La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 324)

Suite de l'épisode précédent N°323 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -

Le Majordome commence alors de profonds va-et-vient dans le cul maintenant largement dilaté de la belle chienne qui ‘’ronronne’’ en silence, se mordant les lèvres, fronçant les yeux qu’elle a fermé et crispant ses doigts pour tenter de résister à la montée du plaisir qui la prend de l’intérieur. Walter la pourfend d’une manière animale et sauvage, poussant de grands coups de butoir qui chaque fois la projette vers l’avant, l’obligeant à se maintenir fermement en appui sur les marches d’escaliers pour ne pas plonger tête la première sur les marches, malgré le fait que Walter a attrapé fermement ses fesses pour pouvoir la labourer à son gré et à sa vitesse. Thaïs, qui est toujours retenue par la laisse accrochée à la ceinture de Walter, doit de son côté essayer de suivre le mouvement du bassin du Majordome pour éviter qu’il ne tire sur la laisse à chacune de ses pénétrations intenses. Elle n’a jamais vu de si près, à quelques centimètres à peine de son visage, les attributs virils d’un Homme entrer et sortir avec une telle force bestiale, tandis qu’il vocifère de puissants « ah ! ah ! ah !» pour scander pratiquement chaque coup de bélier. Après de longues minutes de ce traitement intensif, c’est dans un râle sourd de mâle en rut qu’il se répand dans le cul de la femelle Astride MDE en nage, mais aussi presque en larmes tant il lui a été difficile de résister à un orgasme qui lui avait été défendu.

- La chienne serre les fesses ! … Et surtout ne bouge pas avant que je revienne te mettre un bouchon dans le cul, car tu vas garder bien en toi ma précieuse semence qui te tiendra chaud au ventre.

Walter pousse un grand et long soupir qui ressemble presque à un grognement barbare.

- Hummmmmh …………… Cela fait du bien de se vider les couilles dans un petit trou accueillant qui ne demande qu’à être comblé dans tous les sens du terme.



Le Majordome, arborant encore un sexe bien raide, mais tout gluant du sperme qui en est sorti, se retourne alors vers Thaïs MDE, toujours agenouillée à ses côtés.

- Je suppose que tu sais ce qu’il te reste à faire. Tu n’auras donc pas tout perdu puisque tu vas pouvoir récupérer les dernières gouttes de ce bon nectar. Tu nettoies et tu remets tout en place. Exécution.
- Oui, Monsieur Walter. Merci beaucoup.

Thaïs MDE s’empresse, du bout de sa langue bien sortie, de nettoyer le sexe du Majordome qui commence à ramollir et de remonter ensuite le boxer et le pantalon dont elle referme soigneusement la braguette. A peine a-t-elle lâché le zip de la fermeture éclair que Walter sans même avoir pris soin de la prévenir se met en marche en direction de ses appartements personnels. Elle a donc eu à peine le temps de se relever pour pouvoir le suivre, dès qu’elle a senti qu’il tirait sur la laisse pour lui faire comprendre qu’il est pressé. Le Majordome arrivé dans son bureau, récupère sur l’une des étagères un large plug en métal se terminant par un gros anneau et un morceau de chaîne. Il retourne sans tarder au bas de l’escalier où l’attend toujours la soumise Astride MDE qui n’a pas osé bouger d’un seul millimètre attendant les fesses contractées au maximum, le retour et les ordres du Majordome. Walter att le plug anal qui a une forme de double cône inversé et superposé, resserré à la base sur quelques centimètres pour se terminer ensuite par un socle plus large destiné à rester à l’extérieur et sur lequel est soudé un anneau évidé. Le diamètre maximum est au moins aussi large que la taille d’un sexe d’acteur porno très très bien membré et le Majordome prend un malin plaisir à venir présenter l’objet devant les yeux effarés et tout autant excités de la chienne qui sait qu’elle n’a jamais été pénétrée par un gode ou un phallus d’un tel diamètre.

- Regarde, avec çà, tu vas avoir de quoi bien te remplir le cul et conserver ma semence au chaud sans qu’une seule goutte ne puisse t’échapper.
Et tâche de ne pas crier cette fois, sinon je vais en chercher un encore plus gros pour forcer ton petit trou rebelle. Penche-toi en avant en redressant la croupe pour ne pas te vider et tâche de bien écarter les fesses sans te contracter, si tu veux que cela glisse tout seul.

