4. Changements Professionnels ...

En rentrant à la maison, je pris une douche, mis une tenue plus légère (soutien-gorge et paréo) et préparai rapidement le dîner. En attendant Arthur, j’allumai mon ordinateur pour prendre connaissance des candidatures dont Georges m’avait parlé le matin même : il y avait deux candidates et un candidat. Trois CV avec photos et coordonnées. Je lisais attentivement leur lettre de motivation ainsi que leur CV lorsqu’Arthur arriva. Il était presque vingt heures.
- Bonjour mon amour. Ta journée s’est bien passée ? Alors cette réunion ? me dit-il
- Bonjour mon amour. Ça a été. Et toi ? lui répondis-je en lui roulant une pelle.
- Bien, mais j’ai été excité toute la journée à cause d’un petite salope qui se faisait filmer en train de sucer une grosse queue !
- Ah oui ! Quelle salope ce doit être ? Je la connais ? dis-je d’un air innocent ?
- Je crois oui. Et en plus elle avale tout la garce en fixant la caméra !
- Non ! Quelle pute ! répondis en prenant un air outré.
- Tu veux voir la vidéo, je l’ai sur mon smartphone.
Sans attendre ma réponse, Arthur me montra la vidéo de cette trainée qui n’était autre que moi. Cela me fit un drôle d’effet de me voir en action : je me trouvais terriblement salope ! Tout en continuant à regarder la vidéo que Georges lui avait envoyée, je palpai l’entrejambes d’Arthur et défis sa ceinture. Quasi machinalement je m’agenouillai sans quitter le petit écran des yeux. Je me voyais recevoir le foutre de Georges et rattr le surplus de mes doigts avant de jouer avec sa semence et l’avaler d’une traite. Je mouillai sérieusement.
- Wouah mon chéri ! Quelle salope elle a tout avalé !
- Oui. Tu as vu sa petite gueule de pute quand elle reçoit sa récompense ?
- Oh oui ! Quelle salope ! Tu voudrais que je sois comme elle ? Tu veux que je te suce à fond ?
- Et toi ? Tu veux comme elle une grosse queue dans ta bouche ?
- Oh ouiiiii fis-je d’un air suppliant.


Je le suçais goulûment, jouant de ma langue et de mon petit piercing sur sa hampe et son gland. Je l’embouchais de plus en plus profondément, serrant mes lèvres de plus en plus fort et tournoyant ma langue de plus en plus vite.
- Oh putain, je vais jouir ! Tu la veux ta récompense petite chienne ? grogna Arthur
Et il déversa si violemment sa semence que je dus ressortir sa bite de ma bouche et la reprendre en main afin qu’il finisse sur mon visage. Il m’éclaboussa de 5 ou 6 jets puissants qui finirent sur mon nez et mon front.
- Merci mon amour c’était merveilleux soupira-t-il
- Wouwwwww ! Et ben ! Tu étais excité mon amour. Qu’est-ce que tu m’as mis encore ! J’adooooore !
Je filai rapidement me nettoyer et à mon retour je vis Arthur assis devant mon ordinateur.
- C’est qui ? me demanda-t-il
- Ce sont des CV de candidats pour un master en alternance. Georges veut que je choisisse lequel intégrera notre entreprise car il veut que je sois son tuteur.
Et j’expliquais à Arthur mon entretien avec Georges ainsi que le déroulement de la réunion.
- Et bien, je trouve cela super ! me dit-il à la fin de mon récit.
- Tu as vu les CV ? Quel candidat te semble le mieux ? lui demandai-je.
- Je n’ai aucun avis. Tout ce que je peux te dire, c’est que celle qui s’appelle Marina, c’est un vrai canon ! me répondit-il !
- Vraiment ! Tu ne penses qu’à ça ma parole !
- Mais non ! Mais je ne les connais pas. Je ne peux donc donner qu’un premier avis ! Elle a l’avantage de son physique déjà cette fille ! Après, tu verras selon les entretiens.
- Et pour le salon à Paris, ça va durer 3 jours ! Je vais devoir m’absenter cinq jours au total !
- Et tu vas choisir qui pour le salon alors ?
- J’en ai discuté cet après-midi avec Jacques. Nous avons choisi trois commerciaux : Christophe, Julie et Amélie. Pour la partie technique et mise en place, nous avons choisi Fabrice, Greg, Karim et Jérôme.
- Ah ! Et bien mon amour, cinq jours avec ces quatre-là, tu ne vas pas t’ennuyer !
- Mais tu arrêtes un peu ! Et puis vous m’avez dit avec Georges qu’ils ignoraient que c’était moi chez Patrick !
