Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (3)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Nous arrivâmes dans une pièce où se trouvaient les trois autres serveuses. Je ne m’attendais pas à ce que l’on me voit dans cette situation ! Habillé en soubrette et porté par une femme !
“Je vous présente le nouveau petit serveur. Prenez en soin, c’est un modèle petit et fragile”
Elles éclatèrent toutes de rire pendant que je rougissais de honte. La matrone me saisit alors au niveau de la taille pour me soulever et me poser par terre, ce qui força ma robe à remonter et à dévoiler mon intimité. La plus âgée des serveuses s’exclama:
“Mon dieu qu’elle est fine ! J’ai jamais vu un cul aussi petit”
La matrone arrêta son mouvement pour me maintenir en l’air à bout de bras et prolonger cette situation si humiliante. Je gigotai un peu espérant m’échapper mais ce n’eut pour seul effet que de faire remonter la robe un peu plus. Une autre serveuse pris la parole:
“Mais ils ne vont en faire qu’une bouchée ! Elle n’est pas de taille à se défendre !”
“Il faudra prendre soin d’elle et la protéger de leurs grosses main….et de leur grosse bite aussi”
Elles se mirent toutes à rire à nouveau. La matrone finit par me poser par terre. J’arrangeais la robe pour cacher ma culotte et lorsque je relevai la tête, je m'aperçus que les trois serveuses étaient aussi des colosses. Pas une ne devait faire moins de 100 kg et moins d’1m80 ! Je me sentis si petit et si faible au milieu de ces amazones. La serveuse qui n’avait pas encore parlé me donna une claque dans le dos qui me fit perdre l’équilibre et basculer en avant si bien que je me retrouvais à quatre pâtes sur le sol, exposant ma culotte. Elles se mirent à nouveau à rire se moquant de ma faiblesse:
“Pardon, je ne pensais pas te faire tomber ! Tu es si léger !”
“Si tu leur montres ton petit cul à tout bout de champ et que tu te mets à quatre pattes comme une petite chienne en chaleur, il ne faut pas t’étonner qu’ils aient envie de te prendre”
Je me mis à sangloter à nouveau.

Je n’avais pas la force de me relever. La serveuse qui m’avait fait tomber se pencha alors pour me saisir sous les bras et me releva, jusqu’à ce que mes pieds ne touchent plus le sol. Elle me maintenait face à elle à bout de bras, me regardant avec pitié et envie, sans compter que cette robe beaucoup trop courte n’en finissait pas de dévoiler mes fesses.
“Ne pleure pas mon petit, on va faire attention à toi”
Elle me reposa délicatement, comme un poupée de porcelaine.


Du bruit se fit entendre dans la salle du restaurant, le groupe de rugbyman venait d’arriver. Une décharge d’ adrénaline se déversa dans mon estomac quand je me rendis compte que j’allais être exposé à ce groupe de brute, travesti en petite soubrette sexy ! Peut être même que j’allais être reconnu ? L’idée de fuir me traversa l’esprit mais dans ce coin perdu, je n’irai pas bien loin sans que la matrone ne m’att et me punisse mille fois plus durement. Je connaissais sa force. Elle pris d’ailleurs la parole:
“C’est parti les filles, le goinfres sont là !”
Elle se dirigèrent alors vers la cuisine. Je suivis la bande d’amazone. Elles étaient habillées de manières très sobres, vêtues de simples robes noires que leurs silhouette très épanouie mettaient à la limite de la rupture. C’est sur que à coté d’elle, j’étais une petit bombe sexuelle, idée qui me faisait peur et m’excitait à la la fois. Comment allait se comporter les hommes avec moi ?




Arrivées dans la cuisine, nous commençâmes à distribuer de lourds plateaux de charcuterie. Jetant rapidement un coup d’oeil à travers le hublot de la porte, je vis une vingtaine de colosses à coté desquelles même mes amazones de collègues paraissaient de taille normale. Ils étaient immenses ! Pas un qui devait faire moins d’1m90 ! Il y avait même un grand barbu dont le crane chauve touchait presque le plafond. Je n’avais jamais vu un homme dont se dégageait autant de virilité bestiale. Son regard, sa pilosité, sa carrure, ses muscles saillants, sa mâchoire carrée et son teint mat m’excitait au plus haut point.
Regardant de l’autre coté de la salle, je constatai avec stupeur que l’un de mes voisins de chambre universitaire était là ! Une brute de près de 2m qui étudiait pour devenir prof de sport. Son regard me terrifiait quand il m’arrivait de le croiser. Il avait l’habitude de me regarder comme une loup regarde sa proie. Même quand j’avais le dos tourné, je sentais son regard lubrique se poser sur mes petites fesses. Je savais ce qu’il voulait. Pourvu qu’il ne me reconnaisse pas !