Astride MDE, se met en position, et commence à se mordre le dessus de la main pour pouvoir retenir ses cris, car elle appréhende le passage de l’objet métallique qui va forcer sa corolle à s’élargir de manière plus importante que jamais. Walter fait toutefois attention à faire pénétrer le plug progressivement afin de ne pas déchirer les parties anales fragiles de la soumise, malgré tout élastiques et habituées à être dilatées car il est assez fréquent dans l’enceinte du Château d’imposer un port presque permanent de plugs divers. Thaïs MDE regarde la scène avec des sentiments mêlés contradictoires de désir et de crainte, se demandant si elle arriverait à supporter l’intromission d’un tel équipement, largement plus gros que les godes et les sexes qui ont su se frayer un chemin dans son étroit conduit. Walter attache à l’aide d’une chaîne en métal à gros maillon le plug directement sur le collier de la chienne de manière à ce qu’il ne puisse pas sortir tout seul de l’orifice anal et ni même être ôté par quelqu’un d’autre puisqu’il pose deux cadenas sur la chaine à chaque bout, dont lui seul détient la clef.

- Ce soir, tu viendras me voir après avoir terminée de manger ta pâtée de chienne pour que je puisse te retirer ce que tu vas garder dans les fesses jusque-là et te libérer de ta punition. Reprends ton travail maintenant …. sans oublier de me remercier bien sûr.

La soumise se retourne, se remettant proprement à quatre pattes au pied du Majordome. Elle ressent la masse de métal qui se trouve entre ses fesses, qui lui semble encore plus gênante et présente à chaque mouvement. Son bas-ventre est en feu de se sentir autant remplie et complètement dilatée et écartelée de l’intérieur.
Elle voudrait tant pouvoir jouir pour libérer la tension sexuelle qui s’est emparée de son corps. C’est pourtant avec une grande docilité, qu’elle s’incline devant le Majordome pour déposer un baiser sur la main tendue de ce dernier.

- Merci beaucoup, Monsieur Walter, de l’honneur que vous avez fait à la misérable chienne en chaleur que je suis de m’enculer et de me remplir de votre semence. Merci aussi d’avoir pris le temps de me punir pour avoir ouvert la bouche et crié sans y avoir été autorisée et de me permettre ainsi de devenir une meilleure chienne capable de satisfaire Le Maître suivant son seul bon plaisir.

Astride MDE dépose à nouveau un baiser sur la main du Majordome et s’incline profondément jusqu’à ce que sa tête touche le sol, attendant le départ de Walter pour pouvoir reprendre la tâche ménagère à laquelle elle avait été assignée. Walter monte l’escalier presque guilleret maintenant, ayant un peu évacué la pression qu’il avait accumulée depuis le petit-déjeuner, mais regardant l’heure à la grande pendule murale qui se trouve sur le palier du premier étage, il s’aperçoit qu’il est déjà 11 heures, et que la matinée étant bien trop avancée, il n’aura visiblement pas le temps de faire ce qu’il voulait. Mais il se dit aussi que ce petit intermède jouissif lui a fait le plus grand bien, même s’il a perdu un peu de son précieux temps. Soumise Thaïs MDE suit toujours muette celui qui ne prête même pas attention à celle qu’il tire par la laisse accrochée à sa ceinture. Le Majordome se rend compte que tandis qu’il enculait la première soumise qu’il avait trouvé sur son passage, il en avait presque oublié son téléphone qu’il avait glissé dans sa poche et le fait qu’il attendait des nouvelles de l’infirmière qui a accompagné e6938 chez le médecin, ce qui n’est pas de bonnes augures car cela laisse présager qu’elle a eu besoin de plus de temps pour faire soigner l’esclave blessé. Walter aperçoit au bout du couloir Firmin, qui avait dû monter faire un tour à l’étage pour surveiller les opérations quotidiennes de nettoyage des couloirs et des nombreuses pièces de la grande demeure.


- Firmin ! (interpelle-t-il)
- Oui, Monsieur Walter. Que puis-je pour Vous ?
- Qui est l’esclave en charge aujourd’hui de l’entretien de la grande chambre personnelle de Monsieur le Marquis ? Avez-vous été vérifié l’avancement et la perfection du ménage. Je tiens comme je vous l’ai déjà dit à ce que tout soit nickel pour le retour de Monsieur le Marquis.
- Non, Monsieur Walter, je terminai pour l’instant mon tour à l’étage et je devais m’y rendre par la suite. C’est soumise Holly MDE qui a été affectée à cette tâche pour aujourd’hui. J’aurais peut-être dû choisir parmi les anciennes plus expérimentées qui ont l’habitude des lieux, car c’est la première fois que je lui confie une tâche aussi délicate, mais je ne pouvais pas prévoir d’un autre côté ce qui allait se passer. Et puis Monsieur le Marquis insiste souvent pour que ce soit les nouvelles esclaves-soumises ayant acquis le droit de porter ce titre et les Initiales ‘’MDE’’ qui se chargent de l’entretien de sa chambre personnelle, dès qu’elles ont été formées pour savoir tout ce qu’il y a à faire, car IL dit que cela augmente leur sentiment naissant de soumission, la dévotion qu’elle porte à leur Maître et le désir qu’elles peuvent avoir de vouloir servir Celui qui est devenu leur Dominant, et ceci d’autant plus que c’est un lieu où elles ont bien peu de chance d’être admises en présence du Maître avant d’avoir fait la preuve de leur dévouement total et d’une abnégation sans faille.
- O.K. Je vais moi-même aller voir ce qu’il en est et comment elle s’en sort, la petite chienne Holly MDE. De toute manière, je ferai une inspection plus approfondie demain avant l’arrivée de Monsieur le Marquis, et je pense que le plus simple serait de mettre une autre soumise en charge de la chambre bleue attenante pour que tout soit nettoyé dans les moindres détails.

