Sacrée Collègue - Acte 3

Je suis Pierre à la retraite et je suis seul à mon domicile, mon épouse Elisabeth étant partie au bureau. Nous sommes mercredi, il est 9 heures et je suis en train de faire un peu de rangement dans la maison lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je vais ouvrir et suis tout étonné de voir en face de moi, mon ancienne collègue avec qui j’ai eu récemment 2 rendez-vous torrides chez elle. Elle me dit qu’elle vient d’accompagner les s à l’école, que son mari Bertrand est au boulot et qu’elle a raconté à sa mère qu’elle était en stage et qu’elle lui garde les mouflets cet après-midi. J’étais donc seule à la maison et je suis venue te voir car je m’ennuie de toi depuis vendredi dernier. Nous sommes en été et elle est vêtue d’une robe blanche légèrement transparente, boutonnée sur le devant de haut en bas. Je lui dis que moi aussi je pense à elle depuis notre soirée et je l’invite à entrer au salon. Nous nous embrassons fougueusement pendant de longues minutes à perdre haleine tout en parcourant de caresses nos corps impatients. Nous prenons un café accompagné de gâteaux secs, assis côte à côte. Elle fait bourgeoise sérieuse dans sa robe qui lui arrive à hauteur du genou mais je sais qu’elle est un vrai volcan quand elle se déchaîne.
N’étant jamais venue chez moi, je lui fais visiter la maison, les différentes pièces et ma chambre à coucher. Je lui montre le lit conjugal et lui fais découvrir la garde-robe d’Elisabeth. Elle s’attarde plus particulièrement sur les sous-vêtements car les tenues habillées, elle les connait bien, les voyant au bureau. Elle me demande s’il n’y a pas d’habits intimes portés par elle, je la mène à la salle de bains au coffre à linge. Je fouille et je lui donne deux petites culottes en dentelle. Elle hume l’odeur d’Elisabeth, me dit qu’elle lui plait bien et qu’elle veut la découvrir en réel. Je lui promets que cela se fera mais qu’avant il faut la préparer psychologiquement. Je lui ai déjà parlé des amours lesbiens et elle n’est pas encore prête à franchir le pas.


Nous parlons du boulot, des collègues et de l’ambiance et je lui demande si elle a déjà pu travailler au corps d’Elisabeth si on peut dire. Elle me répond que pour faire le point annuel de son activité, elle l’a convoquée un après-midi dans son bureau. Estelle pour cette occasion s’était mise en chemisier noir pas trop boutonné pour laisser voir la naissance de ses seins, et d’une jupe courte blanche à mi-cuisses. Estelle me dit qu’elles s’étaient installées face à face sur un fauteuil et que le point avait été fait sur le plan professionnel. La signature du compte-rendu d’entretien permit à Estelle de caresser subrepticement la main d’Elisabeth lorsqu’elle lui passa le stylo. Une décharge irradia sa main et elle eut un geste de recul, Estelle la regarda et elle parut troublée. Puis la conversation avait été engagée sur leur vie privée, sur leurs préférences sexuelles, sur leurs fantasmes. Tout en bavardant Estelle se penchait en avant vers Elisabeth pour faire ses confidences et écartait légèrement ses cuisses pour tâter le terrain. Elle me rapporte qu’Elisabeth ne faisait pas la sainte nitouche et lançait assez souvent des regards sur ce spectacle. Puis ce fut des échanges du genre : toi tu as de belles jambes, oh bien toi aussi tu es toujours sexy, et autres compliments l’une sur l’autre. L’entretien était terminé, Elisabeth se leva pour retourner à son poste. Estelle ne la quittait pas des yeux, Elisabeth lança un dernier regard en se retournant et elle s’aperçut qu’Estelle ne la quittait pas du regard. Nous en avons conclu qu’Elisabeth a éprouvé un certain trouble devant elle et cela nous conforte dans notre dessein de rencontre.
