Histoire De Vin

Comme tous les mois je vais acheter du vin à la propriété. Je suis devenu copain avec le caviste : une fois sur deux il me fait prendre une bonne bouteille, ou nous dégustons la dernière récolte. Souvent sa femme, une brune piquante, est là, assise les jupes relevées à mi cuisses. Souvent, pas assez hélas pour moi, elle écarte à peine les jambes pour me faire voir ses cuisses. Deux ou trois fois j'ai vu plus que ses jambes : elle ne porta jamais de string ou culotte.
La dernière fois elle était seule pour me servir : son mari parti pour représenter son domaine dans une foire exposition.
Elle s'assoie près des robinets, prend la bonbonne pour mettre mon vin. Elle remplit le récipient,se lève, mais la robe refuse de descendre normalement. Elle s'en fiche totalement si je la regarde.
J'aime me montrer ainsi, ça me donne des idées.
J'aime vous voir, ça me donne aussi des idées.
Des idées de quoi ?
Les mêmes que les vôtres.
Elle ne dit plus rien, se lève, me donne mon achat. Elle est bien trop proche de moi. Elle passe sa main derrière ma nuque, m'attire vers sa bouche. Elle m'embrasse profondément, comme une morte de faim. Quand elle se colle à moi, elle peut sentir l'effet qu'elle me fait, je commence à bander : elle a fait ce qu'il fallait.
J'ai à peine le temps de passer ma main sur ses fesses que la sienne est à la recherche de ma dureté. Normalement c'est moi qui cherche la suite en passant ma main entre ses jambes. Là, non , c'est elle qui me cherche. Elle défait la braguette, passe sa main à la recherche, sous le caleçon, de ma bite bien grosse. Elle me prend à peine main , entoure ma pine de ses doigts chauds. Lentement elle la sort, elle la regarde avant de commencer à lui donner la caresse suprême, celle qui normalement m'envoie au paradis des amants. Elle me pose une question idiote :
Tu aime te branler ?
Comme toi, non ?
Moi, j'aime bien me chatouiller la moule.


Fais voir !
Après toi, commence.
Je prend ma queue dans la main, son regard ne me quitte pas. Je commence à m'astiquer lentement pour ne pas jouir trop vite. Elle fait descendre le pantalon, me le fait enlever. Pareil avec le caleçon. Je reste en t-shirt seulement.
Elle est bientôt comme moi, presque nue. Quelle présence dans sa quasi nudité. Je vois sa fourrure dense, fournie. Sa main la recouvre bientôt, elle la passe pour aller glisser deux doigts à peine plus bas. Sans pudibonderie, elle commence à se toucher. La voilà qui se masturbe devant moi, comme moi.
J'enlève sa main, elle sait ce que je désire : son cul. Enfin son sexe, pour le cul on verra la prochaine fois. Je me baisse pour être à sa hauteur. Celle s'approche de moi, elle se donne directement. Mon gland sent la mouille de son con.
Nous nous tenons par les hanches, je mets ma pine sur son con, elle pousse à peine : je glisse en elle. Elle pousse un soupir de soulagement : nous baisons.
Je commence mes va de vient, elle les accentue. Nos pubis se rencontrent régulièrement. Elle ne dit qu'une chose :
Oui, encore, encore !
Jouis avant moi.
Non ensemble c'est mieux.
Je ne sais pas si je vais tenir autant que toi.
Oui, continue, tu pourra m'enculer la prochaine fois.
Cette promesse me fait tenir longtemps. Je suis surpris pas son orgasme plus rapide que je le pensais. Je n'ai pas pu jouir.
Continue, baise moi, baise moi encore.
Comme ça ?
Plus profond.
J'ai envie de ton cul.
Elle ne dit plus rien, elle se retourne après m'avoir fait sortir d’elle. Elle ouvre ses fesses avec ses mains. Je peux voir son cul magnifique à peine ridé.
La voilà qui me pend la bite dans la main, la fit aller dans sa raie pour doucement me faire aller sur son anus :
Encule moi maintenant.
Tu vas aimer ?
J'aime me faire mettre par derrière.
Elle le désire, je le fais. J'ouvre son cul doucement, j'entre le gland, j'arrête juste un moment pour ensuite tout lui mettre.

Ma queue est serrée régulièrement par ses spasmes : elle jouit plus vite que moi. Je comprends pourquoi quand je la vois se branler pendant qu'elle a ma bite dans le cul.
A mon tour de me lâcher. Ma gerbe de sperme part directement dans son cul.

Je n'ai pas payé le vin que je devais acheter.

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