Club Libertin (Chapitre 1) Les Talons Rouges (16)

CLUB LIBERTIN (chapitre 1) Les Talons Rouges (16)

Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sœur d'Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Agathe, Gaëlle et Jacques dépravent Gilles, le notaire de la famille et Virginie son épouse plantureuse.


Quelque temps après, Jacques se rend dans la région toulousaine pour visiter un producteur de ses amis. À son retour, il propose à ses deux maîtresses de goûter à de nouveaux plaisirs. Prenant le prétexte d'une visite à la vieille tante des deux sœurs qui demeure à Perpignan, alors que le comte n'éprouve aucune envie de la rencontrer, Gaëlle et à Agathe en tirent profit pour s'échapper du château pour trois jours. Elles retrouvent Jacques à Toulouse, alors que celui-ci, après avoir pris deux chambres dans un hôtel cossu de la place du Capitole, les emmène dîner au bord de la Garonne, sur la promenade Henri Martin.

Puis, vers 23 heures, il les entraîne dans un club très privé, situé à deux pas du restaurant derrière l'École des Beaux-arts. Après avoir sollicité le judas grillagé de la vieille maison du XVIIIe siècle, il consent enfin à s'ouvrir, Jacques est immédiatement reconnu par le portier, qui leur remet des loups de velours de soie noire avant qu'ils ne pénètrent dans l'établissement. Ils descendent deux volées de marches en pierres qui les mènent dans une première cave où les deux sœurs découvrent un bar et des banquettes avec des petites tables comme on en trouve dans toutes les discothèques. Une dizaine de couples de tout âges dansent sur une musique un peu rétro. Jacques qui connaît bien les lieux écarte un rideau de velours rouge au fond de la grande pièce et conduit ses compagnes vers un second escalier qui descend encore plus bas.

Une succession de caves voûtées sont aménagées avec des recoins formant alcôve, dans lesquels de profonds canapés sont disposés garnis de nombreux coussins recouverts de soieries indiennes. Il y a beaucoup plus de monde dans ce second sous-sol, une vingtaine de danseurs virevoltent sur la piste de danse, alors que deux niches sont occupées par une douzaine de personnes. Gaëlle et Agathe regardent avec intérêt les couples qui dansent langoureusement, scrutant les mains baladeuses qui se perdent dans les braguettes masculines et sous les robes féminines.

Alors qu'ils ont pris place sur le canapé d'une alcôve et qu'une jeune servante aux seins nus et à la jupette extrêmement courte ait pris leur commande, les deux sœurs braquent leurs yeux sur les niches occupées. Dans la première, plusieurs couples sont à moitié déshabillés et se livrent à des jeux plutôt libidineux, les deux ou trois femmes qui s'y trouvent poussant des gloussements et des petits cris aux attouchements obscènes des mâles qui les lutinent. Dans l'autre renfoncement, une forte femme de quarante-cinq ans environ est à moitié allongée, alors que sa robe est outrageusement retroussée. D'après ce qu'elles peuvent en juger, elle doit se faire vraisemblablement sucer par un homme qui a sa tête plongée entre ses cuisses corpulentes, alors que deux autres ont leurs visages dans le haut de sa robe dépoitraillée, laissant entrevoir deux grosses mamelles, léchouillées par les hommes en question. Un quatrième, ayant sorti sa verge de son pantalon se fait faire une fellation par la femme un peu rougeaude qui entoure de ses grosses lèvres un sexe d'une forte dimension.

Jacques, tranquillement, leur explique qu'ils sont dans une boîte d'échangistes. Que personne n'oblige personne, mais que chacun est libre de se mélanger avec l'accord de l'autre. Si ses deux compagnes veulent danser et qu'un cavalier ou même plusieurs leur plaît, elles sont libres de le, ou les ramener dans leur alcôve particulière.
Le port des masques obligatoires leur permet également de garder leur anonymat, même si elles sont appelées à se mettre nues et à faire l'amour.

