment dans les pas de Walter, le plus près possible, et elle se rend compte que sa marche en est grandement facilitée, même si elle doit rester concentrée pour s’adapter au rythme de celui qui la mène en laisse en silence.
Walter a quand même réduit amplement son allure quand il entreprend de descendre très lentement un escalier étroit et abrupt, escalier de pierre et en colimaçon qui conduit au sous-sol, mais malgré tout Thaïs manque de dégringoler à plusieurs reprises tant ses genoux et ses jambes ont du mal à trouver de bons appuis sur les nez de marches en pierre froide, l’obligeant à faire porter tout le poids de son corps sur ses mains. Walter se retourne vers Thaïs pour lui préciser d’une voix plus douce :

- Pour les escaliers, tu n’es pas encore au point, mais c’est un exercice plus difficile. Cela viendra en son temps avec de l’exercice et un apprentissage soutenu.

Ce contraste entre les moments où le Majordome est plus compréhensif et indulgent et ceux où il est carrément sec et rudoyant, sont encore plus déstabilisants pour la soumise, qui comprend néanmoins, surtout à cet instant là, combien ce que l’on attend d’elle est et sera progressif, un vrai travail de dressage et d’endurance, qui va la transformer de l’intérieur. Arrivé en bas, une large pièce de gym, haute et voûtée se présente face au duo. Walter avance jusqu’à un appareil que Thaïs n’a pas encore pu apercevoir car elle avance la tête baissée ne regardant que l’espace entre ses mains et les pieds de celui qu’elle suit. Il s’agit d’un appareil de marche comme on en trouve dans les salles de gym. En tirant sur la laisse, il la fait monter sur ce qu’elle prend au début pour une petite marche surélevée et s’approche de Thaïs de manière à rectifier sa position pour qu’elle soit correctement installée au centre du tapis roulant noir, bien à quatre pattes. Enfin, il lui précise :

- Tu n’es pas attachée par le cou pour ne pas risquer de t’ avec la laisse qui se tendrait beaucoup trop. Pas question de prendre des risques, mais tu dois impérativement veiller à tout le temps rester sur le tapis roulant, quelque soit l’allure à laquelle je vais le faire avancer, voire s’arrêter. Tu vas faire un peu d’exercice, cela va te faire le plus grand bien. Le sport, c’est bon pour la santé, même et surtout pour les esclaves qui doivent devenir endurants !

Le Majordome met en route l’appareil, à vitesse modérée dans un premier temps, il s’installe dans un fauteuil en face de l’appareil de marche avec la télécommande en mains. Il ne lui faut pas plus de trois minutes pour s’amuser à augmenter la vitesse du tapis roulant. La soumise commence par essayer de tenir le rythme insoutenable à quatre pattes, perdant peu à peu du terrain et finit par se laisser emporter vers l’arrière, risquant presque de tomber tête première sur le tapis, et se retrouvant quand même par terre à même le sol. Walter se met à rigoler de la situation qu’il a provoquée fort sciemment.

- En voilà une drôle de chienne qui ne sait même pas tenir sur ses pattes et avancer correctement ! … Faudra t-il aussi qu’on t’entraîne pendant des heures au jeu de la balle qu’il faut aller chercher et ramener dans la main du lanceur …. J’en ai bien l’impression ! Tu ne vas pas me rendre la vie facile décidemment. Tâche de remonter vite fait sur le tapis avant que je ne me lève, car sinon ….

Walter défait la cravache qui pend à sa ceinture et l’a fait siffler dans l’air deux fois. Il n’en faut pas plus pour affoler Thaïs qui se sent bien peu habile et encore moins entraînée, espérant malgré tout que le Majordome ne va pas s’amuser à augmenter sans cesse la vitesse de déroulement du tapis, ce qui la fera systématiquement reculer et chuter. Walter remet sans attendre en route le tapis roulant, lentement au début et à une allure moyenne par la suite. Thaïs au fur et à mesure des minutes qui passent sent la fatigue prendre le dessus, les efforts physiques soutenus l’ont mise en nage et elle a mal dans les mains, dans les bras et les épaules à force de devoir avancer sur ces membres supérieurs qui ne sont pas conçus pour la marche (mais aussi pour la marche à 4 pattes) et pour supporter le poids du corps. La douleur est encore plus perceptible sur ses genoux qui ressentent la rugosité du tapis antidérapant sur lequel elle tente de garder le rythme soutenu imposé par celui qui manipule la télécommande, rythme qui est resté le même pendant plusieurs minutes, si bien que Thaïs a fini par perdre un peu de sa concentration, avançant presque de manière mécanique et automatique. C’est alors que Walter arrête net la machine. Thaïs surprise et emportée par son élan, est projetée vers l’avant, piquant du nez.

- Aie ! (s’écrie t-elle en s’étalant de manière presque reflexe)
- Comment cela « Aie ! ». Tu ne fais même pas attention à marcher correctement et en plus tu oserais te plaindre de te faire mal toute seule. Pas étonnant que tu me sois rentrée dedans ce matin, si tu ne sais pas t’arrêter au bon moment. Pour la peine, on va prolonger l’exercice de 10 minutes, car visiblement tu n’as toujours rien appris de correct !

