La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 318)

Suite de l'épisode précédent N°317 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

essai76 est tétanisé par le froid, par la peur, par le remords, par la honte d'être ainsi exposé nu et puni devant tout le cheptel rassemblé. Walter, après ces quelques minutes de silence constate que l’esclave n’a pas bougé d’un pouce, alors il soulève l'un de ses pieds qu'il pose sur la tête de l'esclave qu'il a à la tourner sur le côté. Il appuie suffisamment fortement pour maintenir une pression l'empêchant de bouger, mais pas assez pour que cela puisse être dangereux. Et faisant siffler son fouet dans l'air plusieurs fois, il finit par l'abattre à de nombreuses reprises sur la croupe et le dos de celui qui ne sait plus s'il craint plus le froid qu'il ressent sur le ventre et par tout le corps qui repose sur la neige et les pavés glacés ou le chaud de sa peau qui s'est enflammé sous les coups dispensés avec une dextérité extrême. essai76 avait déjà ressenti dans son for intérieur son envie à la soumission, mais à cet instant, il découvre combien il est plus masochiste qu'il ne l'imaginait, car d'une certaine manière, il ressent un plaisir excitant d'être battu qui ferait gonfler sa queue si elle n'était pas encagée, mais qui en même temps lui fait encore plus honte car il est puni pour un geste malheureux qu'il regrette sincèrement car il ne se savait pas aussi brutal. Et c'est donc très amèrement, qu'il prend conscience qu'il risque d'être renvoyé du Château, alors même qu'il vient à peine d'en apercevoir une autre facette et de concevoir tous les délices et supplices qu'il aurait pu finir par y découvrir avec une plus grande abnégation et un dressage plus avancé. Walter arrête son fouet et ordonne :

- Tourne-toi, maintenant. Cela va rafraîchir ton dos en le trempant dans la neige. Et tu te mets dans la même position, bras et jambes toujours écartées. Je n'en ai pas fini avec toi.

Presque dans un état de transe partagé entre douleur et excitation qu’il a du mal à contenir dans sa cage de chasteté, essai76 arrive quand même à faire un demi-tour sur lui-même.

Il ne peut s'empêcher de couiner au moment où il doit se forcer à se rallonger dans la neige qui a presque disparue et sur les pavés qui sont toujours aussi glacés, faisant un contraste encore plus douloureux mais sublimement excitant pour celui qui découvre ce genre de sensations avec ses fesses qui ont pris une couleur rouge et sont parsemés d'une bonne multitude de fines zébrures. Les autres esclaves du cheptel n'ont pas manqué une minute du spectacle, étonnés pour certains d'avoir vu Walter manié aussi bien le fouet single-tail, car la plupart du temps les punitions bénignes se font à la simple cravache, déjà bien assez chauffantes pour certaines croupes tendres. essai76 s'est remis en position, écartant bras et jambes en croix, apeurés encore plus qu'au départ car il craint que Walter ne poursuive sa séance de flagellation sur ses attributs qui sont maintenant exposés aux coups, mais prudent Walter prend garde de ne pas toucher à ceux-ci. L’esclave ferme les yeux pour ne pas voir ce qui va suivre de peur de ne pas résister. Son corps est recouvert de petites plaques de neige qu'il a conservé à même la peau et il a pris par endroit une teinte violacée. Quant à son visage, il est d'une double couleur qui varie entre le rouge sale du côté qui était sous la semelle du Majordome et le bleu dû au froid sur l'autre moitié plaquée sur le sol.

- Ouvre les yeux et la bouche aussi, sale cabot. Je vois que mes coups de fouet n'ont pas réussi à réchauffer ton corps, ton ventre et ton visage. Je ne vois qu'une solution qui va être des plus efficaces.

Walter ouvre sa braguette, sort son pénis et le dirige sur le visage d'essai76 qui reçoit cette pluie d'urine qui lui semble presque chaude en comparaison. Walter fait signe à tous les domestiques présents de s'approcher …

- Je crois, Messieurs, que je n'arriverai pas tout seul à réchauffer ce malheureux. Si vous voulez bien m'aider dans ma tâche de sauveteur-réchauffeur. Il ne faudrait pas que ce chien att froid avant le retour de Monsieur le Marquis, sans compter que j'ai prévu pour lui de quoi se rendre utile en lui faisant passer le temps de méditation punitive.


C'est donc sous une multitude de jets d’urine tous aussi chauds les uns que les autres, que peu à peu toute la neige accumulée autour du chien-esclave se met à fondre prenant au départ une teinte jaune dorée, avant de se transformer en véritable flaque dans laquelle l'esclave patauge largement maintenant. A croire que tous les serviteurs avaient comme par un heureux hasard aussi une envie pressante de vider leur vessie pleine. Walter reprend la parole, sachant très bien que ce genre de petit intermède (dont il aurait préféré éviter malgré tout la partie nez cassé et soins indispensables en songeant à e6938 MDE qui en a fait les frais) assoit encore plus son autorité sur les esclaves du cheptel qui ont besoin de mesurer de près le risque du moindre écart de conduite, quelque soit la sincérité de leur motivation et la force de leur soumission.

