Jacques

C’était la première fois que je rentrais dans un cinéma porno. J’avais 20 ans et voulait voir un film X. A cette époque il n’y avait que Canal Plus
ou bien des K7 À 600 Francs l’unité et ça ne m’intéressait pas.

J’habitais alors dans le 8 ème arrondissement de Paris où se trouvait l’un des derniers cinémas pornos de la capitale.

L’un des célèbres Alpha Porno.

Je pris mon billet avec une légère crainte pour une première fois.

J’avais souvent entendu parler que ces cinémas étaient des lieux de rencontres gais mais je n’y croyais pas vraiment.
Je ne souhaitais rien de plus que de regarder un film X mais mon subconscient me disait qu’il y avait mieux à trouver dans cette salle.
Pourquoi pas un couple libertin.

J’avais mis un jean sans ceinture et un pull très doux. J’adorai porter des pulls très doux et j’avais opté pour un
gilet bleu marine en cachemire avec des boutons perlés blancs. Je n’avais pas mis de boxer.

Ça m’excitait. Mais je voulais tout de même ne pas être importuné. Certes ce n’était pas très discret et plutôt féminin
mais je me sentais bien vêtu ainsi.

Et puis bien qu’assez jeune j’étais assez baraqué et me sentait en mesure de refuser des demandes trop directes.

Je me disais qu’il devait être possible de me branler tranquillement.

Le film que j’avais choisi se trouvait dans la seconde salle.
J’ouvrai la porte. Il faisait très sombre. Sur l’écran une femme se faisait sodomiser violemment
alors qu’elle avait une grosse queue dans la bouche.

Je m’arrêtai un instant car je n’y voyais strictement rien et voulais trouver une place.

Je me décidai pour une place au fond de la salle. Après tout c’est là que je devais être le plus tranquille.

Je remontai l’allée à tâtons en touchant les rangées de fauteuils unes à unes.

Arrivé à la dernière rangée je pris la décision de prendre le fauteuil près du mur.

Ainsi j’y serai à mon aise.

Je dus faire se lever deux ou trois spectateurs et prenait place dans ce cinéma.

Le film était déjà commencé mais je savais que je pouvais y passer le temps que je voulais et après tout le
scénario n’avait que peu d’importance.

Je n’étais pas exhibitionniste et pas davantage gay. Mais il faut croire que malgré moi je
me rendais dans cet endroit en y attendant quelque chose de spécial. Une attitude de voyeur en fait.

Au bout de quelques minutes mes yeux s’habituèrent à l’obscurité et je constatai avec stupeur mais aussi curiosité
que quelques spectateurs étaient bien proches l’un de l’autre et semblaient se masturber.
Je crus même voir l’un deux sucer son voisin de fauteuil.

Le film se déroulait mais le spectacle était davantage dans la salle que sur l’écran.

Une dizaine de minutes après mon entrée un homme d’une cinquantaine d’années prit place à mes côtés.
Cela me dérangeait. Après tout il avait le loisir d’aller ailleurs car la salle comportait plein de sièges vides.

Je me dis que tout comme moi il cherchait une place. Je me concentrai sur le film qui me faisait bander mais
sans plus.

Je sentais le parfum de cet homme assis à côté de moi. Il sentait bon. Il devait travailler dans le coin et portait un
costume cravate.

Il ne tarda pas à dégrafer son pantalon et sorti son sexe de bonne taille. Il se masturbait maintenant.
Mon regard ne pouvait se détacher de ce sexe qui me faisait envie et m’effrayait à la fois.

Son sexe n’était pas totalement dur. C’est alors qu’il prit ma main et la posa sur son membre pour que je le branle.
C’était doux et pas désagréable. Il s’approcha de mon oreille et me dit d’un ton très doux.
- Suces-moi maintenant.
- Non monsieur, je ne peux pas, je n’en ai pas envie.
- Arrêtes chéri je sens que ça t’excite. Il passa sa main sous mon pull et commença à mes toucher les
tétons.
Si tu n’avais pas porté ce gilet féminin je n’aurai jamais fait attention à toi. Mais je dois te dire
que tu me sembles la petite salope idéale avec ton gilet et ses boutons perlés. Alors suces-moi!

