La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1464)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1432) -

Puis Monsieur le Marquis sortit d'une armoire un lot de cordes pour commencer le shibari… C'est ainsi que je Le regardais, comme fascinée ou plutôt hypnotisée par Sa Prestance et Son Charisme, restant aussi immobile et silencieuse qu'une statue, ne faisant pas le moindre bruit. J'étais encore mouillée au plus profond de ma chatte trempée par le sperme du Maître et ma mouille de salope mais aussi par l'excitation grandissante de chienne en chaleur face à la découverte de nouveaux plaisirs D/s… Après avoir sorti toutes Ses cordes, le Noble me regardait avec gourmandise me dévorant de ses yeux bleu Dominants et au regard profond et hypnotique. Ses yeux ne pouvaient pas me laisser de marbre et me rendait toute chose… Je me sentais sous Son Joug et ça me rendait profondément en plénitude d’un bien-être délicieux, d’être à Sa merci entre Ses mains… Puis le Châtelain s'adressa à moi de sa voix calme, douce et paradoxalement autoritaire :

- Ma belle petite chienne, ce soir j'ai décidé de te faire vivre encore plus intensément ce que tu es, à Mes pieds. Tu vas vivre, là en Mon Donjon, un de tes nombreux fantasmes que tu m'avais confié lors de nos nombreux échanges Skype. Et je dois bien avouer que cela M'excite aussi tout particulièrement de te le faire vivre en réel. Et de te transformer en pantin avec toutes ces cordes qui bondageront entièrement ton corps qui m'appartient. … Alors, descends de cette grande table et viens te mettre au centre de Mon Donjon. Tu attendras, une fois en place, mon claquement de doigts pour pouvoir, par la suite, te mettre en position debout la tête baissée. Car c'est dans cette posture que je veux et vais t'attacher et ainsi pleinement te faire vivre cette première expérience du shibari…

De suite je descendis de la table tout en adoptant une attitude emplie d'humilité, baissant les yeux, puis je me mis à quatre pattes me déplaçant de manière féline et je stoppais au milieu de ce Donjon puis attendit silencieusement pour me mettre dans la position exigée.

Ensuite, j’entendis Son claquement de doigts et je me mis debout, la tête baissée… Immédiatement mon corps en chaleur réagissait de ce moment à venir en une profonde extase exprimée dans mon bas-ventre et remontant par des petits frissons sur toute mon échine. J'entendis le Noble se saisir d'un objet dans un tiroir puis se diriger vers moi et me dire d’une voix mélodieuse :

- Ma chienne salope, j'ai décidé de te faire vivre ce shibari en te bandant les yeux avec un masque occultant pour te faire ressentir plus intensément ce bondage et les sensations qui vont avec, en te privant donc de la vue…

Le Maître me dit cela en ajustant le bandeau sur mes yeux tout en me caressant ma chevelure d'un mouvement rapide, doux et furtif. Le Seigneur s'éloigna puis revint avec une corde qu'il serra tout d'abord autour de mes deux poignets comme pour les attacher l'un contre l'autre, puis il les accrocha à une corde suspendue à un solide crochet vertical en acier fixé au plafond. Je ressentais alors pleinement les sensations dans mon corps même si je ne voyais absolument rien. Il continua également en allant chercher d'autres cordes. Ainsi le Noble me releva, toujours en douceur, une cheville puis l'autre pour les attacher séparément pour les faire remonter en arrière à la hauteur de mes fesses en allant accrocher les deux cordes, une pour chaque pieds écartés, à deux autres crochets espacés d’un mètre au plafond et positionnés derrière moi. Ceci donna, j'imagine, une très bonne image assez plaisante au Maître s'étant reculé de quelques pas afin de contempler Son œuvre d'art. J'étais ainsi comme complètement suspendue dans le vide, les pieds en arrière touchant mes fesses, le corps en arc de cercle avec mes poignets accrochés hauts regardant le plafond.

