Trompé Avec Un Légionnaire

Lorsqu’elle est arrivée avec presque deux heures de retard, à son regard fuyant et la grosse tache humide qui ornait le derrière de sa robe, j’ai tout de suite compris qu’il s’était passé quelque chose.

- Sylvie ? Tu n’as rien à me dire ?

Elle est venue vers moi en sanglotant

- Bat moi, fiche moi dehors, je le mérite
- Et pourquoi ferais-je ça ?
- Je viens de te tromper …
- Tu as un amant ?
- Non
- Alors comment ? pourquoi ? où ? parle bordel !
- Je t’en supplie ne te fâche pas…en débauchant, à l’entrée du village voisin ma voiture avait un drôle de comportement je me suis garée et j’ai constaté que j’avais une roue crevée
- Tu ne pouvais pas m’appeler ?
- Tu étais encore au travail et comme tu m’as appris j’ai voulu changer la roue seule
- C’est bien
- Sauf que, pour dévisser les écrous, je n’ai pas pu, ils étaient trop serrés, un homme aux cheveux ras s’est approché et m’a proposé son aide
- Ahhhhh …
- Lorsque je l’ai vu accroupis devant ma roue j’ai eu comme un déclic, cet homme torse nu, en short moulant, couleur camouflage de l’armée, le tissu baillait derrière je voyais la naissance de sa raie, quelques poils blonds dépassaient, c’est évident, il ne portait pas de slip
- Ça n’explique pas comment …
- J’y viens …j’admirais ses gestes précis, il a fait ça en trois minutes
- Quoi ? il t-a baisée en trois minutes ?
- Bah …une fois la roue rangée je lui ai demandé comment le remercier, il a refusé catégoriquement, et si je pouvais me laver les mains, il m’a invitée à rentrer chez, c’est un légionnaire en permission qui vit seul entre deux opérations, je me suis mise devant l’évier et je me suis décrassée les mains, c’est là que ça a dérapé…
- Il t’a violée ?
- Non... je lui ai demandé un essuie mains, alors qu’il était pendu juste devant moi, mais j’étais trop troublée pour le voir.

.. il s’est penché sur moi pour le saisir, j’ai sentis sa … son ….
- Sa bite ?
- Oui, elle appuyait sur mes fesses, j’ai perdu le contrôle de moi-même, je me suis courbée et avec ma main entre mes cuisses j’ai attrapée ses testicules.
- OK, il a baissé son short et il t’a baisée comme ça ! tu me prends pour un dingue ? avoue que tu connais cet homme et que vous vous voyez régulièrement ? !
- Tu es fou ? ce n’est pas mon amant ! oui c’est vrai, il a baissé son short et a baissé ma culotte, j’ai guidé sa grosse queue dans ma moule, il m’a limé très fort, et a déchargé très vite
- Donc, ça n’as pas pris tout ce temps ?
- Après avoir joui il a continué à me baiser sans s’arrêter
- Et toi ? tu as joui ?
- Deux fois …
- Salope ! au fait ? montre-moi ta culotte ?

Sylvie remonte lentement sa robe, pourquoi est-ce ça me fait bander d’un coup en voyant son slip englué de sperme jusqu’à l’intérieur de ses aines ?
J’ai envie d’y porter la main et de la baiser dans ce jus étranger mais je me ravise …

- Tu sais quoi ? Je ne crois pas un mot de ce que tu racontes, aussi nous allons aller voir ce soit disant légionnaire, tu le laisseras s’expliquer ainsi je pourrais comparer les deux versions, aller en route !
- Tu es fou ? j’ai trop la honte
- C’est ça ou la porte séance tenante
- Tu l’auras voulu ….

Un quart d’heure plus tard je sonne chez cet homme, j’avoue que lorsqu’il a ouvert j’ai été troublé par sa carrure, il a effectivement ce même short moulant ses fesses qui doivent être très dures

- Ahhhh c’est la dame à la roue crevée ? Vous avez oublié quelque chose ?
- Vous pouvez expliquer pourquoi sa petite culotte est à tordre ?
- Aaah ça ? que voulez vous que j’y fasse ? ce qui est fait est fait, c’est la vie, si ça peut vous soulager foutez moi votre poing sur la figure, je ne riposterai pas, je suis habitué aux coups ! regardez ces traces de balles et deux coups de couteaux !
- Expliquez-moi point par point comment c’est arrivé ?
- Elle ne vous l’a pas dit ?
- Je ne crois pas à sa version, c’est pourquoi nous sommes là, tu ne parles pas Sylvie !
- Ah ? c’est Sylvie ? je ne connais même pas le prénom de cette jolie femme ! j’ai vu qu’elle était en peine, j’ai traversé la rue pour changer sa roue tout simplement
- Après ?
- Après ? elle voulait se laver les mains, c’est là que ça a dérapé, je ne sais pas comment elle s’est débrouillée pour attr mes couilles, que voulez vous, je ne suis pas de bois, j’ai baissé mon short et sa culotte, ma queue est entrée dans sa chatte sans que je ne la touche
- Tu vois ? je ne t’ai pas menti !
- Montrez-moi comment vous étiez placés ?
- Si tu veux, j’étais là, à l’évier, j’ai demandé un essuie mains
- Je suis venu derrière elle pour lui donner, comme ça …