- Bon maintenant le spectacle est fini. Mais avant de partir, que chaque soumise et soumis fasse de même, qu’il vienne pisser sur ce chien et rejoigne la tâche à laquelle elle ou il a été assigné, sans tarder car il fait très froid, et je ne veux pas avoir une armée de chiens enrhumés dans quelques jours à l'infirmerie.

Et c’est une suite incessante en une longue file d’attente qui se forme spontanément pour qu’un à un tous les esclaves viennent uriner sur essai76… Durant ce temps, Walter s'approche de Thaïs qui comme tous les autres soumis et soumises avaient regardé la scène sans dire mot, transis de froid car elle est restée nue immobile, mais pas insensible à tout ce qui vient de se passer qui l'a remué de l'intérieur. Le Majordome att la laisse qu'il attache à nouveau à sa ceinture.

- Vient pas là, la chienne, tu pisseras une autre fois, tu vas reprendre ta place et me suivre à nouveau. Je pense que tu as tiré beaucoup d'enseignement de ce que tu viens de voir. Ce n'est pas très fréquent et je pense que ce sale cabot a très peu de chance de rester ici dans cette demeure, mais ce n'est pas à moi d'en décider.
Quelque soit la tâche que l'on t'impose ou t'imposera, tu dois l'accepter avec reconnaissance. Ce sale cabot n'a rien compris à la soumission et à la chance qu'il aurait pu avoir d'avoir un aussi bon Maître que Monsieur le Marquis d'Evans. Tu as bien compris ? (lui dit-il en lui redressant le menton pour la forcer à le regarder et jetant sur ses épaules une pelisse en fourrure pour lui permettre de se réchauffer sans tarder le temps qu'il regagne l'intérieur du Château, car il y a déjà assez longtemps qu'elle a quitté le Château, restant nue et grelottante sans la moindre plainte)
- Oui, Monsieur Walter. J'ai prêté serment d'allégeance à mon Maître Vénéré, en lui promettant fidélité et obéissance. J'ai conscience de la chance que j'ai d'être sous Son joug et entre Ses mains, entre de si bonnes mains. Je ne tiens pas à le décevoir et j'espère être toujours digne de l'honneur qui m'a été fait de pouvoir porter le collier de mon Maître avec Ses initiales et Ses armoiries.

Le Majordome exige à deux serviteurs qu'ils récupèrent essai76 une fois que tous se seront soulagés sur lui.

- Vous le ramènerez au plus vite dans la salle de repos du personnel. Mais pas dans cet état, car il est terriblement dégoutant et répugnant, sans compter qu'il pue. Donc juste avant, vous passez dans la salle des bains attenante à la salle des gardes. Vous me le lavez à grande eau, chaude pour une fois mais pas brûlante quand même, juste manière à bien le réchauffer, je pense que nous avons assez refroidi son tempérament belliqueux et que vous n'aurez plus rien à craindre car ce sale cabot a été maté. Je vais faire descendre le matériel pour pouvoir l'installer …. "con…convenablement " ah, ah, ah … ajoute t-il d'un ton sardonique.

Un long moment après, une fois que tous soient passé sur lui, essai76, humilié et excité comme jamais de sa vie, sentant avec un dégoût certain l'urine forte qui s'est imprégné sur tout son corps et dans ses cheveux, se laisse emmené, trainé par la laisse, la tête basse, regrettant son malheureux geste mais pas la punition qu'il a subi par la suite qui lui a permis de découvrir un plaisir masochiste qu'il n'avait jamais ressenti aussi fort, se sachant attiré par la soumission mais se croyant plutôt du genre douillet au moindre petit bobo, il n'avait jamais envisagé pouvoir prendre un plaisir cérébral aussi fort.
Bien sûr depuis qu'il était sous le joug du Marquis d'Evans, et même s'il n'avait pas encore le droit de porter le titre d'esclave attaché à sa personne, le chien à l'essai avait tâté de la cravache et de la badine. Mais sur la couenne épaisse de sa croupe, les coups lui semblaient plus des caresses excitantes qu'il appréciait largement, mais ne l'avaient jamais autant transporté que les coups de fouet qu'il venait de recevoir à l'instant, transis de froid et surtout obligé par sa seule volonté de maintenir une position écartelée sans l'aide d'aucune autre contrainte que le simple pied du Majordome qui lui appuyait sur l'une des faces de son visage, ne faisant même pas porter tout son poids dessus. C'est donc sans le moindre geste qu'il se laisse conduire attendant de savoir quelle sera la suite de la punition imaginée par Walter, le Majordome, à laquelle il se pliera sans la moindre hésitation et presque avec reconnaissance, espérant quand même pouvoir rentrer en grâce avant le retour du Seigneur et Maître, qui tiendra son sort entre ses mains et aux pieds duquel, il a bien l'intention de se jeter.

