Dressage Et Soumission.

Cela faisait déjà deux mois que Sophie et moi avions été « pris en main » par ALLAN. Nous l’avions vu deux fois pendant ce délai et il nous avait chaque fois amené plus loin dans ce monde, nouveau pour nous, du libertinage.

Sophie désirait vivement que je devienne BI sachant qu’en parfait hétéro, il fallait que je fusse un peu pour y parvenir.

ALLAN était le choix parfait pour nous servir de guide tant était grande son expérience et sa maîtrise dans ce domaine.
Il avait deviné rapidement le potentiel de Sophie ainsi que mes motivations et il s’était fait un malin plaisir de nous soumettre pour pouvoir nous offrir la réalisation de nos fantasmes et la découverte d’autres lieux, d’autres pratiques…

Cette fois, il avait préparé une surprise sans rien nous dire. Nous devions nous voir toute la journée. Un jeudi ensoleillé, doux comme une fin d’été…
Une chambre en deux parties. Un large vestibule avec un grand canapé, et une grande chambre avec un grand lit.

J’allais le chercher en voiture… Comme à l’accoutumé et nous avons parlé de tout et de rien…
J’avais envie qu’il entre dans le « jeu » dés le départ, mais il n’en fit rien se contentant d’être un passager attentif, disert et cordial.

Arrivés les premiers à l’hôtel, nous montâmes dans la chambre. Allan, installa une caméra en face du lit pour ne rien perdre des scènes qui allaient s’y dérouler.

« Je vais aller accueillir Sophie, toi, prends une douche et reste nu.»

Je ne répondis pas et il sortit de la chambre. Je filais sous la douche et revins me mettre sur le lit.
Je n’eus pas longtemps à attendre. La porte s’ouvrit. Sophie et Allan entrèrent.
N’entendant aucun autre bruit et ne les voyant pas apparaître je me levais et allais vers eux.
J’ouvris la porte donnant sur le vestibule pour les trouver … enlacés, s’embrassant tendrement tous les deux.

Lorsqu’elle me vit, Sophie rougit violemment.

Elle était toujours gênée de s’abandonner en ma présence.

Dans les rôles que nous avions accepté, il y avait l’indicible bonheur de réaliser nos fantasmes communs, mélangé à la gêne de suivre une partition où chacun se lâchait et vivait ses propres envies.
Pour Sophie, appartenir à un autre, et lui être un peu soumise était quelque chose qu’elle désirait vivre, mais son amour pour moi, la mettait dans une position plus difficile à supporter… Comme le sentiment de me tromper… Alors que nous avions provoquer justement cette situation.
Pour moi, voir son abandon était toujours extrêmement troublant. Sentir cette frustration, ne plus l’avoir pour moi seul, la jalousie de la voir faire les mêmes gestes avec lui qu’avec moi… Et puis sa tête baissée, ce renoncement d’elle même que je voyais dans son regard et ses gestes empruntés à cause de ma présence.
Il me semble qu’ALLAN avait compris cela très tôt dans notre relation et qu’il désirait en jouer pour nous pousser à éprouver d’autres expériences et partager des moments intenses avec nous.

Sophie avait mit une jupe rouge légère qui laissait deviner qu’elle avait mit un porte jarretelle.
Son corsage noir moulait parfaitement son abondante poitrine et faisait ressortir la pointe de ses seins durcis par l’excitation.
… ELLE N’AVAIT PAS DE SOUTIEN GORGE !!!
Mon cœur s’accéléra rapidement. Je sais qu’elle n’aime pas se balader sans soutien gorge et sans culotte…
Je savais également qu’elle avait eut ALLAN au téléphone avant notre rendez-vous… et qu’elle était restée très évasive sur le contenu de leur conversation (provoquant au passage, une pointe de jalousie.).
Si ça se trouve, elle n’avait même pas mit de culotte !!!
Cette obéissance à ALLAN me troublait toujours autant mais j’étais bizarrement heureux et fier qu’elle accepta de jouer ainsi à notre jeu.
Bien sur elle obéissait à un autre que moi, passant au dessus de ses propres barrières, acceptant de lui appartenir, mais ce faisant, elle me montrait comme elle pouvait aller loin par amour pour moi.

… En plus, j’avais l’étrange impression qu’ils avaient, tous les deux, prévu la journée sans m’en parler. J’allais donc avoir sans doute quelques « surprises » durant cette journée.

J’en étais là de mes réflexions, lorsque se séparant de Sophie ALLAN passât devant moi me laissant seul avec elle.
Je la pris dans mes bras pour l’embrasser, sentir sa chaleur contre moi, sentir sa poitrine s’écraser sur mon torse nu… sentir son cœur affolé battre à tout rompre.
« Mon amour, comme tu es belle, magnifique dans cette tenue. »
« Merci mon cœur. »
« Il t’a demandé de ne pas mettre de sous vêtements du tout ? »
« Oui… » Me répondit-elle en rougissant
« … Et … tu l’as fais ? »
« … Ou… Oui » Dit-elle encore plus rouge.
Je l’embrassais avec encore plus de passion le cœur au bord de la rupture…
J’étais excessivement ému de voir de quelle façon, elle s’abandonnait.