- Bah justement, ce sera une occasion de tomber les masques ! J’aimerai que tu tentes si l’occasion se présente ! Et puis, je suis sûr que tu en as autant envie que moi !
- Oui peut-être mais là je dois d’abord m’occuper de mon travail, j’en ai par-dessus la tête ! conclus-je.

Nous dînâmes et allâmes nous coucher de bonne heure car Arthur, comme moi, avait une grosse semaine de travail. Il me sollicita dans le lit et je ne me fis pas prier longtemps, car l’idée qu’il avait mise dans ma tête sur l’opportunité d’une aventure avec mes quatre techniciens m’avait émoustillée. Après qu’Arthur m’a faite jouir deux fois (sous sa langue et en levrette), je le pris en bouche tout en me caressant, car j’avais encore envie de sa semence de mâle. Lorsqu’il jouit et m’envoya toute son sperme dans la bouche, j’eu un orgasme terrible en m’imaginant que c’était Karim qui m’envoyait toute sa jouissance.
¤ ¤ ¤
La semaine passa à grande vitesse entre les réunions de préparation du salon de Paris avec Jacques, les trois commerciaux désignés et les techniciens, les discussions sur notre future répartition des tâches avec Valérie et les entretiens avec les trois candidats à l’alternance. De plus, Georges était en déplacement toute la semaine.
Lorsque Georges rentra le vendredi, il demanda à me voir. Nous avions pas mal de choses à voir, mais il fallait avant tout que je m’occupe un peu de mon patron adoré et j’étais aussi, je l’avoue, en manque de sa queue !
- Bonjour Valérie. Georges m’attend.
- Oui, entre il m’a demandé de vous apporter un café.
- Oh c’est gentil, mais je vais aller le chercher ! répondis-je en souriant !
- Non ! non ! ça fait partie de mon travail. Entre, il t’attend. J’arrive dans deux minutes.
J’entrai sans frapper dans le bureau de Georges qui conversait au téléphone. Il me fit signe de m’assoir. Sans perdre de temps, j’allai m’agenouiller sous son bureau, et pendant qu’il continuait à converser, je défis promptement sa braguette et commençai une fellation digne d’une affamée du sexe.
- Mon dieu ! Que votre belle queue m’a manqué cher patron, soupirai-je.
A ce moment-là, Valérie frappa et entra sans attendre de réponse. Elle posa les tasses sur la table de réunion.
- Bah ! Laeti n’est pas dans votre bureau monsieur ? s’étonna-t-elle.

- Euh ! Je te rappelle Patrick. J’ai une urgence dit Georges qui avait peine à parler naturellement. Euh … Excusez-moi Valérie, vous disiez ?
- Pardon monsieur. Mais je pensais trouver Laeti. Elle est repartie ? Son café va refroidir !
- Euh … elle a oublié un dossier … elle doit revenir.
- Très bien monsieur. Je vous ai posé les cafés sur la table.
- Euh … Mmm … Mmmerci Valérie.
- Vous allez bien monsieur ? Vous semblez fiévreux ?
- Oouiiii !i fit-il en me déchargeant une quantité incroyable de sperme dans la bouche.
Je ne pus tout avaler et une grande partie se déversa bien malgré moi sur son tapis.
- Voulez-vous que j’appelle un médecin monsieur ? Vous me semblez vraiment souffrant insista Valérie.
- Non, non ça ira. Laissez-moi je vous prie.
- Bien monsieur.
Enfin la porte de son bureau se referma.
- Merci ma Laeti. C’était divin ! Mais soit plus prudente petite salope. Nous aurions été bien si Valérie nous avait surpris !
- Mmmmm … qu’est-ce que tu m’as encore mis salaud ! T’as pas baisé durant ton absence ou quoi !
- Et bien figure-toi que je j’étais en déplacement PROFESSIONNEL ! me répondit Georges.
- Bon et maintenant comment je fais pour rentrer de nouveau dans ton bureau sans que Valérie ne me voit ressortir ?
- Euh … Oui tu as raison. Attends. Il appela Valérie au téléphone et mit le haut-parleur.
- Oui monsieur répondit Valérie.
- Valérie. J’ai besoin du dossier Laplace. Vous voulez bien me le récupérer sur le bureau de Jacques ? C’est lui qui doit l’avoir.
- Jacques est absent ce matin. J’irai le voir cet après-midi monsieur.
- Non Valérie. C’est assez urgent. Allez le récupérer s’il vous plaît.
- Monsieur, je n’ai pas la clef de son bureau. Mais je vais voir avec Laeti. Je vous l’apporte de suite.
- Euh … d’accord. Merci. Et s’adressant à moi : Bon le temps qu’elle aille à ton bureau, tu seras revenue et si elle s’étonne de te revoir ici sans t’avoir croisée, tu lui diras que tu es passé par les toilettes.