Me voyant rêvasser, la matrone me rappela à l’ordre d’une bonne claque sur les fesses !
“Mais tu vas bosser ! Tu crois que je te paie juste pour jouer les petites chiennes en chaleur !”


Je m’approchais donc des plateaux, et comme les autres serveuses, j’en saisis un de chaque main, mais je fus incapable de les soulever sans que mes poignets ne ploient ! Ils étaient si lourds ! Mes collègues étaient de vraies brutes pour y arriver. Je reçus à nouveau une claque sur les fesses quand la matrone vit que je n’étais pas capable de porter deux plateaux.
“Mais tu n’es vraiment bonne qu’à te servir de ton petit cul ! Prends en un seul si tu es trop faible”
Les filles rigolaient en se moquant de moi. Les deux claques m’avaient mis les larmes aux yeux commençant à faire couler un peu le mascara. Mes petites fesses étaient en feu. Je saisis un des lourds plateaux et je me dirigeai vers la salle. Même avec mes deux mains, je devais me pencher en arrière pour ne pas perdre l’équilibre. Je poussai difficilement les lourdes portes et entrai dans la salle. Tous les yeux se tournèrent vers moi. Ils sifflèrent, hurlèrent comme des loups en me voyant. j’étais tétanisé. La fille qui me suivait me botta les fesses pour me faire avancer si bien que je perdis l’équilibre et tombai à quatre pâtes le nez dans la charcuterie. La robe si courte se releva et exposa mon petit cul à la vue de ces brutes. Je m’échinais à remettre en ordre le plateau avant que la matrone ne se rende compte de ma bêtise.
Les brutes s’approchèrent pour me mater un peu plus. Toujours à genoux, je sentis alors une large main passer sous ma poitrine et une autre entre mes jambes qui me souleva de manière à ce que je me retrouve assis dans cette immense paume, les jambes écartée et offertes. Je gesticulais dans tous les sens pour me libérer. Le colosse qui me maintenait en l’air avec fermeté m’exposait à ses amis.
“Regardez ! Avez vous déjà vu une aussi belle petite pute et surtout un aussi petit cul !”
Ils riaient tous. Il me laissa retomber par terre. C’est là que la fille qui m’avait poussé me saisit pour me mettre sous son bras gauche. Elle me tenait en l’air à un bon mètre du sol d’un seul bras, exposant ma culotte. Elle prit la parole.
“Tu es vraiment rien bonne à faire ! Regarder toute cette bonne nourriture que tu as gâché !”
Elle baissa alors ma culotte et commença à me fesser de sa main droite. Je me retrouvais cul nu face à tous ses hommes, porté comme un fillette par une amazone qui ne connaissait pas sa force ! Heureusement que l’humiliation ne tue pas, je serais mort sur le coup. Ses lourdes mains n’en finissaient pas de s’abattre sur mes petites miches encore rouges du traitement de la patronne. Toujours sous son bras, elle m’emmena à la cuisine. Quand la patronne me vit rentrer porté sous le bras de cette brute, la culotte baissée, et les fesses rougies et marquée, elle hurla de colère.
“Mais qu’est ce qu’elle a encore fait !”
“Elle a échappé un plateau, alors je l’ai punie par une fessée cul nul. Nos invités ont apprécié le spectacle”
“Tu as bien fait. Laisse la moi”


La brute me posa par terre où je restais tétanisé. La patronne se baissa pour saisir ma nuque dans son immense main droite et me releva ainsi. Elle me força à marcher jusqu’à l’évier même si ma culotte encore baissée me gênait. Seule sa puissante étreinte m'empêcha de tomber. Elle me lâcha et m’ordonna de faire la vaisselle. Me saisissant sous les aisselles, elle me souleva pour me poser sur un marche pied sans lequel je n’étais pas assez grand pour atteindre la cuvette.
Elle donna une dernière claque sur mes fesses encore nues puis s’éloigna. Je m'accroupis pour saisir ma culotte et la remettre en place. Je baissai ma robe pour essayer de garder un minimum de dignité, chose difficile quand on est un homme travesti en soubrette par une femme, et qui a passé la matinée à recevoir des fessées. J’enfilai la paire de gant qui se trouvait devant moi. Ils étaient bien entendus beaucoup trop grand pour moi. Mes doigts flottaient et je dûs les retirer. Je commençai à laver la vaisselle en tentant de retenir mes larmes qui ne cessaient de couler.

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