Jeux Adolescents

Parce qu'il vaut mieux tard que jamais voici les premiers récits d'une vie sexuelle épanouie et assumée !
L'été de mes 17 ans fut pour moi celui de la découverte. En vacances dans la villa de mes grands-parents, je profitais de farniente de l'été sur la Côte d’Azur.
Alors que je lézardais tranquillement au soleil sur le transat, j’entendis du bruit de l’autre côté du mur. Intrigué et un brin curieux je tendis l’oreille pour épier gentiment le voisin. Malheureusement pour moi je n’entendais plus rien. Etonné, je m’approchais du mur et me mis sur la pointe pied pour espionner discrètement.
Ce n’était toutefois pas le spectacle auquel je m’attendais pourtant ce n’était pas le plus déplaisant qui soit. Là sur une chaise longue en bois vernis était allongé un fabuleux voisin. De deux ans mon aîné il était posé tranquillement au soleil, le corps bruni par les rayons UV, son teint halé me fit le jalouser. Mais là n’était pas la plus grande de mes surprises. En effet ce dernier était nu comme un vers ! Posé sur le dos il s’exposait à ma vue. Je l’analysais pendant quelques longues minutes. Il était blond aux cheveux courts, sa coiffure semblait déstructurée mais très stylisée, le visage à moitié caché par des lunettes Ray Ban noires lui donnant un air très branché, sa chaîne de baptême en or se posait sur un buste des plus remarquables, de larges épaule lui donnaient une morphologie qu’on en V. Ses abdos étaient bien dessinés, trois lignes parfaites sur son torse, au bas de son ce dernier on distinguait les muscles de ses hanches qui traçaient sans honte une flèche en direction de son sexe.
Ha ! Parlons-en de son sexe ! Il était au repos mais déjà de bonne taille, posé sur sa cuisse droite, il semblait endormi par la chaleur du soleil. Deux formidables et impressionnants testicules pendaient entre ses jambes musclées et légèrement écartées.
Sans mentir son membre devait mesurer au moins 12cm. Etait-ce une semi érection ?
Soudain il se releva, tourna la tête dans ma direction.