Je laissais mes mains partir à la découverte de son corps pour sentir ses seins sous mes doigts et passer sous sa jupe…
Elle me prit les mains pour les retenir d’aller plus loin…
« Non, mon cœur, tu sais bien qu’il te faut l’autorisation d’ALLAN… »
« Mais enfin, on n’a pas encore commencé, je ne dirais rien… »
« Non, s’il te plait… et puis tu as bien vu qu’on avait déjà commencé non ? C’est pour ça qu’il est venu me chercher. »

WOUAOW !!! Elle était parfaitement en phase avec nos scénario et elle m’allumait d’entrée de jeu !!!

Elle passât devant moi en faisant voltiger sa jupe. J’étais dans un état de grande excitation et je bandais déjà.
Je la vis entrer dans la chambre qui allait devenir le théâtre de nouvelles aventures sexuelles…
Je suivis des yeux les plis de sa jupe, admirant sa démarche souple, dévoilant ses mollets nerveux. Des images se superposaient… Cette jupe dont elle allait se débarrasser et sous laquelle elle était nue… sur les ordres d’ALLAN.
Ce corps généreux dont il allait profiter amplement puisqu’il en était le « nouveau maître ».

J’imaginais aussi les regards de vainqueur qu’il allait me lancer pendant que les lèvres rondes de ma belle envelopperaient et câlineraient sa virilité triomphante.
Je songeais à Sophie en levrette, les yeux dans le vague en train de bouger pendant qu’ALLAN profite de son cul. Lui qui, de son propre aveux, aimait tant la sodomiser.

Je voyais tout cela en la regardant rejoindre SON maître… le notre.

A peine arrivé dans la chambre, il me glissât à l’oreille:
« Tu vas être tendre avec MA soumise. Tu la déshabilles tendrement, tu la détends et tu ME la prépares correctement. Je veux qu’elle mouille abondamment avant de m’occuper d’elle. »
« Oui… maître » Avais-je chuchoté
« C’est bien tu apprends comme il faut. Appliques toi surtout.»

Il l’a regardât, lui fit un sourire, un petit clin d’œil avant de lui dire :
« Faites comme si je n’étais pas là mes soumis »

Elle me sourit tendrement, amoureusement et vint me prendre dans ses bras, pour m’embrasser, fougueuse et passionnée comme à son habitude.

Je sentais ses doigts sur mon torse. Elle jouait avec les poils, mes tétons pour les faire bander pendant que nos langues se mêlaient étroitement l’une à l’autre.
Elle se livrait à moi, comme si ALLAN n’avait jamais existé, comme s’il n’était pas là.
J’ouvris doucement son corsage faisant sauter les boutons les uns après les autres.
Je voyais apparaître ses seins ronds comme des balles, tendres et douces et qui montaient et descendaient nerveusement au rythme de sa respiration rapide, pleine d’amour et d’émotion à peine contenus.
Les pans de son corsage pendaient maintenant de chaque côté découvrant les pointes érigées par l’excitation et la situation.
Je penchais la tête vers cette poitrine qu’elle m’offrait et je posais mes lèvres sur ses framboises dures et gorgées de désirs.
Elle soupirait gravement puis se mit à gémir. Je savais qu’elle aimait les baisers, les morsures légères autant que le fait de s’offrir à moi … devant SON maître…
Etrange sentiment que d’être gênée vis à vis de cet homme qui la « prêtait » à moi, l’homme dont elle était amoureuse…
Cette inversion des rôles nous troublait tous les deux qui comprenions que la situation avait complètement changée.


Je laissais mes mains partir à la redécouverte de son buste, de sa peau. Ce grain si souple, si désirable. J’en agaçais les pointes, soupesais leur masse, en savourais le toucher si délicat.
Je fis descendre le tissu le long de ses bras et jetais le corsage au loin, avant de m’attaquer à sa jupe.
J’embrassais son ventre et ses seins en alternance pendant que mes mains faisaient glisser le vêtement le long de ses jambes fuselées et recouvertes de bas noirs.

ALLAN jouissait visiblement de son emprise sur nous et se régalait de notre gêne, de nos gestes presque empruntés.
S’aimer devant un autre homme était une chose qui nous embarrassait beaucoup moins qu’avant. Pourtant, nous éprouvions une timidité nouvelle à le faire devant un homme qui était devenu NOTRE maître.
… Sans doute le désir de ne pas lui déplaire voire celui de le satisfaire pleinement.

WOAOUAW !!! Quelle beauté dans sa nudité partielle… ce porte jarretelle, qui tranchait si joliment sur sa peau claire !!!

Je me mis à genoux devant la fourche de ses jambes qu’elle ouvrit sensiblement pour laisser passer ma langue sur son clito.
Elle mit un pied sur la chaise à côté de nous et me prit la tête à deux mains pour la plaquer contre son ventre.
Elle désirait les caresses de ma langue sur son clito, dans sa chatte, sentir monter son désir, inondant ses intimités, quitte à les offrir à SON maître ensuite.
Sophie gémissait, profitait de ses instants octroyés par ALLAN, de ma langue et de la montée de ses envies.
Je la sentais couler sur ma langue, je buvais à la source ce nectar de reine qui se répandait en ondes abondantes, régulières… l’intarissable fontaine perlait dans ma bouche ouverte.
Sophie s’accrochait à moi comme un naufragé à SA bouée.
Elle se mit à me griffer en miaulant tendrement… Elle commençait à jouir tout doucement puis de plus en plus violemment.
Je glissais deux doigts dans ce sexe offert et chaudement excité par mes soins.
La doigtant rapidement et profondément, je l’entendis jouir mais de manière étouffée…

Je levais les yeux … ELLE EMBRASSAIT ALLAN qui s’était approché silencieusement de nous.
Il lui caressait les seins, le dos, prenait ses tempes entre ses doigts et je voyais le jeu habile de leurs deux langues.
Pendant qu’il l’embrassait, il me mit une main sur la tête et attirât ma bouche à la hauteur de sa bite !!!
J’ouvris la bouche pour le sucer … Tout en doigtant Sophie qui me griffait le dos et jouissait dans la bouche de SON maître.