Son ton était devenu plus directif sans être agressif et je m’approchai de son sexe. Il me prit par les cheveux, que j’avaient longs à l’époque,
et m’engouffra son sexe dans la bouche.
Je ne pus que le sucer tant son étreinte était forte. Je dévorai son gland et sa queue. Celle ci était propre et je me surpris à aimer cela.

- Tu es une bonne pute me dit il. Suce moi bien.
Je m’étais détendu et étant maintenant en confiance je lui bouffai le gland avec envie.

Il fit descendre son pantalon et me dit de lui sucer les boules.
Ce que je fit. Il continuait à me maintenir la tête sur son membre et m’avertit qu’il allait jouir.

J’allais me retirer pour le branler mais il me maintenait la tête fermement et il déversa tout son sperme
dans ma bouche. Sa queue était si profondément enfoncée dans ma gorge que je ne pus qu’avaler toute sa semence.

- Merci Chéri, tu es une bonne pute.
Ces mots dans la bouche de cet homme me faisaient bizarre. Il était bien habillé, sentait bon et pourtant il me traitait de pute.
Le pire était que ça ne me déplaisait pas.

Il rentra son sexe dans son pantalon. Je n’avais pas vu grand chose du film.
Je me disais qu’il allait s’en aller mais il resta près de moi sans rien dire.


Ce moment m’avait beaucoup excité et maintenant je bandais comme un âne.
Je me dis qu’il fallait que je rentre chez moi pour me branler. Ma queue n’en pouvait plus.

Nous regardions le film et j’attendais qu’il s’en aille.
Mais tout se passa autrement. Il posa sa main sur mon pull et le déboutonna entièrement.

Puis il défit la fermeture de mon jean et sortit ma queue. Je ne m’étais jamais fait sucer par un homme.
Mais il ne me suça pas.
Il me caressa et me branla doucement. J’attendais qu’il me fasse jouir mais il semblait prendre un malin plaisir
à me faire patienter.

Alors que j’étais prêt à jouir il se pencha vers moi et me dit.

- Suis moi maintenant!

Je me rajustai. Rangeai mon sexe et reboutonnai mon pull.

Il m’attendit puis se leva en me faisant signe de le suivre.

Je ne savais plus où j’étais ni ce que je devais faire.

Je me levai et le suivi comme un robot.

Il prit la porte de sortie rapidement. Son pas était assez rapide et je n’arrivai pas à le suivre.

Je sortis du cinéma et constatai qu’il m’attendait dans la rue. Je le rejoint.

- Alors Chéri, tu as aimé ma queue? me dit il
- Oui mais vous savez je n’en ai pas l’habitude.
- Et bien tu te débrouilles très bien.
- Merci Monsieur.

- Nous allons nous rendre à mon bureau, je voudrais te montrer quelque chose. Ton air de pute vierge m’excite.
- Je n’ai pas trop le temps Monsieur, et puis je crois que c’est assez pour aujourd’hui.
- Tu m’as excité comme une vraie salope alors ne me laisse pas tomber maintenant! Viens avec moi. J’ai envie de toi.

Son ton assez direct ne me laissait pas vraiment le choix. J’aurai pu lui répondre par la négative mais j’avais envie de lui.

- Ok monsieur.

- Suis moi, mon bureau n’est pas loin.

Il s’en alla rapidement. Je tentai de le suivre mais il marchait assez vite. A peine après cinq minutes de marche il composa le code
de l’entrée d’un bel immeuble et je dus accélérer le pas pour entrer en même temps que lui.


L’immeuble comportait deux entrées. Il se dirigea vers l’entrée A et appuya sur le bouton de l’ascenseur.
Par chance celui-ci était déjà à l’étage.
Il ouvrit la porte et me fit signe d’y entrer.


Je m’installai à côté de lui puis il appuya sur le bouton du cinquième.


A peine l’ascenceur avait il entamé sa course qu’il appuya sur le bouton d’arrêt.