Walter, de manière de plus en plus vicieuse, attend que Thaïs se soit repositionnée correctement pour remettre le tapis en route, mais cette fois-ci, il s’amuse sans cesse à en changer l’allure, de faible à forte, obligeant Thaïs, qui est déjà bien épuisée par la concentration exigée par cet exercice, mais aussi par la journée pendant laquelle elle a été sollicitée de toutes parts, à consentir de nouveaux efforts inconsidérés physiques et psychiques. La télécommande entre les mains du Majordome passe de manière aléatoire de arrêt à marche lente, ou marche normale, ou encore marche rapide, pour s’arrêter à nouveau brusquement à de multiples reprises. Thaïs résiste tant bien que mal pendant les 10 minutes supplémentaires, mais elle réussit à ne plus chuter ni vers l’avant, ni vers l’arrière. Cependant, quand Walter se lève, éteignant la télécommande de l’appareil qu’il replace dans son boitier, n’en pouvant plus, Thaïs s’effondre carrément sur le tapis noir, épuisée.

- Et bien, qu’est-ce que je vois, pas question de s’arrêter avant la fin de la soirée ! Mais au moins, tu auras compris ce qu’il en coûte de me marcher sur les pieds. Tiens-toi le pour dit, car la prochaine fois, la sanction serait bien pire ! Mais tu es quand même une bonne chienne docile, je comprends que ton Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, soit fier de toi. Approche sans crainte désormais, un petit moment de plaisir te fera le plus grand bien et j’en profiterai du regard à défaut de pouvoir te pénétrer, car tes orifices sont pour l’instant réservés à Celui qui est ton Maître Absolu, et mon patron que je respecte plus que tout.

Walter s’approche de Thaïs, lui tend la main pour l’aider à se relever, comprenant bien qu’elle n’en a même plus la force. Il l’aide à s’asseoir sur un petit sofa bas qui se trouve dans la pièce, avec des gestes presque romantiques qui semblent encore plus bizarres chez cet homme à forte carrure qui fait peu souvent dans la dentelle et le raffinement.

- Maintenant, reprend ton calme et trouve la force de te masturber. Cela va détendre tous tes muscles, en faisant partir aussi la fatigue et la tension accumulée par cette séance plus sportive et puis, je suppose que tu ne vas pas faire la fine bouche devant un bel instant de plaisirs sensuels et charnels qui t’es autorisé juste pour le moment. Je veux te voir à l’œuvre là juste devant moi, sous mes yeux observateurs. Je vais te regarder et sûrement me masturber en te regardant, mais tu n’en sauras rien et n’en verras pas plus car je vais te bander les yeux avant.

Le vicieux Majordome att une écharpe noire qui se trouvait à portée de mains, il la noue autour de la tête de Thaïs, la faisant plonger dans la nuit extrasensorielle. Il la penche, la couche carrément, la faisant reposer sur deux coussins-oreillers qu’il vient de placer au bon endroit sur le divan bas.

- Va-s’y ! Commence, je n’ai pas que cela à faire, même si ce n’est pas déplaisant de te voir en train de te caresser la chatte. Mais attention, j’ai dit que tu pouvais te masturber, je n’ai pas dit que tu pouvais jouir pour autant, alors tâche de te retenir et surtout de ne pas couler pour tâcher le sofa. Ecarte les cuisses au maximum, car tu n’es bien qu’une putain humide, faite pour exciter les hommes et leur apporter du plaisir.

Thaïs est rouge comme une tomate de se voir ainsi traitée, et finalement, elle trouve qu’il est presque plus difficile de devoir acquiescer à cette dernière demande de Walter que lorsqu’il la punissait, car elle n’a jamais eu un tempérament d’exhibitionniste et là elle se sent obligée de dévoiler à la fois son intimité, mais aussi les vibrations et le plaisir que les caresses vont amener. Cependant, docile jusqu’au bout après avoir hésité quelques instants, elle se décide à commencer à se masturber, approchant sa main droite de son jardin intime. Au même moment, elle reçoit une gifle sur la joue gauche.

- Je t’ai dit tout à l’heure « Va-s’y et commence ». Ce n’est pas avec l’idée qu’il te fallait une minute pour te décider à exécuter mon ordre. Tu mériterais que je te prive de cette partie de la soirée plus agréable pour toi.

Thaïs tâche d’oublier l’endroit où elle est, celui qui la regarde minutieusement, enfin tel qu’elle se l’imagine dans la nuit de son bandeau. Elle focalise ses pensées sur son Maître Vénéré qui est déjà bien loin à cette heure là, occupé par son travail et elle entreprend un long et minutieux va et vient entre ses lèvres intimes qui sont déjà onctueuses et humides. De son doigt, elle tourne tout autour de son bouton d’amour turgescent, oubliant d’un seul coup toutes les difficultés de la journée, ne pensant plus qu’au désir charnel, et ce jusqu’à ce qu’elle se rende compte qu’elle est en train de se faire envahir par le plaisir qui va finir par la submerger dans l’extase. Elle arrête donc aussi sec ses caresses pour laisser la pression retomber et ne pas prendre le risque d’un orgasme non autorisé. La suite ne se fait pas attendre, une nouvelle gifle majestueuse vient de s’abattre sur son autre joue, dont elle garde la marque de la large main aux doigts rustres du domestique.

- Qui t’a dit que tu avais le droit de t’arrêter ? Tu croyais peut-être que je ne le verrais pas ! Tu t’arrêteras quand je le dirai, pas avant, pas après. C’est clair ! Et surtout pas d’orgasme, petite chienne !

Thaïs ne croyait rien de tout cela, elle avait juste fini par oublier la présence de Walter et tout ce qui était autour, ne rêvant que de son Maître Vénéré et de l’instant où elle pourrait se retrouver à nouveau à Ses pieds. Elle hoche la tête pour dire oui et reprend ses caresses, contractant ses muscles pour limiter la montée de l’orgasme, tout en soufflant par de longues et profondes inspirations, espérant qu’elle résistera suffisamment longtemps pour contenter le Majordome dont elle ignore les intentions pour l’heure ….

(A suivre…..)

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