La chaleur est maintenant lourde et Estelle veut aller se plonger dans la piscine, se rafraichir et faire quelques longueurs. Je m’approche d’elle, les yeux dans les yeux et je dégrafe lentement un à un les boutons de sa robe blanche. La poitrine se dévoile, puis son string blanc cachant à peine sa petite chatte et lorsque le dernier bouton s’ouvre, je lui retire sa robe qui dévoile la blancheur de son corps svelte.
Elle me dit : je n’ai pas de maillot. Moi : tu peux te baigner nue, ce ne sont pas les voisins qui vont nous gêner, le parc est grand et la piscine est protégée des regards indiscrets. Je me mets moi aussi en tenue d’Adam et nous plongeons dans l’eau tiède. Nous faisons quelques longueurs côte à côte puis étant moins endurant, je décide de souffler un peu et je m’accroche à la main courante. Je vois Estelle revenir vers moi sous l’eau et je sens ses mains attr mon sexe et le masturber lentement à 2 mains. Ce contact de l’eau tiède sur toutes les parties de mon attribut sexuel me procure une sensation de bien-être. Estelle remonte à la surface reprendre sa respiration puis redescend en apnée me prendre la bite dans sa bouche. L’eau est tiède mais sa bouche est un petit four qui va et vient, elle contrôle sa respiration et accélère la cadence avant de manquer d’air. Je jouis longuement entre ses lèvres, elle remonte à mon niveau, se colle à moi et nous mêlons nos salives et mon foutre dans un baiser langoureux. Mais elle n’a pas atteint son plaisir, aussi je lui demande de faire la planche accrochée au bord, et mes mains approchant du haut de ses cuisses, ses jambes s’ouvrent pour me laisser accéder à son petit trésor. Je commence à caresser son clitoris avec ma main, le titille puis pose ma bouche sur son sexe offert. Ma langue lèche son clito, l’aspire puis finit par pénétrer cette chatte, elle est déjà toute excitée, toute humide et les allers et venues dans son intimité finissent pas faire son effet. Estelle pousse un cri, jouit en serrant les jambes manquant de me faire boire la tasse, je sens sa cyprine se déverser dans ma bouche. Tout heureux d’avoir joui tour à tour nous sortons de la piscine et nous séchons sommairement.
Toujours nus comme un ver, nous retournons dans la cuisine, la température extérieure devenant presque insupportable. Nous dégustons un expresso et j’ai une envie qui monte en moi. Estelle est assise sur le plan de travail, je la bascule en arrière et l’allonge sur le dos.
Je prends la mousse au chocolat que m’a préparée Elisabeth et j’enduis les petits seins, le ventre, la chatte et les cuisses de ma maitresse. Je répète la même chose sur mon sexe et je me mets au dessus d’elle et commence à lui lécher méticuleusement sa poitrine en insistant sur ses têtons puis je déguste cette mousse à même son ventre ferme puis je bascule à califourchon sur elle, tête bêche. Elle prend l’une après l’autre mes couilles dans sa bouche et les nettoie puis en même temps nous nous donnons nos sexes, léchant, suçant, aspirant, pénétrant avec nos langues. Estelle a ma bite à mi-bouche, la suce et la masturbe de sa main droite, moi je titille son clito et introduis mon majeur dans son minou. Elle sursaute, me dit que ce n’est pas suffisant alors je passe 2 autres doigts qui ne demandent pas mieux d’y entrer tellement elle est excitée. Elle remonte ses jambes vers elle, ouvre béantes ses cuisses et nous nous masturbons, nous sentons le plaisir monter en nous mais nous nous retenons pour l’augmenter. Elle me dit : je sens que ça vient, donne moi ton sexe bien au fond. Je me retourne et d’un mouvement ininterrompu, je la pénètre avec force puis me retire avant de la pénétrer à nouveau. Mon petit jeu la met dans tous ses états, elle a la respiration saccadée, elle pousse des cris de joie, elle aime bien ces moments juste avant d’éclater. Estelle me dit de ne plus m’interrompre, d’augmenter la cadence, de lui donner tout mon sexe. Ce ne sont que des : ah encore, ah encore, encore, encore, avant se pousser un feulement de tigresse et d’inonder mon membre du fruit de son plaisir. J’ai pris mon pied également mais je reste en elle et je me remets à la labourer lentement en lui caressant les seins. Nos lèvres s’unissent à nouveau, nos langues se mêlent, je suis bien en elle. Je n’ai jamais crû que cet instant puisse arriver un jour sauf dans mes rêves et aussi à chacune de nos rencontres j’en profite comme si ce devait être la dernière fois. Mes va et vient entre ses cuisses, dans ce sexe si accueillant, ce corps chaud comme la braise, tout cela nous amène à jouir intensément.