ALLAN ne me lâchât pas jusqu’à la fin de la jouissance de notre belle Sophie qui peu à peu ouvrit les yeux pour me voir, la bite notre maître en bouche.
Elle dut avoir un coup au cœur devant ce spectacle ! Je sentis une autre main sur mon crâne… la sienne sans doute. Elle accompagnait les mouvements que je faisais en suçant.

J’entendis un chuchotis… Puis la voix de Sophie :
« Suce bien ton maître ma …belle… salope »
Les mots se bousculaient moins qu’avant dans sa bouche. Elle acceptait de mieux en mieux sa condition et ce qu’elle devait faire pour le maître.

ALLAN dut lui appuyer sur les épaules ou la tête car bientôt je la sentis s’agenouiller près de moi et ses lèvres rejoignirent les miennes pour partager cette bite si bien bandée et si désireuse de passer d’une bouche à l’autre voire de se laisser gourmander par les deux.

Nous passâmes tous trois sur le lit et continuâmes en trio. ALLAN la doigtait pendant que je l’embrassais. Il ne nous quittait pas des yeux.
Me redressant, j’osais lui demander :
« Maître, je peux avoir la bouche de Sophie s’il vous plait? »
« Oui, bien sur, si elle le désire. »
Sans attendre, elle se jetât littéralement sur ma bite et se mit à me sucer comme une damnée.
Elle avait attendu haletante cette autorisation et elle comptait en profiter le plus possible. Elle faisait aller et venir sa langue sur la rondeur énervée de mon gland tellement impatient de sentir à nouveau la chaleur de sa bouche.
Je sentais qu’elle s’agitait de plus en plus. Ses gémissements progressivement plus forts,
Montraient que le plaisir montait en elle de façon inéluctable. Elle criait son plaisir sur ma bite en me mordant le gland de plus en plus fort. Je dus me retirer sous la douleur…
Elle s’accrochât et me griffât les fesses y laissant la trace de ses ongles acérés.

ALLAN s’écarta nous laissant continuer nos câlins. Excité comme je l’étais, je la couvris de mon corps.
Le sien précédemment secoué de spasmes, se calmait doucement et m’accueillit amoureusement.. Elle ouvrit ses cuisses largement. ALLAN se penchât à mon oreille pour y dire :
« La chatte seulement, son cul m’appartient. N’oublie pas ! »
Je posait mon gland sur le sommet de son sexe et le laissait glisser doucement dedans.
Je la faisais languir la laissant croire que j’allais assouvir son désir brutal d’être prise et de me sentir (ENFIN !!!) en elle… tout entier … pour finalement retarder ce moment.

Elle me laissât faire et je descendais tendrement en elle … par petite pause.
Ancré en elle, je me mis en mouvement très lentement la laissant, empressée dans l’attente de ma complète intromission.
Enfin tout au fond d’elle, je sentis ses jambes m’enserrer et m’interdire tout retrait.
Elle balançait son bassin vers moi pour s’y empaler joyeusement, entièrement.
La houle qui nous prit se fit plus impérieuse et plus violente… Elle se donnait enfin à moi et ne me lâchât que lorsqu’elle m’amenât jusqu’au point de non retour. Je m’épenchais en elle en gémissant et elle m’enlaça pour me dire des « Je t’aime amour » répétés et si authentiques.

ALLAN vînt et lui mit un bandeau sur les yeux. Il se penchât sur elle pour l’embrasser poussant ma tête vers sa chatte pour que je la nettoies correctement. Sans mot dire, je m’exécutais et la léchais, buvant mon propre sperme.
ALLAN se levât et allât dans le vestibule pendant que je léchais Sophie.
Sans bruit, je le vis revenir avec … DEUX AUTRES HOMMES ???!!!??
Il mit son doigt sur la bouche en guise d’injonction au silence à mon intention.
Il me guida pour que je retourne embrasser ma belle pendant que lui se couvrait d’un préservatif. Les deux hommes devaient se dévêtir dans le vestibule car je les vis ouvrir la porte silencieusement et regarder en commençant à bander devant l’érotisme de cette femme qui allait recevoir son maître entre ses jambes de nouveau ouvertes tout en embrassant son mec.
Le candaulisme ne leur échappait nullement et ils semblaient tous les deux en goûter l’érotisme trouble qui inondait la chambre.
ALLAN entra en elle avec les mêmes précautions que moi auparavant… Peut-être pour brouiller les cartes dans la tête de Sophie qui se remit à haleter.
Il me poussa le bassin vers la bouche de sa soumise qui soufflait et tremblait de nouveau.
Sophie ouvrit la bouche et commença à me sucer tendrement… Je sentais son corps pris par les soubresauts de son amant, son maître. Je la sentais qui accompagnait chacun de ses mouvements.

