Henri + Dédée

J‘aime trop la douceur normale de mon mec, Henri. C’est vrai quand nous faisons l’amour c’est une longue aventure qui commence. Il m’embrasse quand nous sommes à table au restaurant, me fait aller aux toilettes pour que j’enlève ma culotte. Il vérifie à mon retour avec son pied en le passant entre mes jambes ouvertes. Je suis humide en revenant à table, son pied me fait l’effet que ferait sa main. Je mouille complètement. Il prend ma main pour la caresser longuement en me disant des mots charmants, gentils, amoureux. Il a envie de moi comme j’ai envie de lui.
- Je bande.
- Je mouille.
C’est deux mots suffisent pour nous mettre déjà à l’heure de notre baise.
- Je te veux, là, maintenant devant tout le monde.
- Si tu veux, prends-moi vite.
Nous continuons le jeu. C’est Henri qui commence
- Et si nous invitions ta copine Dédée.
- Pour jouir avec elle, comme nous l’avons fait une fais déjà.
- Oui.
- Pourquoi ne pas demander à ton copain Jacques de venir aussi, je l’aime bien, je le voudrais dans mon petit trou.
A force de nous exciter, ce qui devait arriver arrive en partie. Je passe deux coups de fil, en commençant par Jacques. Il ne peut pas se dégager, il est avec sa femme. Le second est fructueux, Dédée est libre, acceptant de venir avec nous dans moins d’une demi-heure. Nous l’attendons tout en nous embrassant devant tout le monde sans honte aucune. Nous aimons bien nous montrer, même quand je le branle. Pourtant aujourd’hui, j’ai envie de me satisfaire. Je passe ma main sous la jupe qui remonte bien sur. Je crois que mon voisin me voit quand ma main est sur mon abricot. Je le caresse lentement en le disant à Henri qui me dit bander. J’entretien mon excitation en caressant lentement. Je regarde bien en face mon voisin qui regarde ma main aller et venir. Il doit bander et même se masturber : sa main était sur la table, elle se trouve dessous il doit même avoir sorti sa queue que je devine assez petite.

