Mon Premier Exploit Au Cinéma &Quot;L'Etoile&Quot; De Marseille

Je sais depuis des années que je plais aux garçons. A l'école déjà, je voyais les regards se poser sur mes fesses. Un jour, à la plage, un camarade de classe me conseilla de porter des shorts en classe. Il fut le premier à en profiter. Assis à côté de moi, il me caressait les cuisses et bientôt, glissa sa main sous mon short. Un peu plus tard, sa main s'insinua dans mon slip. Il saisit ma bite et la pressa entre ses doigts. Un autre jour, il me branla. Une autre fois, il me suça. Les événements se propagèrent rapidement et nombre de camarades se succédèrent à sa place. Très vite, on me demanda de sucer à mon tour.
J'ai appris par hasard que dans ma bonne ville de Marseille, il y avait un cinéma spécialisé dans les rencontres homo. Je suis passé devant de nombreuses fois, sans y entrer, tant on m'avait fait peur avec le fait que je sois mineur. J'ai rongé mon frein, et, le jour de mes 18 ans, j'ai enfin passé la porte.
J'ai monté l'escalier menant jusqu'à la salle obscure. Une double entrée donnait sur le sanctuaire. Je passai par l'une d'elles. Pas de lumière. Je me suis dirigé directement vers les sièges. Mes yeux n'étaient pas encore habitués à l'obscurité. En voulant m'asseoir, j'ai heurté les jambes d'un spectateur. Je n'ai pas osé rebrousser chemin et me suis assis un peu plus loin. Sur l'écran, une femme nue, suçait la bite d'un mec qui la tenait par les cheveux. J'étais un peu déçu de ne pas voir deux hommes faire l'amour. Un cinéma homo ? Tu parles !
Le gars que je venais de dépasser, s'est sans doute aperçu que j'étais jeune.
Profitant de l'absence de lumière, et avec moult précautions, il vint s'asseoir près de moi sans que je m'en aperçoive. Il posa sa main sur ma cuisse et commença à me caresser. Ca me rappela l'école. Je me raidi, et le gars s'enhardit. Il passa sa main sous mon short et toucha ma bite à travers le slip. J'écartai les cuisses pour lui signifier mon assentiment. Il glissa sa main dans le vêtement et s'empara de mon sexe.


Je bandai déjà. Il se pencha vers moi et me glissa à l'oreille :
- La prochaine fois, ne met pas de slip ! C'est ta première fois ?
- Oui, soufflais-je.
Il ouvrit ma braguette et se pencha. Il prit ma queue dans sa bouche, et, pendant qu'il me suçait, il glissa sa main dans mon dos, puis dans mon slip et caressa mon cul. Il glissa un doigt dans ma raie et demanda :
- On t'a déjà baisé ?
- Non ! Répondis-je. Et je n'veux pas !
- Vu comment ton corps réagit, tu y viendras !
Mon sperme coula dans sa bouche. J'étais arc-bouté entre ses lèvres, collées sur mon pubis. Il se releva, me rajusta et me dit à l'oreille :
- Tu reviendras ?
- Oui, dis-je, essoufflé.

Lors de ma visite suivante, il n'était pas là. Personne ne vint s'asseoir près de moi.
Je voyais des ombres se promener dans les allées latérales. Je n'y prêtais pas attention, jusqu'à ce que je m'aperçoive que certains de ceux qui montaient d'un côté, redescendaient de l'autre. Je me suis alors retourné pour voir par où ils passaient.
L'obscurité me cachait l'endroit. Alors, j'ai décidé de m'y rendre.
J'ai remonté l'allée et j'ai aperçu, derrière la dernière rangée de fauteuils, une large coursive entre les fauteuils et le mur. Contre celui-ci, des hommes étaient debout. D'autres se tenaient contre le dos des fauteuils. L'un d'eux avait son pantalon baissé. Tapis dans l'ombre des fauteuils, un autre homme, assis, lui caressait les globes et suçait sa bite. On me fit signe de me mettre contre le mur.
Devant ce spectacle, certains se branlaient. De temps en temps, un homme passait au milieu de tout ce monde, lançant des regards ou s'approchant pour mieux voir ceux qui étaient collés contre le mur. J'ai compris que les clients c'étaient nous, et les hommes de petite vertu étaient en face.

Un des passants s'arrêta devant moi. Il s'avança pour mieux me regarder. Soudain, il porta ses mains sur ma chemise et commença à défaire les boutons. Il écarta les pans et se pencha vers moi. Il embrassa ma poitrine, prit mes tétons entre ses lèvres. Il se releva et m'enleva la chemise. Il écarta mes bras et dégrafa la ceinture de mon pantalon. Il le déboutonna et baissa la fermeture à glissière. Il le laissa tomber sur mes chaussures. Il se baissa et m'enleva les chaussures et les chaussettes. Il souleva mes pieds, un par un, pour ôter mon pantalon. Il agrippa alors mon slip et le fit glisser lentement le long de mes jambes. J'étais complètement nu. Des voyeurs commençaient à s'agglutiner autour de nous. Il se releva et posa ses mains sur mes épaules. Sous la pression de ses mains, je me mis à genoux. Il ouvrit sa braguette et sortit son engin. Le prenant à pleine main, il le présenta à mes lèvres. J'ouvris la bouche et la bite se posa sur ma langue, mes lèvres se refermant sur elle. Il me prit par les oreilles et fit onduler ses hanches. La bite glissait entre mes lèvres et durcissait en grossissant. Bientôt, je ne pus plus fermer ma bouche. Ses mouvements de va-et-vient s'accélérèrent et le sperme coula sur ma langue. Il se retira rapidement et termina son éjaculation sur mon visage. Il me releva en me prenant par un bras et me tira vers les fauteuils. Il me prit par les mains et les posa sur un des dossiers.
Les siennes me saisirent aux hanches et me tirèrent en arrière. Mes fesses étaient proéminentes. Il tira mes bras en arrière et me poussa en avant, un bras autour de ma taille et une main sur ma nuque. Il lâcha mes bras et me courba vers l'avant. Mes mains touchaient le sol pour ne pas tomber. Puis, il écarta mes jambes. Dans cette position, j'avais le cul en l'air et les fesses écartées.
Il se recula, empoigna sa bite et la posa sur mon petit trou. Il lâcha un filet de bave à cet endroit, et, d'un coup de hanches, il s'enfonça dans mon cul.
Il est resté un long moment au fond de moi, comme pour bien montrer que je lui appartenais. Il a saisi ma bite et m'a branlé. Au bord de l'orgasme, mes fesses se sont serrées. C'est le moment qu'il a choisi pour se mettre en mouvement. Sa grosse bite entrait et sortait de mon cul, de plus en plus vite.

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