ALLAN me mit une claque sur les fesses et fit une œillade en direction des deux autres hommes. L’un d’eux me pris pas les épaules pour m’écarter. Je n’opposais pas de résistance sachant désormais ce qui allait se passer. J’allais devenir spectateur du « prêt » de Sophie à des inconnus par son maître.

Je ne sais si Sophie sût ce qui se tramait devant elle, mais lorsqu’elle sentit de nouveau un gland contre ses lèvres, elle ouvrit la bouche. L’homme qui poussait son gland dans la douceur chaude et humide de sa cavité buccale, devait faire un bon mètre quatre vingt.
Il était velu, et semblait puissant. Son visage doux tranchait avec sa puissance musculaire et son volume. Il avait été sportif c’était certain et même si la cinquantaine avait arrondit son ventre, il dégageait une grande impression de force.

L’autre plus sec et semi épilé avait un visage assez fermé. Il était musclé, mais avait su résister aux rondeurs que nous inflige fréquemment la nature à notre entrée dans la pleine maturité. Bref, il était mince ... scandaleusement mince et parfaitement proportionné. Les abdos saillants les pectoraux parfaitement entretenus.
Il s’approchât de moi et me glissa à l’oreille :
« Il paraît que tu aimes sucer alors… distingue toi. »
Se disant, il avait appuyé sur ma nuque pour m’agenouiller et me « forcer » à le sucer.
Honteux, je constatais avec une pointe d’amertume, que mes précédentes aventures avaient entamé mes réticences et que je ne mis pas longtemps pour accepter de me mettre en position et l’accueillir dans ma bouche.
J’aimais même sentir la douceur d’un gland contre mon palais.
Je pensais que Sophie et moi faisions exactement la même chose et je me remis à bander sourdement… imperceptiblement… enfin c’est ce que j’espérais.

Du coin de l’œil, je voyais Sophie sucer cet inconnu pendant que SON maître lui pistonnait toujours la chatte.
ALLAN la faisait encore onduler mais ne la laissât pas jouir complètement se retirant avant l’assaut des vagues de plaisir qui menaçaient de submergée la gentille et docile soumise… peut-être encore convaincue de se livrer à un trio avec son mec et son maître.
L’homme que je suçais, me repoussa assez doucement avant de venir s’installer entre les cuisses toujours ouvertes de ma tendre amoureuse. Il se couvrit rapidement la bite et s’enfonçant précautionneusement dans cette chatte ouverte ; accueillante, impatiente même. Dés qu’il fut en elle, il la pistonna sur le même rythme que lui avait imposé ALLAN juste avant… Puissamment mais avec une grande tendresse ce qui contrastait avec l’impression d’ensemble que ce particulier là dégageait.

« Vois comme elle se donne… Elle sait sans doute, mais regarde comme elle accepte, comme elle les accueille en elle. N’est-elle pas magnifique comme ça ? »
« Si… maître. Elle est splendide. »
« Bien, je vais continuer son dressage. Suis moi. »
ALLAN me poussa vers la porte et m’amena en silence dans le vestibule. Il ouvrit sans bruit la porte qui donnait dans le couloir.
Qu’allait-il arriver maintenant ??? Je croyais qu’après m’avoir accordé le bonheur de faire l’amour à Sophie, il avait juste décidé de « reprendre la main » en l’offrant à d’autres et que j’allais devoir assister à la scène en spectateur…
Las, il n’en était rien et je compris ce qu’il attendait de moi lorsque je vis … DEUX AUTRES HOMMES à la porte !!!
« Tu vas bien t’occuper de ces messieurs comme une bonne petite salope. »
S’adressant aux deux nouveaux, il leur dit :
« Elle est à vous dressez là comme il faut, sans trop de bruit. Je retourne m’occuper de Sophie ma soumise docile. »

J’étais estomaqué. Je restais sans réaction, les jambes tremblantes, le cœur affolé. La transition était brutal et je passais sans avertissement d’un trio où je participais, partageais, au rôle de salope qu’ALLAN avait décidé pour moi.
J’étais comme un boxeur, sonné, sans énergie dans un état indescriptible.
Je me laissais faire lorsque le grand noir devant moi, me mit à genoux et m’imposa de lui ouvrir le pantalon en guidant mes mains vers sa ceinture.
Lorsque ce fut fait, je défis mon suborneur, lui baissais le pantalon et le boxer laissant un imposant priape sortir de sa prison comme un beau diable !
Une main derrière ma nuque qui m’impose un mouvement vers l’avant, un gland contre mes lèvres… j’ouvre la bouche, il s’y glisse… Je suce … (encore !). Me voilà soumis/soumise complaisant et offrant ma bouche à ce noir musculeux et un peu bedonnant quoiqu’athlétique.
L’autre, plus jeune, la quarantaine frisotante maigre et musclé, la mâchoire carrée se désapait entièrement et prenait ma main pour y glisser une bite encore souple mais d’un diamètre inquiétant au repos.