Il se tourna vers moi, me regarda droit dans les yeux et me prit par la taille.
Sa bouche s’approcha de la mienne et sa langue s’inséra dans ma bouche. Je n’avais encore jamais embrassé un homme.
Et pourtant ma bouche s’ouvrait sans difficulté pour recevoir ce baiser.
Il me caressa, caressa mon pull, et se colla à moi.
Je sentais son sexe dur contre mon bas ventre.

Il déverrouilla l’ascenseur et celui ci s’arrêta au cinquième.

Il ouvrit la porte et me sourit.

- Viens mon Chéri!

Je le suivis.

Il me fit entrer dans son antre.

- Je suis avocat indépendant. Ne t’inquiètes pas, il n’y à personne. Viens, entre.

J’entrai et me dirigeai vers le salon.

- Attends moi ici.

Je m’assis sur le canapé en l’attendant. Je ne savais pas à quoi m’attendre. Mais j’en avais quand même une petite
idée.
J’entendis qu’il était dans sa salle de bain.

Je voulais rester et partir à la fois. J’étais très partagé entre l’envie de tomber dans les bras de cet homme
et celle de partir pour vivre ma vie d’hétéro. Mais je choisi la première solution. Ne me demandez pas pourquoi.

Le bruit de la salle d’eau s’était éteint et il apparut en peignoir de bain.

- Moi c’est Jacques et toi?
- Bruno, monsieur.
- Sais tu pourquoi tu es ici? Je suppose que oui.
- Oui je pense que vous voulez vous faire sucer Jacques.
- Oui tu as raison. mais ce n’est pas tout.
- Comment cela?
- J’ai très envie de toi et de te prendre.
- Vous n’y pensez pas! Je suis vierge et hétéro!
- Vierge je veux bien l’admettre et cela m’excite mais hétéro tu me fais bien rire!
Si tu étais vraiment hétéro tu ne porterais pas ce type de gilet féminin. Et ça m’excite énormément!

- C’est juste que j’aime les femmes qui en portent Jacques, mais je ne suis pourtant pas homo. Pas du tout.
- N’aies crainte je vais te montrer comment jouir et tu t’en rappelleras toute ta vie. Vas à la salle de bain te laver, je t’attends.
Et ne reviens qu’avec ton gilet s’il te plait.

Il me montra la salle de bains et je pris une bonne douche. Je n’avais pas joui de l’après midi
et voulait me branler mais je me dis qu’il était préférable que j’attende un peu.

Je sorti de la douche et m’essuyai puis pris soin de mettre mon gilet bleu marine
en cachemire et surtout de le boutonner entièrement.
J’adorai le porter avec ses boutons perlés blancs et je commençai à bander.

Je me dirigeai vers le salon et rejoignis Jacques. Il était allongé sur le canapé du salon
et nous avait préparé du Thé.

Je m’installai en face de lui en semi érection.

- Tu bandes? me dit-il.

- Oui un peu, désolé.

- Non tu es joli, ne sois pas désolé.

- Viens t’asseoir à côté de moi.

Je m’exécutai et pris place tout à côté de lui.
Il se leva et enleva son peignoir. Son sexe était mou mais déjà imposant.
Il me prit par les épaules et me roula une pelle que même ma meilleure copine de l’époque
ne m’avait jamais roulée. Désormais après le baiser de l’ascenceur cet homme savait embrasser!

- Tu me plais.
- Merci. Vous savez, c’est assez nouveau pour moi.
- Ne t’inquiètes pas, tout va bien se passer.

Je commençai à déboutonner mon pull pour l’enlever.
Il le remarqua et me fit tout de suite signe d’arrêter.

- Je t’aime avec ce pull, chéri. C’est ce que j’aime sur toi. Ca me fait bander. Entre autres choses..
Alors, Bruno, pourquoi portes tu ce genre de pull? Tu sais quand je t’ai vu dans ce cinéma sordide
je t’ai tout de suite remarqué. Ces petits boutons blancs brillaient dans la pénombre et avec tes cheveux longs
j’ai tout de suite vu que tu aimais être habillé en femme.
- Oui vous avez en partie raison mais j’aime juste porter ce genre de pulls car c’est le type de gilet que
j’adore voir les femmes porter. Et le fait d’en mettre un moi-même m’excite et me fais penser
à ces femmes BCBG Bourgeoises mais ça n’en fait pas de moi un gay.