Fort heureusement pour nous, tout se passe comme espéré avec Valérie. Ensuite, nous fîmes le point sur les affaires en cours.
- Bon très bien. Je vois que les choses sont calées pour le salon de Paris. Une dernière chose Laeti, tu as reçu les candidats pour le contrat de professionnalisation ?
- Oui Georges, je les ai reçus tous les trois mercredi.
- Et alors, ton choix est arrêté ?
- Oui. Je pense que Marina fera l’affaire. Elle est très posée, elle présente très bien et elle m’a semblée la plus motivée des trois.
- Bon très bien. Tu transmets à Valérie, qu’elle fasse le nécessaire avec l’école ?
- Oui.
- Merci Laeti. Ce sera tout.
J’allai prendre congé de Georges lorsqu’il ajouta :
- Ah excuse-moi Laeti, mais encore une chose. Dans deux semaines, j’organise une petite fête pour mon anniversaire. J’en ai parlé à Arthur. Il m’a dit que vous n’aviez normalement rien de prévu. Donc ça me ferait très plaisir que vous soyez présents.
- Oh super ! Ok Georges. On viendra avec grand plaisir.
- Et pour mon cadeau - reprit Georges – tu verras avec lui.
- Ah bon ! Très bien. A plus tard Georges, dis-je d’un air surpris.
En sortant du bureau de Georges je passai devant Valérie qui me fixa d’un regard étrange. Lorsque je regagnai mon bureau, Valérie me rejoignit.
- Laeti, pourrais-tu m’ouvrir le bureau de Jacques ? Georges m’a demandé de lui apporter le dossier Laplace me dit-elle.
- Oui bien sûr répondis-je.
- Tu étais où tout à l’heure ? Je t’ai cherché partout. Je pensais te trouver dans le bureau de Georges.
- Euh … j’avais oublié sur mon bureau un dossier que nous devions voir ensemble.
- C’est étrange … je ne t’ai pas croisée.
- Euh … j’ai fait une pause par les toilettes si tu veux tout savoir petite curieuse ! dis-je en prenant un air faussement taquin.
- Je sais que cela ne me regarde pas Laeti. Mais tu n’es pas obligée de me mentir. Nous avons toujours eu une relation franche et sincère, enfin … du moins je l’espère. J’ai entendu des bruits suspects venant de sous le bureau de Georges lorsque j’ai apporté les cafés. Tu n’as pas d’explication à me donner et je n’ai aucun jugement à apporter. Je te demande simplement d’être honnête avec moi comme je crois que tu l’as toujours été d’ailleurs. Si mes questions te mettent mal à l’aise, tu n’as qu’à me remettre en place. Mais s’il te plaît, ne me racontes pas d’histoires.
- Euh … Tu veux bien ferme la porte et t’assoir s’il te plaît ? répondis-je troublée. Tu as raison Valérie. Notre relation a toujours été franche. Sache que je ne me sens nullement obligée de te dire ce qui va suivre, mais j’ai grande confiance en toi. Après, à toi de voir ce que tu en feras, mais je te sais intelligente et suffisamment intègre pour garder cela pour toi. La seule chose qui me gêne, c’est ce que tu vas penser de moi.
Valérie me regardait attentivement, sans prononcer mot, mais avec une certaine lueur de bienveillance dans son attitude.
- Tu as raison, j’étais dans le bureau de Georges ce matin lorsque tu as apporté les cafés, enfin plutôt sous son bureau comme tu as pu le deviner. Cela fait plusieurs semaines que nous entretenons une relation avec Georges.
- Et Arthur ? m’interrompit Valérie.
- Attends Valérie s’il te plaît, ne m’interrompt pas car c’est déjà assez difficile de te parler de cela. Arthur est au courant et c’est même lui qui m’y a encouragé au départ. Pas avec Georges, mais avec d’autres hommes. J’aime les hommes et je dois reconnaître que je suis certainement ce qu’on appelle une nymphomane ou bien une salope si tu préfères.
- Je ne te juge pas Laeti, dit Valérie d’une voix douce.