L’homme est collé au cul de Sylvie, une main sur sa hanche, et là tout a basculé …comment en vouloir à un homme qui risque sa vie journellement pour nous défendre ? Comment en vouloir à ma femme qui a apporté un instant de bonheur à ce héros privé de sexe ? Même si l’on plaisante sur la fameuse chèvre qui accompagne les légionnaires ! J’ai voulu revivre toute la scène …

- Sylvie ?
- Quoi encore ?
- Refais ce que tu as fait, att lui le sexe, vous, relevez lui la robe
- C’est dingue ce que vous me demandez ! Je bande !
- Baisez la …enfoncez lui votre gourdin dans la chatte
- Vous alors ! Vous ne savez pas ce que vous voulez, mais elle est tellement belle que je ne vais pas refuser, à condition que vous vous en mêliez, sinon c’est moi qui vous casse la gueule !
- Pas de danger, allez y, je regarde simplement

Comme si je vivais un mauvais rêve, je vois les fesses de ma femme se dénuder

- Mais elle est encore pleine de foutre ?
- C’est le votre
- Ça colle ! vous permettez ? je vais enfoncer un ou deux doigt dans sa motte, je n’ai pas eu le temps de visiter les lieux tout a l’heure !
- Vous pouvez même vous faire sucer si le cœur vous en dit
- C’est que je ne me suis pas lavé
- Raison de plus, elle va vous nettoyer la queue avec sa bouche, après tout, c’est sa mouille mélangée à votre jus
- Bien raisonné, après c’est moi qui lui lave la moule avec la langue, je ne sais plus quel goût ça a !
- Je peux m’assoir ici ?
- Je vous en prie, si vous voulez participer, ne vous gênez pas, après tout, c’est votre femme que je vais baiser !
- Faites comme si je n’étais pas là

Finalement les deux amants, une fois nus, décident d’un têtebêche sur un lit douteux, la queue sortie du pantalon je me caresse au gré des phases plus ou moins excitantes, Sylvie a joui rapidement sous la langue vorace, et lui a déchargé de longs jets, sans qu’elle ne recrache une larme de sperme
Une fois revenus à eux, ma femme s’est mise d’elle-même en levrette, l’homme musclé aux reins cambrés s’est positionné à son cul, la bite dans une main, l’autre ouvre la chatte surement toujours dilatée et gorgée de sucs, je me penche un peu pour assister à la pénétration, le gland force sur les lèvres disjointes et s’enfonce d’une seule poussée jusqu’aux testicules pendantes
Une fois le con rempli, il fait des ronds avec son bassin, Sylvie miaule comme une chatte en chaleur, sa gaine vaginale est merveilleusement torturée, soudain il se retire et réinvestit la moule dans un coup de rein herculéen
Cette fois elle hurle et lui demande de recommencer plus fort et plus vite
Le claquement des chairs, les ‘han’ et les plaintes qui accompagnent l’accouplement emplissent la pièce, jamais je ne l’ai baisée aussi intensément, je me rends compte que je suis un piètre amant
On dirait qu’il tape dans un marécage tellement les bruits sont ‘mouillés’, dans un rugissement de lion il lève les yeux au plafond et s’arrête de cogner dans la chatte, Sylvie, repue, se laisse glisser sur le dos, sa chatte se vide dans un gargouillis immonde
Que faire ? Je me lève pour aller la réconforter, ma main s’égare entre ses cuisses, ce n’est plus une chatte aux lèvres bien galbées mais un amas de chairs difformes et gluantes, malgré tout, elle ne me repousse pas lorsque je m’allonge entre ses cuisses, ses bras enserrent mon cou, ma verge est littéralement absorbée par cette grotte inondée de foutre

- Merci mon amour de m’avoir permis ceci, c’est un amant fabuleux !
- Pardonne-moi d’avoir douté, tu veux rester seule avec lui ?
- Non, prenez-moi tous les deux …
- Bien, tu veux qui dans ton anus ?
- … Lui ….

- Je vais te faire rouler sur moi, cambre le cul, il va comprendre

Elle geint comme une biche blessée qui a besoin de soins, le légionnaire aux aguets s’approche

- Sylvie veut une pénétration anale ?
- Tu as deviné, vas-y en douceur elle n’a pas l’habitude
- Son cul est aussi ouvert que sa chatte, ça va rentrer sans peine, tiens la bien …

Sa queue noueuse avance sur la mienne en pénétrant le boyau, du coup ça me ravigote, je durcis au maximum pour le plus grand bonheur de ma salope, elle ondule son cul sur nos bites, orgasmes sur orgasmes elle baise sans discontinuer, mon ventre est une mare de jus, l’odeur spécifique de l’orgie plane, mes couilles se vident, la semence est aussitôt évacuée du vagin distendu, la verge de son amant se cabre par à-coups, il se retire lentement, l’anus émet un vent glaireux … Sylvie ronfle bruyamment sur moi ….
Nous somment restés toute la nuit, de temps à autre j’étais réveillé par des assauts pacifiques !

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