Je tentais d’y jeter un œil, geste vite interrompu par celui que je suçais et qui, visiblement, ne tenais pas à me laisser me perdre en vaine contemplation préférant asservir ma bouche pendant que je branlais son compagnon.

De l’autre côté de la porte, j’entendais les murmures de mon aimée, qui devait être secouée en tous sens par les hommes avides de profiter de l’aubaine que leur accordait ALLAN.
Ses cris étaient étouffés ce qui voulait dire qu’elle avait une bite dans la bouche …comme moi. Cela voulait dire aussi qu’on la ramonait d’importance par ailleurs.
Je ne savais rien de ce qui se passait, mais nul doute qu’ALLAN allait « dresser » SA soumise pour qu’elle acceptât les traitements qu’il lui réservait… docilement…

Le petit maigre avait fait le tour. Je sentais qu’il s’intéressait à mon cul et qu’il commençait à me le préparer pour la suite. La froideur d’un gel, un doigt inquisiteur.
Un autre doigt, une fouille profonde, mon anneau qui s’écarte et s’ouvre sous l’intrusion.
La même gêne que l’autre jour.
Un gland qui pèse sur ma corolle qui s’ouvre lentement mais surement. Une bite m’envahit me tirant des gémissements assourdis par cette autre bite qui encombre toute ma bouche !!!
Armand, le grand black me mit un collier de soumission autour du coup en me disant :
« On va te dresser en bonne salope, mais comme il paraît que ta belle n’aime pas trop te voir comme ça, on va rester ici tous les trois. »
« Si tu n’es pas obéissante, on prendra une autre chambre où tu pourras crier tranquille. C’est ce que tu veux ? »
Les larmes aux yeux à cause de cette sodomie qui réveillait de récentes douleurs, je réussis à dire doucement :
« Non, monsieur, je serais … ; obéissante. »
« ALLAN nous avait prévenue que tu avais toute la motivation requise. Ouvres ta bouche et pompe moi salope. »

Je repris ma tâche docilement. Ils se retirèrent de moi. J’étais épuisé par ce que je devais subir en silence. Armand se couvrit la bite pendant que Bertrand enlevait son préso et me présentait sa bite à sucer.
De nouveau dans mon dos, les mains d’un homme… Un autre gland sur mon œillet qui béait de la précédente pénétration.
Encore cet écartement, cette douleur qui revient, plus forte… ce n’est pas la même longueur. Le diamètre est un peu plus petit mais la longueur par contre …
« HUUUUUUUUUUU »… fis-je le plus discrètement possible.

Je me demandais si Sophie était dans la même position que moi… Un homme dans sa bouche et un autre entre ses fesses.
ALLAN nous obligeait à vivre côte à côte une expérience inédite où nos esprits atteignaient le même bouillonnement que nos corps asservis.
J’entendais les cris étouffés de Sophie, le lit grincer.

Bertrand se retirât de moi et s’allongea sur le canapé. Armand me releva et me poussa vers son compagnon afin que je m’empale sur lui. J’avais un peu peur de la suite… Etre une salope silencieuse n’est pas un rôle facile et avec ce que j’avais accepté, je m’étais mis (mise ?) dans une position où je pouvais difficilement refuser la suite des évènements.
Armand m’aida à m’empaler écartant mes fesses et il m’appuya sur les épaules pour que la sodomie fût complète.
Il me pencha en avant vers le visage de Bertrand qui lui, m’attrapa la tête pour m’embrasser très profondément… COMME UN AMANT !!!
C’était la première fois que je roulais une pelle à un homme. J’étais extrêmement gêné car j’avais REELEMENT l’impression que les deux hommes me faisaient jouer le rôle d’une femme…une salope qui plus est. Ma virilité en prenait un fameux coup !
Armand maintenait la pression sur mon dos et je sentis contre mon cul un frottement.
… Une pression supplémentaire sur mon anneau déjà ouvert… et toujours encombré par la bite de Bertrand. IL ETAIT EN TRAIN DE METTRE UN GODE DANS MON CUL!!!
« HUUUUUUUUUUUUUU !!! » criais-je dans la bouche de celui que j’embrassais.
« Chutttt !!!Tais toi salope, on est en train de bien t’ouvrir pour t’apprendre à toujours être disponible. Et puis… tu seras prête pour une éventuelle double… »
Ma tête explosait, je ne savais plus où j’en étais, cette langue qui tournait dans ma bouche, ma condition de salope soumise qui semblait prendre un caractère définitif, et mon cul ouvert sur une bite PLUS un gode !!!
Armand, après avoir arrimé le gode se mis devant moi et… j’ouvris la bouche, presque naturellement, accueillant son sexe droit comme une obélisque noire !
Ils me firent subir une cavalcade d’enfer, Armand faisait aller et venir le gode en même temps que la bite de Bertrand. Bizarrement la douleur était moins vive. Elle devenait plus sourde. Régulières et profondes les pénétrations écartaient les parois de mon anus dilaté et semblaient assourdir la douleur.
En moi même je me disais :
« HO NOON !!! JE VAIS QUAND MEME PAS ME METTRE A AIMER CA !!! ».
Soudain, j’avais peur de ce changement, cette transformation. Il y avait toujours la douleur, mais, alors que mon cul était ouvert comme jamais, je la sentais paradoxalement moins gênante ??!!!?? Je m’habituais à cet encombrement, je ne rechignais plus à sucer la bite qui se présentait à moi… C’était évident désormais :
JE DEVENAIS BI !!!