Gaëlle se sent très excitée, alors qu'Agathe éprouve tout de même une petite appréhension. Jusqu'ici tout s'est passé dans son milieu et dans l'intimité du château comtal ou ses environs, sans jamais dépasser les limites de la propriété familiale, il est vrai immense. Avec Jacques qu'elle connaît depuis son plus jeune âge et avec sa sœur aînée aucun problème. Pour Gilles, le notaire et son épouse Virginie, ce sont des notables qui se livraient pour la première fois aux amours pluriels et qui, grâce ou plutôt à cause de leur situation, sont dans l'obligation de se montrer très discrets. Mais ici, dans ce club toulousain, ce sont des étrangers, qui risquent de ne pas se montrer courtois et bien élevés ; enfin plus grave, Jacques leur a recommandé à toutes deux de se munir de préservatifs pour ce genre de rencontre ; d'ailleurs, il les a approvisionnés ce soir avant de partir dîner. Mais saura-t-elle s'en servir comme il le lui a montré. Elle connaît très bien les risques et sait qu'elle doit refuser toute pénétration sans condom. Pourtant, elle ne refuse pas l'invitation d'un garçon blond de vingt-cinq ans environ, qui, accompagné d'une toute jeune femme rousse aux yeux d'un vert métallique lui demande si elle accepte de venir danser avec lui. La jolie rousse en profite pour inviter Jacques qui se garde bien de refuser.

Gaëlle, curieuse, s'est approchée de l'alcôve où la forte femme brune se fait maintenant baiser par l'homme qui lui faisait un cunnilinctus. Elle contemple cette phénoménale Junon qui doit bien peser ses cent vingt kg. Elle a des cuisses énormes et des fesses adipeuses, alors que son sexe rouge sang, éclate au milieu de l'abondante toison noir de jais qui entoure sa vulve et son pubis. La verge brune et congestionnée qui entre et sort du vagin béant, comme une blessure dans ce corps trop blanc est un spectacle dantesque.
D'ailleurs, les gigantesques seins d'albâtre, marbrés de bleu, qui s'affaissent sur son buste, et dont les mamelons proéminents sont gonflés par les bouches qui les tètent, semblent irréels. L'énorme Junon pousse de petits cris tout en remuant son ventre pour aller à la rencontre de la verge colossale qui la coïte. Il est vrai que l'homme qui la bourre ainsi sans ménagement est un véritable colosse, qui s'étant mis nu, arbore un sexe hors du commun. Cet homme mesure presque deux mètres, il est roux avec des cheveux longs, une barbe fournie et une toison pubienne frisées et d'un roux flamboyant. Sa peau est foncée et mate ce qui est rare chez les personnes rousses. L'autre homme, qui se tenait au-dessus de sa tête, ne se fait plus sucer à présent, mais, tenant la brune par ses cheveux longs défaits, il coïte entre les lèvres serrées, s'en servant comme d'une vulve. La tige de chair rigide s'enfonce jusqu'au gosier dans la bouche encombrée avant de se retirer à demi pour s'enfoncer à nouveau.

Tout à-coup, Gaëlle sent un corps qui vient s'appuyer tout contre son dos alors que les mains d'un homme viennent entourer ses épaules. Elle n'ose se retourner, attendant que l'intrus lui adresse la parole, ce qu'il ne tarde pas à faire.

- Excitant non ? Marguerite, ce n'est pas son vrai prénom, mais ici, c'est celui que nous lui donnons. Marguerite vient dans ce club avec son mari, c'est le petit homme à gauche qui suçote un de ses tétons. Elle vient chercher le sexe qui pourra la satisfaire, vous avez vu sa taille et ses formes ainsi que sa vulve aussi distendue qu'une coquille Saint-Jacques. Il est certain qu'il est difficile de pouvoir la contenter, le grand diable qui la rassasie ainsi s'appelle Boris, c'est un officier de marine russe en rupture de ban. Je crois qu'aujourd'hui, elle a trouvé chaussure à son pied ou plutôt un braquemart pour son énorme grotte. Personnellement, je n'ai jamais contemplé un sexe de cette grosseur et aussi long. J'espère que je ne vous choque pas ?

Elle se retourne vers l'homme qui l'a apostrophé et découvre que c'est un très bel homme aux cheveux argentés, il doit avoir une cinquantaine d'années, très bien conservé, il a des manières et le comportement d'un homme bien élevé.


- Non, Cher Monsieur, vous ne me choquez aucunement. J'admirais seulement cette Junon qui n'a aucun complexe à se faire prendre à moitié nue, alors que beaucoup de femmes beaucoup plus minces cachent inutilement leurs bourrelets, et n'oseraient jamais se comporter ainsi.

- De ce côté, vous n'avez rien à craindre ma Chère, vous avez un corps d'une gracilité étonnante. C'est la première fois que vous venez ici ?

- C'est même la première fois que je viens dans ce genre d'établissement, entraînée par un ami qui voulait me faire connaître Toulouse ainsi qu'à l'amie qui m'accompagne.

- Oh ! Mais c'est assez surprenant, et je dirais même excitant à la pensée de rencontrer une novice dans ce temple de la luxure. Me permettez-vous de vous inviter à danser ?

