Yasmina - Première.

J’ai revu récemment Yasmina à la télévision, au journal de vingt heures. Elle était devenue Ministre de la Santé publique de son pays, le Kansaî, une république d'Afrique équatoriale où j'avais servi quarante ans plutôt dans le cadre de la FAO, l'Organisation des Nations Unies pour l'Agriculture. Malgré les années passées, elle restait très belle...et demeurait encore ma première aventure noire.
J'étais alors un " encore jeune " ingénieur de recherche basé à K...,à une quinzaine de kilomètres de F...la préfecture où était implanté l’hôpital régional dirigé par le Dr. Claude F...chirurgien de Marine à quatre galons. Yasmina, dès son retour de France où elle avait effectué ses études d'infirmière de bloc opératoire, y avait été affectée en qualité d'assistante du chirurgien-directeur..J'eus l'occasion de la rencontrer à plusieurs reprises à l'occasion de diverses réceptions plus ou moins officielles, sans que nos relations sortent de ce cadre.
C'était une très jolie fille d'environ vingt trois ans, petite nièce du Sultan autorité historique locale. De peau très claire, seule sa chevelure longue, brune et soigneusement décrêpée révélait son africanité. Pas de nez épaté ou de lèvres lippues. Des traits plutôt nilotiques.. Ses yeux d'un bleu-gris aussi extraordinaire que leur vivacité, ajoutait au coté atypique de son visage à l'ovale parfait. Son corps complétait la superbe image. A vue de nez, elle faisait dans les un mètre soixante- dix. Ses vêtements traditionnels, mieux adaptées aux conditions locales, ne permettait pas d'apprécier les détails mais ne mettait pas en doute la sveltesse de la personne. Les rares fois où elle s'habillait à l'européenne, la beauté de son corps et en particulier de sa poitrine magnifiquement galbée, éclatait aux yeux de tous.
C'est en sortant du bureau de son patron auquel je venais de rendre une visite de courtoisie, que je la rencontrais dans les couloirs de l'hôpital. Après les salutations d'usage, elle s'enquit de mon épouse rentrée en métropole quelque jours plutôt pour les vacances d'été.