J’étais assez bien foutu, totalement imberbe mais aussi baraqué.

- Tu sais être gay n’est pas une maladie. Il faut juste assumer sa sexualité. Tu sais j’aime
beaucoup les femmes et d’ailleurs je suis marié et adore mon épouse malgré qu’elle n’aime pas le sexe. Mais ça ne m’empêche pas
de temps en temps de vouloir prendre du bon temps avec un beau gosse.

Nous avons continué à discuter. Nous buvions notre Thé.
Il me dit de patienter un instant.

Il s’absenta. Trois minutes environ plus tard il apparut avec un gros carton qu’il portait à bout de bras.
Il le déposa sur la table du salon et prit soin de l’ouvrir.
A l’intérieur de celui-ci se trouvaient de nombreux sets de lingerie, des chaussures à talons hauts, des mini
jupes écossaises, des colliers de perles et quelques godemichés.

- C’est ta surprise me dit-il. Je commence à m’y connaitre un peu dans les tailles.

Il choisit un porte jarretelles blanc, des bas assortis, un string, une mini jupe grise et blanche.
- Quelle pointure fais tu, Chéri?
- 42
Il fouilla dans son carton et sortit une paire de bottines noires.

- Vas te changer dans la salle de bain.
Il me tendit la lingerie, la mini jupe, le string et les souliers.

Je me rendis dans la salle de bain. Je pus constater dans la grande glace qui ornait le salon
qu’il matait mon cul et se touchait tendrement alors que je me dirigeai vers la salle d’eau.

Une fois dans la salle de bain je dois avouer que je ne savais trop quoi faire. J’étais à poil, vêtu
uniquement de mon gilet féminin, chez un illustre inconnu qui me demandait maintenant de m’habiller
en pute si je puis dire.

Je commençai à mettre le porte jarretelles puis enfilai les bas un à un.
Par dessus je mettai le string puis la mini jupe. Puis je me décidai à chausser les
bottines noires. J’avais beaucoup de mal à attacher les jarretelles aux bas mais j’y parvint.

Jacques avait raison. Il s’y connaissait en tailles. Ces vêtements m’allaient parfaitement et
je commençai à être très excité.
Je me regardai dans la glace de la salle de bain et me surprit à bander. La situation était assez
ubuesque mais finalement j’appréciai.

Je déboutonnai les deux premiers boutons de mon gilet ainsi que le dernier du bas puis retournai dans
le salon. J’avais du mal à marcher avec ces bottines mais leur maintien avec les lacets me facilitait la tâche.

Alors que j’entrai dans le salon habillé comme une femme BCBG prête à séduire son mari Jacques se branlait.
Je me sentais autant dans la peau d’une belle bourgeoise avec cette lingerie de marque que dans celle d’une pute.
C’était un sentiment étrange.

- Mmm tu es très jolie Sophie. Désormais je vais t’appeler Sophie. Tu n’y vois pas d’inconvénients n’est-ce pas?
- Non Monsieur.
- Ca te vas très bien cette tenue Sophie, tu es charmante. Mais que vois je? Tu as déboutonné ton pull.
Remets ces boutons immédiatement!
Je m’exécutai fébrilement.

- Sais tu pourquoi je te fais habiller ainsi Sophie?
- Je l’ignore Monsieur.
- Appelle moi Chérie s’il te plait.
- Bien Chéri.
- Je suis marié avec une femme qui s’appelle Sophie. Nous habitons dans le 16 ème arrondissement
de Paris et elle aime également, pour mon plus grand plaisir, porter ce type de gilets stricts en cachemire qui me
coûtent une fortune par ailleurs, mais n’est pas du tout portée sur le sexe.
Elle remplit ses devoirs conjugaux mais sans plus. C’est une bonne épouse mais une piètre amante qui n’a aucune imagination.
Le pire est qu’elle ignore totalement que je l’aime quand elle porte ses cardigans en cachemire.
Alors j’essaie de me satisfaire autrement et tu me plais davantage maintenant.