La porte s’ouvrit. ALLAN apparut demandant doucement :
« Alors elle en est où. »
« Elle se laisse bien faire, elle est bien docile et elle a l’air de commencer à aimer même» dit le black.
« Ouais, dit celui que je suçais… écoute comme elle commence à gémir… »
… C’ETAIT LE CAS en effet!!! Je gémissais et ne savais plus si c’était de la douleur, du plaisir, l’étrangeté de la situation, les soupirs de Sophie qui continuait à côté…
ALLAN me pris le menton :
« Alors tu commences à comprendre ce que j’attend de toi ma salope ? »
« Oui maître je comprends. »
« Tu es belle en salope. Dis moi, tu as l’air d’aimer ce que tu es devenue en effet. N’est-ce pas ? »
Perdu, je répondis :
« …Je ne sais pas … maître, oui, je crois »
« Qu’es tu devenue ma belle ?dis le à ton maître ! »
« Je suis devenu votre salope… maître »
« C’est parfaitement ça ! Viens voir comme Sophie est bien dressée maintenant. »
Armand me retira le gode et Bertrand sorti de mon cul. Je sentais que mon anneau ne se refermait pas …
« Voilà, tu es très belle comme ça, le cul ouvert. Allez suis moi en silence. »
Il attacha une laisse à mon collier et me tira vers la chambre.
Je me levais, les jambes en coton, mal aux genoux et suivis doucement ALLAN. Sophie était à califourchon sur un homme qui la tenait aux hanches. Elle se frottait sur son ventre d’avant en arrière sentant sans doute ses poils contre les siens.
Elle avait les yeux fermés et suçait consciencieusement la bite de celui qui était debout face à elle.
« Tu vois, elle est bien dressée maintenant, elle sait que tu n’es plus là, mais elle continue de sucer les queues que je lui donne. Regarde là arrondir les lèvres autour de cette bite. Elle a l’air de savourer ces tiges non ? »
« … Oui, je vois… maître. »
« Approche toi et tu vas voir.
Je fis ce qu’il me demandait et je vis !!!
Elle était en train de se faire enculer par cet homme qu’elle n’avait pas encore vu puisqu’elle avait toujours le bandeau sur les yeux !
« Je t’ai fais venir pour assister à sa première double. Dressée comme elle l’est maintenant, elle ne me le refusera pas. Je vais même te faire un cadeau !»

Il s’allongeât sur le dos près du trio. Celui qui l’enculait se détacha de Sophie, qui se mit à gémir de ce vide. Celui qu’elle suçait se retira aussi la laissant haletante. Il l’a pris par les épaules et l’installa sur ALLAN qui pointait sa bite et entra d’une traite dans ce sexe largement ouvert et dégoulinant, si j’en jugeais par les traces d’humidité sur les draps.
Elle soupira doucement.
Le maître l’enlaçait maintenant et l’embrassait à pleine bouche. Le reconnaissant, elle se donnait à lui avec un empressement que je ne lui avais guère connu … qu’avec moi !!!
Sophie dut sentir que le lit s’affaissait derrière elle et peut-être que, dans les brumes de ses plaisirs, savait-elle ce qu’on lui réservait.
En tout cas, elle ne réagit pas. ALLAN lui murmura quelque chose à l’oreille et je la vis comme dans un rêve opaque, lancer ses mains derrière elle et … ECARTER ELLE MEME SES FESSES !!!
Armand, c’était lui, pointa son gland et appuya avec d’infinies précautions sur le centre du cul de Sophie qui s’ouvrit lentement pour laisser la place à ce gland épais.
Pour l’avoir sentis en moi, je savais que c’était le passage le plus dur… Après ça, la corolle lâchait prise, le gland passait rapidement la barrière (coupant le souffle) et la pénétration pouvait alors commencer.
C’est ce à quoi j’assistais. Sophie eût bien le souffle coupé et juste après, elle se mit à crier dans la bouche de son maître, pendant que je voyais la bite d’Armand disparaître complètement entre les fesses écartées de ma tendre.
ALLAN regarda dans ma direction et me sourit d’un air de dire :
« Tu vois comme je l’ai bien dressé MA soumise… »
Il tendit la main et Bertrand lui donna la laisse. ALLAN m’amena devant Sophie qui gémissait toujours entre les dents de SON maître. Il me fit un clin d’œil et je compris lorsqu’il pris SA soumise par les cheveux pour lui lever la tête vers mon bas ventre.
J’avançais vers sa bouche, ouverte sur d’interminables soupirs et je posais mon gland sur ses lèvres.
Elle soupira car ALLAN lui imposait une nouvelle épreuve puis, sans aucun signe de réticence, elle referma ses lèvres sur mon gland et se mit à me sucer en gémissant.
Le maître lui ôta alors le bandeau des yeux. Sophie battit des cils pour s’habi à la lumière. Elle leva les yeux vers moi après avoir regardé notre suborneur et sans plus se soucier de savoir qui était dans son cul, elle me suça avidement.
Quelle fierté de la voir accepter ainsi, pour moi, SA PREMIERE DOUBLE enchainée avec sa PREMIERE TRIPLE !!!
. Dans son dos, Sophie sentit qu’Armand se retirait de son cul… Immédiatement remplacé par un autre qu’elle ne voyait pas mais qu’elle accueillit avec un gémissement sourd étouffé par ma bite. ALLAN et les enculeurs, alternaient parfois leurs mouvements. D’autre fois, seul celui qui sodomisait mon amour bougeait lentement.
Une grande impression de douceur émanait de nos quatuors. Il était parfaitement clair que ce qui était recherché était le plaisir de tous les participants… En commençant par celui de Sophie, la reine de cette fête des sens.
On tira sur la laisse pour que je cède la place. A regret, je quittais la bouche de mon aimée.
ALLAN prit la tête de Sophie à deux mains.
« Alors ma belle soumise, tu aimes ce que ton maître te fait découvrir ? »
haletante secouée de spasmes et par ses partenaires mais souriante, elle répondit :
« ..Ou… Oui … Maî…Tre J’aim…heuu »
« Tu es très belle ainsi offerte docile Sophie. Tu aimes la triple ? »
Elle rougit intensément s’apercevant du monde qu’il y avait dans la chambre, mais trouva la force de répondre :
« Oui… Maître, j’aime bien… »
Armand entra dans son champ de vision… Elle qui n’avait jamais, malgré ses envies, eût de rapport avec un homme noir, le regarda surprise. Comprenant ce qui se passait, elle regarda ALLAN l’interrogeant du regard.
« Ouvre la bouche et suce Armand jolie soumise. »
Elle obéit après un petit temps d’hésitation interrompu par une claque assez légère sur ses fesses.
Je la vis ouvrir la bouche et prendre Armand entre ses lèvres alors que derrière, un nouveau changement s’opérait… Un nouveau cavalier.
Sophie ferma les yeux et commença à chalouper avec ses partenaires. La sarabande continuait dans un concert de soupirs de tendresse et de douceur.
Je la voyais fermer les yeux. Je l’entendais gémir. Elle se mit à griffer les épaules d’ALLAN.
Ca y était, un nouvel orgasme pointait doucement le bout de son nez.
Je n’eus pas le loisir de rester spectateur car Bertrand tira sur la laisse et me mit à genoux…
Docile et comprenant ce qu’il voulait je le pris entre mes lèvres serviles sous le regard goguenard d’ALLAN qui semblait savourer son emprise sur nous.
Il avait réussit à faire de notre couple, un couple de soumises. En deux séances, il avait transformé un couple illégitime classique en une paire de salopes obéissantes, dociles et volontaires pour accepter les ordres qu’il nous donnait… Et les exécuter sans rechigner.