 
-"Je pense que, tout seul, vous ne viendrez pas à la réception des F... samedi...Ils partent en métropole eux aussi !... " Je la coupais
-" Si, j'y serai !...Je viens juste de l'annoncer à Claude... J'avais réservé ma réponse jusqu'à maintenant mais si vous en êtes, comme je l'espère, voulez-vous être ma … cavalière comme on dit chez nous ?... "
Elle éclata de rire et reprit
-"  C'est très protocolaire votre demande...Toutefois, j'accepte avec plaisir...Je mettrai mon plus beau babban riga, vous verrez !  Donc à bientôt , chez Claude et Éliane à vingt et une heures !"
Toujours souriante, elle me quitta en me serrant la main qu'elle garda un moment dans la sienne.
Le samedi en question arriva très vite. Je quittais mon bureau juste à temps pour prendre une douche rapide, enfiler une chemise marron de chez Pierre Cardin, un pantalon de lin écru et une paire de mocassin. Je sautais dans ma 404 de fonction et fonçais chez mes amis ...où j'arrivais quelques minutes avant neuf heures ! Ouf !...Je saluais Éliane et Claude avec lesquelles j'échangeais quelques mots quand Yasmina arriva, drapée dans un superbe boubou vert pale au décolleté arrondi, qui faisait ressortir l'éclat de sa beauté. J'attendis la fin de ses embrassades avec Éliane puis Claude pour prendre sa main et l’entraîné dans la salle où se tenaient les autres invités, agglutinés autour du bar. Elle prit un gin-coca... "Pourquoi coca ?  Vous n'aimez pas le tonic, c'est l'accompagnement habituel du gin !... " demandai-je bêtement... "Parce que le coca est un masque et que je suis une mécréante musulmane !...Si je n'avais pas bu d'alcool en France, vos compatriotes carabins m'auraient rendu folle !...Pour sur ! ...Ici, le coca cache le pêché de l’alcool... au moins aux yeux des croyants ! "...Elle était marrante et pleine d'humour...Nous bûmes notre verre et entrâmes dans la fête !...Bientôt, j'accaparais Yasmina délaissant autant que la bonne éducation (et ma réputation) le permettait, mes habituelles cavalières européennes pour les bras de cette merveilleuse africaine.
Dans la lumière très tamisée, ma joue se colla à la sienne sans autre réaction que celui de son corps maintenant " collé-serré " contre le mien. Mes lèvres entrèrent en contact avec les siennes pour un bref baiser qu'elle me rendit très vite... A l'issue d'un mambo brûlant durant lequel, volontairement excité par les frénétiques mouvements du bassin de ma cavalière qui frottait mon bas-ventre , je bandais comme un cerf, je lui proposais de nous éclipser en douceur !..." Viens chez moi, me dit-elle, on sera tranquille. Je suis seule à la petite maison des hôtes de la Résidence. "  J'acquiesçais . OK, on s'esquive à l'anglaise !" ...Aussitôt dit, aussitôt fait. Je pris donc congé le premier de mes hôtes, de Yasmina et de quelques uns de mes amis, prétextant une fatigue insupportable. Une dizaine de minutes plus tard, je garais ma voiture dans un coin retiré et obscur de l'enceinte du palais du Sultan, à proximité d'une jolie villa entourée d'un jardin... Je finissais de déboutonner ma chemise quand je vis le pinceau des phares de son land-rover arrivé... J'étais arrivé à la porte de son logis quand elle arrêta sa voiture, descendit en disant " Entre, c'est ouvert … Le gardien dort comme d'habitude ! "...A peine le seuil de la porte franchi et ma chemise ôtée, je la prie dans mes bras ; Mes lèvres retrouvèrent très vite le chemin de sa bouche dans laquelle pénétra ma langue à la recherche de la sienne...Nous étions chauds bouillants !..Ses mains caressait mon dos, descendant jusqu'à la ceinture de mon pantalon....Elle s'écarta légèrement de mon corps pour me débraguetter ce qui fût fait en un instant...Elle s'écarta un peu de moi, alluma une lampe discrète et me regarda quelque peu goguenarde : j'étais en slip, mon pantalon bloqué sur les chevilles ! Le spectacle devait être des plus comique....En un clin d' œil, je me débarrassais de mes mocassins puis de mon pantalon et entrepris avec sa complicité bien sur, de la débarrasser de son superbe boubou haoussa. Quelques instants plus tard il passait par dessus sa tête et rejoignait mon pantalon sur le sol.
..Elle était maintenant quasiment aussi nue que moi, en soutien gorge et petite culotte de dentelle. Je rétablissais l'égalité en dégrafant son sou tif puis pris l'avantage en faisant glisser son slip le long de ses cuisses. Elle se laissait faire sans résistance, ramenant toutefois un bref instant ses mains sur sa poitrine. Je découvris avec ravissements deux joli seins hauts plantés et bien galbés, sans doute du 90 B. De larges aréoles plus sombres que sa peau, entouraient ses mamelons pointant vers le haut. Mon regard descendait le long de son corps, sur son nombril qui n'avait rien d'africain. ..J’écartais ses mains qui dissimulaient son mont de Vénus recouvert d'une soyeuse toison brune, taillée en forme de " palmier jupon " s'enracinant au sommet de ses grandes lèvres, juste au dessus de son clitoris...Tout a fait inattendu !... Je ne pus poursuivre mon exploration, Yasmina m’entraînant vers ce qui devait être sa chambre...et un lit de bonne largeur sur lequel elle me coucha sur le dos...Elle embrassait, léchait, suçait et mordillait l'un après l'autre mes mamelons gonflés de désir et déjà, elle avait glissé vers ma verge qu'elle prenait en bouche tandis que sa main droite malaxait mes testicules...Sa langue courait sur mon gland décapuchonné...Elle enchaîna avec des mouvements de va-et-vient de ses lèvres sur ma hampe...J'étais complètement immobile, subissant avec plaisir le traitement qu'elle m'imposait... Je sentais la fièvre sourdre de mon intimidé et migrer dans mon vit...Elle arrêta ses caresses brusquement ...se leva et se dirigea nue comme une naïade antique, vers une pièce adjacente, la salle d'eau sans doute, d'où elle revint porteuse d'une petite valise en toile siglée UTA ….Elle l'ouvrit, en sortit un étui de préservatif et un tube qui se révéla contenir un gel lubrifiant !... Mon étonnement était maximum, comme mon excitation !...En un clin d’œil, ma verge fut emballée dans la capote qu'elle enduisit de produit...Elle regarda un instant son œuvre dressée comme l'obélisque de la place de la Concorde.
...puis résolument m'enfourcha...Écartant ses grandes lèvres de ses mains, elle présenta sa vulve à mon gland puis, l'ayant bien ajustée, engloutit d'un seul mouvement la totalité de ma verge dans soin vagin. Mes mains reprenaient du service au niveau de ses hanches...les appuyant dans leurs mouvements d'empalement ...Elle s'immobilisa, ma pine enfoncée jusqu'au fond de son intimité.... Elle se tenait raide comme la justice autour de mon, axe … Les muscles de son vagin s'activaient : se contractant puis se relâchant, ils branlaient ma bite encore mieux que ses doigts ou que ses lèvres !...Je sentais une énorme vague du plaisir monter en moi, prête à déferler ...Elle se cambra en arrière en poussant un long cri quand mon sperme, retenu par le préservatif, jaillit dans son vagin...Sans relâcher ma queue ancrée derrière ses petites lèvres, elle se s'effondra sur mon buste...
Nous sommes rester plusieurs minute ainsi, recherchant notre respiration. Je la tenais son corps serrer contre le mien, tandis que ma verge, toujours couverte, dégonflait progressivement et libérait la place. De la cyprine s'écoulait sur mon sexe...Elle sur ses coudes, me dominant...Ses grands yeux gris-bleu m'examinaient ...Elle me sourit et se laissa glisser sur le coté . Nous étions allongés cote à cote, sur le dos.
- Tu n' utilises pas la pilule ou un autre système contraceptif ?...La capote, c'est un tue l'amour
Je t'ai enfilé ce préservatif pour que tu me baises sans aucun souci !...Coté chaude-pisse ou autres, je suis clean !...J'ai fait un check-up complet il y a trois mois.... Je te le jure !...Pour le reste, j'ai un stérilet...C'est même Claude qui me l'a posé ! … Maintenant, baise moi, je t'en prie !...Tu peux y aller, je ne suis plus vierge depuis kala kala … et j'en ai tellement envie .
Durant ce dialogue, je m'étais tourné sur le coté, ma main posée sur son ventre caressait son nombril et commençait à glisser vers son sexe. Quand mes doigts atteignirent le sommet de ses grande lèvres, je me redressait sur mon coude gauche. Elle ouvrit ses cuisses m'offrant une vue superbe sur son minou. ….
Mais, comme disait Keepling " ceci est une autre histoire. " Si la suite vous intéresse, je vous donne rendez-vous...à ma prochaine publication...A bientôt !

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