-Approches toi, Sophie.

Il saisit un long collier de perles et fit trois tours autour de mon cou.
Je ne sais pas pourquoi mais avec ce collier je me sentis métamorphosé.

Il me demanda de marcher devant lui pendant de longues minutes. Sa queue était maintenant bien dure
et son gland encore plus imposant que je ne l’avais constaté au cinéma.

Je bandais dans mon string mais sous ma mini jupe il ne pouvait rien voir ou très peu.
Il s’approcha de moi, me prit par la taille et me plaqua contre son corps.
Je n’avais pas remarqué mais il tenait dans sa main un flacon de Chanel 5 et m’en mis sur la nuque.

- Tu es splendide Sophie.
Il approcha son visage du mien et sa langue vint chercher la mienne. Ma bouche s’ouvrit immédiatement
pour accueillir ce morceau de chair que je désirais tant.
Notre baiser ne semblait plus terminer. Nous semblions faits l’un pour l’autre.

Il malaxait mes fesses dures et releva ma mini jupe.
De mon côté je me suis dit que s’il n’était pas satisfait sexuellement avec son épouse
il devait s’attendre à ce que je prenne un peu d’initiative.
Après tout la balle était dans mon camp! Il avait tout fait pour paraître l’homme
fort mais à vrai dire c’était moi, ou plutôt Sophie, qui tenait les rennes dorénavant.
Et puis j’adorai porter cette tenue et surtout ce cardigan et ce collier de perles.

Je devenais son fantasme et j’avais toutes les cartes en main. Enfin presque.
C’est ce que je pensais. Mais j’allais jouer le jeu du dominant dominé car ça me plaisait.

Alors qu’il malaxait mes fesses je pris son sexe dans ma main. Il était doux et j’avais envie de le prendre
en bouche une nouvelle fois.
Je le branlai doucement, le décalottai et imprimai un va et vient régulier.
De son côté il n’était pas en reste et avait glissé sa main dans mon string pour sortir mon engin.
Il m’embrassa à nouveau et défit un à un les petits boutons perlés de mon gilet.
Il en écarta les pans puis me caressa le torse.
Puis il me prit la main et se coucha sur le canapé du salon. Sa queue était grosse et raide.
Il prit ma tête et la dirigea vers son sexe tendu. Je lui suçai d’abord les testicules puis la hampe.
Pendant ce temps il avait un peu avancé son corps de manière à me doigter l’anus.

Je n’ignorais pas ce qu’il recherchait exactement. En fait, nous étions identiques! Je savais ce qui me plaisait chez les
femmes BCBG et j’avais bien compris qu’il était en recherche de la même chose. Par conséquent je savais comment
me comporter avec lui.

Je continuai à le sucer en faisant attention à bien ouvrir la bouche qu’il me baisait comme un sexe.
J’avais pris soin de bien écarter les pans de mon pull pour qu’il puisse les voir bouger à chaque fois
que j’avançais dans ma fellation. Je sentis son doigt dans mon petit trou. Il l’avait lubrifié de salive et tentait
d’y entrer très doucement.

Il avançait minutieusement mais avec précaution et habileté.

Il me dit de stopper ma fellation et de nous mettre en position de 69. Il dégagea plus amplement mon sexe de mon string
et le prit en bouche. Ce salopard savait vraiment sucer et je ne tardai pas à décharger au fond de sa gorge.
Depuis le temps que je voulais jouir! Il avala tout et me nettoya la queue avec sa langue.
Lui, était toujours aussi dur et semblait attendre autre chose.

Il me demanda de me mettre à quatre pattes sur le canapé et de relever mes fesses bien haut.

- Tu es une vraie déesse Sophie! Si je ne m’étais pas retenu j’aurai à nouveau joui dans ta bouche
mais tu mérites mieux que celà. Depuis le temps que nous sommes ensemble tu ne m’as jamais donné
autant de plaisir. Je compris à ce moment qu’il me parlait comme s’il était vraiment avec son épouse
car nous n’étions ensemble que depuis très peu de temps.