Je me retire, mets ma bouche sur son sexe et lape sa cyprine au goût de chocolat.
Nous décidons d’aller prendre un bain dans la baignoire balnéo pour nous détendre et enlever les traces de la mousse au chocolat. Je mets un cd de musique douce, je m’allonge les jambes écartées, Estelle se love contre moi son dos contre mon torse et nous restons un long moment à nous prélasser. Les bouillonnements de l’eau massent mon corps, les petites bulles parcourent ma peau, mon membre est calé dans la raie des fesses d’Estelle qui se rend compte que son petit cul et l’ambiance ont ranimé la flamme. Elle se soulève légèrement, je serre mes jambes et elle descend sur mon gland qui entrouvre les lèvres de sa petite chatte. Mon sexe est littéralement aspiré dans cette grotte délicieuse, je vais, je viens en elle, je bourre, je laboure, je pilonne Estelle qui se jette en arrière pour mieux me sentir et alors que passe la chanson « je veux t’aimer » nous explosons en criant de plaisir. Nous restons soudés, à écouter les dernières chansons, mes mains palpant avec envie ce corps de jeune femme qui a l’âge d’être ma fille. Notre attirance est forte, elle aime les hommes plus âgés qu’elle qui comprennent son corps et ses envies, et moi faire vibrer cette jeunette décuple mes désirs.
Nous nous rhabillons et allons à la cuisine préparer une petite collation sur le pouce, histoire de souffler un peu et de reprendre des forces. Nous déjeunons sur un coin repas face à face et relativement proches, je suis pieds nus et je m’amuse à caresser ses genoux et la naissance de ses cuisses avec mon pied droit. Surprise mais amusée, elle me lance un regard approbateur, remonte sa robe, penche son bassin vers moi et m’ouvre le chemin. Je glisse mon pied jusqu’à son mont de Vénus, je masse son petit clito avec mon gros orteil puis j’exerce une pression sur son sexe. Cela la chatouille tout en l’excitant, elle me dit « mon amour laisse moi manger mon saumon ». Je lui dis que pour ma part je préfère un fruit de mer et joignant le geste à la parole, je passe sous la table, déboutonne sa robe, écarte son string puis me précipite sur cette petite moule chaude. Elle sort de sa coquille, s’offre à la bouche gourmande qui la suce, l’aspire puis la relâche avant de la reprendre jusqu’à la dégustation finale. Je la garde longtemps bien en bouche, ma langue l’explore dans ses moindres recoins et je la gobe avec son jus dans un grognement de femme satisfaite.
Elle sait que l’après-midi va passer très vite et qu’il va falloir qu’elle rejoigne son domicile avec Bertrand et les s. Ni elle ni moi ne désirons quitter notre conjoint, nous sommes dans la recherche du plaisir dans une relation secrète et suivie. Estelle est venue me voir car elle savait que je serais seul et elle veut une overdose de jouissance qu’elle n’a pas le restant du temps. Nous consacrons les heures qu’il nous reste à batifoler dans la piscine, à nous embrasser passionnément, à nous caresser et à nous employer à la recherche du plaisir du corps de l’autre. Elle me dit : je pense à toi tous les soirs en m’endormant, et même les rares fois quand Bertrand me fait l’amour c’est toi que j’imagine me possédant. Je lui dis : moi aussi je rêve de toi et ton corps affole mes sens. Il est déjà malheureusement le temps de se séparer. Je luis dis "Tu me téléphones pour me dire quand tu es libre et que nous pouvons nous voir". Nous nous quittons à 17 heures après une dernière étreinte, nous serrant l’un contre l’autre, ne faisant qu’un.

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