Mon Candaulisme Actif

Ayant longtemps pratiqué le candaulisme passif, c'est-à-dire en offrant ma femme à d'autres hommes, je me suis trouvé séparé d'elle et j'ai eu envie de devenir actif, c’est-à-dire l’auxiliaire de maris candaulistes, en faisant l’amour avec leurs épouses. J’ai passé l’annonce suivante dans une revue échangiste : « Je propose de recevoir une femme mariée qui vient seule chez-moi avec l’accord de son mari et qui lui téléphone pendant que je lui fais l’amour pour tout lui détailler. »

J’ai reçu beaucoup de réponses. Certaines ne correspondaient qu’à des fantasmes sans suite, mais plusieurs se sont concrétisées. Je me souviens de ma première expérience. La femme qui a sonné chez moi pouvait avoir une trentaine d’années. Une vraie rousse, cheveux courts, poils du sexe non rasés. Nous avons longuement discuté avant l’amour. Elle m’a dit que son mari aimait qu’elle se rende seule chez un amant, mais qu’elle devait toujours lui faire un récit détaillé à son retour. J’avais moi-même vécut cela avec une grande jouissance. Elle ajouta que c’était la première fois qu’elle téléphonerait à son mari en se trouvant dans les bras d’un autre et qu’il en était follement excité à l’avance.

« Et vous ? » Lui ai-je demandé.

Je trouvais amusant de lui dire « vous » alors que j’étais sur le point de la baiser.

Pour toute réponse, elle s’est jetée dans mes bras. J’ai compris qu’elle prenait beaucoup de plaisir à satisfaire le fantasme de son mari. Je pensais à ma femme qui me disait : « Je jouis d’un autre que toi et je jouis aussi de te savoir fou d’excitation à cette seule idée. »

Elle a composé le numéro de téléphone de son mari avant d’être entièrement nue. Je devinais les questions qu’elle entendait aux réponses qu’elle faisait, le haut-parleur n’étant pas en fonction.

« Oui, mon chéri, il n’est pas mal du tout…
- Je ne sais pas… Il n’est pas encore déshabillé.
- Oui… Sur les seins… Il descend vers mon ventre… Il se plaque contre moi… Je le sens tout dur contre ma cuisse.

»

Elle lui parlait ensuite de ma verge en termes très explicites, la décrivant décalottée, avec une perle de mouille et deux grosses « couilles très fermes au toucher ».

Je l’ai prise en levrette, position qu’elle m’a dit préférer, car je lui avais posé la question. Son mari a entendu ma question, ainsi que sa réponse très crue : « Baise-moi en levrette… j’aime. »

Vers la fin, elle ne disait plus rien, elle gémissait, de plus en plus vite, de plus en plus fort, puis elle a crié. »

Quelques instants plus tard, je l’ai entendue dire à son mari : « Oui, mon chéri… Oui… On a joui ensemble… Oui, des grandes giclées dans mon ventre… C’était tellement bon ! »

Je me mettais à la place du mari, j’imaginais quelle devait être son érection. Je regrettais de n’avoir jamais eu l’occasion de vivre une chose pareille avec ma femme du temps où j’aimais follement qu’elle écarte les cuisses pour un autre.