Il avait un peu disjoncté et me prenait donc vraiment pour sa femme! C’était un honneur pour moi.

Il se positionna derrière moi, prit soin de bien rabattre les pans de mon gilet de chaque côté de mes
reins et entreprit de me lécher l’anus.
C’était une première pour moi mais je m’y attendais un peu.
Sa langue me lécha les boules puis elle s’attaqua à mon anus serré. Il débuta par de larges mouvements circulaires puis se rapprocha de mon
petit trou. Plus il se avançait plus sa langue s’insérait dans mon trou. Celui-ci s’ouvrait doucement
mais chaque fois plus amplement. J’appréciai sa dextérité.
Et plus il me léchait et plus mon corps se cambrait et plus mon anus attendait de recevoir sa queue
dans mon fondement. Mon anus s’ouvrait lentement mais surement.

Il était très appliqué et ne souhaitait pas précipiter les choses. Finalement c’est moi qui lui dit.

- Vas-y, encules moi Jacques, je t’aime, je suis ta femme et j’ai trop envie que tu me sodomises.
- Tu es prête Sophie?
- Oui s’il te plait ramones-moi le cul. Je mérite bien ça. Et tu l’attends depuis si longtemps!

Il approcha sa queue de mon anus et poussa petit à petit. A chaque fois il rentrait davantage jusqu’à entrer
entièrement son gland dans mon anus. J’eus un peu mal mais très peu car il m’avait préparé tel un expert
que la douleur devait être juste due à l’appréhension.

Il s’arrêta un instant puis d’un seul coup son membre me prit les entrailles. Jamais je n’avais ressenti
un tel bonheur. Maintenant il me ramonait le cul comme une chatte humide. Il me traitait de salope
et de bonne épouse qui aimait se faire baiser. Son sexe allait et venait sans souci dans mon orifice
rectal et j’adorai cela.
J’étais sa femme, sa maitresse, sa pute. Toutes les trois à la fois!

Il était très endurant et pendant qu’il me sodomisait il me complimentai sur mon gilet et ne cessait de le
caresser et de le toucher.

- Tu aimes ça Sophie, te faire prendre comme une bonne pute?
- Oui j’adore ça Jacques, continues je vais jouir du cul.

Il continuait à me caresser les fesses, relevait mon cardigan et me besognait sans vergogne.
Je n’en pouvais plus. Cette queue chaude au plus profond de moi m’envahissait de plaisir.
Je me sentais soumise et victorieuse à la fois. Soumise parce qu’il me baisait comme une vraie
salope et victorieuse car je savais que j’étais en train de réaliser son fantasme et que désormais
c’est moi qui allait pouvoir mener la danse.

-Vas y Chéri jouis dans mon cul! Tu n’attends que cela!
- Oui Sophie, tu vas sentir cette divine sensation de te faire remplir le cul de mon foutre.
Tu es ma salope. Ma chère et tendre épouse mais ma salope et c’est ainsi que je t’aime.

J’avais mis ma main entre mes cuisses et lui caressait les couilles. Son corps fut pris de soubresauts
puis je sentis de long jets dans mon cul. Il n’arrêtai pas de déverser son sperme et s’affala sur mon dos.

Il sortit sa queue de mon anus délicatement et me retourna. Il écarta les pans de mon gilet et me mit
son sexe dans la bouche. Je pensais qu’il en avait fini mais il jouit encore un peu et déversa deux jets de
sperme dans ma bouche. C’était bon. Très bon même.

Il prit mon visage entre ses mains et me roula une pelle extraordinaire.

Sa respiration s’était accélérée et il semblait exténué. Pour ma part je me retrouvais avec la bouche pleine de
sperme et bandait dur. Cette enculade m’avait vraiment bien plu. J’étais tombé sur un expert.

Il commençait à débander mais j’en voulais davantage.

- Alors, ça t’a plu Chérie?
- Oui tu es un mari magnifique lui dis-je. Mais j’ai encore envie de toi.
Il m’embrassa. Son sperme encore dans ma bouche ne l’empêchait pas de
me donner un baiser langoureux.

