Les Deux Femmes Et Le Puceau

Le puceau et les deux femmes au bord de l’eau
Je m’appelle Bruce, j’ai dix sept ans, c’est les vacances de pâques j’en profite pour me balader avec mon vélo entre deux révisions de cours, car je suis plus intéressé par le bac que par les filles, ce qui fait que je suis encore vierge
La seule fille que j’ai vraiment approchée c’est la fille du boulanger, mais quand j’ai voulus lui toucher le sexe elle m’a rembarré en disant qu’il n’en était pas question, qu’elle était vierge et entendait le rester, j’ai juste eu le temps d’apercevoir les poils noirs qui masquaient sa vulve mystérieuse, pour me calmer elle a accepté de me masturber jusqu'à éjaculer dans un mouchoir
Ce jeudi là je suis parti le long de la rivière ou je connais une sorte de plage sympas formée de galets glissants, au moment ou j’approche j’entends des éclats de voix et des rires de femmes, zut moi qui croyais être tranquille, c’est foutu !
Mais en arrivant je m’arrête quand même car le spectacle qui s’offre a moi en contrebas est surprenant, deux femmes ‘assez vielles’, elles doivent avoir au moins la trentaine, elles ne m’ont pas vu , l’une est assise sur l’herbe et l’autre a les deux pieds dans l’eau, pour ne pas mouiller la robe elle s’est retroussée a dix centimètre de la culotte, je matte les cuisses lorsque la femme glisse et manque de tomber a l’eau, elle ne bouge plus et se plaint de la cheville , celle qui l’accompagne n’ose pas se mouiller les pieds, n’écoutant que mon courage, je jette mon vélo a terre et descend quatre a quatre le talus, le temps de virer chaussures et socquettes et me voilà dans l’eau glacée a mis mollets

- Ne bougez pas madame j’arrive !
- Ho ! merci jeune homme, ça glisse ! je ne sais plus comment me tirer de là
- Tenez vous a moi ….assoyez-vous là, je vais voir votre cheville !
- Vous êtes docteur ?
- Mon père est kiné, il m’a appris certaines choses, voyons …. Ce n’est pas enflé …posez votre pied sur ma cuisse je vais masser deux minutes
- J’ai les pieds glacés n’est ce pas ?
- Ça va le réchauffer …

En lui parlant je lève les yeux et que vois-je ? Le paradis ? En tout cas ça y ressemble, sous sa robe écartée je vois une houppette blonde qui borde les lèvres du sexe, du coup j’arrête mes frictions, la femme comprend pourquoi et se met à rire

- Petit garnement tu as les yeux partout ! Hé bien oui, je ne porte pas de culotte, pas plus que de soutient gorge, il fait chaud et comme nous somment en vacances, nous réduisons au maximum la lessive, ma copine Lætitia n’en porte pas non plus, montre lui ma chérie

Sans se faire prier la femme se retourne, se penche, et relève brièvement sa jupe, en haut de ses cuisses serrées je peux voir deux ‘oreillons’ entourés de poils bruns, du coup je lâche la cheville et me relève, sidéré, je venais de découvrir la définition du mystérieux ‘abricot’ de la femme, dont nous parlions entre copains, c’est tout à fait la représentation de ce fruit juteux !

- Mais c’est qu’il est en érection notre ami ! tu nous montre ta verge ?
- Madame ….

.
- Moi c’est Anne, alors ? tu te décide ? soit courageux, c’est un échange de bon procédé, tu ne verras pas souvent deux femmes sans culottes dans ta vie !

J’allais me décider quand des voix viennent du chemin, je suis a la fois soulagé et frustré car j’aurais peut être eu droit a certaines faveurs …

- Dommage que nous soyons dérangés …quel est ton prénom ?
- Tino
- Aimes-tu le cidre et la tarte aux prunes Tino ?
- Bien sûr Anne !
- Alors rejoint nous au camping, ainsi tu sécheras ton bas de pantalon, bungalow 69, joli chiffre non ?

Je suis remonté sur mon vélo, assaillis par pleins de questions, que me veulent-elles ? 69, j’ai entendu parler d’une position cochonne, mais à quoi ça fait allusions ? Comment ça marche ? Comment leur avouer que je suis puceau ? Et le gérant du camping, je le connais, il va me demander ce que je viens faire chez ces femmes….Une demie heure plus tard j’arrive a l’entrée du camping ….

- Bonjour monsieur André
- Salut Tino ! que veux-tu ?
- Je viens voir mes taties au 69
- Ce sont tes tantes ces deux belles femmes ? ha ! elles n’ont pas l’air farouches, bon tu peux y aller, bon après midi Tino !