Pris de panique je me baissais rapidement derrière le mur en essayant de faire le moins de bruit possible. J’attendis quelques minutes avant de repasser la tête par-dessus. Quand je le fis, je vis mon voisin allongé sur son transat, avec un grand sourire, il tenait dans sa main son sexe et jouait tranquillement avec. Etonné de ce spectacle je décidais de rester contempler quelques instants. Devant l’insistance de ses mouvements, son sexe avait pris des proportions que je trouvais assez impressionnantes. Peu habitué à ce numéro je restais bouche bée.
C’est à ce moment qu’il décida de se tourner dans ma direction une seconde fois, tellement dérouté je ne pus me cacher et il m’interpella :
- Petit voyou ! Que fais-tu ? me questionna-t-il
- Euh … J’ai … enfin j’ai entendu du bruit et … tentais-je en vain de bredouiller
- Vient me voir s’il te plait, j’aimerais qu’on parle tous les deux.
Son ton était si sévère que je m’exécutai, j’avais si peur qu’il en parle que je n’opposai aucune résistance. Je me demandais pourquoi il voulait me voir de si près.
Et ce spectacle auquel j’avais assisté, je pensais être le seul à me masturber en ayant des pensées érotiques. Que me voulait-il ?
Arrivé dans son jardin il m’invita à m’asseoir sur un second transat. Il se pose également, toujours en tenu d’Adam. J’étais en maillot de bain, un de ceux qui oscillent entre le boxer et le slip, celui qui montre ce qu’il faut pour impressionner sans être vulgaire et poutre apparente. Sans me vanter je n’étais pas mal non plus, sans avoir des tablettes de chocolat j’étais le genre brun ténébreux faisant craquer les filles mais trop timide pour aller plus loin qu’un roulage de pelle. Question centimètre je n’avais pas à me plaindre. Lors d’un concours dans les douches du rugby (Cette histoire fera l’objet d’un autre récit) j’avais mesuré mon sexe et remporté la compétition avec 22cm entre les jambes.
Assis de la sorte, son sexe pendait entre ses cuisses musclées, je ne savais pas pourquoi mais j’avais du mal à ne pas le regarder.
Alors que j’étais perdu dans mes pensées, mon nouvel hôtel engagea la conversation :
- Je vois que tu aimes bien mater, ma lança-t-il
- Ce n’est pas ce que tu crois, c’est juste que c’était la première fois que je te voyais nu, enfin …
- Tu m’as vu à poil et pourtant tu ne connais pas encore mon prénom, je pense qu’on a pas fait les choses dans l’ordre
- C’est vrai que la situation est bizarre
- Anthony, me dit-il en me tendant la main
- Enchanté, je suis Alex
Après de brèves échange de courtoisies et questions sur ma raison de ma présence dans la maison d’à côté, Anthony me fit :
- Mets-toi à l’aise, enlève le si tu le souhaites !
Je restais interloqué, sans savoir quoi faire ni comment réagir, c’était pour la première fois que je me retrouverais dans un jardin avec un homme nu.
- Tu sais, je n’ai que 19ans, je ne suis pas vraiment un homme, je suis encore dans ma phase d’ado, je sais ce que c’est d’avoir ton âge
- Merci mais je ne suis pas sûr. Allez ! Lâche-toi !
Sur ces mots je décidais de passer à l’acte et d’enlever ce dernier bout de tissu qui séparait mon sexe de l’air libre. Comment allait-il réagir à la vue de mon ? Peu importe, je n’ai pas à en avoir honte et puis c’est un mec, il en a un plus qu’honorable aussi !
J’ôtais donc mon maillot de bain dos à lui. Je sentais néanmoins son regard sur mes fesses musclées, c’était à la fois déroutant et excitant de se savoir observé de la sorte. Pour ne pas gâcher ce plaisir je le fis languir encore quelques secondes et me retourna longtemps avec un air gêné.
- WAHOU, cria-t-il en voyant mon engin qui même au repos devait atteindre les 14cm, mais tu n’as pas à avoir peur de te cacher, avec ça tu peux des miracles.
- C’est pas pour ça que j’en fais, lui répondis-je
Encore debout, mon sexe se trouvait à proximité de son visage et en jetant un rapide coup d’œil à son entre jambe je vis son sexe gonflé et prendre de plus en plus de volume.
Suivant mon regard il comprit rapidement et s’excusa :
- Désolé, je ne comprends pas, enfin t’es un mec, tu sais que ça arrive n’importe quand !
Je m’assis sur le transat pour profiter du soleil. Je me sentais libre et excité.
Tellement excité qu’alors que j’étais allongé, mon sexe commençait à se raidir. Un rapide coup d’œil à mon partenaire me prouva qu’il était toujours dans le même état.
Il commença à parler de sa sexualité ce qui eut pour conséquence de me faire bander au plus fort, désormais j’exposais mes 22cm à sa vue. Il semblait ravi de cette vision car lui aussi bandait, son sexe d’environ 19cm remontait, droit comme un I sur son abdomen alors que le mien pointait vers le ciel.
Un long silence ce fit ressentir avant qu’il ne lâche :
- Tu veux que je te branle ? J’ai déjà fait ça avec des potes, c’est super sympas tu verras.
Ne sachant pas comment réagir, j’acquiesçai. De toute façon je n’avais pas de meilleur programme chez moi.
Il saisit alors mon sexe à deux mains et le contempla d’abord. Il entama un premier mouvement et me félicita encore pour ce que Dame nature avait daigné m’accorder comme cadeau. Cette sensation était nouvelle pour moi, jamais je n’avais eu de main étrangère sur mon sexe, mes plaisirs solitaires ma convenaient mais là c’était tout autre chose ! C’était bon, même très bon. Il entama alors des va-et-vient sur mon sexe bandé pour mon plus grand plaisir. Alors que j’avais fermé les yeux, je les rouvris et je constatais que lui aussi avait commencé à se branler. Au bout de quelques minutes, il lâcha sa queue et sa main parcourait mon corps pendant que l’autre me procurait du plaisir.
Mais qu’étaient donc ces caresses ? Devais-je le repousser ?
Ne pouvant me procurer du plaisir et s’en procurer à lui-même simultanément, je pris les choses en main au sens propre du terme. Il se positionna sur l’autre transat et nous commençâmes une branlette des plus endiablées, ponctuée de gémissements virils, de coups de rein et de caresses.

Au bout d’une vingtaine de minutes, nos corps étaient devenus moites, la sueur ruisselait sur nos torses et c’est à ce moment que la jouissance arriva. Il accéléra ses mouvements et je jouis cinq gros jets de sperme qui vinrent s’échouer sur mon torse, l’un d'eux atteignit même mon cou. Il m’ôta la main de son sexe et entreprit de mouvement rapides et saccadés, je le regardais en profitant de ma jouissance quand il éjacula sur son torse lui aussi. Souillés de foutre, je rentrai chez moi, pris une douche et passai une nuit à me remémorer cette après-midi.
Plus tard d’autres été furent bien plus torrides !

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