- Je reviens me dit il.

Il réapparu une dizaine de minutes plus tard. Il avait mis des bas et un porte jarretelles
noir, de hauts talons, et un splendide gilet en angora ras du cou, noir lui aussi.

- Tu as été une si bonne amante que tu mérites bien cela!
J’étais assez stupéfait. Il aimait donc lui aussi porter de jolis pulls doux féminins! Mmm j’adorais.

Je lui fis signe de se baisser et de me sucer. Il ne se fit pas prier et prit mon sexe
en bouche. Visiblement il adorait aussi sucer.
Je bandais très dur et avait envie de le prendre. Bien que mon cerveau m’affirmait que je n’étais pas gay,
j’avais très envie de le prendre car il était aussi mon fantasme. Je lui demandai de se mettre à quatre pattes
et de bien écarter ses fesses avec ses mains.

Je déboutonnai totalement son gilet. Il était si doux que j’en oubliais que j’allais enculer
un homme.
Je le caressai partout et son gilet sur ses fesses me donnait des idées lubriques.
J’étais comme lui. J’allais enculer un homme à cause du manque d’enculer une femme
mais cela me plaisait. Je caressai toutes les parties de son corps. Les boutonnières et boutons de
son pull si doux m’excitaient et me faisaient penser à une femme.

Je mis ma langue dans son cul et le lui léchai jusqu’à ce qu’il s’ouvre et réclame ma queue.
J’approchai mon gland et m’y introduit d’un coup. Il eut un cri de douleur mais je n’y pris pas attention
et me décidai à lui ramoner l’anus aussi puissamment que possible.

D’où j’étais placé je voyais les pans de son gilet angora aller au rythme de mes vas et viens.
Je n’épargnai pas son cul et il aimait cela. Je caressait son pull doux et n’allait pas tarder à jouir.
Mais je continuai et ne voulais pas jouir tout de suite.
Je m’amusais à sortir de son cul pour mieux y entrer avec force. A chaque coup de boutoir
je sentais son bas ventre se durcir. Il allait jouir et moi aussi. Mais je n’avais pas envie de jouir dans son cul
qui pourtant était très serré. Je voulais jouir dans sa bouche. Ce qu’aucune femme ne m’avait accordé auparavant
mais aussi pour l’humilier et lui montrer que j’étais en mesure de le dominer.

Je me retirai et lui fit signe de venir me sucer. Il prit ma queue dans sa bouche et me suça avec application.
Je me branlai en même temps. J’écartai les pans de son cardigan si doux que la douceur de cette laine
me fit décharger comme je ne l’avais jamais fait. De longs jets se répandaient sur son torse et son visage mais aussi dans sa bouche.
Il avala ce qu’il put et n’en perdit pas une goutte. Il me nettoya le sexe avec sa langue puis ses mains se sont attardées sur son corps
et il récupéra tout mon sperme pour tout avaler. De mon côté je le branlai et alors que je sentais sa sève monter
ma bouche s’empara de sa queue et il jouit une nouvelle fois dans ma bouche. Quel plaisir. Nous étions comblés.

Il devait se dire qu’il avait trouvé aujourd’hui une belle salope.
Mais je me disais la même chose….

Nous sommes allés nous doucher et avons remis notre tenue de ville.
Il était temps de nous séparer.

- Merci me dit il.
- Merci à toi Chéri. Tu m’as comblé. Je suis certain que Sophie, ta femme, pourrait te combler
autant que moi.
- Tu ne la connais pas. Elle est aussi froide que l’eau d’un lac de Norvège!

- Je n’en suis pas si certain Chéri. Nous avons passé un excellent moment. Je peux sans doute faire
quelque chose pour ton couple et tu m’en remercieras.

- Tu le crois vraiment?
- J’en suis persuadé Jacques.

Il me laissa son numéro de téléphone et m’embrassa.

Je retournai à l’air libre, j’avais le cul un peu cassé mais j’étais content.
Et j’avais dans l’idée de séduire sa femme pour mieux lui prouver que celle-ci
n’était pas telle qu’il la décrivait.

A suivre…

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