- Merci. Donc j’ai de gros besoins sexuels qu’Arthur a révélés. Il est ce qu’on appelle un candauliste. Il aime me voir dans les bras d’autres hommes. Il aime me regarder. Et moi aussi, je l’avoue, j’ai appris à aimer le voir avec d’autres femmes. Pour ce qui est de Georges, c’est venu par hasard, enfin je veux dire que je n’y suis pas pour grand-chose. C’est Arthur et Georges qui se sont entendus. J’aime profondément mon Arthur et j’aime aussi Georges car j’éprouve de l’admiration pour lui. Il est devenu très intime avec Arthur et moi. Ce qu’il se passe entre nous au travail n’a aucune influence sur les derniers changements puisqu’ils avaient été décidés bien avant que notre relation débute. En conclusion, nous avons tous les trois une conception libre du sexe et nous en sommes épanouis. D’aucuns jugeraient cela immoral, mais nous ne faisons de mal à personne et nous sommes des adultes libres et consentants. Personne d’autre n’est au courant. Maintenant tu sais tout Valérie. J’espère ne pas trop te décevoir et si c’est le cas, tant pis, je m’assume comme je suis.
Il y eut un long moment de silence auquel Valérie mit enfin un terme.
- D’abord ma Laeti, je tiens à te remercier sincèrement de ta confiance et de ta franchise. J’imagine aisément que ce ne sont pas des choses faciles à dire. En tout cas tu peux avoir totalement confiance en moi. Tu as toujours été très attentionnée et très gentille avec moi lorsque je suis arrivée dans cette entreprise. Et à cette époque, ma vie était très compliquée tu sais. Et j’ai pu me retrouver grâce au travail et surtout grâce à toi et à Georges, qui avaient tout fait pour que je m’intègre bien ici. Ne serait-ce que pour cela, toi et Georges je vous respecterai toujours.
- Oh Valérie ! Je suis très touchée de ce que tu me dis. Mais dis-moi franchement, je ne te déçois pas trop ?
- Ecoute ma Laeti, franchement non ! Au contraire, je suis fière de toi : tu t’assumes telle que tu es et tu as su trouver les personnes avec qui tu pouvais vivre ta vraie nature. Je trouve que tu as beaucoup de chance. J’aimerais moi aussi pouvoir me libérer du carcan de mon éducation et de l’image de bourgeoise coincée que je renvoie aux yeux de tous.
- Je ne t’ai jamais perçue comme une bourgeoise coincée Valérie ! dis-je avec soulagement.
- Je sais cela Laeti. Mais par exemple, je pense que Georges me perçoit ainsi.
- Oh que non Valérie ! Je peux t’assurer que tu as tort ! Georges te trouve très désirable lui dis-je.
- Ne te moque pas de moi s’il te plaît ma Laeti.
- Je te jure Valérie. Nous avons parlé de toi et si seulement il avait le courage de te le dire. Seulement, il fait très attention dans ses relations professionnelles. Et puis tant qu’il est encore marié, il reste très prudent dans son comportement envers les femmes qu’il côtoie dis-je.
- Comment cela tant qu’il est encore marié ? Tu veux dire qu’il est en instance de divorce ? me questionna Valérie.
- Oui Valérie. Mais je ne t’ai rien dit d’accord ?
- Tu sais que ma principale qualité c’est la discrétion !
- Je pense que toi et Georges, vous iriez très bien ensemble. Si tu n’es pas jalouse bien entendu dis-je avec un sourire d’ange.
- Jalouse de toi ma Laeti ? Jamais. Au contraire, tant que nous sommes aux confidences, j’ai toujours rêvé de faire un jour l’amour avec une femme aussi sensuelle et désirable que toi ! Je ne suis pas lesbienne, je le sais. Mais c’est un de mes trop nombreux fantasmes ! J’espère ne pas te choquer en te disant tout cela.
En guise de réponse, je me levai, m’approchai de Valérie, assise face à mon bureau et me penchant en avant, j’approchai mes lèvres des siennes. Mon cœur battait la chamade. Je devais être rouge comme une tomate. Je touchai enfin ses lèvres. Elles s’ouvrirent doucement laissant ma langue entrer de plus en plus loin, cherchant le contact de la sienne. Jamais je n’avais éprouvé autant de sensation en embrassant une femme. Sa bouche était d’une douceur inouïe, sa langue d’une onctuosité merveilleuse. Elle se détendit, ouvrit davantage ses lèvres pour m’accueillir plus loin encore et laisser mon audace virevolter dans une danse folle et humide. Quel baiser divin ! Je m’assis sur ses jambes à califourchon, elle me caressait les fesses pendant que je fouillai dans son chemisier, sans nous quitter des lèvres. L’excitation montait, montait … Quand soudain la porte s’ouvrit brusquement accompagnée de la voix de Georges :
- Excuse-moi Laeti mais tu n’aurais pas vu Valérie, je lui avais d…. Georges resta figé en nous voyant dans une position sans équivoque.
- Hum ! Hum ! Euh excusez-moi. J’aurais dû frapper. Euh … Bon Valérie apportez moi ce dossier Laplace.
Georges quitta le bureau aussi promptement qu’il était arrivé, en refermant la porte derrière lui.
¤ ¤ ¤

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