Je restais ainsi complètement figé, bâillonnée et suspendue pendant un moment, j'étais très mouillée et très excitée. Je ne saurais dire le temps qui s'est écoulé car aveuglée, j'avais perdu toute notion du temps.
Quand tout d’un coup je sentis qu’on poussa mon corps pour le faire balancer… Cela me rappelait mon enfance quand je m’amusais à faire de la balançoire, à la grande différence près, que maintenant c’était moi la balançoire ! Après m’avoir balancée de droite à gauche et de gauche à droite quelques minutes, je sentis Ses deux mains puissantes m’attr mes hanches et les maintenir fermement afin de stopper le balancement … Alors que je pensais que le Maître allait me détacher, je sentis un objet froid et dur se présenter sur mon cul écarté, par la position de mes jambes retournées, et placé à hauteur de Sa taille… Cet objet, à son contact, me fit comprendre que c’était un plug qui s’enfila dans mon anus. Le Noble avait eu la délicatesse de le lubrifier et ainsi je sentis ce plug de bonne taille glisser dans mon fondement lors d’un poussée lente de la main du Châtelain… Je ne voyais rien mais je gémissais de plaisir, me sentant exhibée et à Sa merci de m’utiliser de la sorte. Mon excitation grandit fortement quand une fois pluguée, je sentis Ses doigts venir me masturber mon clitoris sans ménagement quand j’entendis le Maître me dire clairement :

- Gémit autant que tu en as envie, mais je t’interdis de jouir, Ma chienne…

Alors qu’Il me branlait mon clitoris avec frénésie de Ses doigts baladeurs, avec en plus mon cul plugué et étant suspendue en shibari avec mes hanches tenues fermement, j’avais de la peine à retenir mon orgasme, tellement l’excitation arrivait à son summum… Quand, tout d’un coup et sans arrêter de me masturber, par dessous le gros Sexe du Maître vient se présenter devant mes lèvres intimes et s’enfonça comme dans du beurre dans mon vagin. Il me baisa ainsi à grands coups de reins virils, alors que je ne pouvais que subir ce délice, me sentant être juste un trou à remplir, un trou de salope à en jouir, un trou à donner du plaisir au Maître… Je gémissais de plus en plus, fis un effort surhumain pour ne pas jouir quand il me claquait les hanches de chaque côtés en cadence à chaque coups de boutoirs profonds… Il me prenait et je me sentais être ce pantin, cette marionnette, suspendue en l’air et dont le Maître utilisait pour Son plaisir uniquement… Ce traitement dura un bon quart d’heure quand, au moment où le Châtelain me maintenant de nouveau les hanches solidement pour rester bien planté profondément en moi, Sa grosse Verge épaisse restant immobile au fond de mon vagin, Il se mit à éjaculer tout au fond de moi en lâchant entre deux râles de plaisir, ces quelques mots à mon attention….


- Jouiiiiiiiiiiit salope, maintenant et avec Moi…

Nous explosâmes pratiquement en même temps nos orgasmes respectifs. Je me sentais tellement prise, remplie de Son gros Vit encombrant mes parois vaginales que ma cyprine coulait à flot arrosant copieusement Sa noble Verge de mon éjaculat. Le Maître resta quelques minutes encore bien planté en moi après que nous ayons laissé s’exprimer nos jouissances dans des cris et râles orgasmiques. Ensuite, Monsieur le Marquis d'Evans me détacha et mes pieds retrouvaient alors doucement le contact avec le parquet ancestral. Après ce fut le tour des mains qui furent détachées. Il m'enleva par la suite le bandeau des yeux et je retrouvais doucement la vue. Avec un grand sourire visible sur mon visage, je redécouvris le Maître Vénéré et je pouvais observer Ses chaussures impeccablement cirées, ayant au plus vite pris la position agenouillée et ayant baissé la tête sans attendre. Le Seigneur me prit le menton par la main pour me relever la tête et pour m'embrasser de manière particulièrement dominante, investissant de Sa langue ma bouche de putain, venant posséder ma cavité buccale… Tout à coup, Monsieur le Marquis s'arrêta, puis me dit d'un ton tout aussi Dominant et à la fois calme :

- Bien, chienne Maera MDE, je suis très fier de toi. Tu m’as donné du plaisir à te prendre comme un simple trou suspendu et à Ma merci. Il est évident que tu as aimé cette initiation au shibari. Ta chatte en est encore toute trempée comme la bonne salope que tu es. Et ta jouissance, que j’ai daigné t’autoriser m’a largement démontré ton état d’excitation. Tu n'as cependant pas oublié que tu as une punition pour la récidive de tout à l'heure et j'ai eu le temps de réfléchir à quelle sanction tu vas avoir droit, Ma chienne salope ...

(A suivre …)

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