C’est à cet instant que le téléphone portable du Majordome sonne et le numéro identifiant de l’infirmière s’affiche sur l’écran.

- Alors. Donne-moi des nouvelles. Je commençais à m’inquiéter de voir que tu n’appelais toujours pas.
- Je suis désolée, Monsieur Walter, j’ai fait aussi vite que possible mais nous avons dû aller à la clinique pour pouvoir passer une radio et ensuite attendre que le chirurgien soit disponible, vous connaissez les attentes incontournables des Urgences. Il y a une légère fracture de l’os nasal, qui sera sans séquelles par la suite car il n’y a pas eu, fort heureusement, de déviation de l’os du nez, ni d’altération de la fonction respiratoire et de la perméabilité nasale. En gros, si mes termes médicaux vous paraissent trop pompeux, je veux juste dire qu’il respire normalement et n’a pas besoin d’être opéré, ce qui est plutôt un bon point. Par contre, cette lésion impose toutefois une immobilisation par un petit plâtre qui protège la pyramide nasale et qui est fixé au visage par des bandes élastiques qui sont collées au niveau du front et aussi des joues, il devra garder cette protection pendant trois semaines et éviter tous pratiques à risques pendant un mois. Je tiens à vous préciser que e6938 MDE a eu un comportement exemplaire pendant les soins, ne bronchant jamais malgré la douleur qui devait être conséquente et remerciant le chirurgien qui s’est occupé de lui, qui lui a précisé en partant, sur un ton plutôt humoristique « Rassurez-vous, j’en vois plein comme vous assez souvent, surtout des sportifs, mais pour l’instant tenez-vous tranquille et évitez les rings de boxe ».
- Je te remercie de toutes ces précisions. Je suis vraiment désolé pour e6938 MDE, j’aurai vraiment préféré qu’il n’y ait pas de traumatisme à déplorer. Ramenez-le vite au Château et tu le garderas dans une des chambres attenantes à l’infirmerie jusqu’à complète guérison. Il est bien sûr dispensé de toutes servitudes tant que son état l’exigera et avant tout qu’il se repose pour l’instant avec des calmants pour la douleur si nécessaire. Je passerai vous rendre visite dans l’après-midi. Je vais tenir Monsieur le Marquis au courant, car Lui aussi doit être impatient de savoir ce qu’il en est, car tu sais très bien combien IL a à cœur de s’inquiéter de la santé des membres du personnel, mais aussi de tous Ses esclaves.

Pendant tout le temps où l’infirmière faisait son compte-rendu, le Majordome écoutait sans mot dire avec attention, n’ayant pris la parole qu’à la fin pour la remercier et lui donner quelques consignes et précisions. Mais à peine a t-il raccroché, conservant le téléphone en mains pour adresser sans tarder un sms au Châtelain en lui relatant tout ce qu’il vient d’apprendre, qu’il se met à fulminer tout fort en tapant du pied.

- Ce misérable bâtard d’essai76 de chien enragé, il a réussi à lui casser le nez avec son uppercut de malade …. Si je ne me retenais pas, je crois bien que j’aurais envie de lui mettre aussi mon poing dans la figure pour que ce minable bagarreur se rende compte de la douleur et des conséquences d’un tel geste. Mais ce sont là des manières de brutes, et ce ne sont pas les manières qui ont cours au Château, même en de telles circonstances.