Nous étions ainsi, moi à genoux en train de faire une belle fellation et Sophie prise en triple par ALLAN et deux hommes QU’ELLE N’AVAIT JAMAIS VU !!!
Notre transformation était complète. Au milieu de cet énième orgasme qui dévastait les traits fatigués de ma belle Sophie, je vis l’homme poilu et ventru s’approcher de Bertrand et moi.
« J’ai jamais enculé un mec…Je peux ? » … Fit-il à l’adresse de celui que je suçais.
« Oui, bien sur… Elle est là pour ça n’est-ce pas salope ? »
« Oui, Monsieur »
« Hé ben, mais dis le !!! »
« Oui, je suis là pour ça… »
Je reçus une gifle cinglante.
« Tu es quoi ? »
« Je suis une salope et je suis là pour sucer et donner mon cul monsieur. »… M’empressais-je de répondre.
« Voilà c’est bien. »
Le nouveau m’embrocha d’une traite et je fus étonné de ne plus ressentir la même douleur que tout à l’heure… Troublante évolution…Bouleversant changement.

Autour de nous, le silence était peu à peu retombé. Sophie émergeante de son brouillard extatique me regardait faire le regard captivé, accroché par la scène, les mouvements, les balancements qu’imprimaient mes amants à mon corps éreinté.
Celui qui ondulait dans mon cul ne put se retenir et se mit à jouir au fond de moi et de la capote.
Je sentais parfaitement les soubresauts de sa bite.
Bertrand sorti sa bite de ma bouche et m’arrosa de son jus.
« HOOOOOO !!! » Sophie exprimait sa surprise la bouche arrondit les yeux écarquillés.
Lorsque ce fut fini, je tournais ma tête vers elle, le visage maculé de traces blanches et légèrement mousseuses qui barraient mon visage.
Elle m’adressa un sourire attendrit et je vis ses lèvres dessiner un « JE T’AIME » silencieux…
Le gars un peu sec et Armand s’approchèrent de Sophie et ALLAN lui dit :
« Branles les, suces les et fini les ! »
Rougissante, elle prit une bite dans chaque main et les suça alternativement.
Excités comme ils l’étaient par l’ambiance, les odeurs qui flottaient dans la chambre et par les attentions habiles de Sophie, ils ne tardèrent pas à jouir sur sa poitrine et ses épaules.
ALLAN prit dans son sac à dos, une bouteille et des gobelets plastiques, fit sauter le bouchon et nous servit.
Nous bûmes, épuisés mais souriants. Les invités se rhabillèrent et prirent congés de nous trois.
Sophie avait commencé à m’essuyer. J’avais pris la serviette et avait enlevé le plus gros du jus qui avait coulé sur sa fantastique poitrine, lorsque qu’ALLAN revint et me claqua la tête :
« Avec la langue salope ! »
Je me penchais sur les seins de ma tendre pour lécher les dernières traces de sperme et finir de la nettoyer.
« Parfait, venez me finir tous les deux avec vos jolies bouches soumises. »
Nous agenouillâmes devant notre maître et commençâmes à le sucer à deux. Il passait d’une bouche à l’autre. Une main sur chacune de nos têtes qui montaient et descendaient le long de la tige ou sur le gland pour le faire durcir.
ALLAN poussa ma tête vers ses couilles pendant que Sophie le suçait goulument. Je les prenais en bouche, y passais ma langue, les cajolais.
Nous l’excitâmes un long moment jusqu’à ce qu’il nous rapproche l’un de l’autre :
« Embrassez vous sur la bite de VOTRE maître ! … Oui, c’est bien comme ça… Un peu plus vite… voilà… Encore !!! BUVEZ MOI MES SOUMISES… AVALEZ TOUT !!! »
Il se mit à jouir de façon saccadée. Son jus sautait entre nos lèvres et dans un réflexe de soumises, Sophie et moi essayions de nous le partager… sans trop l’avaler, lèvres closes.
Il me prit la tête à deux mains et s’enfonça entre mes lèvres :
« BOIS SALOPE !!! »