- Bien volontiers. Je vous trouve charmant et je n'ai aucun compagnon pour la soirée.

- Vous savez qu'ici, vous risquez d'en trouver plusieurs, et même peut être trop pour votre goût. Permettez-moi d'être votre chevalier servant d'un soir, pour vous protéger des importuns. Mais comment puis je vous appeler ?

- Blanche, ce n'est naturellement pas mon vrai prénom, et vous ? -

Paul. Ce n'est pas le mien non plus bien entendu.

Le couple s'enlace et danse sur un air de slow langoureux. Gaëlle, alias Blanche, se blottit dans les bras de son cavalier qui la tient fermement serré contre lui, ses petits seins fermes s'écrasent contre la poitrine du dénommé Paul, alors qu'elle sent une protubérance entre ses cuisses qui ne laisse rien ignorer de l'effet qu'elle lui fait. Songeant qu'à son âge, elle puisse encore séduire un tel homme la satisfait pleinement ; aussi, elle ouvre ses cuisses pour que la jambe du cavalier puisse s'insinuer entre elles, permettant au sexe bandé de se coller à son pubis. L'homme cherche ses lèvres qu'elle ne lui refuse pas, alors que tout en dansant, il caresse sa poitrine au travers le tissu trop léger de sa robe en soie. Elle se laisse enivrer par la danse et par le corps de l'homme qui ne cache pas son désir de la posséder. Elle sourit en elle-même en pensant que ce trop beau quinquagénaire pense qu'il a levé une poulette plus jeune que lui. S'il savait qu'elle a le même âge et qu'elle vient à peine de découvrir les joies du sexe avec l'ami de son fils, il serait peut-être déçu. En attendant, le membre masculin est devenu si dur et tendu, qu'il en craquerait les coutures du pantalon. Elle le sent battre contre son ventre d'une manière péremptoire. Elle ose glisser sa main, caressant au travers du tissu le membre érigé, alors que les mains de l'homme étreignent ses fesses et qu'il lui souffle dans l'oreille.

- S'il vous plaît, dégrafez mon pantalon et sortez mon vit ou tout va craquer tellement j'ai envie de vous.

Gaëlle ne pense même pas à réfléchir, elle souhaite follement palper cet attribut mâle qui bat depuis trop longtemps entre ses jambes, elle défait la boucle de la ceinture et détache les boutons de la braguette un à un. Elle n'a que peu d'effort à faire, car soudain, la verge surgit comme un diable de sa boîte hors du pantalon, l'homme, apparemment,t ne porte pas de slip. Attirant vers elle le morceau de chair tendu, il lui faut prendre ses deux mains fines pour en faire le tour. Heureusement prévenue par Jacques, habilement, elle glisse sur le gland turgescent l'étui qu'elle tenait prêt dans un bonnet de son soutien-gorge. C'est alors que Paul, retroussant sa robe et écartant l'entrejambe de sa culotte, glisse ses doigts dans sa fente qu'il trouve trempée par la mouille produite par sa surexcitation. Alors ne perdant pas de temps, il prend sa verge et la glisse au bord de la vulve qui se déploie sans difficulté, puis, se soulevant légèrement, il s'enfonce, sans coup férir, jusqu'au plus profond du vagin de la belle comtesse. Celle-ci ne se pose même pas la question de savoir que des dizaines d'yeux peuvent la contempler ainsi, se faire prendre debout sur la piste de danse. Tout en dansant, Gaëlle réalise que sa robe retroussée laisse apparaître ses jolies jambes gainées de nylon noir, alors que juste un brin de peau blanche se remarque au-dessus de ses bas. Alors que le pénis s'enfonce et ressort alternativement de sa moule au gré de leur danse érotique, elle accroche ses mains autour du cou de son danseur, se laissant porter par la vague de jouissance qui déferle en elle, alors que Paul la retient de ses doigts profondément crispés dans ses fesses, copulant au gré des pas de danse, embrassant goulûment sa cavalière qui défaille entre ses bras puissants.

Agathe et son beau et jeune cavalier, ainsi que Jacques et la jolie compagne du jeune homme se sont installés dans leur recoin, contemplant avec complaisance la danse copulatoire du couple. Le beau blond qui dit se nommer Brice, caresse d'une main la poitrine proéminente d'Agathe, pendant que son autre main s'insinue graduellement, sous la robe évasée, entre les jambes de la belle quadragénaire qui disjoint complaisamment son entrecuisse aux doigts qui atteignent bientôt la lisière du bas. La main glisse sur la peau nue qui frémit sous l'attouchement, surtout que les doigts s'infiltrent par-dessous la culotte, pianotant en un instant sur la vulve et introduisant deux doigts dans la matrice qui laisse s'écouler déjà l'écume abondante des sécrétions vaginales.