Mais, s’il veut me la mettre je l’accepterai volontiers. Pour moi ce n’est pas la grosseur qui compte, c’est l’action bien faite dans mon ventre.
Enfin Dédée est là, toujours aussi sexy, habillée court, très court. De quoi enflammer encore mon voisin. Elle nous embrasse, Henri et moi, sur la bouche. Sa langue est toujours agile dans la bouche des autres. Elle s’assoit à nos coté, prête à faire ce que nous voudrons. Elle sait fort bien qu’elle est venue pour se faire mettre. Elle aime tellement l’amour qu’elle a du se branler au saut du lit ce matin. Par curiosité je le lui demande. Bien sur qu’elle s’est branlé comme elle le faisait quand je l’ai appelée. Je prends sa main droite pour l’embrasser et la sentir. C’est vrai elle sent encore sa cyprine que je connais bien.
J’allais la branler devant tout le monde quand Henri nous emmène chez lui. C’est juste à coté. Il nous presse de nous y mettre. Un triple baiser pour nous mettre dans l’ambiance de la débauche.
Nous aimons bien baiser en trio. Surtout Henri qui aime avoir sa queue dans une citadelle pendant que sa langue est dans l’intimité d’une autre fille. Sans nous dépêcher nous sommes nus tous les trois. Je ne peux m’empêcher de prendre un sein de Dédée dans une main, pendant qu’elle fouille déjà ma chatte. Henri s’attache à nous caresser les fesses, manifestant ainsi son désir de nous enculer. Pour moi, j’aime sentir entrer sa pine dans le cul. Dédée n’aime pas la sodomie. Elle ne sait pas ce qu’elle manque.
Avec Dédée, nous nous mettons à genoux pour prier un dieu étrange, la bite de notre amant. Depuis le temps nous savons bien ce qu’il faut faire avec nos langues. Dédée aime lécher la colonne depuis les couilles jusqu’en haut, alors que moi, je n’aime que le gland. Ils nous arrivent d’avoir nos langue en combat pour la possession d’une petite partie. Dans ces rares cas nous léchons la langue de l’autre, ajoutant à notre excitation.
Mais nous partageons toujours le fruit de la fellation, surtout qu’Henri en produit énormément.
Juste avant son orgasme il gonfle légèrement. Nous le savons et en nous y prenant bien nous récoltons sa semence avant qu’il le perde.
Nous montrons toujours nos langues enduites de sperme à Henri avant de la déguster.
Il est inutilisable pour un moment que nous mettons à profit pour nous aimer en pratiquant le saphisme. D’abord nous branlons la copine, puis nous partageons le même besoin de nous sucer le con. Les minous sont écartés par nos langues pour lécher la praline de l’autre. J’aime bien la sucer à cause de son gout particulièrement excitant. En plus sucer une fille fait partie des découvertes que j’ai eu en premier quand je commençais à aimer la baise. Et puis, avoir mes jambes autour de sa tête est un autre plaisir plus profond. En plus nous ne nous contentons pas seulement de nos langues. Nous nous caressons le cul. Elle entre deux doigts dans le mien pendant que je caresse seulement l’anus. Nous nous faisons jouir deux fois avant qu’Henri bande à nouveau.
Nous sommes prêtes à nous faire mettre l’une et l’autre. Quel bonheur quand sa queue entre dans un temple. Même si ce n’est pas le sien. Voir suffit souvent pour nous masturber ou même masturber n’autre pendant qu’on a le con plein. Quand il me baise, je pose mes talons sur ses fesses pour être bien ouverte.
J’aime bien le sentir entrer, il me calme aussitôt avec sa queue. Mes chairs s’ouvrent sans peine. Il le sait bien en allant très doucement. Il en fait autant quand c’est au tour de Dédée de se faire mettre. C’est à croire qu’il nous fait languir volontairement puisque quand il se branle devant nous, il est volontiers partisan de la vitesse.
Il s’enfonce totalement, jusqu’au col de la matrice à me donner envie d’avoir un avec lui. Ses bras m’entourent comme s’il avait peur que je parte en le laissant seul. Il fait pareil à Dédée.
Aujourd’hui c’est elle qui a droit la première à sa queue. Je me suis mise à plat ventre juste derrière les jambes réunies pour bien voir comment il entre.
J’en ai la cyprine qui coule sur le drap. J’ai envie de me branler, j’attends jusqu’à leur jouissance. Je trouve bien beau de voir entrer la queue dans le con de ma maîtresse. Elle soupire dans cesse, comme moi quand je suis à sa place.
Nous ne voudrions pas perdre la queue d’Henri tellement c’est un bon baiseur, toujours attentifs à nos désirs, nos besoins.
En final, c’est toujours la même position : il est sur le dos, une de nous deux prend possession de la bite en s’y asseyant dessus, pour Dédée, c’est toujours dans le verger alors que moi je change selon mon humeur, devant ou derrière. L’autre se mets sur la bouche d’Henri. Sa langue sait bien ce sait bien ce qu’il faut qu’elle fasse pour nous envoyer au paradis.
Mais aujourd’hui, si nous faisons le dernier chapitre c’est pour mieux recommencer. Dédée ne nous est pas réservée. Elle « fréquente » d’autres milieux plus dévergondés que nous, moins classiques.
Sa nouveauté est le fisting. Elle a pris gout à avoir une main dans le con. Un de ses autres amants aime, lui, l’avoir dans le cul. Je ne connais pas cette façon de faire et n’ai pas envie d’essayer. Par contre Henri est intéressé. Il se voit bien avec une de nos mains dans son cul. C’est étrange qu’il demande cette chose alors qu’il refuse toujours quand je veux lui mettre un doigt dans le cul.
C’est donc Dédée qui se charge de l’opération puisqu’elle sait comment on fait. Il est en levrette, les couilles pendant bien, la queue raide. Dédée récupère toute ma cyprine et la sienne. Elle en tapisse l’anus du mâle qui pour une fois va avoir le cul plein. Je la regarde pour prendre une leçon. Elle entre facilement les trois premiers doigts pour ajouter les autres. Je vois qu’Henri commence à avoir mail. Il résiste pour bien montrer qu’il n’’a peur de rien. Dédée arrive en forçant à mettre toute sa main dans le cul tendu de notre amant. Elle y tourne la main lentement. Henri se détend complètement. Il murmure que c’est bon, qu’il va jouir.
Je vais sous lui pour prendre sa queue dans la bouche.
Je fais bien : il jouit d’une façon plus forte que les autres. Je prends une bonne rasade de sperme. Dédée a sorti lentement sa main, je l’embrasse pour partager la semence, elle me branle pour que je le lui rende. Si j’accepte, elle peut me le faire. J’avoue avoir été tentée. Je refuse ce genre de chose. J’ai peut être tort.

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