Panne En Forêt

La panne bête : la voiture cale, ne se remet pas a en route. J'ai l'air maligne isolée en pleine forêt. Un chauffeur s'est arrêté : il doit prévenir un dépanneur. Il y a trois bonnes heures de ça. Et en plus j'ai envie de faire pipi. Personne à l'horizon. Tant mieux, je n'ai pas à me cacher. Je n'ai qu'à lever la robe ; baisser la culotte, m'accroupir et me délester.
Ouf, je suis soulagée. Je me relève pour me remettre, mais là l'ai envie prolonger ma semi nudité. Je fais plus, j'enlève tous les vêtements.Je suis nue. Pourvu qu'il n'y ai pas de bête sauvage dans ce bois.
Je me rassoie sans fermer la porte. Mes seins ont besoin de caresses. Mes mains s'en occupent. C'est agréable de se caresser en pleine nature, comme mes ancêtres.
Maintenant je ne peux retenir l'autre envie : j'ai besoin de jouir. Étant seule, je suis bien obligée de me masturber. J'aime bien me faire jouir : je peux penser à une foules de choses dégoûtantes. Je me vois entre une femme qui le suce et un homme qui me sodomise, ou lors dans les bras d'une brute qui fait de moi ce qu'elle veut en me faisant baiser devant lui tous les copains ou copines.
Mon orgasme est brutal, trop rapide. Je pourrais, si j'en avais la volonté arrêter là. Quelque chose me dit que je vais vivre un instant magnifique.

Je recommence la masturbation, j'ouvre encore plus mes jambes. Je ferme le yeux, je vois des ombres. Une ombre se penche sur moi, passe sa tête dans mon compas. Je ne rêve pas, c'est une vraie tête qui s'insinue doucement. Je sens bien ses cheveux sur mes cuisses. Et là une langue venir sur mon sexe. Ce que j'aime.
Je pose une main sur cette tête, je sens des cheveux, sans savoir si ce sont des cheveux de fille ou d'homme. Je n'ai pas de préférence. La langue passe partout, elle cherche je ne sais quoi, mais elle me donne du plaisir.
Je me laisse lécher partout dans la chatte. Je m'offre sans savoir à qui. Normalement j’aurais du refuse de laisser un ou une inconnu de prendre mon minou.

Tant pis pour moi, je n'avais pas à me masturber ainsi, même dans une forêt.
Je coule vers un divin orgasme.
Je me relève pour voir qui m'a ainsi faite jouir.
C'est un couple assez jeune. C'est lui qui me suçait, elle regarde simplement en se caressant doucement la chatte. Elle lui pend la bite bandée, elle le caresse. Il se tend vers elle . Je pense qu’elle pourrait le prendre dans sa bouche.
Je n'ai rien à dire : elle avale la moitié de la bite, elle doit le lécher le gland. Et lui qui cesse de me caresser tend sa bite vers cette bouche gourmande.
Je voudrais moi aussi partager cette liqueur salée.
Rien ne se passe comme je voudrait. La femme vient poser sa chatte sur ma bouche. Je me sens obligée de la lécher moi aussi.
Sa cyprine coule sur ma bouche, sur le menton, vers mon cou, elle m'en donne beaucoup.C'est agréable de sentir son goût, son odeur féline.
Lui jouit brusquement dans mon cul. Dès qu'il se retire en laissant de long filaments de spermes pendre à mes fesses, la bouche féminine est sur ma chatte.
Pour la première fois je fais un 69 à une autre fille. C'est dégotant mais excitant. Je jouis trop vite, elle attend une seconde de plus pour laisser sa décharge dans ma bouche et il y en a. En plus c'est une femme fontaine. Je bois sa jouissance comme d'autre se régalent d'un grand cru. Son vagin se ferme enfin : elle a fini de jouir.
Je voudrais recommencer : hélas, ils partent comme si de rien n'était. Dommage.
Je reste encore en rade pas longtemps, jusqu'au moment ou un garagiste hors d'âge vient dépanner. Heureusement que je viens de baiser avant lui.