Je reçus deux jets sur la langue. Il se retira et passa à Sophie :
« FINI MOI SOUMISE !!! »
Les dernières gouttes de la jouissance furent pour elle. J’avais gardé le jus sans l’avaler. Sophie avait fait la même chose que moi.
« Partager vous mon jus, embrassez vous. »
Nous enlaçant tendrement, nous nous prîmes les lèvres. D’abord timidement puis plus franchement, nos langues se mélangèrent nous permettant de partager les sécrétions du maître.
« J’espère que vous avez aimé cette séance mes agneaux. »
Ensemble nous répondîmes :
« Oui maître »
« C’est parfait je suis fier de vous deux. »
Sophie, commençait déjà à se rhabiller pour repartir chez elle. Elle embrassa ALLAN le remercia au creux de l’oreille :
« Merci pour ces expériences maître. »
Elle vint tout sourire se coller à moi pour glisser sa langue dans ma bouche en un baiser langoureux et passionné.
« Maintenant, tu es parfaitement Bi mon cœur je suis très très fière de toi amour. Je t’aime. »
« Merci ma tendre. Je t’aime aussi. »
Elle partit dans un frou-frou silencieux de rouge et de noir. La porte claqua sur la fin de la journée…
« Te voilà transformée je suis fier de toi ma salope ! »
Je commençais à rassembler mes affaires pour me vêtir lorsqu’ALLAN me tendit un gode ceinture.
« ??? »
« Mets toi ça, il faut profiter de cette journée pour maintenir les progrès réalisés. »
« Mais… maître, comment ça ? »
«ARRETE DE DISCUTER SALOPE !!! Enfile toi ça. C’est plus petit que ce que tu as pris aujourd’hui alors fais pas ta mijaurée et fais ce que je te dis. »

J’arrimais le gode et me rhabillais.
« Je vais conduire avec ça ? »
« Tu ne te souviens déjà plus que tu ne dois pas discuter … Ni de qui tu es ??? »
« Si, excusez moi maître, je sais je suis VOTRE salope. Je vous obéis. »
« Parfait, habilles toi et on y va. »

Une fois vêtus, nous repartîmes et je conduisis ainsi harnaché jusqu’à notre destination.
« Bon, à partir de maintenant, lorsque je te donnerais des consignes… pardon, des ORDRES, j’EXIGE que tu y obéisse sans discuter c’est bien compris ma petite salope ? »

J’étais scié !!! Le jeu débordait désormais du simple cadre de nos jeux. Je trouvais la force de lui dire :
« Mais maître, on avait dit que le jeu se limitait à la chambre non ? »
« NON, le jeu ne se limite à rien en dehors de MA volonté !!! Si tu veux faire encore des trio avec Sophie et moi, tu OBEIS !!! Sinon je recommence l’expérience d’aujourd’hui seulement, je t’enverrais dans une autre chambre et tu ne verras rien !
Tu sais, puisque tu l’as vu, que Sophie est maintenant bien dressée, et tu sais qu’elle acceptera ce que je lui impose. Donc, tu as tout intérêt à accepter mes ordres sans discuter c’est bien clair ? »
Vaincu, je répondis :
« Oui maître c’est clair, je vous obéirais sans discuter. »
Pour acter notre accord, il me tendit une clé USB
« Tu verras ce que tu as manqué… c’est magnifique tu verras… salut petite soumise. »
Il descendit de la voiture et je le vis s’éloigner dans la pénombre du jour qui déclinait doucement.
J’étais devenu(e) Bi et complètement soumis(e) en si peu de temps… J’avais vu la femme que j’aime accepter son dressage et sa nouvelle condition de soumise et j’en étais tout(e) retourné(e)…
Je rentrais et visionnais les vidéos. La lente soumission, le lent dressage de ma tendre Sophie…
Ce sera peut-être pour une autre fois… ou pas.
Vous qui savez, remplissez donc les vides … tous les vides… Prenez la place imaginaire d’un des invités… Ou la mienne ;)

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