Jacques, de son côté, n'est pas oublié. La très jeune fille qu'il a fait asseoir à côté de lui, voyant son compagnon s'occuper de sa voisine aussi audacieusement, se rapproche de l'homme qui vient de la faire danser et, mettant ses bras autour de son cou, elle l'embrasse franchement sur sa bouche. Pendant leur danse, elle lui avait dit se nommer Amandine, lui indiquant qu'elle venait d'avoir vingt ans et qu'elle suivait des études de sociologie. Jacques enlace la jeune fille qui, infiltrant sa langue entre ses lèvres, lui donne un baiser très passionné, alors qu'il caresse délicatement la minuscule poitrine de l'étudiante. Celle-ci s'est presque étendue sur lui, alors qu'il se laisse glisser entre les coussins. Il retrousse délicatement la robe en corolle, effleurant les fesses presque nues, le rempart du mince tissu du string ne recouvrant pas grand-chose. Il sent que sa verge s'est redressée contre le ventre de la jouvencelle qui se frotte sans impudeur contre lui. Alors, comprenant que la nommée Amandine ne sera pas farouche, il malaxe les globes rebondis du jeune postérieur, passant bientôt ses mains sous le ventre de la demoiselle, pour frôler la vulve gonflée qu'il dégage du slip trop tendu, insinuant aussitôt deux doigts dans la fente étroite, les agitant dans une chair abondamment lubrifiée par la mouille de la jeune fille. Soudain, celle-ci se dégage des bras de Jacques, débraguettant rapidement le pantalon, sortant le pénis très convenable dont le gland vibre de tension, elle l'absorbe entre ses lèvres pour une fellation habile, puis, prenant un condom entre ses doigts, elle encapuchonne le vit d'un bout à l'autre. Enfin, en retroussant sa robe jusqu'à la taille, elle écarte son slip et s'enfonce elle-même le vit dans son petit con, prenant apparemment un grand plaisir à se coïter sur le phallus que Jacques projette, le mieux qu'il le peut, son corps arqué prenant appui sur ses talons pour aller au-devant de la petite chatte de la rousse, qui, de deux doigts, se masturbe son clitoris dans le même temps où elle se fait plaisir sur la queue qui fait des va-et-vient dans son vagin détrempé.

Pendant ce temps, Brice, tout en masturbant Agathe, lui mordille une oreille, lui distillant des paroles triviales, lui faisant part de son envie de lui bouffer ses nichons et sa chatte, de troncher sa connasse et d'enculer son troufignon. Celle-ci, qui ne peut ignorer le comportement de Jacques et de la jeune rousse, affolée aussi par sa sœur qu'elle voit se faire prendre sur la piste de danse par un homme qui la baise debout, expulse sa miction sur les doigts du jeune homme qui lui baratte si bien sa moule enflammée. Elle se laisse enlever sa culotte par le jeune Brice, soudain consentante à tous ses caprices. Celui-ci en profite pour lui faire un savant cunnilingus, sollicitant encore plus son clitoris et les parois de son vagin qu'il lèche avec une délectation savante. Lorsqu'il enlève avec prestesse, son pantalon et qu'il met flamberge au vent, elle est ravie d'admirer la belle tige rosée du jeune homme qui affiche une taille bien au-dessus des deux verges qu'elle a connues jusqu'ici ; celles de Jacques et de Gilles étant pourtant d'un calibre très honorable. Agathe, malheureusement, n'a que peu de points de comparaison, le beau blond qui va bientôt la contenter, ne sera que son troisième amant. Celui-ci, enfile prestement une capote sur son gland congestionné, puis s'approchant de l'enfourchure d'Agathe qu'il écarte au maximum, il appuie sa verge sur le pertuis entrouvert et, à petites es, il la plonge dans la matrice qui s'ouvre péniblement sous le gros braquemart. Agathe, bien que le membre encombre sans ménagement sa gaine vaginale distendue à l'extrême, éprouve un plaisir incroyable à la tige de chair qui racle ses muqueuses. Elle projette son bassin et son bas-ventre au-devant du pubis de son cavalier, accentuant encore la pénétration approfondie du mandrin qui pilonne sans interruption la cavité vaginale, déclenchant chez la quadragénaire une succession d'orgasmes où elle crie son bonheur d'être si bien baisée.
à suivre...

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