Walter a fait descendre dans la salle du personnel un pilori réglable. Il l'a fait installer au centre de la pièce, annonçant à chacun que, avec l'accord du Marquis d'Evans qui a été tenu au courant des événements par sms, essai76 restera ici jusqu'au retour de Monsieur le Marquis, normalement prévu pour le lendemain soir et qu'il sera à la disposition de tous ceux qui voudraient profiter de ses orifices, ce qui n'est pas pour déplaire à ceux qui n'ont pas souvent l'occasion de profiter des plaisirs charnels que pourraient leur apporter les nombreux esclaves, mâles et femelles, qui séjournent au Château. Walter installe essai76 dès son arrivée, la tête et les mains bien calées dans les trous prévus à cet effet. Il attache ensuite les jambes vers l'arrière écartées, à des petits poteaux se trouvant sur les pieds en bois perpendiculaires qui servent à assurer la stabilité de l'engin. L'esclave est ainsi attaché au niveau des chevilles et au niveau des genoux, si bien qu'il doit garder les jambes droites sans pouvoir les plier. Le pilori est si bas que l'esclave se trouve carrément courbé en deux, plié au niveau de la taille, ses pieds étant écartés largement, sa croupe se trouve largement exposée, laissant apparaître au centre entre les deux fesses une petite corolle largement refermé encore. Walter att un large et long plug qu’il trempe dans un pot de gel lubrifiant puis qu'il enfonce sans ménagement dans le cul de l'esclave qui pousse un hurlement tant il se sent déchiré par cette pénétration subite profonde et rapide que le Majordome lui a imposé dans un anus non dilaté. Le plug relié à une chaine est aussitôt attaché par un mousqueton cadenassé au pilori. Walter fait le tour de l'appareil et attrapant le menton du chien, il ajoute.

- Tu aurais mieux fait de ne pas crier quand je t'ai équipé. Tu vas du coup avoir droit à une petite surprise de plus qui t'empêchera maintenant de déranger les membres du personnel qui viennent ici pour se reposer et bientôt pour te baiser la bouche et t'enculer, par tes deux trous qui sont à la bonne hauteur de ceux qui voudront s'en servir à satiété, espérant que certains te donneront aussi à boire et à manger de ce qui sortira de leurs queues, car tu n'auras rien de plus pour te sustenter pendant les heures à venir et guère le temps de te reposer à mon avis entre deux saillies.

Walter att un bâillon constitué d'un anneau rond évidé en forme de O. Il force essai76 à ouvrir grand la bouche pour insérer cet anneau coincé juste derrière les dents, l'obligeant à garder la bouche grande ouverte sans plus pouvoir prononcer un seul son. Il accroche la sangle de cuir qui maintient fermement l'appareil en place dans la nuque de l'esclave.

- On va voir si c'est efficace ! Je suis sûr que tu couineras moins quand je vais te rentrer le plug. Et puis, je crois bien que tu vas aussi porter un bandeau, car il n'est pas question que tu puisses voir ceux qui voudront r de toi et de tes trous. Jusqu'à demain, tu ne seras plus que cela deux trous offerts à qui voudra bien en profiter et te les remplir jusqu'à ras bord.

Walter s'amuse à sortir et à rentrer plusieurs fois l'objet de taille conséquente pour le plaisir d'entendre les grognements assourdis de l'esclave dont on ne sait plus au bout de trois ou quatre s'ils ne sont pas autant signe de plaisirs tant ils sont presque des miaulements de bien-être. Le Majordome att un autre plug plus petit qu'il insère dans la bouche maintenue ouverte d'essai76, puis il dépose sur le dos de l'esclave ainsi exposé au pilori un écriteau qu'il scotche carrément "Je suis un sale cabot à saillir et je suis là en punition pour que l'on use et de moi. Les deux plugs sont à remettre en place après usage pour que mes orifices ne puissent jamais restés béants et inoccupés, s'ils ne sont pas utilisés ". Avant de se retirer Walter prend deux petits morceaux de corde dans ses poches dont il se sert pour entourer les deux couilles d'essai76 faisant pendre au bout de chacune d'elle deux objets assez lourds en métal qu'il a trouvé sur l'une des étagères. Il commence à balancer les deux objets pour les voir et les entendre se cogner dans tous les sens tirant encore plus fortement sur les testicules du malheureux déjà bien sollicité qui se demande combien il va devoir subir d'assauts, mais également se sentant si excité de se savoir si vulnérable à la merci de tous ceux qui voudront profiter de lui.

Walter quitte la pièce, suivi de Thaïs toujours trainée par la laisse accrochée à la ceinture du Majordome, qui se demande bien qui le premier va venir se servir de celui qui va devoir rester sur le pilori dans une position inconfortable qui va vite devenir douloureuse et difficile à supporter.

(A suivre…..)

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