Puis se retournant vers Thaïs MDE, et reprenant son calme après avoir expulsé sa fureur d’un deuxième coup de pied frappé sur le sol, le Majordome ajoute très posément :

- soumise Thaïs MDE, tu es parmi nous pour quelques jours pour parfaire ton dressage, je voudrais prendre le temps de t’expliquer quelque chose de fondamental pour te faire comprendre qu’ici, sous le joug de Monsieur le Marquis d’Evans, tu es en de très bonnes mains, dans un Château où règnent de vraies et saines relations D/s entre le Maître et Ses esclaves. Les punitions sont le plus souvent difficiles à supporter car elles ne sont pas faîtes pour être une partie de plaisir, mais bien une leçon qu’il faut pouvoir retenir dès la première fois pour éviter de recommencer la même erreur, elles sont donc adaptées à la gravité de la faute et aussi à celui à qui elles sont dispensées. Les jeux D/s sont aussi parfois cinglants, chauffants, contraignants, mais ils mêlent toujours douceur et douleur, pour le plaisir des soumis et soumises qui sont en général assez vite excités par ce qu’ils et elles peuvent vivre et partager de délices sensuels et charnels, sans parler des masochistes qui en raffolent presque un peu trop, pensant parfois plus à leur propre plaisir qu’au plaisir de leur Dominant.

Walter marque un temps de pause avant de reprendre, comme s’il réfléchissait et prenait aussi le temps de temporiser la colère qui l’habite.

- Mais ce qui s’est passé ce matin est un acte intolérable, car il y a eu une atteinte physique corporelle. Un vrai Maître Dominant sait très bien quels sont les coups qu’il peut porter et les contraintes qu’il peut imposer sans mettre en danger la vie de son esclave, prenant toujours grand soin de la santé physique et psychique de celui ou celle qui est sous Sa protection autant que sous Son joug. essai76 est un minable impétueux qui a été difficile à canaliser dès le début et qui s’est révélé agressif et finalement bien peu soumis dans l’âme, n’ayant rien compris à ce qui est en jeu dans une relation de Domination et de soumission. Aucun Maître avec un grand M, digne de se dire Dominant et de vouloir se faire une place au sein de la communauté D/s ne pourrait se permettre un tel geste, volontairement de surcroît, qui reste juste brutal et absolument pas D/s. Le Dominant doit en toutes circonstances rester Maître de ses émotions et aussi Maître de la situation.

soumise Thaïs MDE a écouté avec attention les propos de Walter, comprenant un peu mieux pourquoi son Maître a une telle confiance dans son domestique à qui IL confie en Son absence la surveillance de tout le cheptel. Malgré ses côtés pervers et dépravés, le conduisant le plus souvent possible à se vautrer dans la luxure en profitant de toutes les occasions que sa fonction lui confère, le Majordome a au fond une vue claire de ce qui peut et doit être fait à son niveau subalterne pour que le Château légendaire de la famille Evans soit un des hauts-lieux réputés de la Domination/soumission et pour que chaque esclave du cheptel puisse offrir le meilleur de lui-même pour le service et la gloire du Maître qui règne dans ce domaine. Walter regarde à nouveau la pendule qui est accrochée au niveau du palier du premier étage

- Ouh ! là, là ! … la causette est finie … Je dois aller inspecter soumise Holly MDE et vérifier comment elle s’en sort. Tu vas pouvoir ainsi avoir l’occasion de découvrir la grande chambre personnelle de Monsieur le Marquis, bien que ce dernier préfère le plus souvent, en dehors des grandes occasions, dormir dans la chambre bleue attenante plus cosy, bien que très luxueuse également. Il paraît que dans les temps anciens, il s’agissait de la chambre du Roi, enfin celle que tous les Châtelains conservaient meublée et non occupée avec l’espoir qu’un jour le Roi en personne daigne venir y faire une halte et y passer au moins une nuit. Tu n’auras pas nécessairement beaucoup d’autres occasions de pouvoir rentrer dans cet endroit, surtout les yeux non bandés et pour y être admise en présence du Marquis d’Evans, car c’est un privilège qui n’a été accordée qu’à très peu d’esclaves femelles ou mâles.

Thaïs MDE est toute excitée à l’idée de pouvoir découvrir ce lieu car Walter lui a mis l’eau à la bouche. Elle envie presque sa sœur de soumission Holly MDE qui va pouvoir passer toute la journée à faire le ménage dans un endroit si personnel et si intime, qu’elle imagine majestueux, mais aussi impressionnant à l’idée de savoir qu’il s’agit de la grande chambre nuptiale du Château qu’elle va avoir la chance d’apercevoir. En s’y rendant, et passant devant une nouvelle porte sur la gauche dans le couloir, il confie à la soumise :

- Tu vois cette porte, un homme très célèbre y a dormi ! En effet c’était dans cette chambre derrière cette porte que le fameux Marquis de Sade a dormi de nombreux mois quand il a séjourné dans ce Château, rendant visite à l’Ancêtre de Monsieur le Marquis dans les années 1784-1785 après sa sortie de prison !

Thaïs MDE très impressionnée de cette information, se rend compte combien ces Lieux sont chargés d’histoire. Puis Walter contourne le palier pour se rendre juste à l’opposé, face à deux grandes portes en bois de chêne massif sculptées et dorées à l’or fin.

(A suivre…..)

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