Le cœur battant à quitter la poitrine je frappe à la porte …

- Tu es venu ! Bravo ! Entre Tino, assied toi
- Merci
- Bon, avant tout sache que nous somment mariées, nos hommes doivent nous rejoindre demain, nous somment libertins, tu sais ce que c’est ?
- Non …
- Hé bien mon mari peut faire l’amour devant moi à Laëtitia et moi avec le sien, en leur absence ils nous laissent libre de faire une rencontre à condition de tout leur raconter par la suite
- Ça existe vraiment ça ?
- Bien sûr ! tu as beaucoup à apprendre je crois … j’en connais un que ça intéresse beaucoup, c’est André, le gérant, il vient nous rendre visite deux fois par jour pour voir si nous ne manquons de rien, il nous a même demandé pourquoi il ne voyait pas de sous-vêtements à sécher sur le fil ! en insistant lourdement sur le numéro de notre bungalow, 69, ça fait rêver !
- Je le connais bien, c’est un vieux pervers
- Ce n’est donc pas vers lui que nous allons nous tourner pour faire des galipettes ! maintenant que nous somment entre nous, tu nous montre ton zizi ?
- C’est que …
- Il avait l’air bien gros tout à l’heure ?
- Tout a l’heure oui …
- Je vois ce qu’il te faut, Laëtitia ? tu fais comme moi ?

Dans un ensemble parfait les deux femmes ôtent jupe et robe, je peux attester qu’elles ont de beaux corps, des seins qui me paraissent volumineux par rapport à ceux de la fille du boulanger ! Une chatte brune et une blonde, une a la fente comme taillée au couteau et l’autre qui possède deux petites crêtes un peu pendantes, il ne me reste plus qu’a me déshabiller ….


- Hoooooo mais nous avons affaire a un homme dit donc ?
- Il est aussi bien pourvu qu’eux en tout cas !
- Tu dois avoir de nombreuses conquêtes ?
- …. Non ….. juste des flirts ….
- Tu es vierge ? Hooouuuua, ont ne pouvais espérer mieux Anne !
- Pour te mettre a l’aise je vais embrasser ma copine, tu te joins a nous quand tu veux …

Les deux femmes ne semblent plus se préoccuper de moi, elles s’enlacent et s’embrassent sans chiqué, les seins écrasés, leurs jambes s’imbriquent, leurs sexes se frôlent, je m’approche …. Nous somment maintenant trois agrippés, les mains partent a l’aventure, ma queue et mes couilles sont triturées mes mains s’égarent entre les sillons fessiers jusqu'à trouver les vagins mouillés, soupirs, vagissements, c’est Lætitia qui se baisse la première pour attr et gober ma bite, suivie de peu par Anne, elles se partagent mes attributs, mes testicules, mon gland, deux minutes et je lâche tout ….les femmes essuie ma queue sur leurs seins et se relèvent radieuses

- C’était rapide mais fameux ! Que faisons-nous maintenant ?
- Excusez moi mais …. 69 c’est quoi en réalité ?
- Rien de plus facile … je m’allonge sur le lit, tu fais pareil mais en sens inverse …
- Ma tête prés de votre …..
- Oui et ta verge prés de mon visage, ensuite libre a toi de visiter et faire ce que tu veux
- Je ne suis pas prêt pour ça ….
- Tu as raison, allonge toi nous allons prendre soin de ta personne
Je ne suis pas fier lorsque les femmes prennent position a mes cotés, quatre mains me dispensent des caressent de plus en plus précises, mon sexe est a nouveau opérationnel, Lætitia se met a califourchon sur moi, elle frotte sa chatte sur mon ventre en laissant la trainée gluante d’une limace, une fois sur ma bite elle ondule du bassin, c’est doux, chaud, mouillé, il ne manque pas grand chose pour que je m’enfonce dans son ventre, elle fait durer la ‘’ jusqu’à ce soit moi qui donne des signes d’impatiences

- Tu veux que je fasse entrer ta queue Tino ?
- J’aimerais bien sinon je vais jouir dans vos poils
Lætitia se soulève légèrement et manipule ma queue afin qu’elle soit face a son trou…… hhhhaaaaaaaaaaaaa …….
C’est divin ! Ma bite baigne dans une douceur incroyable et brulante, la femme se soulève légèrement et se laisse choir, mon gland bute au fond de son ventre, elle accélère le mouvement, je n’ai jamais été aussi raide, Anne parait intéressée par notre accouplement, a genoux prés de nous, elle se doigte vigoureusement le minou, inutile de résister a la jouissance qui monte dans ma queue, mon canal se gonfle de sperme avant de l’injecter puissamment dans la matrice

- HOOOOO ouuiiiii, va-y, décharge dans ma chatte Tino, tu veux la place Anne ? notre jeune amant bande encore
- Vient me prendre en levrette Tino, fait moi sentir ta grosse bite, je suis prête à partir, n’ai pas peur de cogner dans mon vagin, j’aime les mecs virils
- Fait la crier, je raconterais tout à son mari pendant qu’il me baisera demain
- Salope, je viderais les couilles du tien !

Je les aie prisent chacune deux fois dans des positions différentes, mes testicules asséchées me faisaient souffrir lorsque je suis repartis a la nuit tombée

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